Alekya ∆ Dis moi que tout va bien, que tu n'as rien eu....

Finalement, je ne sais pas vraiment pourquoi j'étais venu voir Alekseï... j'avais envi de savoir ce que je représentais pour lui, et j'étais contente que mon baiser ait pu lui rappeler tout ce qu'on avait vécu. Mais je me rendais compte qu'à présent il avait fais sa vie ici, et que je n'allais sûrement pas être si importante. En Russie, malgré les coups de crasse qu'on se faisait, je savais que je comptais un peu chez lui. Mais ici c'était tout à fait différent... Il s'était fais de nouveaux amis, il devait avoir eu un coup de coeur, il devait se marier à une jeune russe. Bref, tout était fait pour que je n'ai plus ma place dans sa vie. A vrai dire, même si j'étais déçue, j'étais aussi soulagée, car je savais à présent que je pouvais vivre sereinement sans me préoccuper de lui. Car il est vrai qu'à Moscou, il n'y avait pas un jour où je ne pensais à lui, où je craignais ce qu'il me réservait... Alekseï me dit la chose suivante Freya, dis pas de conneries, ok j'ai ma vie ici mais j'en ai oublier une bonne parti, tu n'es pas une fille parmi tant d'autres, je veux te le montrer, dis pas que t'es venu que pour savoir si j'allais bien, je sais qu'il y a plus derrière tout ça, je te connais depuis longtemps maintenant et je sais quand tu mens, t'as tendance à éviter le regard de l'autre et c’est ce que tu fais maintenant, je sais que tout ça te perturbe.. je suis désolé d'avoir été ce fils de pute avec toi, je sais que je le resterais mais je veux tellement changer.. Finalement, sa réponse semblait vraiment sincère et c'est celle-ci qui me fit remontrer la tête vers lui. Cependant, je ne répondis rien et ce dernier alla à la fenêtre et me dit Pense ce que tu veux, j'ai dis ce que j'avais à dire Freya, t'es pas une fille parmi tant d'autres.... Je le regardai en souriant puis lui dis Ca me touche vraiment ce que tu me dis là Alekseï... Mais tu crois vraiment qu'on pourra être amis ?... Je n'en suis même pas sur... Je t'ai toujours vu, non pas comme un ennemi, mais comme un amusement. Une sorte de personne avec qui je ne pouvais jamais être d'accord mais avec qui je m'amusais bien. Alors si on arrête de se chercher constamment, je ne suis même pas sur qu'on arrivera à être amis. Je crois que j'ai besoin, non pas de torturer, mais de jouer avec toi, pour me prouver que j'existe, et que tu es quelqu'un de formidable.....

Même si grâce au baiser qu'elle m'a fait partagée, j'ai retrouvé tous les souvenir concernant notre relation, elle tirait une tête bizarre. Elle pensait qu'elle allait être une fille parmi tant d'autres, qu'elle n'allait pas compter, que comme j'avais fais ma vie ici, elle était du passé mais c'était faux, maintenant que j'ai retrouver mes souvenirs sur elle, je ne peux pas faire comme si de rien n'était, elle fait parti de ma vie, de mon passé et maintenant de mon présent. Pourtant je le lui disais clairement, que pour moi elle n'était pas une fille parmi tant d'autres, j'aimerais le lui montrer, j'ai changé même si je me souviens des crasses qu'on a pu se faire, je veux juste qu'elle me croit, je suis surement toujours un enfoiré, mais je ne suis plus aussi enfoiré que ça, j'aimerais qu'elle le voit. C'est vrai qu'on ne pourra pas être amis, elle m'a toujours vu comme une ennemi, moi aussi Tu as raison, puis ça va me manquer sinon de te faire chier à longueur de journées, au moins ça m'occupera puis ça me prouvera à quel point tu comptes pour moi, que toi aussi tu peux être quelqu'un de formidable et qu'à ce petit jeu, je peux pas mieux trouver que toi.. je lui souriais et m'approchant d'elle, je déposais mes lèvres sur sa joue Merci quand même d'être passé pour prendre de mes nouvelles.