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I got you...under my skin [Soli]

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Il me regarda alors "tu es jaloux!", c'était donc si évident que ça? Je lui souris, un peu gêné et je lui répondais à voix basse "Un petit peu...", je savais que cela lui faisait plaisir d'entre ça, et j'avais décidé de le lui dire. Nous ne mirent pas longtemps à partir de club, qui commençait à devenir à mon sens, trop ennuyeux. Je bus une dernière gorgée de mon verre, et déposai deux billets de 100 dollars, en guise de pourboire, voilà qui devrait au moins consoler ce vieux barman. Sa voiture était garée à quelques mètres du club, sur une place de parking certainement privilégié. Inutile de dire que sa voiture était somptueuse, elle devait surement valoir dans les quelques centaines milliers de dollars. Cela me décontenança un peu, j'avais 20 ans et je ne savais toujours pas conduire, j'étais d'ailleurs venu en taxi à ce club.

Le trajet fut rapide, et se fit dans une ambiance calme, mais agréable. J'étais littéralement heureux de la tournure que la soirée avait prise, et j'étais également plus qu'impatient de ce qui nous attendait après. Une fois arrivés dans le campus, il gara sa voiture dans le parking des élèves, et nous montèrent jusqu'aux appartements des des Winthrop.
Une fois arrivés dans sa chambre, je me dévêtis de ma veste que et déboutonnai les premiers boutons de ma chemise, histoire de me mettre complètement à l'aise. Bien évidemment, sa chambre n'avait pas changée depuis la dernière fois, en revanche je ne pus m’empêcher de ressentir cette même sensation de tension sexuelle, déjà éprouvée la dernière fois. A chaque fois que je me retrouvais seul avec lui. Sauf que cette fois ci, je ne comptais pas le cacher, après tout il me voulait au naturel non? Je m'approchai de lui, l'air aguicheur.

Honnêtement, j'ai vraiment pas en...

Quelque chose dans mon vente commença à tourbillonner, pour au final remonter jusqu'à ma bouche. Je me mis alors à vomir tout ce que j'avais consommé plus tôt, c'est à dire que de l'alcool. Mon appétit sexuel avait totalement disparut. Puis après avoir vomit durant à peu près 2 minutes, j'étais à genoux, la bouche ouverte, contemplant les litres de substances liquides que je venais de cracher. Je n'osais même pas regarder Soliman.
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Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.


Le barman n’était définitivement pas vilain mais ce n’était pas mon genre de prendre un numéro de réellement m’en servir. Si je ne l’avais pas encore jeté c’était uniquement par politesse et par respect pour cette personne, je le ferais une fois à ma chambre sans qu’on me pose de questions là-dessus. Ce dernier m’observait depuis le début de la soirée et me voir avec Garett avait le même effet sur lui que le jeune homme lui-même sur le barman. Je trouvais ça très amusant même si au fond je savais que mon petit Garett, parce que je ne souhaitais plus le partager, je devenais jaloux moi aussi et je savais très bien que ce n’était pas une bonne chose pour quelqu’un qui avait peur de ses sentiments comme moi, souffrait du fait que quelqu’un puisse me regarder comme lui pouvait le faire. « Un petit peu... » Je souriais satisfait de sa réponse, il ne niait pas et c’était une bonne chose. Nous quittions tous les deux la boite de striptease après que je sois néanmoins parti prévenir mes amis qui étaient bien trop occupés à bander comme des taureaux devant une femme qui se trémoussait seulement vêtue… Ah bah non, elle n’avait plus de vêtements du tout comme ça c’était plus vite fait. Je quittais l’endroit nous conduisant jusqu’à chez moi, ma voiture se trouvait sur un bout de parking privilégié, pour nous, les riches qui n’avions pas la patience de chercher une place pendant quinze mille ans. Peut-être que je n’aimais pas vraiment me différencier mais parfois ça n’avait pas que du mauvais. Nous arrivions jusque dans le dortoir des Winthrop, j’entrais avec lui fermant la porte derrière moi tout en retirant ma veste en cuir pour la déposer sur une chaise, je me retournais pour le regarder alors qu’il prenait la parole. « Honnêtement, j'ai vraiment pas en... » Je ne comprenais pas au départ ce qu’il se produisait mais il me vomissait dessus, oh mon dieu j’en avais plein les mains. Je n’étais pas une précieuse mais je n’aimais pas forcément l’odeur qui en découlait, prenant sur moi, je me baissais néanmoins après m’être emparé du premier truc qui m’était tombé sous le bras soit ma poubelle pour qu’il vomisse dedans et pas sur le sol de ma chambre. « Hey, ça va aller ? » Demandais-je en lui caressant l’épaule alors qu’il se vidait d’une manière pas forcément sensuelle.

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Je n'avais absolument pas imaginé que cette soirée allait prendre une telle tournure, et honnêtement j'aurais aimé qu'elle se passe différemment, elle qui avait si bien commencé. Il y a à peine 10 minutes j'avais prévu de me jeter sur lui, le déshabiller, prêt à ce qu'on fasse l'amour comme des bêtes, mais à présent je me trouvais au sol, vomissant des litres et des litres d'alcool, comme un ado à une skin party. Le contraste était étonnant. Je n'avais toujours pas osé affronter le regard de Soliman, je devais à coup sûr le dégouter, d'autant plus qu'il avait malencontreusement reçu mon liquide infecte en plein buste, les mains également. Heureusement, il me tandis sa poubelle, afin que je termine de me vider dedans, et ainsi limite les dégâts, bien que le principal était fait. « Hey, ça va aller ? » , me demanda-t-il alors en me caressant l'épaule. Certes j'étais beaucoup mieux à présent, après avoir vidé mon estomac, mais je me trouvais totalement dégoutant et de plus à assez honteux. Je levai lentement mon visage vers lui, et fus surpris de trouver un regard inquiet, et non un rempli de dégout, comme je le pensais.

Je vais...bien. Je suis désolé pour ta chambre, je vais tout nettoyer t’inquiètes pas.

Il n'eut pas le temps de m'en empêcher, je pris ma veste et enlevai ma chemise, et les jetèrent en plein vomit. Je me servais de mes vêtements en guise de serpillière, et cela fonctionnait plutôt bien. J'étais bien trop entêté pour le laisser nettoyer, après tout j'étais responsable de cet accident, et il était de mon devoir de le réparer. Constatant qu'il restait quelques traces de vomis, je me dévêtis alors de mon pantalon, tout en conservant tout de même mes chaussures. Je me mis alors à cirer le sol avec mon vêtement, de façon à ce qu'il absorbe les dernières traces de vomissures. Une fois que le sol fut intacte, je jetai tous mes vêtements à la poubelle.

Ce costume a quand même couté 600 dollars...

Je le regardais en souriant, il devait être dépassé par ce qu'il venait de voir, j'avais été tellement vite qu'il n'avait eut le temps de rien faire.
J'étais à présent debout, vêtu d'un simple boxer et bien qu'initialement j'avais prévu qu'il me déshabille, j'avais à présent envie d'une seule chose: prendre une bonne douche et me reposer. Je réalisais que l'effet de l'alcool avait en fait amplifié mon envie de sexe, c'était bel et bien la dernière fois que j'en consommais n'importe comment.
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Depuis ma plus tendre enfance je peux vous promettre que j’étais un habitué des gens qui vomissaient sous l’influence d’une trop forte dose d’alcool ingérée. Ma mère tout d’abord qui avait été malade une fois en arrivant aux Etats-Unis, elle ne savait pas que le champagne aussi pouvait rendre ivre après un certain nombre de bouteilles, tout le monde en buvait comme de l’eau dans les séries télévisées qu’elle regardait et je peux vous dire qu’après avoir été malade toute la nuit devant moi parce qu’elle en avait ingurgiter sept ou huit bouteilles avec une amie l’avait définitivement vaccinée contre les trop fortes doses de champagne. Ensuite il y avait eu moi après ma première cuite, mes potes qui dormaient à la maison et je peux vous dire que je m’étais souvent occupé d’eux parce qu’ils étaient incapables de faire les choses eux-mêmes après avoir vomi, leur faire prendre une douche pour ôter le vomi, leur prêter des vêtements, ce genre de choses tout à fait normales à mes yeux. Garett m’avait certes vomi dessus mais ce n’était pas une histoire qui me dégouterait de lui pour le restant de mes jours, au contraire je m’en fichais même si l’odeur était toujours aussi désagréable je dois l’admettre, glissant ma main contre sa chevelure pour la caresser alors qu’il vomissait je ne prêtais même pas attention au liquide plus ou moins liquide d’ailleurs qu’il avait craché par terre avant que je n’ai le parfait réflexe de lui présenter une poubelle pour terminer de se vider. Je lui demandais comment il allait plus inquiet qu’autre chose, je ne voulais pas qu’il se sente trop mal. « Je vais...bien. Je suis désolé pour ta chambre, je vais tout nettoyer t’inquiètes pas. » Je n’avais pas le temps de refuser qu’il m’aide qu’il retirait ses vêtements, je reculais me demandant ce qu’il faisait, une bonne partie du vomi était absorbée par sa chemise ainsi que sa veste alors qu’il retirait son pantalon pour terminer le travail, même si je n’aimais pas le laisser faire je sortais pendant ce temps de la javelle et un seau, j’allais tout de même mettre un petit coup pour enlever les bactéries et l’odeur mais pas maintenant, il fallait d’abord que je m’occupe de lui, il était beau comme un dieu en boxer. « Ce costume a quand même couté 600 dollars... » Je souriais amusé, j’approchais pour lui prendre la main le conduisant jusque dans la salle de bain ou j’allumais la douche la réglant pour qu’elle soit suffisamment chaude. « Je pense qu’une bonne douche te feras du bien… Si tu as besoin de quelque chose, fais-moi signe d’accord ? » Je souriais retirant mon t-shirt que je gardais dans ma main après m’être lavé les mains, je le glissais dans la poubelle en revenant dans ma chambre la posant devant ma porte pour que l’odeur ne soit pas trop présente dans ma chambre, alors qu’il prenait sa douche je passais un sérieux coup de serpillère ouvrant les fenêtres pour que l’odeur disparaisse complètement. C’était comme si rien ne s’était passé.

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Il me conduis jusqu'à la salle de bain, ou il alluma l'eau et la régla à une bonne température. « Je pense qu’une bonne douche te feras du bien… Si tu as besoin de quelque chose, fais-moi signe d’accord ? » J'étais touché par ses attentions, je hochai de la tête et une fois qu'il fut parti, enlevai mon caleçon et entrai dans la cabine. L'eau me réveilla totalement, me faisant retrouver la lucidité que l'alcool m'avait enlevé. Elle seule ravageait ma sueur, la saleté, mon malaise, mon humiliation...l'eau me purifiait littéralement. Le savon ne fit que compléter cet effet là, et après environ une trentaine de minutes passéee sous la douche, je mis finalement fin à ce pur instant de bien être. Je pris la serviette qui se trouvait près de la cabine, après m'être essuyé, je l'enfilai autour de ma taille. L'odeur de sa chambre avait changé, elle sentait la javel, la propreté. Soliman devait certainement avoir terminé le travail, je ne pus cacher ma culpabilité.

Encore désolé pour cet accident, c'est vraiment pas dans mes habitudes...dis-je en me dirigeant vers lui.

Je ne savais pas trop comment je devais me comporter, de plus la situation était assez bizarre, je n'avais plus aucun vêtement utilisable, et j'étais en face de lui, vêtu d'une simple serviette, pas que cela me dérangeait bien au contraire, mais j'allais bien repartir de cette chambre un jour, et je ne pouvais m'imaginer marcher en serviette jusqu'aux appartements des Dunster. Je me contentai de m'assoir sur le lit, à ses côtés, je fus surpris de ne pas ressentir pour une fois une attirance sexuelle, car après tout j'étais nu sous cette serviette. En réalité, j'avais juste envie de parler avec lui, le découvrir, il s'agissait à présent plus d'une attirance sentimentale.

Il se fait tard...tu me lis une histoire avant de dormir?
lui dis-je en souriant.

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Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.


Je ne comptais pas être un profiteur, vous savez le genre de mec qui irait se faufiler dans la salle de bain pour rejoindre un somptueux garçon qui lui donnait parfois des envies peu catholiques et lui offrir un moment d’un érotisme troublant sans pour autant aller jusqu’à une quelconque forme de sexe. Non, de toute manière, à la stupeur d’un certain nombre de personnes j’étais plutôt gentleman, certes il m’arrivait d’avoir des coups d’un soir mais j’aimais le romantisme, les étapes franchies tranquillement et je ne comptais donc pas faire les choses dans le désordre. Si vraiment sexe il devait y avoir à nouveau entre nous et bien le tout serait en quelque sorte calculé et nous serions en couple, il était rare que je sois intéressé par les coups d’un soir répétitifs, il n’y avait que Charlie ou encore Ocyllie pour réussir à me faire revenir comme un petit toutou à leurs pieds. C’est d’ailleurs avec la jeune femme que j’avais récemment couché après une soirée déjà bien arrosée placée sous le signe de l’anti-valentin. Je m’égarais tranquillement dans mes pensées en faisant un ménage rapide de ma chambre qui avait été légèrement dérangée par les vomissements de mon collègue, rien de bien grave au fond mais je ne voulais pas laisser le sol sale, trop maniaque pour en être capable de toute manière. Lorsque le jeune homme vint enfin à sortir de la salle de bain j’avais eu le temps de ranger mes produits et je me trouvais au milieu de la pièce torse nu n’ayant pas eu le temps de me trouver un haut à mettre pour le reste de la soirée. Garett sortait uniquement vêtu d’une serviette de bain qui, je peux vous l’assurer retenais mon attention pendant un dixième de secondes. « Encore désolé pour cet accident, c'est vraiment pas dans mes habitudes... » Je souriais répondant du tac au tac. « Ne sois pas désolé, ce sont des choses qui arrivent. D’ailleurs tu veux peut-être que je te prête quelques vêtements ? » Je le regardais de haut en bas sentant la chaleur monter en moi mais pas suffisamment pour que je sois intéressé à l’idée d’une tentative un peu perverse et abusant de la situation. Je m’installais sur mon lit étant appuyé contre le mur, il me rejoignait. « Il se fait tard...tu me lis une histoire avant de dormir? » A cet instant je ne pouvais pas me retenir de glousser, je n’étais pas vraiment une bonne voix off pour raconter des histoires. « Je ne suis pas sûr d’être très bon pour raconter des histoires mais… Pour toi je veux bien faire un effort. »

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Je ne savais pas exactement quoi faire pour remédier à mon problème de vêtement, d'autant plus qu'il était très tard et je ne pouvais que passer la nuit dans la chambre de Soliman. Je ne pense pas que dormir dans un lit vêtu d'une simple serviette était l'idéal, mais si c'est ce qui devait arriver, et bien je ne dirais rien, je n’osais à vrai dire pas lui demander de me prêter des vêtements. C'est pourquoi je fus très soulager quand il me le proposa.

Ce serait gentil oui, juste un sous-vêtement et un tshirt fera l'affaire...

En me déshabillant, j'en avais profité pour jeter mon boxer aussi à la poubelle, je voulais absolument me débarrasser de tous les vêtements que j'avais porté lors de mes vomissements. Quitte à être propre, autant l'être jusqu'au bout. Il se déplaça alors dans son armoire et me tandis ce que je lui avait demandé, après lui avoir dit un rapide merci, j'enfilai le tshirt ainsi que le boxer rapidement. Je ne ressentis pas vraiment de gêne à me mettre nu devant lui, après tout il m'avait déjà vu nu, et puis j'étais très à l'aise avec mon corps. Ses vêtements sentaient merveilleusement bon, je me sentais donc parfaitement bien dedans. Après avoir rangé la serviette là ou je l'avais prise, je retournais me faufiler dans son lit, à quelques centimètres de lui. Il était tout simplement magnifique, son regard m’électrifia durant quelques secondes, comme si c'était la première fois que nous nous rencontrions. Durant ces quelques secondes, je pris définitivement conscience que je le voulais et qu'à présent il était hors de question de le laisser partir, d'essayer de l'oublier. Puis, il accepta ma demande et m'arracha un petit sourire par la même occasion. Je me rapprochai progressivement de lui, mes jambes venant légèrement caresser les siennes.

Et bien je t'écoute...;
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Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.


Je me doutais que Garrett allait avoir besoin de vêtements, il n’allait pas se promener à poil pour rejoindre son dortoir quand il en éprouverait l’envie après tout. A moins qu’il soit exhibitionniste ce qui, à mon avis était loin d’être le cas. Ainsi une fois qu’il était sorti de la douche je lui avais proposé de lui donner des vêtements propres et secs dans lesquels il pourrait tout d’abord se sentir à l’aise mais également rentrer lorsqu’il le souhaiterait. « Ce serait gentil oui, juste un sous-vêtement et un tshirt fera l'affaire... » Je souriais l’abandonnant quelques minutes sur ce lit pour me rendre dans mon dressing, je prenais un t-shirt très simple, le genre que j’enfilais très régulièrement et qui, malgré le lavage portait encore mon odeur et un boxer Calvin Klein, je reculais pour les lui apporter tranquillement. « Et voilà… On doit être de la même taille en gros, ça devrait aller ! » Il se relevait retirant sa serviette, nu devant moi je devais me rendre à l’évidence, il était en train de me rendre accro à lui et je n’aurais pas eu besoin que l’on me pousse beaucoup pour lui faire l’amour maintenant, tout de suite. Pourtant je restais de marbre en apparence me contentant de ne pas le quitter des yeux appréciant clairement la vue jusqu’à ce qu’il la dissimule en s’habillant. Je m’allongeais pendant ce temps sur mon lit ayant profité du moment pour retirer également mon jean, ainsi je n’étais plus qu’en boxer et prêt à dormir au cas où. « Et bien je t'écoute... » Je n’étais pas dans le pétrin, je l’entourais de mon bras pour qu’il puisse approcher et poser sa tête contre mon pec gauche, je pouvais sentir mon cœur accélérer lorsqu’il posait sa tête et ses mains contre mon torse d’ailleurs, nous n’étions censés être que des amis mais tout se brouillait dans ma tête. « Euh… Il était une fois… Un poisson rouge nommé… Geneviève… Il habitait dans un très vieil aquarium abandonné depuis des années et des années auprès de ses amis les poissons clowns… »

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Il entra dans mes jeux de pieds, et vint carrément enlacer son bras autour de mon cou afin d'orienter ma tête contre son pectoraux, bien développé. Je ne m'attendais pas à autant d'entrain de sa part, et je ne pus qu'en être ravis. Notre relation était à présent définitivement ambigu, il était évident que nous étions plus que des simples amants mais de là, à entamer quelque chose de sérieux? Je ne savais pas. L'idée ne m'effrayait pas, au contraire elle m'intéressait même, car Soliman me plaisait énormément. Seulement était-ce réciproque au point qu'il veuille qu'on commence quelque chose de plus sérieux? Je l'ignore.
Je n'avais guère envie d'occuper et fatiguer mon esprit avec toutes ces questions sans réponses, ce que je voulais était vivre l'instant présent, ce magnifique moment entre nous deux.
Il commença à réciter une histoire assez originale, qui m'amusa. Cela n'était définitivement pas sa spécialité.

Arrêtons ce supplice...

Je remontai ma tête, me trouvant face à la sienne et lentement, j'approchai mes lèvres des siennes afin d'y déposer un doux baiser. Cela faisait longtemps que je n'avais pas gouter ses lèvres, j'en avais tant rêvé qu'il était de mon devoir de rendre ce fantasme réel. Je retournai après me faufiler dans son cou, ou nous ne mirent pas long à trouver sommeil.
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