I got you...under my skin [Soli]

Le température à Cambridge était désastreuse, il faisait plus froid que jamais. Un énorme contraste comparé à celle du Scores' Gentlemen, ou celle-ci était très très chaude. Moi qui habituellement passait mes soirées à étudier en période hebdomadaire, j'avais décidé de changer un peu la donne. En réalité depuis quelques jours je n'étais plus vraiment moi même. Je me sentais en manque, un manque que je n'arrivais pas un combler et dont m'en, passer était impossible. J'avais besoin de sexe. Mais pas n'importe quel rapport sexuel, un plaisir, une alchimie, une parfaite cohésion sexuelle dont seulement une personne était à ce jour parvenu à m'apporter. Cependant je m'étais promis d'oublier ce con, et de trouver une autre personne capable de m'apporter cette sensation unique. Ma dernière relation avec un homme s'étant justement mal déroulé, j'avais décidé de me tourner cette fois ci vers les femmes. J'avais fait un très bon choix, les strip-teaseuses du club étaient ravissantes et je ne comptais certainement pas respecter les règles de la maison. Je devais avoir à peu près 4000 dollars en billet dans mes poches, largement de quoi me faire une de ces charmantes belles femmes, l'argent étant la source de motivation de ces strip-teaseuses. J'en avais d'ailleurs invité une à aller dans une cabine du club, pour plus d'intimité. C'était une très belle blonde à la poitrine et aux formes généreuses, je lui avais rapidement montré mes liasses de billets, l'a motivant ainsi afin de ne pas respecter les règles de non attouchement du club. Son corps était allongé sur le mien, sa langue explorant mes lèvres, puis mon cou. Je ne ressentais malheureusement aucun effet, je n'avais que l'image de lui en tête. Le pire arriva quand je me mis à imaginer la strip-teaseuses avec la tête de ce garçon...Il occupait définitivement mes pensées...Je mis fin à cette séance en lui donnant un pourboire de 500 dollars, puis je me dirigeais vers le bar. Je me sentais misérable et idiot, j'étais quasiment fou d'un homme que je détestais et dont je ne connaissais même pas le nom! Comment avais-je pu descendre aussi bas?

(Invité)

Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.

En ce moment tout était hors de contrôle pour moi. Depuis l’attentat sur Harvard je n’étais plus vraiment le même. L’explosion avait eu des conséquences physiques sur moi mais ce n’était pas le plus grave. Certes je conserverais une cicatrice visible sur le bras, une sur l’un de mes pecs mais pas grand-chose, non c’est plutôt sur le plan psychologique que j’avais changé. Pendant un temps je m’étais comporté comme un con avec mes amis, je regrettais bien entendu mon comportement vis-à-vis de Briony qui ne méritait pas ce que je lui avais dit, non. Je m’en voulais au plus profond de moi mais, cette putain de fierté m’empêchait de faire le premier pas pour le moment. Le bon moment viendrait, ce n’était hélas pas pour aujourd’hui. En ce moment j’étais bien plus préoccupé par quelque chose d’autre, par Garett, c’est dingue mais même si je ne connaissais pas grand-chose de lui, malgré le fait que je ne pouvais pas le voir en peinture nous avions fait l’amour, je l’avais coupé au moment où il s’apprêtait à me donner du plaisir et l’avait mal pris, compréhensible au fond mais je m’en fichais. Je pensais toujours à lui et c’était plus que nouveau, je ne voulais pas avoir l’impression de trahir Liam et c’était Bagdad dans ma tête lorsque j’y pensais je peux vous le dire. Ce soir pour me changer les idées j’avais décidé de suivre des copains à la boite de striptease, pas réellement pour regarder les filles nous montrer leurs fesses, juste pour passer une bonne soirée. Arrivant tranquillement, vêtu d’une chemise blanche avec un jean suivant bien mon idée d’être classe mais pas trop, je jetais un petit coup d’œil à tous les gens qui étaient dans le coin. « Je vais payer la première tournée les gars ! » Je souriais me rendant jusqu’au bar. « Huit téquilas s’il vous plait. »

muddafuggin' cooper !

(Invité)

C'est avec dégout que je vis la strip-teaseuse blonde remonter sur scène, l'à de nouveau voir me mettait terriblement mal à l'aise, moi Garett pour la toute première fois de ma vie j'avais été impuissant face à une femme. C'était juste abominable. J'entrepris de boire, l'alcool ayant un effet efficace sur moi contre ce genre de pensées. Pas le temps de passer par des cocktails, shots ou champagne, je commandai directement une bouteille de vodka, définitivement prêt à me soulager. Je fus coupé dans mon élan quand un groupe de garçons vint s'installer à mes côtés dans le bar, et l'un d'entre eux fit accidentellement renverser mon verre. Mon costume dont la le prix valait 3 chiffres empestait l'alcool, de plus il venait de me couper dans un moment crucial. Ce garçon ne semblait pas s'être aperçu de ce petit accident. Je fus quelque peu énervé, d'autant plus qu'avec les circonstances mon moral était au plus bas.

Hey toi, t'as renversé ma bouteille putain, ma chemise est toute...

Je ne pus terminer ma phrase tellement j'étais surpris par le visage que je vis, quand cet homme se retourna. La vision de ce brun, de mon ennemie, de mon amant, de l'homme responsable de mon état psychologique et sexuelle me laissa sans voix. Il dû se passer deux bonnes minutes avant que je puisse dire quoi que ce soit, bien qu'entre temps un énorme malaise s'était formé entre nous.

Je...je..désolé je savais pas que c'était...toi Je baissai les yeux.

(Invité)

Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.

Je patientais tranquillement devant le bar, le barman devait peut-être homosexuel, je le supposais uniquement parce qu’il regardait les stripteaseuses avec dégoût et venait de m’adresser un clin d’œil qui voulait tout dire. Je souriais amusé, il était plutôt mignon mais ce soir je n’étais pas venu ici pour coucher, l’idée n’était pas désagréable mais non, je préférais faire autre chose de ma soirée. De plus, je pensais encore à Garett, c’était terrible mais il m’obsédait, je n’aimais pas ça du tout, je ne pouvais pas le sentir en plus, comment faire pour m’en sortir ? Bonne question. Mes amis me rejoignirent alors que je tournais avec les huit shooters sur un petit plateau pour aller jusqu’à notre table, l’un des verres vint s’écraser sur un jeune homme derrière nous et avant même d’avoir pu m’excuser il haussait le ton. « Hey toi, t'as renversé ma bouteille putain, ma chemise est toute... » Je reconnaissais cette voix, ma peau était parcourue par un frisson et je tournais directement la tête vers lui, il m’avait reconnu lui aussi. Je ne savais pas quoi dire, je me mordillais la lèvre alors qu’un malaise s’installait entre nous. Mes potes prenaient le plateau et retournaient à notre place. « Je...je..désolé je savais pas que c'était...toi. » Il baissait la tête, gêné comme ça m’arrivait peu souvent je reprenais la parole. « Ne le sois pas, c’est moi qui doit m’excuser, j’ai renversé mon verre sur toi. »

muddafuggin' cooper !

(Invité)

Ce n'était pas facile d'être debout, en face de la personne qui occupait mes pensées à longueur de journée. Pourtant il m'avait traité comme un déchet, comme s'il m'avait utilisé et rien que pour ces raisons je ne devais pas penser à lui. Mais peux-on contrôler nos pensées? malheureusement toutes mes connaissances sur cette notion philosophique ainsi que Descartes, ne me permettait pas de répondre à cette question de manière personnelle, sur mon propre cas. En relevant lentement les yeux je vis quelques hommes près de lui, qui éloignement avec leurs verres commandés. J'en déduis qu'il était en plus venu accompagné. J'en déduis également que sa présence ici ne devait être qu'une banale sortie, il devait après tout très vite m'avoir oublié. J'en déduis aussi que l'un de ces garçons était éventuellement sa nouvelle conquête, voir même le lot entier! Oui...je devenais fou et en plus d'être paranoïaque, je sentais une jalousie monter en moi.

Désolé aussi de t'avoir interrompu avec tes..amis. Je suppose que vous deviez bien vous amuser.

Ma réplique était totalement idiote et j'en étais conscience. En réalité j'attendais juste qu'il me donne des informations sur la nature de sa relation avec ces garçons. Si au moins il me répondait que l'un d'entre eux était son amant, voir même son copain...cela me donnerait alors une puissante raison de l'oublier définitivement, j'en étais certain.

Tu devrais y aller, faudrait pas faire attendre ton...copain

(Invité)

Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.

Être confronté à Garett une nouvelle fois me paraissait étrange, effrayant et tellement plaisant à la fois. Je ne voulais pas vraiment être soumis à la tentation, sa peau appréciable, ses lobes fessiers contre lesquels j’avais déjà pu m’exercer par le passé. Rien que d’y repenser et mon caleçon était en éveil. Je baissais la tête, une chance qu’on ne puisse rien voir comme ça, mon inconscient me dirigeait vers lui, je ne voulais pas écouter cette petite voix me sentant trop coupable d’être heureux, d’éprouver de l’affection pour un autre homme que Liam. Comment les gens allaient me percevoir ? Je m’en foutais en temps normal mais c’était la bonne excuse pour ne rien faire de trop romantique avec quelqu’un d’autre. Je ne le quittais plus des yeux le dévorant du regard bien malgré moi. « Désolé aussi de t'avoir interrompu avec tes..amis. Je suppose que vous deviez bien vous amuser. » J’attendais patiemment ma vodka qui arrivait finalement avec, quoi ? Il avait osé, le barman m’avait laissé un morceau de papier avec son numéro en dessous du shooter. Je souriais amusé l’engouffrant dans ma poche. « C’est une soirée comme les autres, il n’y a pas grand-chose à faire en ce moment. » Je ne savais pas quoi dire de plus, je ne sentais pas énormément de rancœur dans le ton du jeune homme mais qui sait, il devait m’en vouloir pour l’autre jour. « Tu devrais y aller, faudrait pas faire attendre ton...copain. » Je répondais du tac au tac en m’appuyant contre mon siège. « Tu ne serais pas jaloux par hasard ? M’enfin… Pour ta gouverne je ne suis qu’avec des potes Winthrop. »

muddafuggin' cooper !

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Je me demandais alors si ce n'était pas un signe du destin de le rencontrer de nouveau. Je ne savais pas pourquoi, mais je sentais que sa venue n'était pas anodine, aussi devais-je profiter du moment pour mettre les choses au clairs avec lui. Je tenais plus que tout à tirer un trait définitif sur lui, mais pour cela il me fallait avant lui déverser tout ce que j'avais sur le cœur. Ce n'était point une tache facile. D'autant plus que je me sentais particulièrement épié par le barman, qui ne cessait de nous dévisager. Ce n'est qu'après que je compris que la personne qu'il regardait était mon ennemi, et après avoir jeté un rapide coup d’œil sur son look et sa gestuelle, il n'y avait aucun doute qu'il était gay. Encore une fois, je me sentais jaloux et cela m'énervait au plus haut point, cependant je fis comme si de rien n'était.

Je suis bien daccord...je suis moi même venu ici afin de...voir une amie...elle est strip-teaseuse dans ce club.

Inutile de lui dire la vérité bien entendu. Je bus une rapide gorgée de vodka, comme une manière de donner de la contenance à ce mensonge. Puis il me répondit finalement qu'il était venu avec des amis...et rien de plus. Une partie en moi était soulagée, et l'autre énervé d'avoir là une raison d'être toujours attachée à lui. Car il fallait à présent l'avoué, s'il me laissait indifférent jamais je ne penserais à lui et jamais je n'éprouverais une quelconque jalousie vis à vis de lui. Bien que satisfait de sa réponse, je fis une nouvelle fois comme si de rien n'était, j'étais un très bon menteur tout de même.

Absolument pas, je me soucie juste des autres. Quelque chose que bien évidemment tu ne dois pas connaitre. Lui dis-je en faisant référence à notre dernière rencontre.

(Invité)

Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.

Je dévorais Garett du regard, je me demandais même si ce n’était pas pour cette raison que le barman était passé à l’attaque en me proposant son numéro avec un message plus qu’explicit sur ses intentions si je lui passais un coup de téléphone. Il faut dire qu’il n’y avait aucune place pour l’imagination, je souriais amusé mais au fond je savais très bien que je ne me servirais pas de son numéro, le contraire serait plus surprenant mais je n’allais rien dire pour voir comment le petit brun qui se trouvait face à moi avec de l’alcool sur ses vêtements allait réagir. Je le sentais en colère, jaloux et ça me faisait sourire, ça me rendait fou de joie allez savoir pourquoi. Je ne parvenais plus à mettre des mots sur mes pensées, qu’est-ce que je voulais non d’un chien ? Lui ? C’était la solution que je ne voulais pas entendre, pas pour le moment. « Je suis bien daccord...je suis moi même venu ici afin de...voir une amie...elle est strip-teaseuse dans ce club. » Ainsi il avait des amies dans le milieu du striptease ? Ce n’était pas quelque chose qui me décevait, je portais énormément de respect aux femmes qui exerçaient se métier parce que ce n’était pas simple tous les jours. Il m’était arrivé d’en payer quelques-unes pour un show priver sauf qu’au lieu de danser nous prenions un verre, une pause plus tendre et sans aucunes idées déplacées. Difficile à croire pour certains mais j’étais réellement un gentleman. « Absolument pas, je me soucie juste des autres. Quelque chose que bien évidemment tu ne dois pas connaitre. » Je souriais prenant à la fois sa remarque au second degré mais également personnellement. J’étais blessé de constater qu’il avait une aussi mauvaise image de moi, certes je l’avais repoussé comme un mal propre après lui avoir fait l’amour mais tout de même. « Tu ne connais rien de moi. Ne juge pas sans avoir la matière pour prouver les propos que tu tiens ! » Je soutenais son regard durement.

muddafuggin' cooper !

(Invité)

Je jetai de furtifs et rapides regards vers le brun, je n'étais pas sur à 100% mais j'avais l'impression qu'il me regardait avec envie. C'était le même genre de regards qu'il me lançait durant notre premier rapport et franchement cela me faisait quelque chose. J'étais quelque peu rassuré de constater que je ne le laissais moi aussi pas indifférent. Biensur j'étais persuadé que c'était juste pour le sexe, tandis que pour moi il s'agissait d'autre chose. Certes, dire qu'il m'attirait et m'excitait sexuellement était un euphémisme, mais en plus de cela, je me sentais beaucoup mieux en sa présence et cela était logique car il était le responsable du désastre de mon état psychologique de ces derniers jours. Il finit par sourire à ma petit pic, puis son sourire son visage devint alors dur quand il me répondis, signe que j'avais touché là ou ça faisait mal.

Et bien dans ce cas il fallait me laisser toucher cette matière avant!

J'aurais pu continuer dans ce chemin, continuer de frapper, mais je n'en avais pas envie. Tout ce que je voulais à ce moment là était la vérité, je voulais savoir pourquoi exactement il avait souhaité arrêté notre rapport, pourquoi il m'avait laissé partir.

Je ne veux pas te juger, en revanche je peux juger ton action et ce que tu as fait était...digne d'un con. Pour être honnête avec toi, j'ai adoré le moment qu'on a passé, tout...;je n'avais pas ressenti tout cela depuis un putain de bail! Mais il a fallut que tu stoppes tout, et que tu me fasses alors languir avec un vieux prétexte...Moi vois-tu..j'étais prêt à tout te donner...ce jour là...Mais bon, c'est que du sexe après tout, me diras-tu... La déception et la tristesse dans ma voix était évidente, cependant je fis tout pour essayer de masquer cela, en buvant à répétition. A ce rythme là j'allais perdre toute lucidité et les choses que je souhaitais lui cacher, allaient sans doute sortir.

(Invité)

Quand il n'y a plus d'espoir moi je ne cesse de croire que ce sera meilleur.

Tout le monde me comparait à un glaçon, j’étais attractif mais glacé. Au meilleur de ma forme on ne pouvait pas me briser avec facilité, il fallait faire preuve d’intelligence et en avoir l’occasion. Voilà une chose qui me décrivait aisément bien mais la complexité de ma personnalité n’en atteignait pourtant pas son paroxysme. Non, mes amis pouvaient l’attester, derrière ma réputation, le fait que je sois vice-président des Winthrop et prêt à être un abruti de première lorsqu’on me provoquait je n’en restais pas moins tendre, tactile comme jamais avec mes amis et encore plus avec ceux qui avaient la chance d’obtenir un rang supérieur. Très peu de personnes pouvaient se vanter d’avoir été à cette place, une petite amie pendant quatre ans à la fin du collège jusqu’à ma dernière année au lycée, Charlie et Liam. C’est tout, seulement trois personnes avaient eu une influence non dissimulable sur moi et vous pouvez voir comment ça s’était fini. Je ne voulais pas uniquement le faire fuir, je voulais surtout me protéger, amoureux je n’étais qu’un garçon comme les autres, on pouvait me faire du mal tellement plus aisément que j’en étais dégoûté, je ne voulais plus être faible, j’avais eu ma dose avec la mort de Liam. « Et bien dans ce cas il fallait me laisser toucher cette matière avant! » Je ne sais pas s’il parlait toujours de mon caractère ou de mes fesses, la question pouvait se poser. « Quand est-ce que j’en ai eu l’occasion hein ? Entre deux disputes ? Non parce que si moi je connais énormément de choses à ton sujet pour avoir des relations très renseignées je ne suis même pas sûr que tu connaisses ne serais-ce que mon prénom ! » Je restais vif, piquant et plus enragé que jamais, lorsqu’on attaquait l’un de mes points faibles je me défendais et n’était pas effrayé à l’idée de m’en prendre encore plus dans les dents en aggravant mon cas. « Je ne veux pas te juger, en revanche je peux juger ton action et ce que tu as fait était...digne d'un con. Pour être honnête avec toi, j'ai adoré le moment qu'on a passé, tout...;je n'avais pas ressenti tout cela depuis un putain de bail! Mais il a fallut que tu stoppes tout, et que tu me fasses alors languir avec un vieux prétexte...Moi vois-tu..j'étais prêt à tout te donner...ce jour là...Mais bon, c'est que du sexe après tout, me diras-tu... » Je me sentais mal à ce propos, me mordillant la lèvre je baissais la tête honteux de m’être comporté ainsi mais j’avais des raisons plus qu’intéressantes. « Ce n’était pas juste un plan cul, si ça l’avait été nous aurions été jusqu’au bout et après je t’aurais jeté en douceur. » Je marquais une pause, je parlais franchement sans prendre de pincettes, les mots venaient comment ils venaient. « Là c’est différent… J’avais uniquement envie te donner une raison de venir me voir à nouveau, tu l’as mal pris et je peux le comprendre, ce n’était pas très fin comme manière d’agir… Et puis… Vis-à-vis de Liam je me sentais un peu mal aussi ! » Je baissais trop ma garde, c’était mauvais, il allait me réduire en miettes.

muddafuggin' cooper !

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