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Gab & Blue
Mes yeux brillaient. La bouche entrouverte je laissais Blue guidé mes mains sur chacune de ses blessures, son coup, son ventre, ses bras, ses cuisses. Je regardais impuissant Blue guider ma main jusqu'à la cicatrice qu'avait laissé une balle puis me plongeais dans ses yeux. J'imaginais la force qu'il lui avait fallu pour m’avouer tout ça. J'étais un con. J'étais un con de l'avoir forcé d'une certaine façon à ressortir tout ça. Je serrais les dents. J'étais en colère. Une rage se mit à naître à l'intérieur de mon ventre. Je détestais savoir qu'elle avait pus endurer de tel tortures. Je détestais savoir qu'un pourri lui avait voulu du mal. Je regardais son visage, celui d'un enfant, innocent. Comment pouvait-on une seule seconde ne pas faiblir. J'attrapais son visage avec une douceur qui m'étais encore inconnu et embrassais ses lèvres. Une larme coula sur ma main et je me maudissais de ne pas avoir été présent plus tôt. Si jamais je l'avais retrouvé quelques années plus tôt, elle n'aurais pas eu à subir tout ce qu'elle avait subi. Je serrais encore une fois les dents. Mon regard s'échappa dans le vide je me rendis alors compte que je la serrais dans mes bras à cet instant. Je n'avais pas été présent certes, cependant j'étais à présent là et je ne comptais pas m'en aller. Je ressentis soudain le besoin de la sentir, elle embrassa mes lèvres avec fougue et je ne pus m’empêcher de répondre, fool que j'étais, ardemment à ses baisé. Je me redressais quelques peu sans la lâcher des yeux, je ne pouvais plus. Ses mains s'aventurèrent sous mes ceintures tant je la regardais, livide, mâchoire serre. Je me penchais alors sur son ventre et tirais sur son pantalon, emportant tout les tissus avec moi. Faisant glissé le tout sur ses fines jambes parfaites, j'observais. J'observais ses courbes parfaites le souffle court. Je me laissais glissé contre son corps nue, laissant traîner ma bouche sur son ventre, ses côtes, entre sa poitrine, son cou, puis sur son menton. J'embrassais sa bouche ardemment. Je n'avais jamais fait ça. Un coude posé sur le matelas, à côté de son visage, je détachais ma ceinture, jouant toujours des ses lèvres. Nos souffles saccadé si proche à présent qu'ils se mélangeaient. Mon médaillon tombant dans sa nuque, je glissais ma main entre mon jean et ma peau, me débarrassant à mon tour maladroitement de l’embarrassant. Je m'allongeais sur elle avec précaution et passant une main dans son dos je l'amenais avec moi au milieu du couchage. Je passait alors mes mains robuste sur ses et remontais jusqu'à ses aisselles. Je levais ses bras et mes doigts vinrent enlacer les siens tandis que mes lèvres ne quittaient plus les siennes. J'avais tellement envie d'elle que j'en avais mal. Je cachais une grimace de douleur et embrassais toujours un peu plus sa bouche. Nos corps nue l'un contre l'autre se mouvant sensuellement. « Je suis là maintenant... » sussurais-je contre ses lèvres.
© MISE EN PAGE PAR TAZER.
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