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YBut wake me when i've get there.
C'est fou comme les choses peuvent changer, évoluer entre deux personnes. Dans notre cas, il s'agit plus de régression. Je n'ai jamais su ce que tu voulais, je ne sais même pas si tu savais ce que tu voulais. Tu es la personne la plus indécise, incompréhensible que je connaisse.
Tu te rappel de nos échanges textuels ? Tantôt drôles et enflammés, tantôt glacés et ennuyants. Le plus souvent tu me freinais. Et pourtant, j'adorais recevoir tes messages, et je continuais à te répondre infatigablement. Je ne sais pas ce que tu cherchais, je ne le sais toujours pas aujourd'hui. Cela fait quasiment deux jours que je ne vois plus ton nom sur mon écran, sauf quand mon agenda me fait une piqure de rappel sur notre rendez vous. Je n'avais pas oublié, ton souvenir est tenace et mon esprit se plait à me torturer. Encore une heure devant moi avant de te retrouver. Je suis armé de mon costard, et je pars dans ma salle de bain pour remettre une légère touche de parfum. Mes yeux dans le miroir, mon reflet me juge de vouloir autant te plaire. J'entends alors que ça tape derrière la porte. Je soupire de ne pas pouvoir me contempler sans être dérangé, et je vais ouvrir pour y découvrir mon majordome. « Tony! Un problème? » Un incendie? Une bombe? Après tout, entre ma querelle avec Ella, mon énorme dispute avec Francesca, et ma prise de tête avec Hope. Qu'est ce qui pourrait m'arriver d'autre? « Non monsieur. Votre voiture est prête. Etes vous certain de ne pas vouloir faire appel à votre chauffeur? » Oui, j'ai envie de me conduire seul aujourd'hui. Pas de chauffeur, pas de garde du corps, rien. « J'en suis sur. Et merci de m'avoir prévenu, je descends tout de suite. Dites lui de démarrer le moteur. » Il tourne les talons, et moi je sors de la salle de bain. Pantalon noir, chemise noir, veste noir. Je ne suis pas en deuil, mais pas loin. En dehors de ma demeure, je grimpe dans ma voiture , pied sur la pédale, lunettes de soleil sur le nez et c'est parti. Sur la route, je pense encore à elle. J'adore la façon qu'elle a de s'humecter les lèvres lorsqu'elle réfléchit. J'adore ses yeux. Ses long cils. J'aime l'importance qu'elle donne à de toutes petites choses, que l'on jugerait inutiles. Lorsqu'elle est interloquée, elle a cet adorable tic, elle lève toujours un sourcil, ce qui m'arrache un sourire. Et.. Je secoue la tête pour me concentrer. Surtout que je suis sur le point d'arriver.
Quelques minutes, et je me retrouve dans le hall de l'hôtel. Je regarde ma montre - Un peu en avance - et reviens poser mon regard sur ce qu'il se passe autour de moi. De quel coté elle va arriver? Les mains glissent dans mes poches, et je ne bouge pas. Je me contente de sourire aux personne qui croisent mes yeux.
Tu te rappel de nos échanges textuels ? Tantôt drôles et enflammés, tantôt glacés et ennuyants. Le plus souvent tu me freinais. Et pourtant, j'adorais recevoir tes messages, et je continuais à te répondre infatigablement. Je ne sais pas ce que tu cherchais, je ne le sais toujours pas aujourd'hui. Cela fait quasiment deux jours que je ne vois plus ton nom sur mon écran, sauf quand mon agenda me fait une piqure de rappel sur notre rendez vous. Je n'avais pas oublié, ton souvenir est tenace et mon esprit se plait à me torturer. Encore une heure devant moi avant de te retrouver. Je suis armé de mon costard, et je pars dans ma salle de bain pour remettre une légère touche de parfum. Mes yeux dans le miroir, mon reflet me juge de vouloir autant te plaire. J'entends alors que ça tape derrière la porte. Je soupire de ne pas pouvoir me contempler sans être dérangé, et je vais ouvrir pour y découvrir mon majordome. « Tony! Un problème? » Un incendie? Une bombe? Après tout, entre ma querelle avec Ella, mon énorme dispute avec Francesca, et ma prise de tête avec Hope. Qu'est ce qui pourrait m'arriver d'autre? « Non monsieur. Votre voiture est prête. Etes vous certain de ne pas vouloir faire appel à votre chauffeur? » Oui, j'ai envie de me conduire seul aujourd'hui. Pas de chauffeur, pas de garde du corps, rien. « J'en suis sur. Et merci de m'avoir prévenu, je descends tout de suite. Dites lui de démarrer le moteur. » Il tourne les talons, et moi je sors de la salle de bain. Pantalon noir, chemise noir, veste noir. Je ne suis pas en deuil, mais pas loin. En dehors de ma demeure, je grimpe dans ma voiture , pied sur la pédale, lunettes de soleil sur le nez et c'est parti. Sur la route, je pense encore à elle. J'adore la façon qu'elle a de s'humecter les lèvres lorsqu'elle réfléchit. J'adore ses yeux. Ses long cils. J'aime l'importance qu'elle donne à de toutes petites choses, que l'on jugerait inutiles. Lorsqu'elle est interloquée, elle a cet adorable tic, elle lève toujours un sourcil, ce qui m'arrache un sourire. Et.. Je secoue la tête pour me concentrer. Surtout que je suis sur le point d'arriver.
Quelques minutes, et je me retrouve dans le hall de l'hôtel. Je regarde ma montre - Un peu en avance - et reviens poser mon regard sur ce qu'il se passe autour de moi. De quel coté elle va arriver? Les mains glissent dans mes poches, et je ne bouge pas. Je me contente de sourire aux personne qui croisent mes yeux.
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@Ella Marriott-W.
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