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j'entends le cri, au loin, des loups. | ft. isaac dane

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c'était peut-être l'histoire d'une nuit, seulement. peut-être qu'on arrêtera tout quand tu auras atteint l'apogée et que ton regard changera quand viendra le moment pour nous de se quitter.
de m'arracher à tes bras, de me maudire de m'être attachée à toi plus que de raison. improbable, moi qui les déteste plus que tout ces relations d'attache. où chacun pleure l'autre, fait naître des sentiments contradictoires de ces tourments qui plombent le moral.
je ne voulais pas que tu deviennes trop important, il se passerait quoi pour moi si tu m'abandonnais ? qu'adviendra-t-il quand j'aurais peur que tu me fasses du mal, que je fauterai plus par crainte et envie d'auto-destruction ? pourquoi.
pourquoi tu laisses entrer cette part de toi en moi ? pourquoi tu ne fuis pas comme tous les autres, à te demander ce qu'une fille aussi facile pourrait bien t'apporter de stable ? pourquoi tu me marques la peau ? moi, la fille qui jure détester tout le monde en dépit de l'amour qu'elle aimerait en recevoir.
pourquoi tu coules dans mes veines, pourquoi tu graves ton nom... pourquoi, isaac ? pourquoi ça devient difficile de quitter ta peau, tes lèvres ? pourquoi j'en redemande ?
je ne sais plus où donner de la tête ni quoi penser. c'est l'extase qui vient pousser la porte, me rappelle un fois de plus à toi, happer par ton âme, me laissant guider par ta lumière qui brille dans l'obscurité des ténèbres.
qu'est-ce que tu feras de moi maintenant ? c'est trop tard... ça a frappé si fort que même moi, je sais ce que ça veut dire. ça électrise le cœur, embrouille quelques neurones qui ne se connectent plus.
je veux les hurler aussi ces mots que je n'ai jamais dit. je voudrais te les dire, à toi, le parfait inconnu. celui qui n'existait pas hier mais qui prendra toute la place demain.
et je me perds doucement entre les gémissements et les ultimes efforts pour atteindre une apothéose qui n'appartient désormais qu'à nous.
qu'est-ce qu'on va devenir ? et si j'arrêtais simplement de penser ? et si je me laissais porter par l'amour que tu m'offres ? de ces caresses chaudes qui viennent panser mes maux, de tes lèvres qui viennent jouer des miennes pour les rassurer. leur rendre ce goût d'interdit devenu vital.
le sourire qui s'élève, le regard lumineux, peut-être pour la première fois en vingt-deux ans d'existence. je ne l'oublierai pas non plus cette nuit...
mais le regard s'assombrit malgré les baisers répétés, il allait falloir rentrer. et comme tous les autres, il userait de son plus joli compliment avant de me laisser partir dans la nuit pour rejoindre mes appartements.
malheureuse, utilisée... comme je le fais avec le monde. alors quand tombe la demande, le regard surpris qui se tourne vers lui, l'océan tombant sur la terre, ses mains dans mes cheveux... le cœur qui s'arrête. le rouge qui monte aux joues, le sourire qui révèle quelques quenottes, les mains qui viennent encadrer son visage, un énième baiser.
encore et toujours.
« oui. » chuchoté, soufflé sur les lèvres avant de le pousser. « mais d'abord, me rincer ! » prise de conscience immédiate. « si je choppe quoi que ce soit d'ingrat, tu paieras les factures et ma mauvaise humeur. » attrapant les sous-vêtements, ouvrant la porte, le doigt accusateur mais le sourire amusé. « et la réputation du pire crado de la ville. » un rire et à la recherche de la salle de bain dans cet appartement inconnu, avant de tomber dessus et de revenir aussi vite que partie, sautant sur le lit comme une enfant. étoile de mer activée, sous-vêtement uniquement portés, refus de dormir toute habillée. « je n'ai jamais dormi avec quelqu'un. » il faut bien une première fois à tout.



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Trois lettres qui te mettent du baume au cœur, qui te font caresser l’espoir de trouver demain encore à tes côtés la silhouette de cet être aimé, trois lettres qui embellissent tes songes alors qu’elle se lève doucement et s’en va se rincer. Toi, tu ne bouges pas, la tête ancrée à cet oreiller, tes pensées tournées vers ces mille et un songes qui tournoie dans ton esprit qui semble désormais apaisé. La danse a fini par prendre fin et tu ne t’es jamais senti aussi bien, ce sentiment de plénitude que tu n’avais jamais encore pu goûter, celui-là même qui restera ancré dans ton esprit qu’importent les éléments à venir.
La tête qui bascule, le sourire qui orne ton visage, léger rire qui s’échappe doucement de tes lèvres. « Je me fais pas de soucis là-dessus. » et doucement le vide qui s’était créé est comblé, la belle reprends sa place, tu te sens à nouveau bien, rassuré. Les lèvres portées sur les siennes une nouvelle fois, baiser atrocement romantique que tu lui offres, sourire taquin. « Y’a une première fois à tout. »

Le bras protecteur qui vient doucement s’enrouler autour d’elle, possessivité mignonne qui vient s’installer, tu la veux toujours plus proche de toi. Pourquoi ? Pourquoi tu veux tant être capable de la toucher du bout de tes doigts, de l’embrasser à en suffoquer, de l’aimer à en crever. Pourquoi t’autoriser ça quand tu sais pertinemment que lorsque quelque-chose se brisera, que lorsqu’elle franchira le pas de ta porte pour la dernière fois, elle emportera avec elle un morceau de toi, un bout de ton âme. Pourquoi lorsqu’elle se couche-là, à côté de toi, tu n’arrives pas à décrocher ton sourire, à décrocher de son regard. Pourquoi espères-tu secrètement que ce moment soit le début d’une habitude, de quelque chose de plus grand.
Tu la connais cette utopie que beaucoup ont embrassé, et tu sais à quel point la chute est dure, tu sais que tu es dedans jusqu’au cou, que tu n’as plus pied, que tu es en train de te noyer, et pourtant tu continues, tu continues de te raccrocher à l’idée qu’elle, toi, vous, c’est différent. Que votre histoire n’est pas comme les autres, qu’elle à ce brin de folie qui lui donnera des ailes, et la fera voler vers jusqu’à cet Eden auquel tu crois tant.
Tu n’as jamais été un grand rêveur Isaac, tu n’as jamais idéalisé quoi que ce soit et pourtant dans ce moment hors du temps, dans cette parenthèse d’un instant, tu t’y autorises, tu oses refaire le monde avec des si, imaginer un futur stable, entrevoir la possibilité qu’un jour tout cela se concrétise et que ça ne soit pas que des pensées que tu devras tenter de supprimer vainement de ton système déjà bien trop corrompu.
Finalement, il est là le problème Isaac, t’as désactivé ton pare-feu et laissé le programme s’immiscé, mais tu n’as aucune idée de sa dangerosité, tu t’es laissé charmé et si demain tu souffres, que tu dois rebooter, tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même.
Mais tu préfères chasser ces pensées d’un revers de la main, te complaire dans ce moment qui n’appartient qu’à vous, oublier les conséquences de tes actes même si ça te fait monter un peu plus dans le ciel, même si la chute n’en sera que plus rude. Tu t’autorises un moment de bonheur, tu te laisses succomber à cet amour qu’il soit éphémère ou non, tu quitteras ce monde avec la satisfaction d’avoir pu au moins dire je t’aime à quelqu’un, d’avoir pu laisser ton âme s’éprendre d’une autre.
De tes doigts, tu remets l’une de ses mèches en place, de tes lèvres, tu déposes le plus doux des baisers sur son front et de ton âme, tu hurles « Je t’aime. » la muselière a cédé, le cœur s’est libéré, la vérité a éclaté et les paroles se sont envolées jusqu’à elle trahissant pour la dernière fois tes sentiments.
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et j'étais sincère, si je chopais quoi que ce soit, je courrais répandre la rumeur. mais au vu de son regard bienveillant et de cette nonchalance, on va espérer qu'il n'arrive rien, seulement penser à prendre la pilule du lendemain, hors de question que je tombe enceinte, surtout pas à mon âge, au tout début de mes longues études.
et puis, d'un mec qu'on rencontre seulement du soir, ça la fout un peu mal... même s'il semble qu'on finisse par rester en contact. ce contact qui s'ouvrira sur bien plus de possibilité qu'une simple nuit.
d'un côté, je serais incapable d'expliquer ce qu'il peut bien se passer entre nous. cette alchimie que je n'ai jamais connu avec personne, cette sensation de besoin et de manque en même temps.
cette chose qui bat plus de raison pour lui alors qu'il était encore inconnu au bataillon, hier. qu'il n'existait pas dans mon monde et qui semble vouloir prendre une place conséquente. car d'ordinaire, j'aurais simplement refusé... je serais partie en laissant dans mon sillage un magnifique souvenir d'une nuit agitée. mais elle n'était pas seulement agitée cette nuit, elle était unique.
unique en son genre.
je ne pensais à rien quand il me prenait contre lui, y avait que lui dans cet espace quand il me touchait du bout des doigts. et là encore je ressens ce besoin de me nicher dans ses bras, de m’enivrer de son parfum, de connaître par cœur toutes les coutures de son corps.
et ce poison qui se fraye un chemin jusqu'au cœur est inarrêtable, je présume. et pourtant je le sens détestable. un simple regard vers le miroir pour comprendre que c'était fini de la north qui se pavane fièrement de cette liberté ingrate... risible mais inévitable.

et quand je le rejoins finalement dans les draps, que mon corps épouse parfaitement le sien. entourée de ses bras puissants où je me sentais à ma place, chez moi. une sécurité jamais ressentie jusque là.
je pourrai m'y laisser conquérir. rester là des heures durant, en oublier les matins. mais tout redeviendra à la normal au lendemain, n'est-ce pas ?
le baiser sur le front me force à fermer les yeux et les mots qui fusent font louper un battement à mon cœur.
comment peux-tu aimer une étrangère ? comment peux-tu lui dire ces mots qui ne s'adresse qu'à l'élue ? pourquoi tu penses que c'est moi maintenant ?
les yeux qui restent clos, feignant d'être déjà tombée dans les bras de morphée. ne pas répondre.
ni merci, ni d'accord.... et surtout pas de moi aussi.
et j'aurai raison de ne pas te le dire. puisqu'au matin, je décide de partir avant ton réveil. récupérer mes affaires, partir sur la pointe des pieds... et ne voir ton appel qu'une semaine trop tard.
est-ce que tu m'aimeras encore à ce moment-là ?
car pour ma part, tu resteras coincé dans un coin de ma tête, ce moment délectable et ce besoin perpétuel de retourner à tes bras.

FIN DU RP


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