Gabriel ∆ Quoi de mieux qu'une bonne douche chaude après l'effort ...

Nous 2 étions bien partis pour finir la journée ensemble. A la minute où il débarqua dans les vestiaires, je savais que ça allait mal finir... On était face à face, lui avec sa tonne de mousse sur sa tête et moi contre le mur de la douche. Je savais qu'il allait se venger, et ni une ni deux, il me plaqua contre lui et me passa de la mousse dans le dos. Je me mordillai légèrement la lèvre inférieur, pris mes mains et détachai mes cheveux. Je savais qu'il préférait me voir ainsi, alors pourquoi ne pas mettre toutes les chances de mon côté ? ... « Je crois que je vais faire de même.. » Je pris alors de la mousse qu'il avait dans le cheveux, et lui étalai sur son splendide torse...

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Gab & Freya

Je lâchais un sourire lourd de sens, je l'avais et je me sentais plutôt puissant je devais avoué, d’ailleurs mon outil ne tarda pas à le faire comprendre. Une mais appuyé contre le mur carrelé je m'amusais de voir Freya revêtant son costume de joueuse. Je la laissais étaler la mousse sur mon torse mouillé et l'observais y prendre à malin plaisir. Ma main soigneusement calé sur ses reins je cherchais sa bouche faisant duré l'attente. Ma main glissa sous le seul tissu qu'elle avait encore « Très bien... » J'acquiéçais et empoignait doucement son petit cul rebondit. Merde c'que cette petite peste me faisait de l’effet. Je lâchais un rire discret lorsque je la vis détaché ses cheveux. Elle me voulait, c'était certain, malgré toute la haine qu'elle avait envers moi. Elle ne pouvait pas me résister et ça me rendu d'autant plus dure. Ma main glissa alors sur sa cuisse que j’agrippais gentiment la faisant remonter à ma taille. J'étalais le savon sur sa jambe impécable sans ma quitté des yeux et l’emprisonnais contre le mur glacé.

Ca y'est, nous étions lancé, ni rien ni personne ne pouvaient nous arrêter... On ne pouvait pas faire marche arrière, et je savais très bien que je le regretterai... Non pas parce que ça n'allait pas être bien - bien au contraire... - mais plutôt parce que je me laissais bien trop avoir avec Gabriel. D'habitude, je n'étais pas comme ça avec les mecs, j'arrivai toujours à les repousser, mais on aurait dit que Gabriel était différent... Non pas parce qu'il avait une personnalité originale, car je vous avoue qu'on a jamais essayé de parler plus de 5 minutes ensemble, mais parce qu'il y avait quelque chose chez lui qui m'attirait... Gabriel me plaquait maintenant contre le mur. Il fit passer sa main sous mon boxer et me toucha les fesses. Je me mordillai la lèvre, car tout ça avait le don de l'exciter, et ça se voyait bien... Il prit alors ma cuisse et la leva contre sa hanche. « Tu sais, si je me laisse faire, c'est seulement car j'ai passé une mauvaise soirée et je n'ai qu'une envie, me détendre... » Je ne voulais vraiment pas que Gabriel me prenne pour acquise et c'est pour cela que j'en étais venu à me justifier..

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Gab & Freya

L'eau brûlante fouettais à présent nos peau l'une contre l'autre. L'impatiente commençait à se faire sentir. Mes doigts entrelaçant l'énervant tissu qui d'une minute à l'autre allait se briser étant donné la pression avec laquelle je le tenais enfermé dans mon poing. j'embrassais la gorge cambré de Blondie lorsque... Il faudrait peut-être que tu t'y prennes mieux, même ton père embrasse mieux que toi... J'arquais de nouveau un sourcils et souris à cette remarque taquine. Je remontais son menton et embrassais ses lèvres pour la faire se taire. Elle aimais jouer donc. Je fermais le yeux et l'embrassais frénétiquement. « Et ta mère... Y'a moyen de la rencontrer pour se faire une idée ? » Dis-je mordillant sa lèvres inférieur. L'excitation me reprit alors et plaquant sa poitrine contre mon torse, j'agrippais violemment ses cuisses pour les enrouler autours de ma taille. Ne pouvant à présent plus s'arrêter en si bon chemin, j'embrassais toujours plus sa bouche sucré tendis que mes mains elle, martyrisais son postérieur. Je serrais les dents au comble du désir. Je me tournais alors et fis à mon tour dos au mur. Je me laissais glissé sur la paroi Blondie agrippé à ma taille et m'assis sous le jet d'eau ardent. Je reposais mon dos sur le carrelage, baladant mes doigts doucement sur le bas vente de la jeune fille qui me chevauchait à présent. Lentement je remontait sur ses côtes apparente tandis que tout mes muscles se contractaient à l'unissons. Ma mâchoire se crispas alors et je ne pus me retenir d'empoigner ses merveilleux seins rebondit. J'attrapais son cou de mon autre main et sous l'emprise du moment nos lèvres animé ne se quittaient plus. Je serrais les dents tant Blondie remuait sur moi, il fallait que ça cesse. Stoppant un instant nos ardents baisé. Je baissait la tête vers son bas vente. Je laissais glissé mes mains mouillé aux extrémité de son buste et attrapais ses fesses pour la soulever quelques peu. Je fis glissé le boxer le long de ses fines cuisses et le regardais se mouvoir pour l'enlever, une main sur mon organe bouillant.

En fait, j'aime que les mecs prouvent qu'ils tiennent à moi. J'aime me faire désirer et je déteste par dessous tout qu'on me prenne pour chose acquise. Alors c'est pourquoi je devais montrer à Gabriel que je n'étais pas une fille si facile... Les tensions entre nous 2 devinrent de plus en plus chaudes mais je me devais de ne pas craquer de suite. Les lèvres mouillées, Gabriel m'embrassa. C'est alors qu'en me disant « Toujours partante pour te détendre ? » je lui répondis « Il faudrait peut-être que tu t'y prennes mieux, même ton père embrasse mieux que toi... » A l'instant même où je prononçai cette phrase, je savais très bien comment Gabriel allait réagir... Ces paroles allaient alors le forcer à être bien plus entreprenant et qu'on allait pouvoir passer à la vitesse supérieur. Je passai alors mon bras derrière son cou, mon autre main passa dans mes cheveux et je lui dis « Toujours partant ? »

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Gab & Freya

L'eau brûlante fouettais à présent nos peau l'une contre l'autre. L'impatiente commençait à se faire sentir. Mes doigts entrelaçant l'énervant tissu qui d'une minute à l'autre allait se briser étant donné la pression avec laquelle je le tenais enfermé dans mon poing. j'embrassais la gorge cambré de Blondie lorsque... Il faudrait peut-être que tu t'y prennes mieux, même ton père embrasse mieux que toi... J'arquais de nouveau un sourcils et souris à cette remarque taquine. Je remontais son menton et embrassais ses lèvres pour la faire se taire. Elle aimais jouer donc. Je fermais le yeux et l'embrassais frénétiquement. « Et ta mère... Y'a moyen de la rencontrer pour se faire une idée ? » Dis-je mordillant sa lèvres inférieur. L'excitation me reprit alors et plaquant sa poitrine contre mon torse, j'agrippais violemment ses cuisses pour les enrouler autours de ma taille. Ne pouvant à présent plus s'arrêter en si bon chemin, j'embrassais toujours plus sa bouche sucré tendis que mes mains elle, martyrisais son postérieur. Je serrais les dents au comble du désir. Je me tournais alors et fis à mon tour dos au mur. Je me laissais glissé sur la paroi Blondie agrippé à ma taille et m'assis sous le jet d'eau ardent. Je reposais mon dos sur le carrelage, baladant mes doigts doucement sur le bas vente de la jeune fille qui me chevauchait à présent. Lentement je remontait sur ses côtes apparente tandis que tout mes muscles se contractaient à l'unissons. Ma mâchoire se crispas alors et je ne pus me retenir d'empoigner ses merveilleux seins rebondit. J'attrapais son cou de mon autre main et sous l'emprise du moment nos lèvres animé ne se quittaient plus. Je serrais les dents tant Blondie remuait sur moi, il fallait que ça cesse. Stoppant un instant nos ardents baisé. Je baissait la tête vers son bas vente. Je laissais glissé mes mains mouillé aux extrémité de son buste et attrapais ses fesses pour la soulever quelques peu. Je fis glissé le boxer le long de ses fines cuisses et le regardais se mouvoir pour l'enlever, une main sur mon organe bouillant.

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Gab & Freya

Blondie. Oh Blondie. Ses mains autours de mon engin, je me laissais aller contre la faïence, mon crâne inopérant reposé contre le céramique. M’abandonnant aux caresses de cette déesse j’entrouvrais quelque peu la bouche en fermant les yeux. J'avais presque oublié à quel point Freya savait se servir de ses petit doigts. La cadence s'accéléra et je grimaçais sous le plaisir, sentant que mon sexe dure comme la pierre allait exploser d'une minute à l'autre. Stoppant le supplice je me redressait subitement attrapais Blondie par le cou et torturais ses lèvres. J'enlaçais alors son corps frêle et la regardais dans les yeux avec envie avant de mordre sa lèvre inférieur violemment. Lorsque j'entrais en trans de la sorte, mes idées devenaient troubles et j'agissais de manière instinctive, Blondie en était la victime. Je me penchais alors en arrière ne lâchant pas ses yeux et redressais mon pénis vif. Je posais une main sur son ventre parfaitement plat et la cambrais sensuellement en arrière pour glisser mon bout humide entre ses lèvres moitent. Un frisson me parcouru l'échine lorsque notre intimité s’effleura et je lâchais un râle bestiale de plaisir lorsque j'entrais enfin en elle.

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Gab & Freya

Le souffle court, j'attrapais les cheveux de Blondie, et cambrant sa nuque érotiquement. Dansant des hanches sur moi, je grimaçais, sentant la pression monter en moi. Dans un rythme de plus en plus effréné je m'approchais d'elle embrassais ardemment sa gorge , puis son menton pour enfin remonté rejoindre ses lèvres. Mes mains glissèrent le long de son dos cambré et je fermais les yeux. Putain ce que c'était bon. Nous deux corps serré dans cet espace, nos souffle court raisonnant à travers la pièce, trempé l'un contre l'autre. Je serrais ses hanches tout en grognant de plaisir, l’incitant à allé plus vite encore. J'ouvris les yeux et regardais Blondie se déhancher sur mon membre, les vas et viens me rendais fou. Ses cheveux mouillé laissaient tombé des gouttes sur mes cuisses et j'attrapais son cul pour le ramener à moi. Ses seins parfaitement dessiné se remuaient devant mes yeux et je ne pus de m'approcher pour les embrasser violemment. Mes laissant aller contre ses courbes la respiration haletante. Je soufflais contre sa peau, le jet d'eau brûlant coulant dans mon cou.

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