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(lyvon) there must be something in the water

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there must be something in the water ★ ─
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C’était étrange cette confiance que je pouvais t’accorder. Je n’avais pas l’habitude de tout ça pour le coup et je me retrouvais pris au dépourvu de mes propres sentiments. En règle générale, je veux avoir le contrôle sur tout. Mais là, je savais que tu ferais un bon boulot. Un très bon boulot. Mais ta sécurité m’inquiète alors je pose la condition qu’un de mes hommes te soit assigné. Il fera lui-même les entrevues avec les potentiels clients véreux et surtout pervers. Je ne voulais pas ça pour toi, aucunement. Seul moi peut poser ses mains sales sur toi. Parce qu’elles sont loin d’être propre pour toute autre femme ou par les différents corps trouvés dans la ville. Mais tu m’appartiens. Quiconque cherche à toucher ta peau aura à faire à moi. Seulement, l’oignon m’envoyait dans des contrées inconnues pour l’instant, à coups de larmes incontrôlées. Je ne le pensais pas si malin ou encore subtile. Mais de toute évidence, je me suis fait avoir, et tu t’en moquais presque. « Je suis pas sûr d’avoir les armes pour le combattre de toute façon. » Quelque soit la façon de faire, c’était bien trop insidieux pour moi qui suit très frontal. Une fois le légume coupé, je me rinçais les doigts sous l’eau avec du savon et t’en profitais pour essuyer mes yeux d’un papier absorbant humidifié. « Merci. » Je repassais le dos de mes mains sur mes yeux avant de m’en remettre petit à petit. De ton côté, tu faisais la préparation de la gamelle, y mettant de l’huile et des oignons, qui se mirent à frétiller au contact de l’huile chaude. « Coriandre. Pas fan du romarin non plus. » Une moue sur le visage avant de hausser les épaules, sans trop savoir quoi dire de plus. « Et toi ? » soufflais-je avant de m’installer sur le plan de travail propre, le regard rivé sur toi, quand tu finissais par me poser une question pour le moins attendue. « Gay. Froid et suffisamment fort pour contrer quelques hommes s’ils deviennent violents. Pas très bavard non plus. Un peu comme moi, sans le côté homo. » Disons que je le vois comme un poulain à élever. Comme je pouvais te voir aussi, bien que c’était différent. Lui ne sera jamais à ma place. Ce sera toi, toujours toi.


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Toi Devon, l’homme qui as mis à terre bien des hommes et bien des femmes, voilà que tu es menacé par un simple oignon. Il faut avouer que c’est tout de même assez drôle. « Il faut être stratège oui. » Et disons que tu étais plutôt manichéen dans ta façon d’aborder les choses. Cela n’était pas si mal car tu osais ce que la plupart s’interdisaient, et ainsi toi et moi nous complétions parfaitement. Un duo qui s’avérera sans doute par la suite redoutable. C’est bien là notre ambition. Je reprends ma cuisine te demandant les épices que tu n’apprécies pas trop afin d’accommoder les légumes en fonction. Tu me demandes pour moi. « Je pense que j’aime à peu près tout sauf le gingembre. Et de toute façon, je n’ai pas vraiment besoin d’aphrodisiaque. » Regard de côté et sourire en coin, je poursuis ma tâche alors que tu t’assieds sur le plan, me détaillant davantage ce fameux Isak. « Hum… je comprends mieux, gay, ce ne sera pas risqué pour toi. » Je viens te provoquer mais je pense qu’une partie de toi est certaine que je te suis entièrement dévouée, que ça ne me vient même pas à l’idée de regarder un autre homme. Les légumes sont à présent entrain de cuire gentiment, je viens sortir une seconde poêle pour m’occuper de la viande et ainsi terminer la préparation du repas. « Tu le connais depuis longtemps ? » Tu ne m’avais jamais parlé de lui, mais j’en apprends davantage chaque jour.
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« Je suppose que tu m’apprendras. » Pour une fois que c’était toi qui m’apprendrait quelque chose, c’était assez étonnant, mais pas forcément désagréable pour autant. En fait, ce moment, bien qu’à des années lumières de ce dont j’avais l’habitude de vivre, c’était agréable. Être avec toi était agréable, j’appréciais et j’en redemandais même. Mais là, j’arrêtais ça, te laissant gérer la suite en me plaçant sur le plan de travail, les jambes ballantes dans le vide et le torse toujours aussi nu. « Mh, c’est pas faux. » Tu étais bien assez excitée comme ça pour en rajouter une couche. Une impression de me retrouver en pleine adolescence avec toi, avec les hormones en feu. Mais ça ne me dérangeait pas, au contraire. C’était l’essence même de notre relation, de ce que nous avons créé peu à peu tous les deux. Le sexe était partie intégrante de notre couple, et en aucun cas je ne changerai ça. « Pour toi surtout. Il ne tentera rien. » Tu sais que je n’aime pas les hommes proches de toi. Et je n’ai aucune inquiétude de ton côté. J’avais compris avec le temps que tu n’avais d’yeux que pour moi. C’était en les hommes que je n’avais pas confiance. J’en étais un moi-même et j’avais fait des choses pas nettes avec les femmes. Rien ne les empêchait de s’en prendre à toi. Surtout quand on connaissait notre lien à présent. Et forcément, tu voulais en savoir plus sur le mec qui allait bosser avec toi. « Quatre ans environ. Il est plus jeune que moi, plus vieux que toi. » À l’entre deux. Mais en quatre ans, j’avais su lui faire confiance, il avait réussi à la gagner au point que je te fie à lui. C’était suffisant pour moi. « Je fais appel à lui pour tous les sujets délicats en règle générale. » Et j’omets évidemment de te dire que c’était en prison que je l’avais rencontré. Je ne sais même pas si tu le sais, que j’ai fait un séjour derrière les barreaux.


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w/ @Devon Bulger


Tu incarnes la force brute, je m’avère bien plus sournoise. Tu es la cadre et je suis la toile. Ensemble, je le sais pertinemment, nous pourrons être redoutables, invincibles même. Mes lèvres se rehaussent lorsque tu viens me faire cette demande. T’apprendre. Et c’est le sort qui s’inverse sur nos âmes. De l’Expérimenté qui s’abaisse à l’Ingénue pour progresser. Mais c’est ensemble que nous grandirons. « On apprendra ensemble. » L’échange gagne en futilité lorsque tu viens m’interroger sur mes goûts et ma réplique ne t’échappe pas alors que mes yeux s’attardent sans doute un peu trop sur ton épiderme découvert. Je viens tenailler mes charnues de mes ivoires mais poursuit tant bien que mal le reste. Ce qui me soucie présentement, c’est ce mec que tu tentes de me mettre dans les pattes. Je dois être raisonnable et accepter tes conditions, tu ne veux pas que je gère les choses seule, et malgré moi, ça me paraît être un argument concevable. « C’est certain. » Qu’il ne tentera rien si c’est les hommes qu’ils préfèrent. Je pourrais ajouter que tu ne pourras pas me protéger éternellement des lueurs masculines, des tentations plus malsaines, mais cela ne servirait à rien. « Tu penses à un endroit en particulier ? » Tu connais Boston comme ta poche alors peut-être que tu y as déjà songé. Le fameux Isak s’avère entre nos deux âges et malgré le nombre d’années depuis lequel tu le connais, je ne l’ai jamais rencontré. « Tu l’as rencontré comment ? » J’en conclue qu’il est ton protégé, ton élève. « C’est un genre de meilleur ami ? » Je ne t’en connais pas, je ne t’ai jamais vu entouré, si ce n’est que de ta famille et de quelques hommes de main. Et on ne s’est jamais vraiment confiés là-dessus. On a ce point commun d’être deux solitaires, mais sans doute toi encore davantage que moi. Je règle les derniers détails de ma cuisine, avant de me rendre vers la table et d’ajouter vers toi. « C’est prêt. » Sourire satisfait aux lèvres, j’ai cette habitude de toujours réaliser plusieurs choses à la fois.


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w/ @Lyra Bain


Comment se faire avoir en une leçon par un oignon ? Ne pas me prévenir qu’il y avait des actions à faire avant de couper était bas, mais de toute évidence, ça te donnait une nouvelle vision de moi qui était sans doute bien trop hilarante pour être oubliée. « C’est un bon plan en effet. » De toute évidence, on en apprenait bien plus sur nous deux en cet instant que tous les autres réunis. De l’aspect culinaire, évidemment. C’était pourtant assez essentiel, ce qu’on mange nous définit la plupart du temps. Et si j’étais un adepte de chips quelques fois, j’étais aussi fan d’une bonne viande rouge, une bonne sauce avec le vin qui allait avec. Gourmet, peut-être pas, mais j’avais le goût des bonnes choses. Le côté aphrodisiaque du gingembre mis sur la table et j’admettais que de toute façon, il était clair que tu n’avais pas besoin de ça. Ton corps était déjà en feu la plupart du temps, ce n’était pas nécessaire d’y ajouter une couche de plus. Puis le sujet Isak tombait sur la table, ce qui allait avec le reste de notre conversation concernant le business en expansion, celui qu’on créera juste pour toi. « J’avais pensé du côté du centre ville, un endroit réputé qui n’attire pas forcément l’œil pour des affaires sombres, tant il est fréquenté. J’ai quelques établissements en tête, mais rien de défini encore. » C’était le 21st Amendment qui me restait en tête, mais je voulais voir les autres possibilités avant. Ça restait un bar après tout, et il nous fallait des appartements au dessus pour l’aspect sécurité du business. Mais tu venais parler de nouveau d’Isak, m’arrachant un sourire. « Pas vraiment non. Je l’ai rencontré en prison, il s’est avéré être assez fidèle et je lui ai donné de quoi rester à mes côtés à sa sortie. Un toit, un boulot. Je vais pas me confier à lui, si c’est ce que tu te demandes. » Je faisais ça avec Quinn, plus récemment avec Izzy. Jamais quelqu’un d’autre qu’un Bulger. Enfin, le repas était prêt et je sortait deux assiettes et les couverts, afin qu’on puisse se servir et manger à notre convenance. Me glissant dans ton dos, mes mains sur tes hanches, mes lèvres sur ta peau. « Ça sent bon. Possible que je puisse m’habituer à tout ça. » Toi et moi, vivre tout ça, ensemble. Les petits gestes du quotidien.


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w/ @Devon Bulger


Cette paix apparente ne s’était pas gagnée sans luttes. C’est la violence qui nous avait bercés jusqu’alors et il était probable qu’elle s’invite de nouveau dans nos danses. Nous avions su tirer enseignement de nos guerres cependant. Nous avions compris que désormais c’est ensemble que nous avancerons, que nous apprendrons l’un de l’autre. Un sourire satisfait étire mes lèvres pleines lorsque tu viens confirmer mon propos. On s’apparente au commun des couples dans cette maison trop calme, dans cet abri trop clair. Inscrivant la marche de notre duo à l’inverse des autres. Commençant par l’intime, poursuivant par le commun. Maintenant que le pire avait été révélé, on pouvait s’atteler au meilleur. La situation a beau paraître légère, la conversation l’est moins. On partage l’ébauche de nos plans, le balbutiement de ce qu’on décidera être un Empire, une nouvelle couverture sombre pour Boston. Un nouveau règne. Jusqu’à ce que nos dents soient satisfaites des lambeaux d’épiderme qu’elles auront arrachés. Un plat froid nommé vengeance me concernant. Car je n’oublie pas, je me contente de m’élever, attendant le moment opportun. « Oui, un endroit dont on ne se méfie pas, tout comme moi. » On ne voit pas le mal quand il est sous votre nez. C’est encore la meilleure option pour pouvoir continuer cette sorte de business pour lequel on voulait se dédier. « Je jetterai un œil de mon côté. » Et j’étais persuadée qu’on trouverait finalement l’endroit parfait. Pour cette aventure, tu me dédies un nouvel acolyte, Isak, et je viens questionner. Si tu lui fais confiance, ce n’est pas encore mon cas et je tiens à savoir d’où tu le connais. « Tu es resté longtemps en prison ? » J’ignorais cette partie de ton histoire, comme j’en ignore encore aujourd’hui bien d’autres, sans doute que la mienne est bien terne fade et courte en comparaison de la tienne. Tu mets la table alors que j’apporte les plats. Ma peau se redresse machinalement lorsque tes mains viennent se poser sur mes hanches. C’est toujours la même réaction, toujours le même frisson qu’importe la répétition de la chose. Ici on oublie. On oublie les ténèbres qui nous gagnent, le danger qui rôde, le sort qui peut s’inverser aussi abruptement pour l’un comme l’autre, ici on se laisse berner par des promesses fausses d’éternité, on laisse le palpitant au repos, les pensées devenir plus claires. « Moi aussi. » Je pourrais m’y habituer, croire que tout est comme avant l’espace d’un instant. Mes phalanges viennent se poser sur les tiennes et mes paupières se ferment sous l’assaut de tes lèvres. La nuance est là. Si ma vie était restée aussi calme et morne, tu n’en gravirais pas les lignes à présent, tu ne poserais pas ton empreinte dans chaque recoin de ma peau, et l’ambition dans chacun de tes baisers. Je me retourne, complice, déterminée, attrapant ta mâchoire sous mes doigts empressés, je viens cueillir tes lèvres dans une pulsion presque violente. « Dépêche-toi, ça va refroidir, et je suis affamée. » De nos violences, de nos projets mais plus que jamais de toi encore et toujours.



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C’était agréable de parler, comme si nous étions sur un pied d’égalité. On parlait de choses nouvelles, clairement créées à deux. C’était pas de ma propre création qu’on parlait, mais de la nôtre. Ce qu’on allait construire à deux. Et de toute évidence, on avait une vision assez similaire toi et moi, ce qui me confortait dans l’idée qu’on s’était bien trouvé, dans les ombres de la ville, dans les prémices de la douleur et de la violence. « Exactement. Qui n’attire pas l’œil, si ce n’est pour les fêtards en tout genre, y compris ceux qui veulent y mettre de l’argent. » Quelque chose de classe, d’accessible également. Je ne veux pas un truc élitiste qui mettra la puce à l’oreille. C’était assez étrange comme envie, comme vision des choses, mais je crois que malgré les mots donnés, tu étais sur la même longueur d’ondes que moi. « Parfait. » Et puis, je devais faire en sorte qu’Izzy soit dans la boucle aussi. Elle aussi voulait faire partie de tout ça, avoir son mot à dire. Et possible que de cette façon, on saurait bien plus de choses et la meilleure façon d’implémenter tout ça. Et comme je m’en doutais, c’était un point qui allait te faire tiquer, la prison. C’était normal, après tout. Je ne t’en avais jamais parlé et je ne comptais pas le faire, si ce n’est au moment opportun. Faut croire qu’il était maintenant. « Un an et demi. Tu auras droit à l’histoire plus tard. » Je retiens un sourire, te sachant curieuse et je savais pertinemment que tu allais vouloir en savoir plus que ça, mais ce n’était pas le moment, le repas sur le feu, quasiment terminé. Il fallait qu’on se nourrisse des efforts que nous avions pu faire juste avant, de ces confidences qui étaient pas mal importantes. Plaçant la vaisselle sur la table, tu faisais de même avec les plats mais rapidement, je venais me placer dans ton dos, indéniablement attiré par ton corps, ta personne. L’envie renait, la respiration se faisait alors plus profonde, ton odeur remontant alors son chemin jusqu’à mon esprit. Tu étais ancrée, et c’était une certitude maintenant que tu y resteras à jamais, indétrônable. Te retournant, capturant mes lèvres des tiennes en tenant ma mâchoire fermement, c’était un ordre que tu lançais, comme si c’était inévitable. Agrippant alors tes hanches de mes mains, je te portais pour que tu enroules tes jambes autour de moi et je venais te plaquer contre le mur le plus proche, me laissant consumer par l’amour que je te porte, et que je te montre jour après jour, qu’importe le lieu ou la position. Fondant sur tes lèvres de nouveau, je me laissais aller à cet ébat rapide, qui ne durera pas longtemps, suffisamment pour être comblé mais pas trop, pour qu’on puisse retrouver notre repas toujours chaud.

FIN DU RP


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