# Knocking on Heaven's door | Charlie

Gab & Charlie

Allongé sur le sol de ma chambre j'écoutais d'une oreille inatentive le récit de Hunt – mon colloc de chambre et accessoirement un romantique fini - sur une latino qui lui avait préféré un bobo friqué. Non pas que je n'étais pas interessé, au contraire, entendre un pote se lamenter pour une petite brune au cul rebondit était un de mes passe-temps favori, mais j'étais bien trop high pour ça. Tirant sur mon pilon j'observais stone la fumée vogué devant moi, formant des nuages expressif auxquels seul moi trouvait un sens. Je tournais la tête vers mon pote, les yeux fatigué. « T'en trouveras une autre mec. » dis-je la fumé encore dans mes narines. je le vis crisper la mâchoire. Merde, ça n'avait l'air d'être qu'une simple petite brune au cul rebondit. Je me redressait quelque peu lui passant le join que je tenait entre les doigt, il n'avait pas l'air bien et j'étais franchement une chèvre à recomforter les gens. Je n'avais jamais les bon mots et l'humour n'étais pas vraiment une arme efficace dans ce genre de situation. Je me tus, espérant que la beu ferait l'éffet escompter. Il jaugea le mégot et pris une latte. « Je vais aller faire un tour me vider la tête. » J’acquiesçais reprenant mon dû. « T'as raison gros, ça te fera du bien. » je lui fis une tape amicale sur l'épaule et tentais de me relever péniblement. Je m'étais jurée d'arrêtais de fumée cette année, ça avait le don de me rendre impuissant parfois et je n'aimais clairement pas cette sensation. Hunt quitta la pièce rapidement et je me retrouvais seul dans mon 15m².

J'écrasais ma fin et commençais à avoir chaud. Je retirais mon T-shirt et le jetais dans la pièce montant le son de la station d'iIod qui faisait raisonné Macklemore à travers la pièce. Je tirais sur mon jogging gris et m'affalais demi-nus sur mon lit attrapant mon Blackberry qui trainait sur la table de nuit. Je passais les contacts un par un sachant très bien que j'allais m'arrêter sur Blue... Je me sentais vraiment con. Je me passait une main sur le visage quand j'entendis frapper à la porte. « La balade était rapide » balançais-je au vent.

Knocking on Heaven's door.

J'en avais marre. Trop de questions tournaient dans ma tête depuis que cette foutue bombe avait explosée. Des choses dont j'étais sur depuis des années se trouvaient remises en question. Est-ce que je devais essayer d'arranger les choses avec Apple. Et puis, j'avais appris qu'elle avait encore fait son intéressante pendant l'attentat. Non mais quelle idée de laisser un mec te faire une déclaration d'amour quand un taré voulait vous faire exploser. Typiquement Apple et son besoin maladif d'être le centre d'attention. Mais rien n'y faisait, j'avais toujours cette envie d'aller la voir et de mettre les choses à plat. Et ça me rendait chèvre. Ca se voyait, je fumais encore plus que d'habitude, et c'était pas peu dire. Il fallait que je trouve un moyen de décompresser et de penser à autre chose.
C'est là que j'ai penser à rendre une visite à Gabriel. Lui et moi avions d'abord eu une relation amicale on ne peut plus simple. Franchement, il m'avait presque fait croire à l'amitié fille-garçon. Et puis, un soir, on a couché ensemble pour se remonter le moral. Depuis, on a cette relation d'ami et plus si besoin. Et bon, je sais que Gabe risque d'avoir une petite dose de quelque chose chez lui et je peux pas dire que je cracherais dessus. J'arrivais devant la porte de sa chambre et je toquais. « La balade était rapide » On va dire que je peux entrer. Je pousse la porte. Je le trouvais à moitié à poil sur son lit. Pas mal, pas mal. Je sentais pleins d'idées me parcourir la tête et aucune ne s'approchaient d'Apple. Je m'arrêtais au pied du lit, croisais mes bras et fit une moue déçue. "C'est comme ça que tu me reçois?". Oui, j'aimais être bien traitée, et j'hésitais pas à le faire savoir. Mais j'avais quand même un petit sourire sur les lèvres, ça devait être du au fait que Gabe était torse nu....

Gab & Charlie

Balançant en l'air la balle de base-ball qui airait sur la table de chevet, je mimais les paroles du célèbre tube, sans prêter grande attention à Hunt qui passait la porte. Ce type était vraiment gentils mais parfois il était plutôt étrange, donc lorsque je ne l'entendit pas répondre à ma réplique, je ne fus pas étonné et fronçait un sourcils concentré sur la balle. Une silhouette élancé me cacha alors la lumière et la balle me retomba sur la gueule. Je grimaçait et rouvrit les yeux pour apercevoir Charlie planté devant moi. Un sourire fendit immédiatement mon visage et j'attrapais ses hanches pour la basculé sur le lit. « Charlie ! ». Je le pris dans mes bras chahutant alors qu'elle s'installait sur mon épaule. J'adorais Charlie, elle était un peu tout à la fois. Le meilleure pote avec qui je jouait des nuit entière à la Xbox, celui avec qui je me roulait des joints, l'amie qui savait dire ce qui fallait quand il fallait, celle qui savait écouter, me faire marrer mais elle était surtout de loin, mon meilleure coup. C'était un petit mon âme-soeur finalement. On s'était bien trouvé. Je caressais gentiment la peau de son bras en la regardant. « Qu'est-ce qui t'amène honey ? Envie d'passer un peu de temps avec un vrai mâle pour une fois » J'haussais un sourcils en contractant mes abdos, Charlie avait beau être une fille plus qu'à part, elle n'avait jamais dis non. Je sourit en la charriant.

Knocking on Heaven's door.

J'étais contente de voir son sourire quand il m'eut reconnu. Oui, Gabe c'était vraiment mon pote. Celui avec qui je pouvais faire plein de trucs stupides sans qu'il me juge. Une des rares personnes à ne pas essayer de changer qui j'étais. Une bouffée d'air frai en fait. Parce que dans ma vie, j'avais des personnes que j'adorais, mais la plupart avait tendance à vouloir me faire changer, à me dire d'arrêter la drogue ou penser que mon comportement n'était pas approprié pour la fille de bonne famille que j'étais. Moi, je les emmerde. Tant pis pour eux s'il n'aime pas mon caractère, s'ils pensent que mon caractère est pas le bon. Je suis comme ça, et je trouve des gens qui m'aime comme ça. Comme Gabe. En plus, pour rien gâcher, c'était un sacré bon coup. D'ailleurs, il m'attrapa par les hanches et m'attira vers lui. Je me laissais faire en riant. J'aimais ça, chahuter avec lui, sans me prendre la tête. A vrai dire, je me prenais rarement la tête avec lui. Je posais ma tête sur son épaule et il commença à me caresser le bras. Je ris à son commentaire. "J'ai passé tout mon répertoire en revue mais t'étais le seul libre, alors j'ai du me contenter du dernier choix ". Je souris, j'adorais le taquiner. J'en profiter aussi pour jeter un oeil sur ses abdos. Franchement, si ça c'était pas une invitation à la débauche! " J'avais envie de passer un bon moment, forcément j'ai penser à toi! " Je lui fis cette fois un sourire des plus suggestif. Je n'étais pas le genre de fille à cacher ce dont j'avais envie.

Gab & Charlie

Regardant Charlie je laissais tombé les armes. Elle avait le dons de vraiment trouvé mes points faible, surtout lorsqu'il s’agissait d'arriver à ses fin, mais je devais avoué que j'adorais ça. C'était souvent le même principe, elle se logeait sur mon épaule me balançait son regard aguicheur d'en bas en faisant la moue et s'était infaillible. Il fallait dire que putain ce qu'elle était bonne. J'étais plutôt chanceux, j'avais l'avantage de m'amuser avec une des filles les plus convoité du campus. Son regard s'aventura sur mes abdos et je pris mon regard plein d'assurance. Je devais avoué que je faisais un peu le mec quand j'étais avec elle, mais c'était notre jeu à nous. Lorsqu'elle me balança le sourire codé, je l'observais un instant souriant malicieusement.« Je vois... » Je me levais alors subitement du lit et trottinais jusqu'à la porte. Je posais alors ma main sur le verrou et le tournais doucement. Hunt ne profiterait pas du spectacle aujourd'hui. Je m'avançais alors doucement vers le lit échangeant des regards toujours plus complice avec Charlie. « On discute un peu ou... Je m’arrêtais et la regardais étendu sur mon lit. Mes pensées me renvoyèrent alors à ce qui s'y été déjà passé... On passe directement au chose sérieuse ? » Continuais-je, plus emballé par la seconde option.

Knocking on Heaven's door.

Je souris en voyant que Gabe avait compris le message. Je me rinçais l'oeil alors qu'il allait verrouiller la porte de sa chambre. Bien... Je détestais être dérangée quand j'étais occupée. Et comme j'allais surement être bien occupée d'ici peu, le verrou était la meilleure solution. Son commentaire me fit rire. J'avais envie de jouer, et c'est ce que j'allais faire. J'enlevais ma veste en cuir que je jetais à l'autre bout de la pièce."On peut bien parler, si tu veux. Mais bon, il faut que je me mette à l'aise, tu vois. ". Je le regardais droit dans les yeux et enlevais mon t-shirt qui pris le même chemin que ma veste. J'avais une soutient-gorge noir avec un peu de dentelle sur les côtés, une pièce assez sexsy je dois dire. Je m'allongeais sur le dos et me surélever légèrement en m'appuyant sur mes bras. Oui, je l'aguichais, mais c'était le but, non? Je faisais mine de rien, mais je me doutais bien que ça devait l'exciter, au moins un petit peu. "Alors, Gabe, de quoi veux-tu parler? " J'aimais faire monter la température, ça pimentait les choses et il faut dire que j'aimais me sentir désirée. Et puis, il n'allait pas se plaindre de m'avoir allongée sur son lit à moitié nue, non?

Gab & Charlie

Sans sourcillé je regardais Charlie retirer ses vêtement un à un. Je suivis les tissu qui vola à travers la pièce des yeux et me re-concentrais sur le tableau sublime qui s'offrait à moi. Je retins mon souffle lorsqu'elle se cambra demi-nue sur les draps, et serrais la mâchoire en souriant, tendu. Je laissais mes yeux se balader sur son bas ventre, puis sur ses seins, quand je tombais sur son visage. Charlie m'allumais sauvagement du regard et je lâchais un rire discret à ses remarques. J'haussais les épaules et montais à genoux sur le lit me rapprochant d'elle. J'attrapais un de ses mollets gentiment et l'attirait vers moi afin d'écarter ses fines jambes encore emprisonnées dans le jean. Je me glissais entre elles et me penchait sur la jeune fille. « On pourrait par exemple parlé.... murmurais-je tant je m'approchais de sa bouche. de... ce que ce soutient gorge fait encore là ? » continuais-je doucement, passant une main experte dans son dos pour dégrafer le textile dérangeant. Je retirais gentiment le sous-vêtement soutenant le regard taquin de Charlie, jamais je ne m'amusais autant avec quelqu'un. Je balançais la dentelle sur le côté du lit, n'ayant que foutre du superficielle, attrapais ces lèvres chaude faisait cessé l'attente insoutenable et plaquait mon torse contre sa poitrine nue. Je la regardais alors dans un sourire « Problème résolu ! » j'haussais les sourcils en la regardant « Alors à moins que t'es une autre idée..., je te propose du sexe sweetie » je dévoilais un grand sourire vint joué avec sa lèvre inférieur..

Knocking on Heaven's door.

Mon petit numéro lui avait fait de l'effet, ça se voyait. Mais après tout, il fallait bien être gay ou castrat pour ne pas me trouver sacrément sexy en ce moment. Et non, ce n'était pas de la prétention, mais des faits. J'étais bien foutu, la nature avait été sympa avec moi. Une fois que j'avais passé outre ma maladie, j'avais développé de jolie formes là où il fallait. Et ça plaisait aux hommes, c'était bien normal. Je sentis mon corps réagir au contact de Gabe et je souris en le voyant s'approcher de moi, frémissant déjà à l'idée de ce qui allait se passer entre nous. Je lâchais un petit rire à ses mots, mais sa bouche près de la mienne me troublait. Bientôt, mon soutient gorge suivit le chemin de mes autres vêtements et je n'allais pas me plaindre. Peu après il m'embrassa et je lui rendit son baiser, y mettant de la fougue et de la passion. J'aimais sentir son torse contre ma poitrine nue et j'avais hâte que nous jouions avec nos deux corps. Je souris à sa proposition. Il me connaissait assez pour savoir que je n'étais pas le genre de fille à dire non. Il jouait avec ma lèvre et plutôt que de lui répondre je l'embrassais à nouveau, toujours avec la même fougue. Je détachais mes lèvres des siennes et je les fis remonter vers son oreille, piquant des baisers tout au long. Arrivée à son oreille, je jouais un peu avec le lobe de celle-ci, la mordillant légèrement. Puis je lui susurrais. "Je trouve que tu es un peu trop vêtu à mon goût, donc je vais régler ce problème... ". Mes mains partirent s'occuper de son jogging, et je lui ôtais dans le même temps son slip. Voilà qui était beaucoup mieux. Je lui adressais un sourire aguicheur, attendant son prochain mouvement.

Gab & Charlie

Allongé entièrement nu sur le frêle corps de Charlie, j'embrassais son cou voracement. Me frottant contre le tissu énervant de son jean noir, j'attrapais sa bouche, trouvais ses lèvres et nos langues se mêlèrent l'une à l'autre dans un soupir de contentement. Charlie savait me rendre fou et c'était exactement ce qu'elle venait de faire en quelques seconde à peine, me mettre en trans. Mon corps pesait de plus en plus sur son squelette, lourd, chaud et entre ses cuisses mon membre saillant à présent dur comme la pierre fit naître une chaleur brusque dans mon bas ventre. Ni une, ni deux j'embrassais son cou, descendis dans sa nuque et attrapais ses seins avidement avant de les embrassé à leurs tours, je la regardais rapidement taquin et fit glissé ma bouche sur son ventre parfaitement plat lentement avant de déboutonné, encore une fois d'un geste expert, son jean. On se connaissait à présent sur le bout des doigts et c'est ce qui faisait que le sexe était si bon. J'attrapais les deux extrémité du jean et tirais sur celui pour qu'il glisse doucement sur ses fines cuisses. J'embrassais sa cuisse au passage, me rallongeais sur elle et l'embrassais toujours plus haletant. Mon médaillon qui flottait dans son cou, j’attrapais ses hanches bestialement et basculait sur le côté l'emportant avec moi. Je souris lorsque je l'admirais a califourchon sur mon engin, son petit boxer noir nous barrant la route. Je lassais tombé ma tête sur le coussin, elle savait que j'adorais lorsqu'elle prenait les rennes. Je fermais les yeux et empoignais ça poitrine. On était en osmose.

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