last evening with you ((Zeim))

Depuis que Rim m'avait annoncé qu'elle partait pour le week-end en Arabie Saoudite, je cogitais.. J'étais sincèrement content pour elle qu'elle puisse retourner dans son pays d'origine, ce pays qu'elle aimait tant mais un élément particulier me dérangeait: la personne qui l’accompagnait. Je me réjouissait toujours du bonheur des autres, j'étais content pour elle qu'elle puisse aller dans son pays d'origine, pays où elle n'était pas allée depuis des mois maintenant. Mais j'encaissais pas le fait qu'elle parte en compagnie de Reda. Il fallait absolument que je prévois quelque chose pour ce week-end, parce que me connaissant, je n'allais pas arrêter d'y penser. Rim pouvait être ma meilleure amie, mais c'était une joueuse et elle aimait bien me taquinait, je savais très bien que durant son séjour en Arabie Saoudite, elle n'allait pas m'épargner - pour mon plus grand bonheur - je me doutais bien que même à des milliers de kilomètres elle penserait à moi , ou bien avec qui je pouvais bien passer mon week-end. Elle m'avait alors imposé de passer la soirée ensemble ce soir, c'était notre dernière soirée avant son départ et il était évident que je voulais profiter d'elle. Soirée Netflix en perspective, j'avais décidé d'aménager un joli petit coin entièrement cocooning, coussins et plaid au rendez-vous, je prépara quelques trucs pour que l'on puisse grignoter et boire au cours de la soirée. J'adorais recevoir et encore plus quand c'était elle, il fallait que tout soit à sa hauteur après tout. Une fois tout prêt, je m'installa en attendant patiemment qu'elle pointe le bout de son nez.

@rim al zahid :heaart:

(Invité)

Jeudi 16 avril, en soirée. Le départ pour ton pays s’approche à grand pas et t’as tout juste eu le temps de préparer ton bagage en rentrant d’Harvard avant de filer en direction de chez Zeus. Tu repasseras chez toi dans la nuit pour récupérer tes affaires, Reda devant te récupérer chez toi directement pour aller prendre son jet. Avant d’arriver devant chez l’Arnault, t’as pris la peine de t’arrêter dans l’un des meilleurs restaurants français de la ville pour récupérer des plats soigneusement préparés et disposés dans un sac en papier. T’oses espérer que Zeus vous fournira du vin pour le repas, estimant qu’il est certainement plus à même que toi de faire le bon choix. Son avantage. Ses facilités. Une fois arrivée devant chez lui, tu déposes ton doigt sur la sonnette pour l’informer de ton arrivée, en espérant qu’il ne tarde pas trop à t’ouvrir.

(Invité)

Installé sur le canapé , j’attendais que Rim arrive. Je savais qu’on allait passer une superbe soirée, mais son départ en Arabie Saoudite ne me plaisait peu. Un peu déçu de la savoir à l’autre bout de moi durant ce week-end, mais après tout je n’avais pas mon mot à dire. Le plus important en ce moment présent était de profiter de cette soirée à ses côtés, qu’on allait passer chez moi. La sonnette sonna, après avoir un peu hésité, je me précipita à la porte, j’avais un peu hésité à la faire attendre comme elle sait si bien faire lorsque je me dois d’aller la récupérer à son domicile. J’ouvrai alors rapidement la porte pour accueillir ma meilleure amie . « Bonsoir , je t’ai pas fais trop attendre ? » disais-je avec ironie, j’avais été très rapide. Un sourire se dessina sur mes lèvres en l’apercevant , j’y déposa un baiser sur sa joue avant de me pousser rapidement afin qu’elle puisse rentrer, j’aperçus alors qu’elle n’était pas venue les mains vides, j’ignorais qu’elle s’était arrêtée à mon restaurant français favoris. « Mais que m’as-tu ramené ? Merci mais il ne fallait pas.. » je n’avais pas encore connaissance du contenu du sac, je n’allais pas être du tout déçu quand j’allais savoir qu’elle avait fait un détour pour prendre le repas, une chose est sure ; ça sentait divinement bon.

(Invité)

Depuis des mois, t’es partagée. Tu sais pas sur quel pied danser. Tu sais au fond de toi que t’es attachée à Reda et que ça ne changera certainement jamais ; mais, d’un autre côté, t’aimes pas décevoir Zeus et t’aimes encore moins le savoir avec une autre. Étrange mélange de sentiments dont tu te passerais bien, toi, la reine sans roi. T’as pas besoin de toutes ces conneries, persuadée que ça ne t’apportera jamais rien de bon et que t’es bien mieux seule. Et pourtant… ton cœur et ta raison se battent l’un contre l’autre sans pitié. Pour l’heure, t’es là à attendre devant la porte de ton meilleur ami pour qu’il veuille bien te faire entrer ; mais il te fait attendre, trop longuement à ton goût. Parce qu’habituellement, c’est toi qu’on attend et non l’inverse. T’as horreur de ce moment où la tendance change. « C’était déjà trop pour un homme de ton envergure. » Les yeux qui roulent alors que tu t’engouffres dans sa demeure, ses lèvres se plaquant sur ta joue en guise de salutations. « De quoi te nourrir, tu me sembles beaucoup trop maigre. » que tu siffles en souriant, amusée. Tu te faufiles aussitôt dans son domicile pour te rendre à la cuisine et déposer le sachet sur la table, comme si t’étais chez toi.

(Invité)

Notre relation avec Rim était bien particulière, nous étions amis depuis désormais plus de six ans, elle m'avait même connu fiancé et pourtant depuis tout ce temps il ne c'était jamais rien passé entre nous, assez surprenant non? Mais pourtant depuis de longs mois, même depuis que j'étais à nouveau célibataire et que j'avais renoncé à mon ex fiancé, notre relation avait prit un tout autre tournant. On avait adopté un comportement totalement ambiguë que l'un tout comme l'autre on assumait pas vraiment. Avions-nous peur de gâcher notre si belle amitié ? Une chose est sure je devenais de plus en plus jaloux des hommes qu'elle pouvait fréquenter, même si ces derniers étaient peu nombreux , je montrais de plus en plus ma possessivité et cela devenait assez dangereux. J'ouvrai la porte de mon domicile, la plus belle des saoudiennes devant mes yeux, elle entra sans perdre de temps me faisant une petite réflexion comme elle savait si bien faire. « En attendant l'homme de cet envergure est ravi de te recevoir » je souffla doucement, l'invitant à rentrer rapidement dans ma penthouhse. Rim avait emmené le repas, l'odeur attirait mon nez, impatient de savoir ce que c'était. « Moi trop maigre? » je riais légèrement , la jeune femme déposa alors le sachet sur la table de ma cuisine, j'aimais bien quand elle prenait des initiatives, après tout chez moi c'était comme chez elle, je ne voulais qu'elle n'ait aucune gêne. Je me permettais alors de découvrir ce qu'il y avait dans le sac, je découvrais qu'elle s'était arrêté à mon restaurant français favoris. Un grand sourire s'afficha sur mon visage, tout amusé, je pris Rim dans mes bras pour lui prouver ma joie, je pris alors un plateau où je décida de déposer les différents plats. « Je vais nous ouvrir une de mes meilleures bouteilles de vin » je me dirigeai devant ma cave, où je pris une bouteille de vin rouge, vin français appartenant à une marque du groupe, cette bouteille allait être parfaite pour accompagner notre repas. « Tu veux qu'on mange devant la télé? Ou ici aux chandelles?» disais-je en riant, peut importe où elle voudrait dîner, j'allais faire de sorte de tout bien nous arranger pour qu'on puisse partager un bon moment ensemble avant son départ pour l'Arabie Saoudite.

(Invité)

T’as aucune envie de réfléchir à ce qu’il pourrait se passer entre Zeus et toi si l’un de vous finissait par sauter le pas ; t’es persuadée que c’est une mauvaise idée, que ça finira mal comme ta précédente histoire ou que tu finiras par te perdre entre Reda et lui. Alors, tu tentes tant bien que mal de chasser ces idées de ton esprit lorsqu’il t’ouvre enfin. Tu te faufiles dans son penthouse, souriant à sa remarque quant à son accueil en ces lieux avant de disparaître dans la cuisine. « En effet, tu peux mieux faire. » que tu soulignes lorsqu’il te demande si c’est lui que tu considères comme étant trop maigre. Évidemment, tu rigoles. Zeus n’a certainement rien à envier à personne à ce niveau-là et tu le sais. Sa curiosité a subitement raison de lui et tu le vois le nez dans le sachet. Tes yeux qui roulent, tu reprends aussitôt la parole : « Je constate que l’enfant en toi a gagné le combat. » Ça te fait doucement rire, son impatience. Il t’attrape dans ses bras avant de te relâcher pour sortir les différents plats du sac en papier, t’annonçant qu’il va ouvrir l’une de ses meilleures bouteilles de vin. « J’espérais que tu dises ça, justement. Tu marques un point Zeus. » Clin d’œil taquin à son attention avant qu’il ne disparaisse pour revenir un instant plus tard armé de cette fameuse bouteille. Bouteille dont tu ne prendras pas plus de trois verres, comme à ton habitude. Lorsqu’il te demande si tu préfères manger devant la télévision ou ici aux chandelles, t’attrapes directement le plateau où sont disposés les mets. « Au salon Monsieur Arnault. » que tu lances en te dirigeant dès lors vers ta destination, sans même l’attendre.

(Invité)

Depuis plus de six ans ma relation avec Rim n'a jamais cessé d'évoluer au fur et à mesure du temps. Moi , tout comme elle n'avions pas envie de sauter le pas. Rim était certainement la seule femme de mon entourage que je respectais et estimais autant. Je savais pertinemment qu'elle n'avait pas la même place dans mon cœur, mais ce n'était pas le moment de se poser la question de ce que la jeune femme pouvait bien représenter pour moi. Place à notre soirée à deux; dans la cuisine tout les deux, j'étais vraiment ravi qu'elle ait ramené de quoi manger, un bon sac remplit de spécialités françaises, même si j'aurai été tout à fait apte à réaliser un bon dîner. J'ouvrai le sac, sous les yeux roulants de la belle Rim, tel un gamin je l'avais prise dans mes bras, lui faisant part de mon sentiment de joie. « Et oui, ces bonnes odeurs me font retourner en enfance.. » je riais doucement avec elle, après tout elle avait raison. Pendant que j'étais entrain de chercher la meilleure des bouteilles de vin que j'allais pouvoir nous ouvrir pour le repas, j'entendais dire Rim que j'avais marqué un point, dos à elle, un grand sourire s'afficha sur mes lèvres. Les paroles de la jeune femme me touchait, surtout pour me dire que je marquai un point. C'était important pour moi d'être à la hauteur de Rim, d'essayer de ne jamais la décevoir. J’apparaissais à nouveau devant Rim, bouteille de vin en ma possession, j'avais demandé à la jeune femme si elle souhaitait manger ici aux chandelles ou bien manger devant la télé; endroit où j'avais préparer un petit coin cocooning pour Rim et moi. Rim répondit qu'elle souhaitait manger dans le salon, entreprenante comme toujours la belle saoudienne attrapa le plateau où les mets étaient entreposés, prenant la direction du salon « Je te suis Madame Al Zahid » disais-je en riant doucement; c'était bel et bien ce genre de femmes, entreprenantes et pleine d'initiatives qui attirait mon attention. Je la suivais, presque comme si j'étais plus chez elle que chez moi, un grand sourire sur mes lèvres, j'avais hâte qu'elle découvre le petit coin de paradis que j'avais préparé pour notre soirée. « J'espère que ce petit coin te plaît? » demandais-je à Rim en riant doucement, j'étais plutôt fier de mon petit emménagement, et j'espérais que ce dernier lui plaise. Je posais la bouteille de vin sur la table, ainsi que les deux verres, m'empressant d'ouvrir la bouteille et de nous servir un verre à chacun.

(Invité)

Tout juste arrivée chez ton meilleur ami, ce dernier semble avoir les narines accaparées par le repas que t’amènes avec toi. Ca te fait sourire et t’hésites pas même une seconde à le lui faire remarquer lorsqu’il ouvre le sac en papier que t’as déposé dans sa cuisine. Sa réponse t’arrache un léger rire alors que tu l’observes soudainement de haut en bas. « Je vois que tu commences à rapetisser, tu ferais bien de faire attention avant de disparaître de ma vue. » que t’ajoutes, rieuse. Il dispose les plats sur un plateau et, dès lors qu’il est de retour avec la bouteille de vin, tu disparais en direction du salon. Loin de toi l’envie de manger ici en tête à tête, encore moins à la veille de ton départ pour l’Arabie Saoudite avec ton amant. Tu ne tardes pas à découvrir un salon réaménagé, à mille lieux de celui que tu connais par habitude. Ton visage se tourne vers Zeus alors qu’il te demande si ça te plaît. Un sourire s’affiche à la commissure de tes pulpeuses alors que tu reprends à ton tour : « C’est plutôt cosy. Est-ce que tu aurais quelque chose à m’annoncer ? » Tu viens déposer le plateau à l’endroit prévu pour pour te remettre face à lui, toujours debout, à l’affut de sa réaction.

(Invité)

Dans la cuisine en compagnie de Rim, son attention particulière d'être passé chez le français avant de venir me fait vraiment plaisir, tellement qu'on en rigole encore ensemble. J'avais même annoncé à Rim que cela me rappelait quelques souvenirs d'enfance. La saoudienne n'hésita pas à rebondir suite à mes paroles, me regardant de haut en bas ; du Rim tout craché. « Tant que je ne disparais pas de ta vie, ça me va » répondais-je d'un ton amusé, dans mes paroles une part de vérité, je voulais qu'elle comprenne que imaginer ma vie sans elle était impossible. On se divisa alors rapidement les tâches, la jeune femme disposait les mets sur le plateau, tandis que moi je me contentais de chercher la meilleure bouteille de vin pour la soirée. Je suivais alors Rim en direction du salon, salon que j'avais réaménagé de manière plus cosy pour notre soirée. A défaut de l'emmener en Arabie Saoudite, je l'emmenais dans un nouveau salon.. Cela me faisait bien rire dans ma tête, alors que la situation était loin de me faire rire, et attisait en moi un sentiment de jalousie. Ravi de voir que mon nouveau salon plaisait à Rim, cette dernière me demanda si j'avais quelque chose à y annoncer, et puis quoi encore ? « Non » annonçais-je, je voulais seulement y apporter une petite attention. « Juste un peu déçu que tu partes... » disais-je d'un ton beaucoup plus bas, en regardant le sol, un sourire en coin s’afficha rapidement sur mes lèvres, après tout ce n'était pas la fin du monde. Mon regard se détourna alors sur Rim, toujours debout face à moi « Comptes-tu rester debout? Tu peux prendre place tu sais » je riais un petit peu, puis je décida de commencer à m'installer.

(Invité)

« Je doute que ça arrive un jour. » que tu lances à Zeus lorsqu’il t’indique espérer qu’il ne disparaîtra pas de ta vie. Tu prends le chemin en première jusqu’au salon où tu découvres une ambiance plutôt cosy que t’apprécies grandement ; tu notes d’ailleurs l’effort fait par le français pour t’offrir une soirée rien qu’à vous. « Je serai de retour dans trois jours mais je peux concevoir que tu n’arrives pas à respirer si je ne suis pas là. » Tu t’amuses quelque peu de la situation, c’est vrai. Mais Zeus te manquera également, sauf que tu n’as pas envie de le dire, fierté mal placée. Lorsqu’il te dit que tu peux prendre place, tu l’observes de haut en bas en reprenant : « Je me demandais si tu offrais cette ambiance à tes conquêtes aussi. Si ce le cas, je préfère rester debout. » Parce que tu prendrais mal le fait qu’il puisse te mettre à leur bas niveau.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)