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(lyvon) an evening we will not forget

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an evening we will not forget ★ ─
w/ @Lyra Bain


Trente-trois ans. Voilà que je venais d’avoir trente-trois ans. Et tu n’avais pas oublié alors cet anniversaire, tout comme je n’avais pas oublié le tien. Mais on avait pas vraiment eu l’occasion de fêter ça comme il se doit. Alors ce soir, je me disais qu’on allait fêter les deux et j’avais la façon parfaite de le faire. C’était peu orthodoxe, beaucoup de gens ne sont pas fans mais beaucoup d’autres taisent le fait de l’apprécier. Et j’avais le sourire aux lèvres rien que de l’imaginer. Alors je faisais en sorte de prendre mon mal en patience avant de rejoindre l’appartement où tu étais déjà et qui cachait tes vices actuellement commis. Je ne voulais pas que tu connaisses l’orgasme sans moi ce soir, c’était presque non-négociable. Mais tu semblais d’être d’humeur taquine, bien que ça faisait naître en moi des pulsions de violence. Je voulais que tu m’écoutes, que tu n’en fasses pas qu’à ta tête. Ça semblait cependant compromis quand je voyais tes messages. Une fois en bas de l’immeuble, je montais les marches trois par trois, avant d’arriver sur le palier de la porte. Ouvrant la porte, prenant soin de la refermer et de la verrouiller derrière moi, je me rendais directement dans la chambre, où tu te trouvais nue, les jambes écartées et une main te donnant du plaisir. Le cri se faisait entendre, le cri de ta jouissance, le cri de ta désobéissance. Est-ce que ce n’était qu’une mise en scène ou réellement un orgasme ? C’était une question que je ne me posais même pas, commençant à me déshabiller sous la rage, avec l’envie folle de te faire taire ce cri qui résonnait encore dans ma tête, telle une provocation de ton propre chef. « Tu vas regretter ça. » que je disais, torse nu à présent, n’ayant défait que le haut de mon jean avant de venir te rejoindre sur le lit, capturant tes lèvres dans un empressement que tu me connaissais déjà, l’envie de te faire crier de mes propres mains parcourait mes veines.


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w/ @Devon Bulger


La journée est sans doute passée plus vite que prévu. Elle a toujours cette particularité de passer rapidement, mon éveil ne venant que tardivement aux lueurs du jour. Mais aujourd’hui, est un jour particulier. Celui de ton anniversaire. Le mien ayant eu lieu quelques jours seulement avant. On se doit de fêter ça dignement. Et nous concernant, on est loin des bougies et du gâteau. J’ai passé la journée à parcourir la ville pour acheter ton cadeau. Je voulais quelque chose de singulier, j’y pense depuis plusieurs semaines maintenant et je suis heureuse de ce que j’ai dégotté. On échange quelques textos et mon corps s’électrise des choses auxquelles tu veux me soumettre. Je suis encore jeune, plus si innocente, mais toujours cette soif perverse d’apprendre toujours plus te concernant. C’est presque Candide que je t’ai interrogé sur ton plus grand fantasme. La réponse m’a surprise d’abord et puis la perspective de ne pas savoir, de renouer avec des choses inconnues, de penser que certaines parties de mon corps n’avaient été explorées par ta personne. J’ai cette volonté de t’appartenir toute entière. Si bien que tout ceci me donne un peu chaud, que mes mains viennent explorer mes courbes en ton absence, puisque je reposais déjà nue entre nos draps à l’aube de nos messages. Je te somme de te dépêcher, impatience qui me gagne et pulse au bout de mes phalanges entre mes cuisses. Ce sont des gémissements qui te cueillent à ton arrivée, accentués certes juste pour te provoquer. En conséquence, ton entrée en furie dans nos lieux et la peau sitôt dévoilée, cette chaleur qui s’accentue dans mon corps. Tu n’as jamais eu besoin de beaucoup en faire pour que je vienne à te désirer. Un rire léger s’échappe de ma gorge. « Fais-moi regretter oui. » Mais je pense pas que je pourrais regretter de te mettre dans un état pareil. Mes doigts passent dans ton dos avant de s’aventurer à ta taille, parcourant ta ceinture.  « Attends. » que je murmure dans un souffle avant de mordiller tes lèvres, un peu trop empressée moi-même. La torture c’est d'un goût commun qu’on la partage. « J’aimerais t’offrir mon cadeau avant. » Enfin disons qu’il y en aura plusieurs vu ce qu’on a prévu. Je m’échappe de ton emprise puisque tu t’y soumets, attrapant un étui sombre et élégant dans ma table de nuit. Pas de rubans, pas de fanfreluches. Je te le tends un mince sourire aux lèvres. A l’intérieur, tu y trouveras la dague de mon père, que j’ai décidé de te léguer, puisque à mes yeux, notre descendance sera la même, mais aussi une paire de gants d’un cuir noir et souple, mettant à l’abri tes empreintes pour nos futurs crimes. Si ce n’est pas romantique ?


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w/ @Lyra Bain


Tu ne peux pas comprendre cette rage qui m’habite, qui, d’une certaine incandescence, m’embrase à chaque instant. Je voulais être le seul à t’offrir le plaisir ultime ce soir, et plutôt deux fois qu’une. Ton anniversaire avait été souhaité d’une façon bien plus sobre et je voulais me rattraper ce soir, avec le mien. T’offrir bien des sensations nouvelles, et les avoir aussi de mon côté. Tu étais novice dans bien des domaines et c’était à moi d’éveiller ta curiosité, de faire en sorte que ça t’intéresse pour qu’on puisse partager des nouveaux moments ensembles, forts en sensations. Mais là, arrivant à peine à l’appart, Gotham comprenant qu’il devait rester dans le salon, je débarquais dans notre chambre pour te découvrir en train de t’offrir à toi même l’orgasme que je t’avais promis. Et forcément que je t’en veux, même si la vue est délicieuse. J’avais envie de bien des choses, et certainement pas te voir te toucher sans que je puisse y faire quelque chose. Mon côté macho possiblement qui ressort. Tu ne jouiras pas sans moi, c’est tout. Seulement, je vois à ton regard que ce n’est qu’un jeu pour toi, cette colère fulminante. Tu ne veux qu’attiser le feu pour qu’il s’abatte de plein fouet sur toi. Mon corps sur le tien, mes lèvres contre les tiennes, c’était tes doigts qui glissaient sur mon corps, à ma ceinture, prêts à me déshabiller pour qu’il n’en reste plus rien. Mais tu finissais par te stopper, dans un mot, dans un geste. Tu t’écartais pour aller récupérer mon cadeau, visiblement. M’installant sur le matelas, mon regard te suivait pour découvrir l’étui sur la table de chevet, que tu attrapais pour me le tendre. J’inspire, toujours colérique intérieurement mais bien plus calme en extérieur, pour m’atteler sur ce cadeau que tu me faisais. Ouvrant l’étui donc, je découvrais deux cadeaux, pour le prix d’un. Des gants, élégants, propres. Parfait pour les opérations de nuit, sans laisser la moindre trace. Un sourire alors s’esquissait doucement sur mes lèvres, avant que je ne découvre la dague. Intrigué, je l’attrape de ma main, pour l’observer, laissant se volatiliser la colère précédemment ressentie. Le regard se lève vers toi, parsemé d’interrogations, avant d’y voir les initiales D et B. B pour Bain. La dague de ton père. « Sérieusement ? Wow. » Si les gants étaient une mise en bouche pour le moins alléchante, cette dague représentait bien plus. Dernier souvenir de ton père, que tu finissais par me léguer. « Tu es sûre ? » Parce que c’était beaucoup. Bien trop même.


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Sans doute que non. Je n’ai pas conscience de cette rage qui fulmine dans tes veines. Il ne faut pas oublier. Je ne suis qu’une gamine, un brin trop téméraire, provocante, entêtée, je sème des brasiers sous tes murailles et je m’amuse des flammes qui viennent me chauffer. On sent la vie dans tes remparts Devon. Et pour mieux résister sous l’assaut de tes guerres, sous les pulsions des miennes, vois le calumet, l’offrande de paix. Cet étui sobre et sombre, qui renferme mes cadeaux. Prenant sur toi, appliquant la parenthèse dans nos ébats, tu ouvres la boîte pour y découvrir le premier cadeau. Mes billes sont attentives à chacun de tes mouvements, à tes plus infimes réactions. J’ai appris à lire chaque soubresaut dans tes traits, là où les autres ne voient qu’une mine impassible et froide. « Ils sont conçus pour donner l’impression de ne pas en porter, c’est comme une seconde peau. Et surtout sans empreinte. » C’est ce qu’on leur demandait avant tout. Et tu ne trouves rien à y redire, trop absorbé par la découverte du deuxième présent. Celui-ci est encore plus particulier, revêt une plus profonde signification. Je voulais quelque chose de spécial pour cette première année supplémentaire qu’on passerait l’un dans le sillage de l’autre. Quelques mois s’étaient écoulés seulement depuis notre première rencontre mais pour moi qui n’avait connu personne d’autre que toi. C’est une évidence. Mon sourire s’accentue lorsqu’un infime se délie sur ton visage. Tu n’as pas conscience de ta beauté dans ces moments, comme ton visage est fait pour l’éphémère de ces joies, mais comme la vie a fait que tu n’apprends pas de ces choses-là. Peu importe. C’est mon trésor le plus intime, celui que tu m’offres sans le savoir dans l’intimité de nos draps. Il est étrange qu’encore parfois les nuances rosées viennent fleurir mes joues, je n’ai plus grand-chose à te cacher, mais cette intensité qui me gagne dans ces moments me surprend encore. Tu me questionnes, et c’est l’Adolescente qui te fait face l’espace de quelques secondes. Les épaules se redressent et je conquiers une confiance toute nouvelle. « Certaine. » J’y ai réfléchi et c’est une évidence, comme vos initiales qui s’entremêlent. J’y vois là un signe. « C’est toi mon homme désormais. » Que je souffle en passant de la dague à ton regard. Il était mon monde, mon pilier, mon seul repère possible sur cette terre qui m’a porté. Et je veux me persuader que ce n’est pas par hasard si ta route a croisé la mienne. Tu lui aurais plu. Même si il t’aurait dégommé avant, certainement. « Ouvre l’étui. » que je reprends doucement. Tu peux y voir une lame travaillée et bien ciselée, quelques entrelacs à la base mais rien qui ne fasse trop fantaisiste. Cette lame était sans âge, importée directement de nos générations d’Ecosse, affutée pour accomplir sa destinée. « Elle est parfaite. Regarde. » Je viens passer mon index sur le bout du tranchant, sourit à sentir ma peau céder facilement, libérant quelques gouttes de sang. Mon index trouve chemin dans ma bouche avant que mes yeux ne s’accrochent aux tiens de nouveau et qu’un sourire ombrageux ne révèle furtivement mes dents. « Mets les gants. » Que je les baptise comme il se doit, sûrement.


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Colère diminuée à la vue du cadeau. Un gros étui, comprenant deux cadeaux à première vue, quand je l’ouvrais. L’offrande première que je voyais, c’était des gants, de beaux gants en cuir noir, qui semblaient être à la taille parfaite de mes mains, et qui devaient être légers et presque imperceptibles. Tes mots confirmaient mes pensées, admettant qu’ils étaient comme une seconde peau. Et sans empreinte laissée derrière. Tout but des gants. Et je comprenais que c’était pour les crimes à venir, les différents business que j’avais n’étaient pas sans danger. Une arme, un couteau. Qu’importe ce que je pouvais avoir dans la main, il ne devait y avoir aucune trace de mon ADN ou de mon identité. Alors oui, c’était un cadeau parfait, me connaissant. Mais tu avais mis la barre plus haute encore, en me faisant l’offrande d’une dague. Pas n’importe laquelle. A travers son étui, je pouvais y voir les initiales de ton père. C’était sa dague, puis la tienne. Et tu la faisais mienne en ce jour si particulier. Bien sûr, l’émotion me gagnait. Je connaissais l’importance de cet objet, le dernier que tu as de ton père et, étant très famille, je savais le sacrifice que tu venais de faire. C’était naturel pour moi de demander si tu étais sûre. Après tout, l’avenir pouvait nous réserver bien des choses et c’était quelque chose de grand que tu venais de faire. Un geste des plus profonds. Tes mots me touchaient, et si j’avais porté mon regard sur toi, il revenait très rapidement sur ce cadeau que tu venais de me faire. Sans un mot, j’exécutais ton ordre, ouvrant l’étui pour y découvrir la dague de façon plus réelle. Pour mieux me l’approprier. Mais quelque part, je respectais bien trop cet objet pour en faire n’importe quoi. Il ne fallait pas se précipiter et apprécier le moment, tel qu’il devait être. Ton doigt trouvait alors la lame, incisant ta peau pour y laisser couler le sang. Et ça me prend au bas ventre, cette vision. Ça m’excite de détenir cet objet, de pouvoir faire couler le sang avec d’une façon si simple qu’une coupure. L’envie d’égorger le premier venu était palpable, mais tu me raccrochais à la réalité, m’ordonnant de mettre mes gants, les nouveaux, les beaux et parfaits. « Non. » Que je disais fermement, posant les cadeaux sur la table de chevet, avant d’attraper ton cou pour te forcer à t’allonger, venant te surplomber de mon corps tout entier. « Je veux sentir ta peau. Hors de question que je mette des gants avec toi. » Ne comprends-tu pas depuis le temps, que c’est notre corps à corps qui fait tout ? Pourquoi y ajouter des couches superficielles qui viennent ainsi retirer tout le plaisir ?


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Je pense que ces cadeaux te plaisent, ou du moins je le comprends. Tu n’es pas du genre à te répandre, dans le verbe c’est une chose, et dans les émotions c’en est une autre. Mais disons que je commence suffisamment à te connaître pour savoir. Je viens te dicter cet ordre simple, laissant toujours ma langue s’emplir du goût âpre et métallique de mon sang. Mais tu refuses. Tu n’es pas soumis, loin de là, c’est même l’inverse. Et cette seule posture me fait frémir. Mes sourcils se haussent, feignant la nonchalance alors que c’est toute autre chose qui me parcourt. « Tu m’en veux ? » que je demande en levant mon regard vers toi. La voix trahit une peur certes surfaite, toi aussi, tu me connais suffisamment pour savoir quels sont les brasiers qui me traversent en réalité.




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