# Knocking on Heaven's door | Charlie

Gab & Charlie

Affalé sur le lit, j’appréciais. J’appréciais les draps écrasé par mes poings serré la silhouette bandante de Charlie me surplomber. Elle savait y faire comme personne d'autre ne savait y faire et à dire vrai j'étais d'autant plus excité de savoir le nombre de mecs qu'elle s'était fait et qu'elle continuait toujours de me préféré à tous. Je la sentis descendre doucement et j'ouvris un œil. Non. J'étais mort. Je ne pouvais tout simplement pas résisté aux lèvres de Charlie sur mon organe et je craignais le pire. Avant même qu'elle ne l'ai enveloppé de sa bouche je sentis Paul se raidir d'autant plus. Précipitamment j'attrapais alors le coussin à côté de ma tête et me le collais sur la gueule le mordant de toute mes forces pendant que Charlie me torturais à coup de vas et viens mouillé. Mon esprit m'avait complètement lâché et je tombais fou amoureux d'elle comme à chaque fois qu'elle jouait de façon sadique avec mes parties intimes. Je me sentis monté alors soudainement lorsqu'elle s'amusa avec mon gland et me redressais subitement en balançant l'oreilléà travers la pièce pour la faire s’arrêter. J'attrapais ses hanches pour relever et collé son buste au mien tant je l'embrassais fougueusement. J'empoignais. une fois encore son cul parfaitement rebondit et mordais la peau de son cou la respiration saccadé. Assis, Charlie à cheval sur moi, je ne pouvais plus attendre. J'étais sans doute pressé, mais la pression montais en moi comme une envie de pisser. J'attrapais ses hanches et soulevais son petit corps pour la faire se rassoir cette fois sur mon membre en érection. Je lâchais un râle de satisfaction et serrais les dents en enlaçant sa fine taille. Ce plaisir ne faisait que commencer.

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Dansant sur moi sensuellement, Charlie me rendait fou. Je n'avais jamais rencontré quelqu'un qui me faisait perdre pied aussi vite. Avec elle, on ne se posait pas de question, c'était du sexe, du plaisir, pur et dur et c'est ce qui rendait la chose inimitable. Il n'y avait aucun gène, aucune retenue, on faisait ce que bon nous semblait. Je serrais les dents observant ses immenses yeux vert, putain c'qu'elle était belle en plus de ça. J'attrapais ses hanches sauvagement, me pinçant la lèvre et j’accélérais ses mouvements de bassin. Ses seins tapaient sur mon torse puissant tandis que mes doigts torturais la peau de ses hanches. Je l'embrassais le souffle court, je passais une main derrière son cou les sourcils froncé de plaisir et l'embrassais plus encore tant elle se remuait sur moi. Le plaisir monta en moi et je serrais les dents pour que ça ne s'arrête pas. Je jouais avec ses lèvres érotiquement tandis que j'entourais de mes bras autoritaire son buste svelte. Je la serrais fort dans mes bras, ma tête se perdant dans son cou humide, par mon souffle fiévreux. J'embrassais sa clavicule et mis à mon tour des coup de reins puissant . Je ne contrôlais plus rien, nos deux corps en parfait harmonie. Je la couchait alors sur le dos avec moi, et me retirais doucement me plaçant correctement sur son anatomie parfaite. Je l'embrassais sur le front et lui sourit. « On fait pas ça assez souvent sweetie » J'observais son visage malicieux et sans attendre de réponse, j'entrais en elle brusquement. Mes muscles se contractèrent à l'unisson mais je me forçait à ouvrir les yeux pour observer Charlie grimacer de plaisir. Mes vas et viens se firent rapide très rapidement et mon visage au dessus du siens je ne quittait pas ses yeux, je voulais la voir prendre son pied, je savais très bien que je ne m’arrêterais pas tant que je n'aurais pas eu cette satisfaction.

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Mon corps moite contre le siens je faisais sautillé son silhouette sur le matelas à coup de reins puissant. Je ne contrôlais plus mes fais et gestes j'étais guidé que par ce putain de plaisir qui raidissait mes membres un à un tant j'entrais et je sortais de Charlie. Je serrais les dents accentuant d'autant plus la frénésie qui nous prenait à présent. Je l'embrassais ardemment un boule à l’estomac calquant mon rythme sur ses petit cris strident. J'étais fou lorsque je les entendait et mon corps répondait à chacun des sons. J'attrapais sa chevelure brune dans ma main sentant que d'une minute à l'autre nous allions pâlir. Empoignant sa crinière ébène je l'embrassais difficilement, le souffle saccadé par le rythme effréné que nous empruntions à présent. Je me mordis la lèvres violemment toute en fermant les yeux très fort cette fois lorsque Charlie poussa un cris qui déclencha la foudre en moi et j'explosais en elle dans un râle barbare.
J'ouvris alors les yeux et reprenant mon souffle je plongeais mon regard dans celui de Charlie encore tremblante. Je souris gentiment. La voir dans cette état là était ma partie préféré. Elle s'accrocha alors à mon cou de ses bras dénudé et je lui donnais un dernier baisé beaucoup plus tendre. « Putain.... T'es un sacrément bon coup quand même ! » Je riais doucement contre ses lèvres et reposais mon front contre le siens reprenant mon souffle. Quand j'étais comme ça elle, je ne voulais plus m'en aller.

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Allongé sur le lit, Charlie à mes côtés sous la couverture, j'observais le plafond reprenant mes esprits. J'écoutais la musique qui résonnait encore à travers la pièce et me tournais vers elle. Je souris en voyant son visage. On savait parfaitement quand on prenait notre pied, Charlie n'avait d'ailleurs pas de scrupule à me le balancer lorsque j'étais nul au pieu. La première fois, mon putain d’ego en avait pris un coup, et puis finalement ces fois là était tellement rare que je les oubliais souvent. Je lâcher un rire discret à sa remarque et arquais en voyant sont visage d'enfant, ce n'était pas ce visage là qui me faisait cédé « Je suis un Dieu, je sais ! » je l'embrassais rapidement sur le front « Yep, je vais te chercher ça. » avant de m’extirper du lit et d'enfiler mon caleçon. Je me penchais sur la table de nuit et attrapais mon paquet de Lucky, je l'ouvris m'en fourrais une dans le bec et chopais le briquet à côté avant de m'affaler une seconde fois sur le couchage. Je l'allumais précautionneusement et ouvrit mon bras tout en prenant une taff pour que Charlie vienne s'y nicher. « J'avais de la weed sinon sweetie » je tournais la tête et la jaugeais du regard en recrachant ma fumé avant de lui tendre le mégot. « Je pense m'en ramener une fois qu'on sera rendu en Thaïlande ! Je m'arretais Putain c'que j'ai hâte ! Je laissais allé ma tête contre le bois du lit et regardais Charlie T'imagine : toi, moi les Mathers et le soleil, ça va être énooorme.» Je souris et fit une pression sur l'épaule de Charlie pour qu'elle me suive dans mon enthousiasme.

Knocking on Heaven's door.

Franchement, j'aimais prendre mon pied avec lui. C'était mon meilleur ami, et on se ressemblait sur beaucoup de point. Et il faut avouer qu'on s'accorder très bien au lit. «Je suis un Dieu, je sais ! Yep, je vais te chercher ça. » Il m'embrassa sur le front avant d'aller chercher les clopes. Franchement, quoi de mieux qu'une bonne cigarette après avoir baiser avec un sacré bon coup. Je me nichais dans ses bras, comme il m'y invitait silencieusement. « J'avais de la weed sinon sweetie » Je pris tout de même le mégot qu'il me tendait et tirait une taffe avec délice. Oui, j'aurai pris volontiers de la weed. Mais bon, en même temps, j'étais bien là, dans ses bras avec notre clope. Pourquoi cherchez plus quand on était bien? « Je pense m'en ramener une fois qu'on sera rendu en Thaïlande ! Putain c'que j'ai hâte ! T'imagine : toi, moi les Mathers et le soleil, ça va être énooorme.» Je souris et tirais une nouvelle taffe sur la cigarette avant de la lui redonner. Oui, j'étais bien. "Oui, ça va être génial. En plus, j'ose même pas imaginer ce qu'on peut trouver là bas à fumer... Rien que d'y penser..." Je me blottis contre lui, un peu rêveuse en y pensant. "Et toi mon beau, quoi de nouveau dans ta vie?" Je voulais pas parler de moi, mais peut-être que lui avait des choses à me raconter...

Gab & Charlie

J'observais le plafond encore une fois toute en prenant la Lucky entre mes doigts. Que ce passait-il dans ma vie ? Je ne savais pas par ou commencer. Je pris une taff et jouais en crachant des rond de fumée en l'air. Est-ce que je devais lui raconter pour Blue ? Charlie serait déçue à coup sur. Elle serait déçue de ne plus être la seule femme dans ma vie. De ne plus être la plus importante du moins. J'étais frustré. Pour l'instant il n'y avait rien. Je n'avais pas donné de nouvelle à Blueberry depuis notre escapade à Earlington mais … Je devais avoué que cette fille hantais mon esprit. Je caressais l'épaule de Charlie en me laissant porté par la musique, peut-être qu'un joint m'aurais aidé à sortir toute cette merde de ma tête. « Y'a bien quelque chose... Quelqu'un quoi... » Je repris une taff sans la regarder. Putain je détestais avoir ces sentiments de merde. J'étais bien la avec Charlie, on ne se posait pas de questions, on s'amusait, partageait des moments et c'était tout. Blue, c'était tout autre chose. Une relation, c'est ce qu'elle cherchait. Ce n'était pas le genre à partager. « Mais je sais pas, je doute... » Je soufflais ma fumé et vint tapoté la clope sur le rebord du cendrier qui était sur la table de chevet. Je me passais une main sur le visage. Est-ce que j'étais prêt pour ça ?

Knocking on Heaven's door.

Avant d'être quelqu'un avec qui je couchais, Gabe était mon meilleur ami. Et normalement, le fait qu'on couche ensemble nous avait jamais empêché de parler de ce qui nous perturbait. Je voulais pas que ça change. Je le sentis me carresser l'épaule et je me blottis un peu plus contre lui. Je pouvais sentir que quelque chose le perturber. Mais s'il ne voulait pas en parler, je respecterais son choix. On se poussait jamais à parler, c'était toujours un libre choix. « Y'a bien quelque chose... Quelqu'un quoi... » Nous y voilà. Une fille. J'étais pas le genre possessive généralement, sauf peut-être avec Soliman mais ça c'était encore une autre histoire, alors je n'avais pas de problème à écouter les problèmes de coeur de mon ami. Je devais tout de même avouer que coucher avec lui me manquerait s'il se mettait un jour en couple, mais bon, c'était Gabe, ça semblait pas franchement possible. «« Mais je sais pas, je doute... » En même temps, je pouvais me tromper. Il avait franchement l'air de se poser des questions, je l'avais rarement vu comme ça. Je lui piquais la clope et tirais une taffe. Hum, bon, que faire? "Tu veux en parler? Sinon, on peut changer de sujet... Ou faire autre chose..." Non, c'était pas une proposition indécente, enfin, j'étais pas certaine qu'il soit physiquement capable d'enchainer avec un deuxième round si rapidement. Mais c'était pour lui dire qu'on faisait comme il le sentait.

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