Invité
est en ligne
Invité
My Name Is Dark
Every city has a place like this. Underneath the bridges where the tainted kiss. Bullet wound with the butterfly wings. So I can sing along while I break things. You know me as the girl who plays with fire. But this is the song I wrote you in the dark. I'm not gonna sleep anymore. Paradise on the right, hell on the left. The angel of death right behind me
w/@Mark Underhill
Une personne qui n'avait aucun regret sur ses agissements n'avait pas affaire au karma. Ou dans de très rare cas. C'était les tourments qui nous poussaient à faire des erreurs pour que l'on soit punis comme on estimait l'être.
Encore une fois avec les informations à ma disposition, mon esprit vagabondait sur le passé de Mark. L'imaginant sans même être certaine de mes propos. Il suffisait de voir son visage pour comprendre qu'il avait aimé cette femme. Peut être qu'une part de lui l'aimait encore. Après tout, elle était la mère de sa fille, elle ferait à jamais partie de sa vie. Ça ne provoquait pas de la jalousie en moi... On ne pouvait pas reprocher à quelqu'un d'avoir eu une vie avant.Ce qui signifie que ton porte feuille est de très bonne qualité aussi.
Riant légèrement à cette affirmation. J'avais du changé au moins cinq fois de porte feuille depuis que j'étais arrivée sur Boston, autant dire que la qualité n'était pas la priorité de notre société actuelle.Tu veux que je fasse des recherches pour toi ? Je ne suis pas mauvaise dans le domaine.
Oui, je pouvais être une vraie fouine lorsque je le voulais. Il était inutile de mettre un schéma ou un mot de passe sur un ordinateur ou un téléphone pour m’empêcher d'y accéder. Même si ça me prenait trois mois, j'arrivais toujours à mes fins. D'une façon ou d'une autre. Milo n'y réagissait même plus que je déverrouille son portable sans lui demander.
Me nichant dans ses bras, je cachais mon visage dans son cou.Milo était avec moi, heureusement... J'étais incapable de conduire...
Les larmes montèrent jusqu'à la lisière de mes yeux, jusqu'à couler sur mes joues. Il ne les voyait pas mais il devait les sentir dans sa nuque. Ma main se referma sur son t-shirt que je me mis à serrer pour ne pas avoir à hurler... Agrippée de peur de le voir disparaître lui aussi.
L'air commença à me manquer, mes épaules commencèrent doucement à s’immobiliser.
(Invité)