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(lyvon) there must be something in the water

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there must be something in the water ★ ─
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Faut croire que mon père m’a transmis ça dans ses gênes sans que je ne m’en rende compte. Ces bouquins lus quand j’étais jeune, quand la curiosité me piquait à bien des égards. Ils avaient fini par trouver place dans mon esprit, bien malgré moi. Et aujourd’hui, ça faisait surface, juste un petit peu, suffisamment pour te faire plaisir. C’était quelque chose que je ne maîtrisais pas, et qui était sorti d’un coup d’un seul. Mais en aucun cas, ça ne se reproduira, ou pas consciemment, je suppose. C’était un coup de poker, pris sur le moment, quand la poésie de notre amour était à son apogée. Puis quand ce moment de partage de cigarette venait, tu cherchais la confidence sur la suite des événements. Tu pensais possiblement à ce gang que nous formerons, j’avais autre chose en tête. Quand j’étais dehors, Izzy m’avait envoyé un message, quelque chose que tu n’attendais possiblement pas. Et la surprise se lisait tout de même sur ton visage. « Oui. » Oui, je viens de sérieusement te demander ça. Parce que ça me semblait être une suite logique. J’avais admis t’aimer. J’avais fait de la poésie pour toi, après avoir appris que c’était ton pêché mignon. J’avais fait bien des choses pour toi et ça, c’était quelque chose que je voulais à présent. Regarde comme ça se passe bien ici, comme ça se passait déjà bien à Boston les fois où nous étions blessés. Nous étions faits l’un pour l’autre. Dans l’amour, comme dans le quotidien. « Je ferai pas toujours les courses. » Mais je peux les faire avec toi, oui, si tu me le demandes. Tu étais à cheval sur moi, le sourire sur tes lèvres. Je récupérais la cigarette dans la fumée que tu soufflais vers moi, pour tirer à mon tour dessus. Te soufflant dessus en guise de réponse, je répondais d’un sourire un simple « Oui. » Mais à force de me poser cette question, j’ai des doutes sur ta réponse. Mais finalement elle venait, positive, ce qui me rassurait. Faut croire que j’étais pas le seul à voir que ça fonctionnait bien entre nous, ce rythme de vie et ces rituels qu’on avait déjà instauré malgré nous. « 30% du loyer. Et tu peux apporter ta touche, mais j’ai le droit de véto. » J’étais pas si facile que ça en négociation, alors il fallait t’accrocher. « J’ai déjà pensé à faire de la chambre d’Izzy un bureau. Pour y foutre mes papiers, mes armes, et… tout ce qui concernera ce qu’on fera nous deux. Nos plans, nos décisions. Possible qu’on laissera aussi un coin pour Gotham. » Laissant ainsi ma chambre… notre chambre, à sa simple fonction de chambre. Où tu pourras mettre tes affaires et personnaliser les choses comme tu l’entends. Tu vois, j’étais prêt à bien des choses pour toi, y compris valser certaines de mes habitudes et de mes façons de fonctionner.


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Je sens une joie se répandre au travers de mon corps. C’est inédit, surprenant aussi et je pense que tu ne te rends tout simplement pas compte. Ton affirmation le laisse présager, alors qu’un sourire s’entête à étirer les rebords de mes lèvres. Après ce drame, c’est la rue qui m’avait accueilli, la peur et la misère qui ne m’avaient jamais vraiment lâché. Je ne me sentais plus nulle part chez moi, si ce n’est auprès de toi. Et là, ça venait simplement acter ce qui se passait entre nous. Je reste une fille, je reste jeune, de celles qui n’ont jamais vécu ce genre d’expérience. Alors sans doute que tu te vois étonné par l’excitation qui s’empare de moi. Je me mets à rire lorsque tu évoques le fait que tu ne feras pas toujours les courses, je n’en parlais pas sérieusement mais c’est drôle que tu le reprennes. « Évidemment, je te ferais de bons plats, il faudra faire encore plus de sport. » que je rétorque, maline et provocante du bout de mes phalanges sur l’arête de ton nez tandis que tu embrases à nouveau la cigarette à tes lèvres. Je pourrais m’entêter et exiger de payer la moitié du loyer mais je n’en ai pas les moyens alors d’un regard et d’un nouveau sourire je viens hôcher la tête. « Deal. » Mes lèvres s’appliquent encore aux tiennes. Heureusement pour toi, je n’ai pas d’obsession particulière en matière de déco ou même avec le Rose Gold. « ça me parait parfait… » Mes phalanges passent distraitement dans tes cheveux, j’ai du mal à imaginer tout ça, j’en suis ravie. Je me relève pour enfiler finalement un tee-shirt et me rhabiller rapidement. « Et justement, tu penses qu’on rentrera quand ? » Parce qu’en réalité c’est cette perspective que j’évoquais au départ. Ici c’est juste parfait, mais je sais que tout comme moi Boston commence à te manquer. On est des enfants de l’asphalte pas des verdoyantes contrées. Peu importe qu’on se gorge de tendresse, de violence ou même d’un amour infini, au final c’est toujours la violence, le sang et la crasse qui nous appellent à revivre, pour mieux hanter les bas-fonds, pour imposer notre ambition et notre soif de régner sur les faces les plus obscures du monde.


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C’était pour moi, une suite logique. On était tout le temps ensemble et ça t’évitait de gaspiller de l’argent dans un appartement que tu ne visites très peu. Celui qu’on pourrait partager ensemble était de loin la meilleure option. Tout s’y trouvait à proximité, y compris le Nephilim. Alors oui, de façon pragmatique, c’était l’option qui semblait la plus intelligente. Et puis, j’y voyais aussi le fait que tu serais tout le temps là. Ton corps au réveil, au coucher. N’importe quand à vrai dire. C’était une pensée qui me convenait parfaitement, ne te connaissant pas forcément chiante. « C’est pas quelque chose qui me déplait. » Quand il s’agit de s’épuiser avec toi, je répondais toujours à l’appel. Toi aussi d’ailleurs. Ce n’était pas plus mal si on mettait les bouchées doubles pour éliminer les kilos en trop, gagnés par une cuisine trop grasse. Mais évidemment, tu semblais avoir un avis sur la question, sur le loyer et sur la décoration. J’en avais un aussi. Et aussi bizarre que ça puisse paraitre, on était d’accord dès le premier coup. Ton sourire égayait la pièce, mon regard n’avait d’yeux que pour toi. « Deal. » Un sourire venait donc étendre de nouveau mon visage, bien que tu venais m’embrasser pour conclure cette affaire. C’était une sensation étrange, de l’excitation mêlée à une appréhension certaine. Mais c’était bénéfique tout ça, j’en étais certain. Je t’imitais alors, après avoir terminé la cigarette qui finissait écrasée dans le cendrier, pour enfiler mon boxer et mon pantalon. « D’ici trois-quatre jours maximum. J’ai délégué pas mal de choses aux gars et, même s’ils me rassurent en disant que tout va bien, je préfère voir par moi-même. » J’étais un control freak, pour le coup. J’avais besoin de gérer les choses à ma manière et pas autrement. Après tout, c’était mon argent, mon affaire, et je ne voulais pas qu’un problème vienne foutre la merde. Surtout si c’est à cause d’incapables qui ne sont pas foutus de suivre les règles dictées. Me redressant, je venais te rejoindre, posant mes mains sur tes hanches. « On va faire quelque chose de grand, toi et moi. Plus grand encore que ce que mon père a fait. »


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Pour le moment, je ne pourrais pas participer autant que je le voudrais mais de toute manière notre dernière échappée m’a permis de comprendre que c’est ensemble qu’on avance désormais. Je ne tarderai pas à m’élever pour devenir une moitié digne de ce nom. Mais en attendant, il fallait que je reste humble car j’avais tout à apprendre. Par chance, mon plan s’était bien déroulé, mais j’ai pris conscience par ta colère que je nous avais réellement mis en danger. Moi c’est une chose, mais toi c’en est une autre et je ne m’en serais tout simplement pas remise. A présent de nouveau vêtue, mais toi aussi, un sourire un peu idiot sur mes lèvres que je ne contrôle pas vraiment, tu viens détailler tes plans. Mes bras passent autour de ta taille pour t’attirer contre moi comme si je ne pouvais jamais réellement me séparer. « Oui il ne faut pas se faire oublier par tout le monde. » Les dernières nouvelles qu’on avait eu ne venaient pas vraiment te suspecter et tout en ville indiquait que tu étais encore présent, même si la réalité était toute autre, notre fuite avait dû rester secrète pour ne pas éveiller les soupçons. Officiellement, j’étais simplement partie en congés. Et toi, tu étais censé être resté sur Boston. « Justement, tu as pensé à développer le business par d’autres filiales ? » Parce que j’avais mon idée sur la question après ma petite enquête, mais je préférais te laisser parler d’abord. « Et tu devras continuer à m’apprendre. » Mon corps se remettait à peine, il est vrai, mais nous ne vivions pas dans du coton. « Le combat notamment, la manipulation des armes. » Et endurer les tortures oui. Mais chaque chose en son temps. Me distanciant de toi je tiens ta main par le bout de mes phalanges avant d’en embrasser le dos et de la relâcher. « T’as faim ? » que je demande en ouvrant le frigo, comme si nous parlions de la pluie ou du beau temps, mais pour nous ça revenait un peu au même.


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Tout ce que je voulais était dans cette pièce. Toi, Gotham. Une façon de fonctionner bien huilée. C’était l’idéal. Et j’étais à deux doigts de l’avoir. Dans l’absolu, je n’avais pas envie de bouger, puisque tout était ici. Mais Boston me manquait, la proximité de mes hommes, des différents services. Et la luxure de la nuit bitumée. « Exactement. » Tous deux à présent vêtus, l’un contre l’autre, mes mains sur tes hanches tandis que tes bras entouraient mon corps, je finissais par t’imiter. Cette proximité m’était à présent nécessaire, va savoir pourquoi. Mais au moins, la police ne me soupçonnait pas, étant donné que tout le monde m’indiquait dans Boston. C’était bien pensé, pendant que toi, tu te reposais des blessures que je t’avais infligée. Ce n’était cependant pas à reproduire par la suite. On avait dit ensemble. Et c’était comme ça que tu amorçais le reste de la discussion. « Possiblement. Justement par la prostitution. Mais bien mieux géré que par ceux qui t’ont touchée. » Parce que c’était des pervers et qu’il était hors de question que les filles qu’on embaucherait viennent à penser qu’on veut les user de la même façon que les clients. Même si je me fiche pas mal de ça à la base, l’idée qu’ils aient pu vouloir te souiller me rendaient malade. T’imaginant ainsi à la place des filles me donnait une vision plus saine du business à mettre en place. « Aussi. On peut commencer ça ici. Le dernier jour. » Avant notre départ. Quand tu iras aussi bien mieux. Tu finissais par t’éloigner, non sans attraper ma main avec toi, tes lèvres se posant sur mes phalanges avant de partir vers la cuisine, vers le frigo notamment. « C’est pas impossible. J’ai acheté des belles pièces de bœuf. Et des légumes. » que je disais en me calant contre le plan de travail. « Peut-être que je peux être ton commis. » C’est pas comme si j’avais autre chose à faire de toute façon. Et ça me permet de mieux apprendre à te connaître, ta façon de faire et de voir les choses.


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Mes phalanges viennent tapoter distraitement contre ta nuque. Je trouve ça fou qu’on soit parfois à ce point connecté, mais étant donné nos dernières aventures, il n’y avait rien de vraiment surprenant là dedans. Mes billes claires vrillent vers les tiennes, puisque moi aussi j’ai réfléchi sur ce point.  « J’ai pas mal discuté avec les filles pour mener à bien ce plan. Certaines seraient prêtes à rejoindre une organisation plus sécurisante, plus protectrice. Et je pense que si on trouve un endroit ça peut le faire. Pour sûr ça resterait assez haut de gamme mais il y a moyen que tout le monde soit content. » Je ne sais pas trop comment tu verrais mon plan puisque c’était assez novateur dans le sens respectueux des femmes. « Je pense qu’un interlocuteur femme pourrait les rassurer et si elles touchaient une part sur leur activité et nous en donnait une en échange de l’endroit et de la sécurité, je pense que ça peut être une piste à exploiter. » Mais je veux te laisser méditer là-dessus, tu n’es pas l’homme le plus féministe que je connaisse mais tu me prouves depuis le départ que tu peux évoluer. « Je pense même que je peux approcher quelques étudiantes et jeunes femmes pour leur proposer le deal à terme. » Gérer des femmes perdues sur le trottoir, ce n’est pas vraiment comme ça que je voyais les choses, mais bon, tu vois ainsi que ce genre d’activité peut m’intéresser. Chaque chose viendrait en son temps. Et mon entraînement restait une priorité à mes yeux. Même si j’avais déjà commencé avant de te rencontrer, je sais que de toi, j’ai beaucoup à apprendre. Je m’éloigne pour m’approcher du frigo . « D’accord. » D’ici quelques jours, je pense que je serai suffisamment en forme pour recommencer à mobiliser mon corps. C’est assez étrange à dire mais la douleur m’est épargnée depuis quelques temps et elle commence à me manquer. Je t’écoute commenter les possibles mets à cuisiner. « A condition que tu restes habillé comme ça. » que je glisse d’un regard avec un sourire en coin. Je sors quelques épices et de l’huile.  « On peut la faire mariner et accommoder de quelques légumes oui. » Je sors des courgettes, des poivrons et quelques tomates.  « Si tu veux bien les découper, je m’occupe de la marinade. » Te servir d’un couteau ne devrait pas poser grand problème.


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Si le trafic d’armes et le trafic de drogues se portaient bien, c’était la meilleure occasion pour se diversifier, voir plus grand. Et le fait d’avoir abattu des proxénètes pouvait nous porter chance au final, avec moins de concurrences. Et puis c’était aussi le moment de récupérer les filles qui avaient été mises à mal durant l’opération que nous avions mené. Alors quand j’entends tes mots, je ne fais que me dire que nous étions exactement sur la même longueur d’ondes. Deux esprits pervers, cherchant l’opportunité où elle se trouve. « Toi ? » que je demande, bien que pas très confiant à ce propos. C’était difficile d’imaginer ça, puisque tu pouvais avoir à faire à des malfrats pas forcément conciliants. Et tes mots me confortaient dans cette idée que oui, tu te voyais à la tête de ce réseau de prostitution, ce qui me faisait alors soupirer. « Tu auras besoin d’un bras droit. Assez imposant. Hors de question que tu sois seule quand tu dois négocier avec des potentiels clients. » Et je ne parle pas forcément de moi, mais de quelqu’un de confiance, qui ne me la mettra pas à l’envers. J’étais pas confiant quant à ce plan de te laisser gérer ça toute seule. On l’a bien vu, être une femme pouvait porter préjudice à bien des égards. Mais si tel est ton souhait, tu pourrais gérer ça oui, sous certaines de mes conditions. C’était à rediscuter. Tout comme ton entrainement à venir. Laisse-moi simplement quelques jours, le temps que ton corps se rétablisse. Mais l’heure était à la cuisine, les estomacs criaient alors famine et tu te proposais pour cuisiner. Un bref aperçu de ce qui nous attend quand nous serons chez nous. Je pouvais être ton commis, à condition de rester dans ma tenue actuelle, c’est-à-dire torse nu. Évidemment. « Rince-toi l’œil, oui. » Sourire en coin, avant de t’écouter accepter la viande et les légumes. Tu sortais les légumes, me proposant de les couper, pour que toi tu t’occupes de la marinade. « Je peux. » Tiroir tiré, je sors quelques couteaux pour savoir lequel serait le plus adéquate. Commençant par les courgettes, je coupais en rondelles, puis en dés. Pareil pour les tomates, et je finissais avec les poivrons, m’étant alors débarrassé minutieusement de tous les pépins. « Et maintenant, chef ? » Pour une fois que tu menais la danse, profites-en.


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Je sais que c’est un peu ambitieux de vouloir gérer un réseau pareil, mais j’avais vu nombre de choses en cotoyant les bas-fonds, cohabiter avec des prostituées avait été une partie de mon quotidien et j’inspirais confiance naturellement, c’est une qualité qu’on ne pouvait pas négliger. « Potentiellement. » que je te rétorque en toute franchise tandis que je commence à mélanger différents éléments dans le saladier. Je suis presque étonnée de constater que tu ne refuses pas massivement, mais que tu tentes d’ores et déjà de négocier. Je suis obstinée mais pas inconsciente et je sais que je ne pourrais pas gérer seule. « Disons que mon visage peut-être bien pour les communications disons plus officielles, avec les filles et pour leur recrutement notamment. » Et même si ces types pouvaient évidemment ne pas me respecter, je sais que je parviendrai à l’être finalement. Je ne veux pas t’inquiéter outre mesure et on a décidé de faire les choses ensemble maintenant. « Tu penses à quelqu’un en particulier ? » Je viens te donner les légumes en avouant mon exigence ce qui ne manque pas de t’amuser. Mon regard se veut complice alors que je reprends ma cuisine. On peut pas dire, tu es assez rapide pour ce genre de tâche. « Maintenant coupe un oignon s’il te plaît. » Je viens attraper le dit oignon pour te le lancer à la façon d’une balle. « Attention ! » Je ne te préviens pas vraiment mais je sais pertinemment que tu auras les réflexes suffisants pour stopper le légume dans son mouvement. J’entreprends de sortir la viande pour la préparer comme il se doit et la laisser mariner quelques instants. « Fais attention de ne pas pleurer. » que j’ajoute amusée tout en lavant les mains et dos à toi avant d’attraper tes cheveux entre mes doigts humides pour te tirer doucement en arrière et t’embrasser furtivement.


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Je voulais donner une chance à tes idées, ne pas me braquer comme la dernière fois, pour pas que tu me fasses le même coup. Disons que j’engageais la discussion comme ça et ça nous éviterait bien des soucis par la suite. Toi comme moi savions que c’était le point de non-retour ce qui s’est passé et je ne voulais clairement pas poser de nouveau mes mains sur toi, mon regard se posant encore sur les stigmates de cette nuit sombre. « Pour sûr. » C’était non-négociable ça par contre. Je ne voulais pas qu’il t’arrive quoi que ce soit et c’était le seul moyen que j’avais trouvé pour que tu ne finisses pas victime d’un homme bien trop pervers et attiré par toi. Parce que, soyons honnêtes, tu étais une belle femme et désirable. Si je n’avais pas eu la chance d’être le seul et unique, d’autres auraient pu avoir cette chance, et d’autres auraient aussi pu prendre cette chance de force, comme l’autre soir. Mais non, ça ne doit pas arriver. « Tu communiques qu’avec les filles. Isak s’occupera de gérer les mecs. » Isak c’était un petit jeune, de confiance. Et surtout gay. Alors aucune chance qu’il ne tente quoi que ce soit avec toi. Tout simplement. Mais venait ainsi le moment cuisine, celui qui se voulait simple, efficace. Celui qui nous rapprochait un peu plus aussi, d’une certaine façon. Cette fois, c’est toi qui donnait les ordres, moi qui respectais. Etrange comme configuration, mais pour le coup, ça fonctionnait bien. Légumes coupés, tu me disais de couper un oignon, que tu me lançais telle une balle. Et je la récupérais adroitement. Un sourire avant de me mettre à le couper. J’avais cependant pas anticipé une chose… ce que tu me prévenais juste un instant trop tard. « Merci pour le conseil… » que je disais en reniflant alors d’un coup, passant le dos de ma main sur mon œil droit. « Mais je crois que c’est trop tard. » que je disais après ton baiser furtif. « Profites-en, c’est la seule et unique fois où tu me verras pleurer, femme. » Le regard tourné vers toi pour que tu en aies la preuve, avant d’essuyer mon autre œil par le dos de mon autre main, tout en reprenant la coupe au plus vite de cet oignon de mes deux. Et une fois fini, je m’en éloignais le plus possible pour aller me laver les mains abondamment, pour ensuite me les essuyer et attraper du papier absorbant que je foutais sur ma tronche. « Ok, je sais quoi faire pour les prochaines tortures que je dois gérer. » L’affront de l’oignon.


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Tu ne t’opposes pas à ce projet. Que je vienne tremper dans ce nouveau trafic mais tu tiens tout de même à me protéger, me tenant à l’écart des clients potentiels, des âmes plus malsaines. Je ne dis rien pour le moment car nous commençons tout juste à trouver un terrain d’entente mais une partie de moi sait que tu ne pourras pas me protéger éternellement. On ne plonge pas à demi dans le mal et mieux vaut être armé comme il se doit. Mais chaque chose en son temps. « D’accord. » que je me contente donc de rétorquer, ne sachant pas qui est cet Isak mais je le saurais bien assez tôt. L’atmosphère se veut plus légère et je compte bien m’en saisir, te lançant l’oignon, gloussant quelque peu alors que tu viens te moquer, évidemment tu l’as attrapé facilement, tes réflexes sont aiguisés, surentraînés pour réagir. Je me lave donc rapidement les mains avant de venir te chahuter. « Voilà ce que c’est de ne pas se méfier de l’oignon. » Faut pas croire, il était fort pour tirer les larmes même aux spécimen les plus durs. Même aux spécimens comme toi. Me rejoignant près de l’évier, je te regarde en souriant, mordant mes lèvres pour ne pas rire davantage. Il y a quelque chose d’un peu cocasse à voir un homme tel que toi mis à mal par un simple légume. Je prends une feuille de papier absorbant que je viens humidifier avant de me poster face à toi, attrapant ton visage entre mes mains, je le passe à la bordure de tes yeux. « Le malheur des yeux clairs. » que j’ajoute en m’appliquant à la tâche, nous étions plus sensibles à ces affronts-là. « Allez pas de repos pour les faibles. » J’ajoute ceci légère avant de sortir une gamelle dans laquelle je mets un fond d’huile et les oignons que tu as coupé, remuant de temps en temps. « Il y a des épices que tu n’aimes pas ? » ça peut sembler anodin l’aller-retour dans nos discussions, des détails aussi incongrus que ceux là, mais c’était ainsi qu’on apprenait à réellement se connaître finalement. « Parle-moi de cet Isak. » que je demande en commençant à incorporer les légumes.


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