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j'entends le cri, au loin, des loups. | ft. isaac dane

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j'entends le cri, au loin, des loups.
★ ─ w/ @Isaac Dane

laissant mon téléphone sur la table de la salle de cours, un sourire en coin alors que j'étais peut-être un brin trop heureuse qu'on vienne me proposer une soirée aussi rapidement.
est-ce mon simple effet ou bien est-il un prédateur ? l'un comme l'autre, ça restait flatteur. être la proie, c'est qu'on est digne d'intérêt. et je me sentais suffisamment sûre de moi pour me flatter d'être surtout assez séduisante pour avoir attiré l'attention d'un mec de trente piges. intéressant.
et j'avais jusqu'à 22h pour réfléchir aux conséquences de mes choix.

à mon job étudiant, regardant la télé qui fonctionnait dans le coin de la boutique, en faisant des bulles de mon chewing-gum, le stress s'empare doucement de moi.
après tout, c'est qui ce mec là. ok, y a un prénom, un âge, une photo. le plus bref des informations, et si c'était pas le mec de la photo ? que je me retrouve avec un vieux pervers de cinquante pige qui rouge en tricycle ? un frisson qui me prend, me noue la nuque alors que je retire mes pieds du comptoir quand un client rentre. je sais plus si tout ça c'est une bonne idée.
je peux encore annuler, non ? roh et puis merde, c'est aussi prendre le risque de passer à côté de quelque chose de sympa. et puis si c'était le bon mec, quel genre de regret je pourrais avoir après.
un bref salut et quelques bulles éclatées, je peux enfin jouir de la débauche. m'étirant en entrant dans le vestiaire, troquant mon tshirt et mon pull shell, pour remettre mon débardeur noir sous un cardigan en laine bordeaux. le sac sur l'épaule, l'échappe autour du coup.
et putain, j'ai le bide qui vrille et se tord dans tous les sens. je suis bien plus stressée que je ne peux le laisser paraître. zyeutant le monde à la ronde, une moto et un homme au cheveux mi-long. le regard qui se balade de bas en haut, s'interroge puis je le lève la main, me pince les lèvres. m'approchant finalement, curieuse, le regard tombant dans le sien, un sourire qui nait sur la commissure droite. « isaac ? » surement et si ce n'est pas le cas, on s'excusera simplement.



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Sourire enjôleur que tu ne peux retenir quand elle avoue sa surprise, ton compteur de point qui grimpe un peu plus haut pour ton plus grand plaisir, encore plus marqué quand elle te surprend à ton tour en venant s’asseoir là où tu ne l’attendais pas. Aucun mot qui ne sort pour autant de ta bouche, préférant parler physiquement avec elle, une main qui frôle l’épiderme de son cou, sillon qu’elle trace jusqu’à arriver jusqu’à sa taille que tu captures à nouveau. Frisson qui te parcourt l’échine quand tu entends cette douce voix, quand tu sens sa tête se reposer sur ton épaule, les lèvres que tu entrouvres pour lui susurrer quelques mots. « Je crois bien que ce soir, c’est toi mon poison, et j’ai pas envie de perdre la tête tout de suite. »
Elle te tourne le dos et pourtant t’es certain qu’elle serait capable de percevoir ton air taquin, séducteur que tu dresses sur ton visage. D’un de tes doigts, tu repousses la carte, sachant pertinemment ce que tu commanderas, comme à ton habitude. Une main doucement levée pour faire signe au serveur de venir, une commande passée, cherry vodka et whisky vingt ans d’âge. L’homme qui s’éloigne, ton attention que tu reposes sur elle, beauté à laquelle tu ne pourras sûrement bientôt plus résister et encore moins avec cet alcool que tu auras ingurgité, tes lippes qui se rapprochent près, bien trop près de son visage, ces mots que tu prononces comme une douce symphonie pour tenter de la charmer, ce souffle chaud dans son cou pour les accompagner, mèche que tu replaces sur son oreille.
« J’espère que tu t’rends comptes que maintenant que t’es là j’vais pas te lâcher. » Moment qui semble perdu dans le temps, tu n’as clairement d’yeux que pour elle, oubliant tout ce qui vous entoure, te perdant dans votre bulle, tu penses toujours mener la danse sans te rendre compte que c’est elle qui vient d’en prendre les rênes, sans te rendre compte que son audace et sa confiance t’ont charmé un peu plus que tu ne le voudrais. Tu t’abandonnes à ce sort, embrasses ta destinée, mais continues de jouer, comme ce pauvre fou endetté, entêté qui pense pouvoir gagner. « Dis-moi quelque-chose sur toi qui pourrais me faire craquer, me faire vriller, je suis sûr que tu caches bien des choses derrière ton sourire malicieux. »
Tu la veux entière, qu’elle s’ouvre à toi et que tu la découvres, tu veux lui faire tomber chaque couche pour la découvrir à nu. Peut-être trop présomptueux de penser que tu en arriveras jusqu’à là, peut-être encore trop confiant, mais tu n’y peux rien, t’es comme ça, inlassablement attiré, hypnotisé par les femmes qui attisent ta curiosité.
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et sa dégaine est rassurante. un brin rebelle, peut-être, sur les bords. de quoi plaire aux filles comme moi qui aiment le danger.
cette gueule d'ange d'où le regard est surtout malin, malicieux. c'était un homme agréable à regarder, je mentirais de dire le contraire. et même si j'hésite en approchant, malgré la ressemblance avec la photo. trop beau pour être vrai... trop sexy pour être célibataire.
ou bien il est coureur ou bien il est volage et trompe... ou bien. on s'en fout ? sourire qui s'agrandit doucement alors que j'attrape le casque entre les mains, désireuse de faire ce voyage jusqu'où tu voudras. après tout, c'était une idée qui venait de toi. je n'avais pas l'habitude d'être patiente, la surprise était un cadeau du ciel.
casque sur la tête, cliquetis de la sécurité, visière remontée pour mieux l'observer, surement les joues de hamster mais la classe à l'australienne quand même. « alors ? » que je dis en levant les bras pour montrer ma nouvelle dégaine.
réceptionnant les clefs, surprise. « tu n'as pas peur que j'abime ton petit bijou ? » sourire en coin à nouveau.
j'étais habituée au moto cross et non, aux grosses cylindrées. néanmoins, j'avais obtenu mon permis moto peu de temps après celui de la voiture. fox m'avait conseillé de tout faire d'un coup, plutôt que de perdre du temps et de l'argent. mais je n'avais pas encore eu les moyens de m'offrir les belles lignes d'une bécane. « à ton bon vouloir. » si ce n'est pas pour dire à tes risques et périls.
montrant finalement dessus, sans demande d'autorisation supplémentaire, clé dans le contact, enlever la béquille, maintenant la machine entre les cuisses et embrayer, démarrer.
son doucereux qui résonne sur le parking de la station et un regard tourner vers le rendez-vous de la nuit. « c'est bien comme ça ? » un sourire suffisant, c'était bien ce que tu voulais, non ?
je ne suis pas aussi potiche que le laisse paraître mon âge. « on va où ? »


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Satisfait de la voir se plier à tes exigences, de la voir porter ce casque, pour finalement pouffer de rire quand elle prend la pose, tu ne la connais pas, mais déjà là, tu sais que ce soir va être un bon délire et que vous avez toutes les raisons du monde de vous entendre. « T’es parfaite ! Un peu trop sexy même, pense un peu à moi ! » tu hausses les épaules en guise de réponse « A vrai dire je m’en fou un peu tant que la soirée est bonne et puis si tu l’abîmes, ça me donnera une raison de plus de te revoir. » Charmeur comme à ton habitude, peut-être un peu trop, difficile pour toi de t’arrêter quand tu es lancé, t’es pris dans un engrenage qui ne cesse de tourner.
Et ton regard ne la lâche pas, elle, ses yeux, ses gestes, tu te laisses surprendre par la facilité avec laquelle elle prend place et démarre ta bête, toi qui croyais être tombé sur une femme relativement lambda, tu commençais à douter et a espérer encore plus de cette soirée. La promesse d’un bon moment se profilait un peu plus « C’est parfait. » que tu lui dis avec ton air agréablement surpris et tu prends finalement place derrière elle, approchant ta bouche de son oreille, tu lui susurres l’adresse de cet Eden nocturne, petit coin dans le centre connu de quelques privilégiés, obtenu d’un gars un peu trop bourré, l’alcool qui avait eu sur lui comme sur beaucoup d’autre l’effet d’un sérum de vérité. « Je t’en voudrais pas si tu malmènes ma bécane en forçant sur l’accélérateur. » t’ancres finalement tes mains autour de sa taille inconsciemment (ou peut-être pas tant que ça) , depuis le début de votre rencontre t’es bien avenant et tu le montres une fois de plus, t’as aucune intention de passer pour un pervers ou pour un énième mec en rut, pour toi ça relève plus du jeu, d’une partie stratégique où tu abats doucement tes pions tentant de faire renverser un peu plus l’ennemi dans tes bras. C’est une danse que tu mènes pour l’instant, mais jusqu’à quand.
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sexy, il a le compliment facile. tout pour être charmée, ça va sans dire. de ces simagrées qui étaient servis comme des boutons de poésies, je préférais largement la brusquerie et la rudesse des mots qui laissaient entendre que j'étais désirable. et je ne l'ignorais pas, oh non. j'aimais ça qu'on me flatte. sourire coquin, regard plus félin.
il marque d’innombrables points, y a rien à dire. « oh, tu envisages déjà une suite ? » qui me dit que je n'allais pas le laisser sur un coin de trottoir, partir avec la moto, ne jamais revenir ? on se sentirait bête dans ces circonstances.
mais si j'avais eu de tels déboires, je ne l'aurais pas invité sur mon lieu de travail. j'ai de la réflexion, un minimum, même si j'étais blonde.
et c'était pas toujours une légende.

moteur qui gronde, l'aisance au bout de mes doigts. j'adorais affronter le froid, à brisbane, il fait parfois si chaud qu'on étouffe. c'était complètement un autre monde ici. ce même monde que j'allais dompter, grâce à mon charme, à mon ambition.
et peut-être que ce soir, c'est toi que j'allais dompter.
la bécane bouge, se secoue, les muscles dans les cuisses qui sont sollicités. agréable moment de prouver combien j'avais de la force.
les frissons qui se dessinent quand la voix se veut plus proche à l'oreille, malgré le casque. diablement trop sexy, trop chaud pour que mon cœur ne se mette pas à battre plus vite, fasse monter le rouge aux joues.
je ne connaissais pas le lieu, mais repérais le quartier. le frisson remonte le long du dos, me fait secouer les épaules avant de faire crier le moteur un brin, m'approprier la bête. reculant, butant le dos contre lui sans le vouloir. « si je nous tue, tu ne m'en voudras donc pas ? » il n'y a pas de rire dans la voix, mais le sourire malsain sur les lèvres, il y est bien dessiné.
démarrant, sentant le froid mordre mes doigts. à peine parti que le bout de mes phalanges s'engourdissent, peu importe.
un stop, et ce sera le seul moment de répit. pour mon cœur, mais mon âme, elle, elle s'envole, levant les bras face à l’accélération, la peur, l'adrénaline.
et tout s'échappe finalement, même ses bras, ses mains, je ne sens rien. concentration à son paroxysme. zigzaguant entre les voitures, les lointains klaxons et le sourire qui grandit.
accélère, grille le feu rouge, évite la voiture d'un rien. et c'est un rire qu'on entend, le mien, alors que je tourne peut-être trop brusquement, sentant la moto m'échapper avant de rattraper en accélérant. il suffisait d'utiliser la science pour se relever, ne pas paniquer.
penchés par moment, les genoux qui frôlent le bitume. et un autre feu qui se grille, un klaxon, avant qu'un majeur ne se lève finalement vers l'apeuré.
puis tout ralentit, le cœur qui bat bien trop vite. et un arrêt dans une ruelle. « je ne connais pas bien le quartier, c'est où du coup ? » les mains tremblantes, les jambes qui menacent de céder si je ne serrais pas autant les cuisses contre le métal.


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Difficile de décrocher tes yeux de ce regard, difficile de rompre cette alchimie naissante tout à fait palpable, toi qui pensais clairement être le meneur de danse, le prédateur, le conquérant, toi qui pensais être capable de la séduire en lui susurrant quelques mots doux et en sortant ta grosse bécane, te serais tu finalement trompé dans tes calculs, aurais-tu oublié la variable nécessaire à la stabilité de cette équation complexe. Les mots qu’elle te lance te ramènent à la réalité, rien n’est encore joué et ta confiance est beaucoup trop grande « C’est pas ce qui est sensé se passer après un agréable moment ? Fait attention, tu pourrais me vexer !» t’arques un sourcil, tu feins l’interrogation, fidèle à toi-même ou plutôt à l’image que tu veux donner, masque du séducteur que personne n’a encore réussi à briser.
Tu n'as pas l’habitude de passer derrière sur ta moto, pas l’habitude de confier ta vie à quelqu’un d’autre « Je t’en voudrais pas que si c’est une belle mort alors pousse là à fond cette bécane ! Je veux qu’on sente nos cœurs se décrocher, tu penses pouvoir m’offrir ça ? » Sourire qui se dresse pour ne plus jamais retomber, attiser par la vitesse grandissante, par la folie de la belle, par ces feux qui ne sont que des obstacles invisibles, par sa ténacité et la facilité avec laquelle elle dresse son majeur en l’air. North qui montre une facette que tu ne lui aurais jamais attribuée, une facette qui te donne de plus en plus envie de la découvrir. Pas une seconde, tu ne regrettes de lui avoir laissé la clef de ton bolide, t’as carrément pris ton pied alors que ça ne faisait même pas partie du plan que tu avais imaginé à la base. L’adrénaline retombe finalement « Putain qu’est-ce que c’était bon ! T’aurais pu me dire que t’étais une pilote ! » tu prends quelques secondes pour prendre quelques bouffées d’air « Ouais tu peux te garder un peu plus loin, c’est à quelques pas d’ici. » et tu lui montres le chemin qui vous sépare de l’Eden que tu lui as promis. Tes mains quittent finalement sa taille et tu lui offres un énième sourire en rangeant le casque « Rappelle moi de t’inviter la prochaine fois que je vais faire une balade ! » tu lui montres d’un geste de la main une rue qui ne paye pas de mine et qui donne sur ce petit bâtiment, quelques coups portés gentiment à la porte, moment éphémère et qui parait pourtant une éternité quand tu laisses tes yeux s’accrocher aux siens, tu t’es déjà fait surprendre et pourtant tu recommences, désir que tu ne peux apparemment pas contrôler, renforcé par la curiosité que tu as d’elle. La porte s’ouvre finalement laissant apparaître la silhouette d’un homme relativement bien habillé, tu donnes ton nom et ensemble vous passez la porte pour vous retrouver à une table magnifiquement bien dressée où les couleurs s’entremêlent offrant un régal pour les yeux, la petite musique qui vient chatouiller vos oreilles, quelques bougies disposées, ambiance tamisée que tu lui avais promis, les bouquets de roses et les couverts sur lesquels dansent les flammes revêtissent une robe dorée. « Je t’avais dit que je t’emmènerai dans un endroit de qualité. Choisis ton poison. » que tu lui dis en lui tendant l’une des cartes, en profitant pour t’enfoncer dans ce siège si confortable, tentant de voir si tu es assez fort pour percer ce regard qui t’attires de plus en plus.
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j'étais le diable dans la ville, cette gueule d'ange qui cachait les ombres. laissait dormir les débauches, la passion dévorante dans l'âme. indomptable gamine qui court des doigts sur le danger.
j'avais peur de rien, si ce n'est de la mort et, parfois, je venais la titiller. comme elle venait m'embrasser de ses souffles quand je trépassais, paniquais, cherchais l'issu dans l'obscurité.
et finalement, je lui échappe à chaque fois. peut-être encore plus ce soir, parce que tu es là. va savoir.
le vent qui mord mon torse, transperce la laine. picore la peau en même temps qu'il se nourrit de la chair de mes doigts.
je trouve un tel plaisir à rouler, sentir une certaine liberté. comme cette indicible croyance de pouvoir voler, transgresser les règles. vomir les antisociaux. la vulgarité dans les doigts, la répartie toute trouvée. mauvaise foi qui vient m'étrangler, je n'étais pas fautive, c'est lui qui était sur mon chemin.
et tout s'arrête enfin, les mains encore douloureuses, difficile de fermer les poings. sentir le sang qui coulent difficilement. sous le néon des lampadaires, on voit qu'ils sont rouges. « ça marche. »
et une fois les deux pieds au sol, la bécane sur sa béquille, je frissonne, cale mes doigts dans les manches de mon pull. « j'y tâcherai. » sourire à la commissure des lèvres.
le suivant, les yeux se baladant sur les habitations sur les quelques commerces et sur le peu de monde qui passe près de nous.
une rue étrange, légèrement glauque, non ? le stress qui remonte, me frottant le bras, peu rassurée. le pas qui ralentit, me tenant derrière lui quand il frappe quelques coups à la porte. j'ai encore le temps de courir. et il donne son nom, j'espère que c'est le vrai, je pourrai le donner facilement, on le retrouvera...
mais non, l'aventure est bien plus douce et je le suis en plissant les yeux, en regardant l'homme à la porte.
et la découverte est étonnante. je ne m'attendais pas à ce qu'il tienne réellement parole. pensant tomber sur le classique bar de ville, je laisse mon regard danser dans les flammes des bougies. « je ne m'attendais pas à ça. » avoué dans un souffle assez court, un sourire qui continue de grandir. d'une surprise agréable alors que je le regarde s'installer, prenant la carte entre les doigts qui sont toujours douloureux.
pousse sa carte, fais de l'espace, viens quérir une place qui est décidé être mienne, sur ses genoux. calant mon dos contre lui, ouvrant la carte comme si cette place était légitime. « et bien, j'aime la vodka donc... cherry vodka. » fermant finalement la carte d'un coup sec. « et toi, quel genre de poison coule dans tes veines ? » demande subtile, chuchoté à peine, la tête qui se renverse sur son épaule, un sourire sur les lippes.



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Sourire enjôleur que tu ne peux retenir quand elle avoue sa surprise, ton compteur de point qui grimpe un peu plus haut pour ton plus grand plaisir, encore plus marqué quand elle te surprend à ton tour en venant s’asseoir là où tu ne l’attendais pas. Aucun mot qui ne sort pour autant de ta bouche, préférant parler physiquement avec elle, une main qui frôle l’épiderme de son cou, sillon qu’elle trace jusqu’à arriver jusqu’à sa taille que tu captures à nouveau. Frisson qui te parcourt l’échine quand tu entends cette douce voix, quand tu sens sa tête se reposer sur ton épaule, les lèvres que tu entrouvres pour lui susurrer quelques mots. « Je crois bien que ce soir, c’est toi mon poison, et j’ai pas envie de perdre la tête tout de suite. »
Elle te tourne le dos et pourtant t’es certain qu’elle serait capable de percevoir ton air taquin, séducteur que tu dresses sur ton visage. D’un de tes doigts, tu repousses la carte, sachant pertinemment ce que tu commanderas, comme à ton habitude. Une main doucement levée pour faire signe au serveur de venir, une commande passée, cherry vodka et whisky vingt ans d’âge. L’homme qui s’éloigne, ton attention que tu reposes sur elle, beauté à laquelle tu ne pourras sûrement bientôt plus résister et encore moins avec cet alcool que tu auras ingurgité, tes lippes qui se rapprochent près, bien trop près de son visage, ces mots que tu prononces comme une douce symphonie pour tenter de la charmer, ce souffle chaud dans son cou pour les accompagner, mèche que tu replaces sur son oreille.
« J’espère que tu t’rends comptes que maintenant que t’es là j’vais pas te lâcher. » Moment qui semble perdu dans le temps, tu n’as clairement d’yeux que pour elle, oubliant tout ce qui vous entoure, te perdant dans votre bulle, tu penses toujours mener la danse sans te rendre compte que c’est elle qui vient d’en prendre les rênes, sans te rendre compte que son audace et sa confiance t’ont charmé un peu plus que tu ne le voudrais. Tu t’abandonnes à ce sort, embrasses ta destinée, mais continues de jouer, comme ce pauvre fou endetté, entêté qui pense pouvoir gagner. « Dis-moi quelque-chose sur toi qui pourrais me faire craquer, me faire vriller, je suis sûr que tu caches bien des choses derrière ton sourire malicieux. »
Tu la veux entière, qu’elle s’ouvre à toi et que tu la découvres, tu veux lui faire tomber chaque couche pour la découvrir à nu. Peut-être trop présomptueux de penser que tu en arriveras jusqu’à là, peut-être encore trop confiant, mais tu n’y peux rien, t’es comme ça, inlassablement attiré, hypnotisé par les femmes qui attisent ta curiosité.
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les mots qui viennent trouver grâce, ce sourire sur les lippes. charmeur, y a pas à dire. c'était facile d'insinuer que j'étais le poison aussi rapidement. le cœur ne se conquit pas avec autant de légèreté, encore moins l'âme.
mais je pouvais jouer au même jeu, c'était intéressant de savoir ce qu'il attendait de moi. on était pas idiots, cette application n'est pas pour les adeptes de rencontres classiques, c'était pour dompter, pour une nuit.
et ne jamais se rappeler. tu me rappelleras toi ? t’oserais. au fond, j'espère, oui. parce qu'il y a ce petit quelque chose que ne définit pas, qui rend attractif cet échange. qui chamboule tout... jusqu'à mes propres sens.
d'ordinaire, je ne suis pas si subtile, je ne joue pas des mots et des caresses. je me laisse emporter par l'euphorie, répondant à toutes les pulsions qui me viennent. mais pas avec toi.
pourquoi ?
sans doute, parce que t'es pas comme tous ces autres. où parce que t'es plus mature que la jeunesse qui ne réfléchit, finalement pas ?
ou alors parce que tu as confié ta vie entre mes mains. sans penser. et j'ai aimé avoir ce contrôle sur toi, de jouer avec ta vie autant que la mienne. de faire battre les cœurs.
dominé ce monde qui devenait doucement le nôtre.
intéressant. « je suis un poison, alors. » acre, j'espère. qui reste sur les lèvres et qui fait souffrir, comme une drogue, par le manque. pourtant je suis sensible à ses doigts qui se promènent, à son souffle contre ma peau de lait, de ces frissons qu'il dessine à chaque passage.
un sourire satisfait. « déjà à ma merci ? » sourire qui se lève un peu plus, de ce charme qui caractérise la tigresse qui sommeillait. le bleu océan devenu bleu nuit par la luminosité qui tombe sur quelques traits de son visage.
et les paupières qui se closent alors je me redressent légèrement, caresse du bout des doigts l'épiderme.
puis c'est plus simple, ainsi. je me relève finalement, remonte mon jean avant de venir m'assoir sur ses cuisses face à lui, les yeux dans les yeux, le sourire discret qui n'est porté que par une commissure. de mes doigts encore froids, j'attrape délicatement ses poignets que je viens poser sur mes hanches. la réflexion qui marque le regard, le bassin qui glisse un peu plus au creux du sien. les bras qui viennent se poser sur ses épaules, les mains qui viennent jouer avec quelques mèches de ses cheveux. « et bien. » qu'est-ce qui était judicieux d'avouer ? un délit ? une anecdote banale ? « par pure conviction, j'ai fait exploser la voiture d'un économiste. » le diable, il danse... mais l'anti-héro que j'étais elle menait son enfer dans l'ombre. « boom. » haussant les sourcils en chuchotant l’onomatopée.
lèvres qui se rapprochent dangereusement des siennes. « et toi ? » que je souffle sur les lippes, effleurant, accrochant un brin de peau avant de me mordre la lèvre sans pour autant quitter la distance.


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Un poison que tu laisses se déverser dans tes veines en ton âme et conscience, volonté irrépressible de voir où tout cela va vous mener. Infime rire que tu lui accordes, tu ne t'avoueras pas vaincu pour autant, pas aussi rapidement. « Il va m'en falloir plus pour être à ta merci. » T'es joueur Isaac et plus le temps passe plus tu sens qu'elle aussi, plus tu sens que sa gueule d'ange n'est qu'un masque qui cache quelque chose de bien plus grand, de bien plus intéressant. Ce masque qui te fait désormais face,cette place qu'elle a prise sur toi, reine semblant revendiquer son trône, elle te guide de ses mains et tu te laisses faire, tu acceptes l'invitation prenant possession de celles-ci sourire aux lèvres, ses mains sur tes épaules une emprise sur toi que tu ne vois pas et pourtant. Toi plus que quiconque devrait savoir que chaque regard qu'elle te dédie, chaque sourire qu'elle dresse dans ta direction, chaque caresse qui embrase ta chair, chaque geste qui te rapproche d'elle, te rapproche doucement mais sûrement d'elle, toi qui pensait naviguer en toute sécurité vers un trésor que considérais déjà comme acquis, tu te faisais inlassablement attirer par la sirène, tu laissais peu à peu ton galion dériver dans le bleu de ses yeux.
Surpris par son récit, mais amusé par sa folie, tu lui offres un énième sourire alors que sa bouche s'approche dangereusement de la tienne, tu serais presque paralysé, spectateur d'une scène qui est beaucoup trop bien joué, tu te laisses porter, sans jamais la quitter. « Boom » que tu répètes après elle, comme hypnotisé.
Toi ? Tu te remémores tous les passages forts en émotion de ta vie, tu sors les plus sordides et les plus gentillets, tu cherches l'anecdote parfaite, au jeu de la folie il faut dire que ton boulot t'a pas mal servi, mais tu as une bien meilleure idée, pas vrai Isaac ? Rictus déjà dressé sur ton visage, doucement tu viens murmurer à son oreille « J'ai cédé à la tentation de goûter au poison qui était face à moi. Toi.» une main qui vient s'ancrer doucement dans son dos pour l'attirer à toi sans même lui laisser le temps de comprendre, sourire désormais carnassier, tu prends possession de ses lèvres. Toi aussi tu peux jouer à l'audace et prendre ce que tu revendiques, toi aussi tu es un conquérant désireux de planter son drapeau dans son esprit. Sentiment d'avoir repris le contrôle de ton gouvernail et d'avoir repris le chemin vers ce trésor tant convoité, priant de ne pas être tombé sur un mirage. Poison auquel tu as désormais goûté te rendant addict dans le même temps, aucun regret que tu ne laisses paraître sur ton visage, seul ce sourire empli de satisfaction. Les lèvres se détachent, mais pas l'âme, l'empreinte qu'elle a déposée à survolé le corps et s'est posée là où tu ne t'y attendais pas, graine qui n'a pas encore germé et qui ne le pourra sûrement qu'avec le temps. Les boissons arrivent, doucement déposés sur la table, aucun mot prononcé, toute la scène semble être figé dans le temps. « Ca te convient ? » clin d'œil envoyé, tu viens querir ton verre gardant une main ancrée dans son dos, désireux de la garder proche de toi, désireux de pouvoir la regarder droit dans les yeux.
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