mine right now (wesla)

25 juin 2020 ★ @wesley patterson ★ los angeles

mine right now

" Mon frère aussi t'a soufflé l'idée ? " Que je demande en te taquinant alors qu'on sort du restaurant. Restaurant que tu as choisi et qui était parfait. Vraiment. Le lieu, la nourriture, le champagne, l'ambiance… La personne avec qui j'ai passé ce moment aussi. Notre première soirée vraiment ensemble et ça a beaucoup de valeurs pour moi. Je ne sais pas pourquoi mais avec toi, tous ces moments ont des valeurs particulières. Peut-être parce que c'est la première fois que je le fais de cette manière. C'est la première fois que je vais dans un restaurant avec mon petit-ami, parce que c'est bien ce que nous sommes hein ? C'est même la première fois que j'ai un petit-ami, c'est pour dire comme tu bouscules mon monde. " On fait un passage par la plage ? " Que je demande rapidement. J'aime l'océan, le bruit des vagues et même s'il y a du monde, c'est assez calme pour l'heure qu'il est. Sans compter, qu'il faut que je marche histoire de digérer un peu. Je n'ai pas mangé autant depuis des semaines et, même si je me sens bien, mon cerveau tente de me faire penser que c'est mal, que ces fruits de mer, on aurait pu s'en passer et ce dessert, encore pire ! Alors, pour faire taire mon cerveau, je nous traîne jusqu'à la plage. On a toute la nuit devant nous de toute façon ; Dimitri garde Eden et je sais qu'il est parfait avec lui. Et j'ai envie de prolonger ce moment, bien que je reste à une très légère distance de toi. Avec ton nom qui apparaît dans Veritas limite toutes les semaines - et les crises existentielles de ton père - j'aimerais ne pas rajouter une couche par ma faute. Si c'est toi qui m'embrasse, c'est différent. Arrivée au bord de la plage, je me baisse pour retirer mes talons hauts et les attrape par la lanière. Je prends une rapide photo et te souris. " Merci pour cette surprise… C'était merveilleux " Que je dis simplement. Je vais m'en souvenir un bon moment, surtout de ton visage face à ton assiette de dessert. On est tous les deux gourmands, ça risque d'être compliqué pour ton staff de gérer nos deux envies. " J'ai envoyé un message rapide à Dimitri tout à l'heure et Eden va bien " Que je lance en commençant à marcher. Ce petit bout me manque mais je suis tellement heureuse d'être seule avec toi, de profiter, d'avoir la nuit pour nous.

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25 juin 2020 ★ @Ella Marriott-W. ★ los angeles

Je laisse un rire m'échapper de la bouche alors que je suis entrain de remettre ma veste doucement pour ne pas brusquer mon épaule. Une fois en place, mon visage se tourne vers le tien, les lèvres étirées. Quelle perspicacité. "Disons qu'il m'a glissé à l'oreille qu'il pouvait garder les enfants une soirée pour que nous puissions profiter ensemble." Et comment dire que ce restaurant en ta compagnie, c'était magique. Comme mon dessert. Mais je vais me garder d'en faire la remarque, je n'ai pas envie que tu sois jalouse de cette farandole de sucre que je suis entrain de digérer. "Je ne sais pas si je l'ai déjà dit mais, ça me fait vraiment plaisir que les choses se soient arrangées avec Dimitri." Je sais qu'il le fait pour toi, mais ça me touche. Parce que lui comme moi, nous ne voulons que ton bonheur. Et il aurait été plus difficile de t'avouer mes sentiments si la personne la plus importante de ta vie était encore contre moi. "C'était l'idée en venant manger dans un restaurant en bord de mer.." Petit clin d'oeil taquin, et nous avançons doucement vers le sable. Une fois sur le point d'y poser les pieds, nous stoppons un instant pour que tu puisses retirer tes talons. Moi, c'est des bottines alors inutile de m'en défaire. Je t'observe, le regard amoureux. Et quand tu me souris, j'ai l'impression que je pourrais mourir. C'est fou l'effet qu'il a sur moi. Oh merveilleux, cela définit chacun de nos moments. Pour tous ces moments merveilleux, ceux bruyants, ceux silencieux. Pour ces fous rires et ces pleurs, ces moments de joie, de bonheur. Pour ces engueulades et réconciliations, pour ces sentiments forts, d'admiration. Pour cette fierté face à la réussite de l'autre, pour ces encouragements, sans se soucier des autres. Pour ce monde qu'on s'est construit, à deux. Parce que je suis heureux, que tu l'es aussi, dans ce monde qu'on aime, notre bulle. Pour toutes ces choses, pour ces belles journées passées, pour celles qui nous attendent, pour simplement vivre ensemble, pour profiter de la vie. Profiter de l'amour, profiter de nous deux. "J'ai eu envie de t'embrasser durant tout le diner.." Pourquoi je sors ça? Aucune idée. C'est sorti tout seul. Je te regarde, et mes lèvres se pincent. En public, difficile de toujours faire ce que l'on veut. Mais, nous marchons toujours lentement. "Je ne m'en fais pas."Et je viens effleurer le dos de ta main du bout de mes doigts. "Thais est vraiment un amour. Elle a été adorable quand vous étiez entrain de signer." Ne dis pas 'tout sa tante' parce que t'es pas sage toi.

25 juin 2020 ★ @wesley patterson ★ los angeles

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Je souris légèrement quand je t'entends dire que mon frère a proposé de garder Eden ce soir. Ça ne m'étonne même pas venant de lui. Il n'a absolument pas rechigné quand je lui ai demandé s'il pouvait garder Eden pour nous la semaine prochaine. Il aurait pu refuser, me dire que j'abuse mais non. Dimitri est comme ça, un amour, un bébé chat et je l'aime plus que tout au monde, aucun doute là dessus. " Moi aussi je suis contente… J'aurais jamais pu être entre vous deux " Que je souffle doucement. Tout serait différent si Dimitri n'avait pas décidé de baisser ses gardes et de te laisser revenir dans sa vie et celle de sa fille par la même occasion. Je n'ai plus besoin de me cacher ni de modifier ton prénom dans mon téléphone comme j'ai du le faire début mai. On discutait toujours autant et pour des raisons de 'sécurité', tu n'étais plus Wesley Patterson mais Mr Johnson. Peut-être un peu idiot mais je ne sais pas comment mon frère aurait pris la nouvelle. Il ne sait toujours pas qu'on a jamais réellement de se parler et je ne suis pas sûre que ça ait un grand intérêt de lui dire maintenant. Il roulerait les yeux au ciel et me dirait qu'il le sait. Enfin, je chasse mon frère de mes pensées pour le moment puisque c'est pour nous ce moment, il est à nous et je veux le prolonger au maximum. Face à ton clin d'oeil, je fronce le nez et tire la langue comme une enfant de douze ans. Je t'emmerde Wesley, si tu savais comme je t'emmerde. Mais continue, parce que j'aime vraiment ça. Mes talons en mains, je soupire doucement lorsque je sens le sable frais sous mes orteils. J'adore cette sensation et je crois que je pourrais déménager sur la côte ouest juste pour ça. Boston a sa plage mais c'est différent. Je te regarde et mes yeux se glissent sur tes lèvres. Moi aussi, j'y ai pensé. Et j'ai pensé à toutes ces choses dont j'ai envie depuis des semaines déjà. Ces choses que j'ai envie que tu me fasses, celle que j'ai envie de te faire. " Cette petite est parfaite, comme sa tata… Vous avez fais quoi au final ? Elle parle tellement que je n'ai capté qu'une phrase sur trois " Que je souffle en posant mes yeux sur l'océan. La brise caresse mon visage et je tourne le visage vers Wesley. Qu'il est beau. Tellement beau. Et en regardant autour de nous, je vois un petit renfoncement plus loin. C'est juste la beauté de l'océan qui a laissé un peu de relief aux roches. " Suis moi " Que je te souffle en filant par là bas, collée contre la pierre, à l'abris de tous les regards des gens dans le restaurant ou de ceux qui se baladent. Quand on arrive dans ce petit coin, je te souris et me place face à toi. " J'ai aussi eu envie de t'embrasser tout le dîner… " Que je souffle en regardant tes yeux puis tes lèvres. " Je peux ? " Que je demande doucement. Je peux t'embrasser ? Je peux me coller à toi, te toucher, te sentir et te dire que si je t'ai fais du pied la moitié de la soirée, c'est parce que j'ai terriblement envie de toi.

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25 juin 2020 ★ @Ella Marriott-W. ★ los angeles

Cet amour a débarqué à l'improviste, comme par effraction. Un instant et plus rien n'existe. Soudain, tout est hors du temps, hors nome. Soudain, la vie ne fait plus peur. Soudain, on a le coeur en flammes, la tête à l'envers, un vide au creux du ventre. On vit en apesanteur, on a le coeur qui tremble, les idées Upside down. Soudain, notre sang est neuf, un coeur nouveau. Je ne respire que par toi. Parce que tu m’as délivré de moi. J’ai faim de ta peau, de tes lèvres, de l'odeur de tes cheveux. Désormais, c'est toi qui a les clés. De la porte du paradis. De celle des enfers, peu importe tant que je suis à tes cotés. Sans toi je ne suis qu'attente. Parce que tu me fais vivre vite, parce que tu me fais vivre fort. On s’enivre de cette complémentarité qui devient dépendance. Car au fond, nous n’avons toujours voulu que ça: les effusions du coeur, les effusions de sang. Et bien sur, tout le monde savait avant nous que, c'était une évidence qu'on en arrive là où nous sommes. Dimitri le premier. Et il a su faire de moi un homme comblé en me laissant trouver ma place parmi vous. Dans ta vie, dans la sienne et dans celle de la petite princesse. Mes yeux se lèvent au ciel d'ailleurs, parce que je savais d'avance que tu te vanterais d'être la responsable de tant de mignonnette chez Thais. "Ca je ne sais pas... Je ne me souviens plus tellement comment est ta soeur." Je me retiens d'exploser de rire. Mon visage tourné vers le tiens, et une main dans la poche de mon pantalon. L'autre qui continue de t'effleurer la peau. "Un vrai moulin à paroles!.. Mais, elle parlait moins quand elle mangeait sa glace en se promenant dans le parc." J'ai ce sourire tendre et heureux. "Et nous avons ensuite parlés des canards présents dans le parc." C'était agréable. Une main sur la poussette, l'autre dans la main de ta nièce. Un vrai père de famille... Mon Diable. Je fous mes yeux sur les vagues qui s'écrasent, et ton ordres me fait revenir cette ride du lion. "Hm d'accord..." Je te suis. Je ne me pose pas trop de questions, et puis, si jamais c'était le cas, j'obtiendrais rapidement des réponses. Je comprends ton but, et j'en suis ravi. Là, à l'abri des regards, face à toi. Nos yeux qui jongles, regard, bouche, regard, bouche,... "Fais le." Un soupçon d'autorité. Mais surtout, guidé par l'immense envie de retrouver tes lèvres. Et, puis je m'en branle si nous ne sommes pas discrets. Le monde verrait que je suis un homme heureux. Et amoureux.

25 juin 2020 ★ @wesley patterson ★ los angeles

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Se balader sur la plage après un tel repas, respirer l'air frais, profiter, c'est tout ce dont j'ai besoin. Je sens tes doigts sur ma main et j'ai l'impression qu'on me donne des coups de jus puis qu'on me caresse avec une plume. Ce n'est même pas désagréable et j'en redemanderais presque. Mais si, aux yeux de tous, on ne peut pas vraiment. Je n'aime pas cette situation mais je ne dis rien. On est au bout. C'est bientôt la fin de ce putain de calvaire. Dans six jours, tu es mien. Dans six jours, il n'y a plus rien qui te relie à ta dernière erreur. Dans six jours… C'est toi et moi contre le reste du monde, en public. Parce qu'en privé, c'est déjà ça. " Tu mérites que je te pousse dans l'océan et rentre à l'hôtel toute seule " Que je lâche alors que je te fusille du regard. Je n'arrive pas à y croire. Le salop ! Ma soeur, elle est sympa mais je ne sais même pas si elle a vu Thaïs une seule fois, c'est pour dire. Je regarde l'étendue d'eau et étouffe un léger rire. Ah, Thaïs et les coin-coin, c'est toute une histoire d'amour. " Elle me fascine cette gosse… Les canards sont ses animaux de la ferme préférés. Quand elle était plus petite, elle adorait se balader avec son drap de bain sur la tête en soufflant des couac couac pendant des heures " C'était complètement usant mais si drôle, si touchant. Les enfants captent les choses tellement vite. C'est bien pour cela que j'essaye de lui apprendre le français, en vain. Il faut dire que ce n'est pas avec une soirée tous les quinze jours que je vais arriver à quelque chose. Enfin, Thaïs est bien mignonne, je l'aime de tout mon coeur mais j'ai d'autres projets pour ce soir et ils n'impliquent pas de parler d'enfants. On est seul, dans notre coin, à l'abris de tous les regards indiscrets et… je souris quand tu m'ordonnes de le faire. Je me colle contre la pierre, attrape ta main et te tire doucement vers moi. On dirait deux adolescents. Je pose mes lèvres sur les tiennes. Un doux baiser, du bout des lèvres, doux comme une plume. " Et si… " Je soupire contre tes lèvres et lève les yeux pour les coller dans les tiens. " On rentrait à l'hôtel… Et qu'on faisait toutes ces choses interdites que j'ai envie de te faire et que je rêve que tu me fasses " Je penche le visage pour que mes lèvres arrivent à ton oreille. " Comme le fait qu'au lieu de mimer l'acte comme l'autre fois… On le fasse " Pour de vrai. Parce que j'en ai envie. Parce que j'ai envie de toi. Parce que je te fais confiance. Je crois que ça y est, mon cerveau a décidé de baisser les armes, de sortir du brouillard. " J'ai envie de toi Wes " Que je finis par dire avant de t'embrasser avec passion, mes bras s'enroulant autour de ton cou, mon corps collé au tien, dans l'indifférence totale que l'on nous voit. Au pire quoi ? Un poste sur Veritas ? Bien, si ça les amuse, qu'ils y aillent.

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25 juin 2020 ★ @Ella Marriott-W. ★ los angeles

"Tututu... Interdiction d'être violente envers une personne handicapée je te signale." Quoi? Autant que ça serve de se faire tirer dessus. Bien que, mon épaule ne me fasse plus mal. Je dirais bien que c'est anormal de ne quasiment plus rien ressentir, mais, je suis conscient de ma capacité à supporter la douleur. Là où d'autres pleureraient de souffrance, moi je ris. "Totalement timbrée... Comme sa tante." Mon regard sur ton visage, un sourire amusé et je précise "Je parle de toi cette fois..." Et ce rire s'échappe de ma bouche. Je me sens si léger avec toi, sur cette plage. Pourtant, j'ai le coeur lourd de ne pas pouvoir t'embrasser, te tenir la main et montrer au monde comme l'amour c'est beau au final. Heureusement, te confier mon envie active la partie ingénieuse de ton cerveau et tu m'emmènes dans un coin plutôt isolé des regards indiscrets. Putain Ella je te jure que si ça ne tenait qu'à moi, on ne se cacherait pas comme deux adolescents. Même si c'est excitant. Et tes lèvres timides qui viennent sur les miennes, tendrement. J'en ferme les yeux un instant, avant que tu ne sous entende qu'il te vient une autre idée. Je te fixe, attentif. J'en frissonne. Ne me pincez pas, je ne veux pas savoir si je rêve ou si c'est bien réel. Il ne faudra pas me le proposer deux fois. Je souris bien que ton visage proche de mon oreille ne peut pas le voir. Ce sourire coquin, et heureux. "Et bien en voilà une merveilleuse idée... Partons maintenant." Ou presque. Parce que ta dernière phrase, elle provoque cet incendie en moi. Et, nos bouches se retrouvent pour un échange beaucoup plus passionné. Mains sur ta taille, qui tirent ton corps pour le coller au mien. En deux touchés, je souffle "Je meurs d'envie de toi." Et je commence a reculer, te gardant contre moi. Toujours prolongeant. Rien à foutre que nous soyons observés. Quand ça se termine, j'attrape ta main pour marcher sur ce sable et regagner le sol goudronné. Et pendant que tu enfiles tes chaussures, je me charge de commander un taxi... mais j'en vois un sur le parking du restaurant. "Le destin est avec nous pour une fois." Dis je en t'indiquant le véhicule avant de commencer à avancer vers lui. Une fois à bord, je donne l'adresse de l'hôtel en insistant sur la nécessité d'aller vite. J'ai peur que tu reviennes sur ta conviction. Je replace mon dos sur le dossier de la banquette arrière, et ma main vient se loger entre tes cuisses. Elle remonte discrètement de plus en plus vers ton intimité.

25 juin 2020 ★ @wesley patterson ★ los angeles

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Interdiction de quoi ? Ah la bonne blague ! Mais allez, celle là, je te l'offre, je te l'accorde. Mais le prochain pic que tu lances, mon index vient se pointer sur ton plexus solaire et je te regarde droit dans les yeux. " De un, tu ne critiques pas Thaïs. Et de deux, le côté timbré et ingénieux de sa tante va l'emmener très loin dans la vie " Que je souffle sur un ton presque menaçant. Presque oui, parce que je sais très bien que cette gamine, que ma Thaïs, tu l'aimes autant que j'aime Eden. Je sais que s'il lui arrivait quelque chose, à cette timbrée, tu remuerais ciel et terre, tuerais tous ceux sur ton chemin pour la retrouver. On est les mêmes sur là dessus et sur beaucoup de choses d'ailleurs. On se complète parfaitement. Et, encore mieux, nous sommes le miroir de l'autre. Les décisions folles, les réactions idiotes, on comprend surement plus que n'importe qui. Et quand je t'attire un peu plus loin, je sais que ça peut partir dans tous les sens. On peut s'embrasser pendant des heures ici. Ou bien écourter ces baisers pour retourner à l'hôtel. J'ai si envie de toi. J'en ai toujours eu envie. Le nombre de fois où j'ai du filer à la douche, fixer le plafond, faire des exercices de respiration quand, complètement excitée par mes rêves, je n'avais qu'une envie : celle de te réveiller et de voir si t'avais envie de moi autant que j'ai envie de toi. Ton corps, je l'ai vu et je ne m'en passe plus. On a pris notre temps, on le prend encore, en quelque sorte. Parce qu'on se dit les choses, qu'on pose des mots sur notre envie partagée de ne faire plus qu'un. Mes lèvres toujours sur les tiennes, je fais les mêmes gestes que toi, en totale opposition. Tu recules le pied droit, j'avance le gauche. Une danse parfaite où tous mes sens sont en éveil. Et celui du toucher est en manque de ta peau, de ton corps. Putain qu'on rentre et que je sois satisfaite sur ce point aussi. En haut des marches, j'essuie mes pieds et renfile mes talons hauts. On dirait un duo d'adolescent qui court et doit rentrer maintenant, tout de suite. Même dans deux heures, j'aurais toujours envie de toi Wesley. " Il a compris qu'il ne pourrait pas se mettre indéfiniment entre nous " Que je souffle alors que je te suis jusqu'au taxi. J'envoie un rapide message à Dimitri alors que tu dis au taxi de se dépêcher et je regarde ta main remonter sur ma cuisse et en direction de mon short blanc. J'ai déjà tellement envie de te sentir sur moi que mon corps bouge en ta direction. Je me rapproche doucement de toi, mes jambes se décroisant alors que mon regard est plongé dans le tien. Je me penche vers toi et passe ma main sur ta nuque pour t'attirer à moi. " J'espère que tu ne tiens pas trop à cette chemise… " Ma main se glisse sur ton torse et je passe mon index par l'espace entre deux boutons. Je caresse ta peau du doigt et souffle. " Parce que je ne compte pas prendre le temps d'enlever les boutons un à un " Que je souffle en faisant sauter le premier par politesse. Les autres n'auront pas cette chance et ne survivront pas longtemps après notre arrivée dans la chambre. Je baisse les yeux sur ton entre jambe et je mordille doucement ma lèvre inférieure à la vue du tissu tendu. Putain qu'il fait chaud.

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25 juin 2020 ★ @Ella Marriott-W. ★ los angeles

Autant tu peux me faire trembler dans le monde des affaires, autant ton air menaçant là, il m'excite plus qu'autre chose. J'arque un sourcil "Critiquer? Oh non. Il n'y a pas de génie sans grain de folie Ella." C'était donc plus un compliment exprimé maladroitement. Parce que cette petite, elle bénéficie de ma protection. Thais a trouvé sa place dans le coeur qui ne bat que pour sa tante, et ça signifie que je veillerais personnellement à son bonheur. Avec toi, main dans la main. Putain que le monde devrait trembler. Je pense que si le destin a toujours joué contre nous, c'est uniquement par peur d'unir deux personnes aussi fortes. Aussi puissantes. Mais c'est terminé, nous avons prouvés à l'univers qu'on ne reculerait devant rien. Qu'il était impossible de nous séparer. Et que ceux qui le tentent, aillent en enfers pour guetter comme cette tentative ne fait que, nous rapprocher. Comme dans son taxi en route pour l'hôtel. Ma main se glisse entre tes cuisses, toujours plus vers ton intimité. Tes doigts dans ma nuque, j'avance vers toi et je te souris. Malicieux, rempli de désir. "Est ce que tu comptes au moins attendre d'atteindre la chambre?" Parce que si je m'écoute, je commence à te déshabiller dans l'ascenseur. Mon regard descend sur le bouton que tu enlèves de manière normale. Ce sera toujours un de moins. Et je reviens poser mes yeux dans les tiens. Parce que j'ai envie de te voir entre ouvrir la bouche, la quand ma main arrive à son but. Par dessus ton tissus, je te caresse doucement mais d'un touché ferme. Ma bouche vers ton oreille, je te souffle dans un chuchotement pour que le chauffeur ne puisse pas entendre "Si seulement cette voiture était équipée d'une vitre teintée..." Comme celle de ton oncle à Londres. Je pense que tu dois deviné facilement ce que j'aimerais te voir, là maintenant. Que tu viennes mordre dans ma veste pour étouffer les bruits que je te procurerais. Je recule à nouveau pour pouvoir observer ton expression. C'est à ce moment que le conducteur prend la parole pour nous informer que nous arriverons à destination dans cinq minutes. Petit haussement de sourcils, et un sourire en coin. Avant de prononcer assez fort "Je double le prix de la course si nous y arrivons dans trois..." Sans te quitter de mes pupilles.  

25 juin 2020 ★ @wesley patterson ★ los angeles

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Quand on s'en prend à Thaïs, je passe la seconde. Je peux accepter beaucoup mais alors attaquer mon bébé, jamais. Je sais bien qu'elle n'est pas la mienne, qu'elle ne le sera jamais mais quiconque osera lui faire du mal se verra dans une salle position. Et cela s'applique aussi à son père et à sa mère. Je n'hésiterai pas à les anéantir s'ils viennent à faire du mal à ma petite Princesse d'amour. Enfin, ta réflexion m'arrache un sourire parce que la dernière fois que tu m'as dis, on s'est retrouvé l'un sur l'autre sur mon bureau. Le contrat que j'avais imaginé pour que ce nous allons faire se passe enfin. La boucle est bouclée, en quelque sorte. Enfin, rien n'est fait. Il peut toujours y avoir un problème sur la route, ma carte qui ne passe pas pour ouvrir la porte. Dès tas d'obstacles peuvent encore se mettre sur notre chemin. " Laisse moi réfléchir… " Que je souffle en faisant sautant le premier bouton de ta chemise. C'est tellement dur de se contenter d'un rien, de se calmer et de se dire qu'il faut être discret. J'ai envie d'être tout sauf discrète là. Surtout quand ta main commence à me toucher à travers le tissu. " Rappelle moi de ne plus jamais utiliser de taxi " Que je souffle tout simplement avant que tu te recules à nouveau. Mes yeux plantés dans les tiens, je t'écoute et un sourire se dessine sur mes lèvres. J'aime quand tu donnes de tels ordres, que tu offres de telles récompenses pour être encore plus proche de moi. " C'est un homme de paroles alors si vous voulez vous faire le double, je vous conseille d'appuyer sur l'accélérateur " Que je lance, ma main glissant sur ton torse pour se poser au niveau de la ceinture de sécurité. Mon pouce passe entre la ceinture et le tissu de ton pantalon alors que le reste de ma main se pose sur tes parties intimes. " Le plus dur ne va pas être de ne pas te déshabiller mais de ne pas t'embrasser… " Que je réponds en réponse à ta précédente question. Ça va vraiment être compliqué de ne pas sauter sur tes lèvres, de ne pas laisser mon corps et mes envies prendre le dessus sur tout cela. Ma main là, tranquillement posée sur ton entre-jambe, je soupire doucement. " On en est où là ? " Que je lâche en tournant le visage vers le conducteur quand, dans mon champ de vision, je vois les lettres lumineuses de Marriott par le pare-brise. Ça, c'est beau. Merveilleux même. " Monsieur Patterson, je vous attends dans le hall " Que je souffle doucement alors que je retire ma main de tes parties pour me détacher et sortir de la voiture. Je claque la porte et me dirige vers le hall d'entrée de Marriott, un sourire sur le visage, déjà hâte que tu me rejoignes. Je prends ces quelques secondes pour me ressourcer, me calmer et me contenir. Pas d'embrassades publiques. Rien tant que la porte de la chambre n'est pas fermée.

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25 juin 2020 ★ @Ella Marriott-W. ★ los angeles

Te laisser réfléchir? Surtout pas. C'est comme ça que tu pourrais te souvenir de la date du jour, et revenir sur cette décision qui anime mon être. Je sais, tu as conscience de la date. Et ca me rend encore plus émoustillé de savoir que tu es prête à balancer tes convictions au Diable. "Je n'y manquerais pas..." Désinvoltes, nous ne tenons pas notre langue. Moi pour motiver ce chauffeur, et toi pour confirmer la valeur de mes dires. Et je croque ma lèvre inférieure sous ta main qui se balade sur mon torse pour descendre, encore, et.. bordel. Comme un miroir, nos mains se touchent mutuellement la même partie. Ce feu, il n'a pas besoin d'être entretenu, parce qu'à ce stade, c'est le Vésuve qui vient de rentrer en éruption. "J'te jure que, t'es entrain de me rendre fou avec des simples mots..." Qu'est ce que ça va donner quand nos corps entreront réellement en action? La réponse incessamment sous peu. Parce que ton nom illumine le ciel qui s'assombri. Nous sommes arrivés, et le conducteur aura bien mérite son pourboire. "Attendez moi sagement surtout." Hors de question que tu ne commences quoi que ce soit sans moi cette fois. Je ne veux rien rater. Ceinture de sécurité ôtée, je sors mon porte feuille et, comme promis, offre le double de la course en argent liquide. Puis, c'est du véhicule que je me sors pour replacer mon costard. Le petit vent frais est agréable, car j'ai vraiment l'impression d'être entrain de cramé de l'intérieur. Je marche alors pour entrer dans ton hôtel, le sourire aux lèvres je te retrouve du regard avant de retrouver d'une distance réglementaire. Nous ne pouvons pas nous afficher, et encore moins ici. "Je te préviens, si la porte de la chambre refuse de s'ouvrir pour je ne sais quelle raison... Faudra appeler un réparateur demain." Parce que je compte bien la défoncer a coups de pied jusqu'à ce qu'elle cède. But, pour le moment, c'est d'un geste du bras que je te laisse passer devant pour pénétrer dans l'ascenseur. Je ne fais que suivre, chastement. Enfin pas dans ma tête. Ouh que non..