Lion - Mark

Lion

Ikinokoritai. Ikinokoritai. Mada ikiteitaku naru. Seiza no michibiki de ima, mitsumeatta. Ikinokoritai. Tohou ni kurete. Kirari kareteyuku. Honki no karada misetsukeru made. Watashi nemuranai. Ikinokoritai. Umaranai hizu. Hikari osoreteta. Yurusaretai inochi ga ima, hikareatta. Samayoi hatete. Kimi no tonari de hoterishizumetai. Honki no karada misetsukeru made. Watashi nemuranai.
w/@Mark Underhill

La journée avait été très longue... J'étais prise de vertiges et de nausées qui ne semblaient pas vouloir passer. Il m'avait fallut presque trois heures pour trouver le courage d'aller jusqu'à la salle de bain où j'avais passé le reste de ma journée, accoudée à la cuvette, attendant que les choses se passent.

La montre au poignet, le portable pas très loin de moi, je maintenais les apparences lorsque mon corps me laissait un peu de répit. Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas senti aussi mal...

Attendant patiemment que ça aille mieux, ce ne fut qu'au alentour de 18h que j'avais trouver la force de me lever pour prendre une douche. Tous les gestes semblaient me demander un effort surhumain aujourd'hui. J'avais mal aux mains, les jambes tremblaient comme un shaker de boite de nuit. Je faisais pitié à voir.

Arrivant à enfiler un débardeur et un pantalon, je ne pris même pas la peine de remettre ma perruque. Traversant la chambre pour finalement me retrouver dans les escaliers, je sentis ma jambe se dérober sous mon poids et puis le trou noir...

Quelque chose irradié sur le flanc droit de mes côtes ainsi que sur ma pommette. Me faisant immergé doucement. Ouvrant les yeux, je mis quelques minutes à comprendre où je me trouvais... M'asseyant, je posais une main sur ma joue. Elle était brûlante.

Prenant appuis sur le canapé, je me redressais finalement avant d'aller m'allonger dessus. Encore un peu sonné par ce qu'il venait de se passer.

Elle avait la joue rouge mais elle ne semblait pas saigner.
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Alors que Mark avait passé sa journée à travailler comme un acharné, il avait laissé partir les garçons un peu avant 18h pour pouvoir faire un peu de rangement avant sa fin de journée et aller rejoindre sa belle. Mettant la musique un peu plus fort étant donné qu’il avait besoin de moins de concentration, il nettoyait et rangeait les outils lorsqu’un bruit retentit dans la partie M.C. du Holy. Il fronça un peu les sourcils et appela Bisou qui aboya.

- Qu’est-ce que t’as cassé encore le chien ? lança-t-il alors que le chien aboyait à nouveau, venant jusqu’à lui et tirer un peu sur son jeans. Qu’est-ce que tu fous ? Attends, laisse moi ranger ça…

Enlevant son museau de son jeans, il rangea sa clé anglaise à sa suspension avant de suivre le chien.

- T’as trouvé une souris ou quoi ? demanda-t-il en le suivant.

Mais il blêmit en voyant la jeune femme, sa compagne, au sol en train de se hisser sur le canapé. Si c’était ça le bruit, elle avait du faire une chute du haut des escaliers, il ne pouvait en être autrement. La rejoignant alors qu’elle s’était allongée, il vit sa joue rouge et sortit son téléphone pour composer immédiatement le 911.

- Oui, ma compagne vient de tomber dans les escaliers. Elle est tombée de haut je crois… Non je ne l’ai pas vue tomber…

Ses mains tremblaient alors que d’une main il arrivait à peine à tenir le téléphone alors que de l’autre, il caressait doucement son crâne.

- Elle… Elle est en stade 4 de cancer du poumon, j’ai peur qu’elle ait eu une commotion ou pire… Non je ne la bouge pas… Envoyez une ambulance au plus vite s’il vous plaît… L’adresse est celle du Holy Motors à Boston…

Rangeant son téléphone, il la regarda, les dents serrées. Il lui en voulait d’avoir essayé de prendre les escaliers alors qu’elle se sentait mal. Il était pas loin, pourquoi il l’appelait pas dans ces cas là ?

- Tu pètes les couilles Yen… Je suis pas loin… Appelle moi quand ça va pas plutôt que d’essayer de descendre les escaliers… On a déjà assez de choses à gérer avec tes symptômes sans que tu nous fasses des roulades dans les escaliers, dit-il avec un petit rire nerveux avant d’embrasser son front. Bouge pas, l’ambulance est en route… Tu arrives à respirer ? Tu veux que j’aille prendre ton oxygène ?

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Ikinokoritai. Ikinokoritai. Mada ikiteitaku naru. Seiza no michibiki de ima, mitsumeatta. Ikinokoritai. Tohou ni kurete. Kirari kareteyuku. Honki no karada misetsukeru made. Watashi nemuranai. Ikinokoritai. Umaranai hizu. Hikari osoreteta. Yurusaretai inochi ga ima, hikareatta. Samayoi hatete. Kimi no tonari de hoterishizumetai. Honki no karada misetsukeru made. Watashi nemuranai.
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La chute me faisait poser des questions qui n'avait rien à avoir avec la situation. Provoqué peut être par les aboiements de Bisou. Je me demandais où était Pryna... Avant de me rappeler qu'elle était avec père. Mon père d'ailleurs, il ne devait pas passer aujourd'hui ? Quel jour étions nous déjà...? J'avais du mal à mettre de l'ordre dans les idées.

Je ne savais même pas où je trouvais la force de monter sur le canapé. Mais je n'avais aucune envie de rester sur le sol froid. Je continuais de sentir mes jambes trembler sous mon poids, j'avais réussi à poser mes fesses à temps sur le canapé pour ne pas me ramasser. La porte venait de s'ouvrir, non ?

Posant ma main sur ma joue, je sentis le canapé s'affaisser légèrement sur le côté avant de me rendre compte de la silhouette qui se trouvait à côté de moi. Plissant les yeux pour essayer d'en saisir les contours, se fut sa voix qui m'aida à comprendre son identité. Levant la tête vers sa main, je fermais les yeux avant de prendre son poignet qu'il pose la main sur mon front. Elle était fraîche, ça faisait du bien. J'avais la sensation d'avoir le front chaud...

Sa voix recommença à retentir dans mon crane. J'avais la sensation dans le timbre de sa voix que j'étais en train de me faire engueuler. Mais pourquoi donc ?

Je trouvais ça drôle pourtant...

Me mettant à rire doucement. C'était une sensation très étrange, je n'avais pas souvenir d'avoir ordonner à mon cerveau d'entamer cette réponse. Pourtant c'était bien le son de ma voix. Prise d'une quinte de toux, je me relevais rapidement, la main devant la bouche. Je connaissais cette toux, je savais pertinemment ce que j'allais découvrir en enlevant ma main. Le Karma disions-nous ?

Respirant par le nez, je n'avais guère envie de terminer à l'hôpital... Car je sentais si j'y entrais on ne me laisserait pas ressortir si facilement.

Faisant non de la tête, je gardais la main fermée devant mes lèvres.

Reste avec moi...

Attrapant son t-shirt de l'autre main.

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Mark la sentait perdue, éparpillée et cela lui brisait le coeur. Autre que la peur colérique qu’il avait eue en la voyant au sol, une autre peur venait faire sa place dans son ventre, plus profonde, plus proche d’une réelle terreur. Celle qu’elle glisse entre ses doigts maintenant, là tout de suite. Cette toux, il savait que c’était la toux ensanglantée, il commençait à la connaître et prit un mouchoir pour venir essuyer le creux de sa main et ses lèvres. Il ne pouvait pas aller chercher de l’eau de toute façon, sa main sur son t-shirt le lui interdisait.

- Je reste mon coeur… dit-il doucement, les yeux légèrement brillants.

Mais il ne pleurerait pas. Ce n’était pas le moment et il n’avait pas le temps de se laisser aller à ses émotions et à ses peurs. Il devait être là pour elle. D’une main il caressait doucement son front alors que de l’autre, il tenait sa main et le mouchoir.

- Ma petite nymphe, souffla-t-il en venant poser son front contre le sien, la gorge nouée.

Il était si fatigué. Épuisé d’avoir peur tout le temps que ce soit l’instant, le moment où il la perdrait et de ne pas avoir été à la hauteur de ce moment. Alors il fallait être à la hauteur tout le temps et il se débrouillerait pour l’être toujours. Tant qu’elle avait besoin de lui.

- Ich liebe dich… murmura-t-il en tremblant contre elle, serrant sa main contre son coeur, venant déposer un baiser sur ses lèvres rougies par le sang.

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Le jour où je te péterais vraiment les couilles, je pense que tu seras le premier à le sentir.

L'information était finalement arrivée jusqu'à mon cerveau pour redescendre. Un petit rire s'était échappé de mes lèvres sans que ma paume ne bouge.

En effet, mon regard vagabondait dans la salle. J'avais du mal à avoir un point fixe. Je plissais parfois les yeux pour essayer de voir les choses de manière plus net. Je portais des lunettes, non ? Je ne savais plus. Alors que mes prunelles continuaient leurs ballades, un geste attira mon attention. Ma main se retirant de ma bouche et le mouchoir passa à l'intérieur ainsi que sur mes lèvres, se qui reporta mon regard dans sa direction.

Par les Kamis, son regard. Il semblait si inquiet. Comme s'il venait de voir un fantôme ou pire encore. Relâchant son t-shirt, je posais la main sur sa joue comme pour essayer de le rassurer.

Hé... Ça va, ne t'en fais pas. Je ne suis pas encore morte.

Mon regard avait cessé de vagabonder et ne lâchait plus le sien. Un sourire apparu sur mes lèvres écarlates avant qu'il ne pose les siennes dessus.

Ikinokoritai...

Est-ce que je venais de lui répondre en japonais. Pire... Ce n'était pas du tout ce que je voulais dire... Ce qui venait de franchir la barrière de mes lèvres semblaient bien plus viscéral que cela. Glissant ma main dans sa nuque, je le retirais vers moi pour prendre à nouveau possession de ses lèvres. Désespérée... Amoureuse... Perdue...

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C’est qu’il commençait en avoir du mal à respirer tant cette terreur prenait possession de sa poitrine. Pas encore morte… C’était ça, à chaque fois… Juste « pas encore ». Ils ne pouvaient pas juste se dire « pas morte » et voilà. Il entrouvrit la bouche lorsqu’elle lui parla en japonais, incapable de lui répondre.

Glissant un bras dans son dos pour soutenir sa nuque alors qu’elle reprenait ses lèvres, il la garda contre lui sans la bouger davantage.

- And I can’t help… falling in love… with you… souffla-t-il, les larmes aux yeux.

Il souffla en regardant vers le haut pour ne pas laisser les larmes couler alors qu’il la tenait contre lui, son torse soulevé par sa respiration tremblante de peur et des pleurs qu’il retenait.

- Je suis pas prêt Yen… Me lâche pas, je suis pas prêt du tout là… J’ai besoin que tu te battes, que tu restes avec moi encore un peu... avoua-t-il à mi-voix alors que le son de l’ambulance se fit entendre au-dehors.

Bientôt les ambulanciers entrèrent et Bisou aboya pour leur montrer le chemin de ceux qui avaient besoin de leur aide parce que tant qu’on ne l’arracherait pas d’elle, Mark ne se sentait pas capable de la relâcher. Il en avait la nausée de cette terreur qui s’emparait de lui.

- Je suis son fiancé, balbutia-t-il aux ambulanciers pour qu'on le laisse monter dans l'ambulance avec elle. MGH a déjà son dossier, vous aurez son historique immédiatement, souffla-t-il alors qu'on l'arrachait de ses bras pour la mettre sur un brancard mais il tenait sa main et il ne la lâcherait pour rien au monde.

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Je retrouvais mes esprits dans ses bras. Comme toujours, comme si c'était ma place. Sa chaleur, son odeur. Tout était rassurant à cet endroit. Posant mon nez dans sa nuque, j'inspirais lentement en l'écoutant chanter. Tout semblait si normal... Pourtant je pouvais entendre les battements de son cœur et eux n'étaient pas réguliers. Il n'était pas essoufflée... Alors était-ce de la peur ? Pourquoi ?

Posant ma main sur son visage pour essayer de le calmer, je caressais sa joue du bout du pouce. Maintenant la tête droite grâce à son aide, je ne le lâchais pas des yeux. J'avais l'impression d'être un nouveau qu'on aidait à soutenir. Prenant une grande inspiration, je me mis à continuer les paroles en fermant les yeux avant de finalement rajouter.

Tu n'as pas besoin de te préparer... Je ne compte pas partir.

Mon corps semblait de plus en plus lourd entre ses bras. Mes paupières toujours closes. Son odeur se fit soudain plus diffuse... Sa voix plus lointaine... Pourtant je sentais toujours la chaleur de sa main dans la mienne.

Es tut mir leid, mein Lieber.

Désolée que tu ais à vivre tout cela. De t'imposer tout cela. J'aurais peut être du réfléchir à deux fois avant d'entrer dans ta vie. Milo avait raison, je n'agissais pas comme une bonne personne et je ne foutais le doigt dans l’œil si je pensais le contraire.

On me força à ouvrir les yeux pour tester la réactivité de mes pupilles. La lumière était si vivre. Des larmes coulèrent le long de mes joues tandis qu'on me mettait un masque sur le nez. Je sentis des mains sur mon corps et la douleur sembla encore plus vive. D'un mouvement de bras libre, j'essayais de repousser ces mains.

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Mark la suivit dans l’ambulance et lorsqu’ils se mirent à la manipuler, il s’assit par terre pour que son visage soit près de sa main et couvrit sa main libre de baisers, les larmes roulant sur ses joues. Il avait l’impression que son coeur se noyait.

- Ich bin hier, meine Prinzessin… disait-il en boucle pour l’apaiser alors qu’ils roulaient vers l’hôpital.

Les infirmiers ne l’auraient normalement pas laissé s’assoir par terre mais cela semblait semblait la seule manière d’empêcher la jeune femme de refuser ses soins. Il posa sa main contre sa joue en tremblant, se levant sans lâcher sa main toujours lorsqu’ils arrivèrent à l’hôpital. Jusqu’à la dernière porte où il avait le droit d’accéder, il retint le brancard pour déposer un baiser sur sa joue.

- Ich liebe dich meine liebe… souffla-t-il avant de les laisser repartir avec le brancard.

Se faisant bousculer au passage par un des infirmiers, il tomba au sol, se mettant à pleurer comme un enfant, la tête dans les bras, la douleur irradiant de plus en plus fort dans sa poitrine. Une infirmière courut vers lui et le soutint pour l’asseoir et lui prendre sa tension. Il était dans un état si misérable que sans Yen à côté, on pouvait bien croire que c’était lui le malade.

Vaguement, il entendait qu’on lui conseillait de faire des tests plus sérieux pour ses douleurs de poitrine mais qu’en avait-il à faire là tout de suite ? Il cacha son visage dans ses mains en essayant de ne pas hurler… attendant qu’on lui donne des nouvelles de sa compagne.

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J'avais la vue un peu trouble mais je sentais sa présence rassurante auprès de moi alors j'avais cessé de me débattre. Il m'avait semblé sentir une perfusion dans mon bras mais je crois m'être endormi ensuite car je n'arrivais pas à me souvenir de ce qu'il s'était passé.

Je me réveillais des tuyaux dans le nez, le bras perfusé dans une magnifique chemisette verte. J'avais du mal à respirer et en touchant mon flanc, je me rendis compte qu'il y avait un bandage. Passant mes doigts sur mes yeux, je me rendis du compte de l'endroit où j'étais... Encore et toujours ce foutu hôpital. J'avais l'impression de passer mon reste à vivre ici.

Appuyant plusieurs fois sur le bouton qui se trouvait à la tête de mon lit, dont je n'eus aucun mal à trouver, je voulais voir quelqu'un. Quelqu'un qui donne de mes nouvelles à Mark, quelqu'un qui le laisse venir jusqu'ici.

Un infirmier arriva finalement dans la salle d'attente pour venir chercher M. Underhill. Le soignant eu un moment de doute, en voyant l'état de l'homme en face de lui mais il le mena quand même à la jeune femme.

Aussitôt réveillée, Yen avait redressée le haut de lit de manière à être assise afin d'avoir la meilleure mine possible lorsqu'il passerait la porte.

Des questions et des culpabilités me traversaient l'esprit. Mais pour le moment, je souhaitais juste le voir passer cette porte. Voir son visage. Sentir sa chaleur.

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Mark avait comaté dans un état second jusqu’à l’arrivé d’un infirmier qui lui indiqua la porte. Il opina et demanda les toilettes avant. Il passa à l’évier pour passer de l’eau sur son visage et se donna quelques claques pour essayer de se redonner un peu de couleur. Mais en se regardant, il n’avait que davantage envie de pleurer. Il regarda le plafond en essayant de se reprendre et sortit finalement. Il ne pouvait pas la faire attendre plus longtemps, quel que soit son état.

Entrant dans la chambre d’un pas rapide, il s’assit sur le lit et prit ses lèvres, prenant prudemment son visage dans ses bras. Il avait besoin de sentir, malgré les tubes, malgré les perfusions, malgré tout l’appareil médical, la sentir elle.

- Mon amour… souffla-t-il contre elle en tremblant avant de lui voler encore un baiser.

Il savait que ce n’était pas sa faute mais il se disait néanmoins que si il n’avait pas mis la musique si fort, il l’aurait peut-être entendue l’appeler du haut des escaliers ? Avait-elle appelé ? Avait-elle demandé son aide ? Il ne savait pas et ne savait pas si ça aurait changé quelque chose.

- Désolé, je suis un peu secoué mais ça va passer, dit-il, se doutant que sa tête ne devait pas être jolie à voir.

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