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j'entends le cri, au loin, des loups. | ft. isaac dane

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j'entends le cri, au loin, des loups.
★ ─ w/ @Isaac Dane

qu'il croit. qu'il s'échappe de la réalité, se berce de la douce illusion que je n'ai aucune emprise sur lui, pourtant je le sens. mieux, je le ressens, sous ses doigts, dans ses regards.
de ce jeu, qui se veut pourtant si dangereux, il y avait quelque chose qui marquait l'âme. et si je me persuadais, dans un premier temps, que c'était seulement mes ongles qui rentreraient dans sa chair pour le marquer jusqu'au sang, c'est une toute autre réalité quand je sens mon cœur battre la mesure, tressauter par moment à des désirs peu chastes.
les doigts doucereux qui m'atteignent malgré la barrière des tissus. les frissons qu'on retient pour ne pas avoir l'air fou, et le regard qui ne quitte plus le sien.
mieux sondé, mieux comprendre. se faire féline, ramper jusqu'à lui en feignant la douceur alors que se cache sous les doigts de l'étreinte de la possession.
étranglée par le désir, j'arrive néanmoins à garder une certaine distance entre lui et moi. ce boom répété qui explose en même temps qu'un battement de cœur tressaute. les yeux rivés sur ses lèvres, désireuse de les dérober.
mais la question est simplement retournée. de ses lippes qui se frôlent, j'ai juste les mains qui tremblent.
et cette vérité qui tire un sourire avant qu'il me rapproche de lui. que mon corps soit entièrement sien. première sensation et première fois que j'ai la sensation, surtout, d'appartenir à quelqu'un. comme si, connectés enfin, il avait été l'âme sœur perdu dans les milliards de monde qui peuplait la vie.
les lèvres qui viennent quérir le baiser, les yeux qui se ferment doucement. la douceur dans un premier temps, la passion dans l'autre. et quand tout s'arrête, c'est presque un goût amer qui glisse sur la langue, les dents qui viennent racler légèrement la lèvre inférieure. « je suppose. » que ça me convient, oui. étrange mais pourquoi pas.
je n'ai même pas fait attention aux boissons, trop concentrée sur lui. c'est quand il a son verre dans les mains que je percute l'information.
si nous étions capables de tels vices sobres, imagine avec l'alcool. et même si sa main ne me quitte plus, récupère l'elixir, trempe les lèvres avant de cogner contre son cristal, regard sensuel alors qu'un quart part dans une gorgée. habituée, la gamine.
mais il en fallait toujours plus, non ? la main qui glisse le long de son torse, le regard qui suit la route, et les doigts qui viennent chatouiller la clavicule, remontent lentement le long de son cou, dessinent la mâchoire, l'agrippent finalement. « est-ce que tu rappelleras ? » après cette soirée, dans une semaine, dans un mois... est-ce que c'est à moi que tu penseras quand tu te lèveras ?
de ces étranges relations qui n'ont pas besoin d'être coupées par les mots pour être passionnantes. « est-ce qu'il te plaît ce poison ? » est-ce qu'il chauffe dans ton sang ou te rend ivre ? est-ce que les murmures, ça t'emmène dans le même monde que moi ? suis-je assez désirable ?
les lèvres légèrement entrouverte, la respiration plus lourde, la main qui tient le verre, les lèvres qui viennent juste frôler les siennes, souffle la saveur de la cerise.
est-ce que tu t'en souviendras de cette odeur ? un doigt qui remonte de sa mâchoire, dessine un chemin jusqu'à la commissure, se pose délicatement entre nos lippes, joue. le regard qui tombe à nouveau dans le sien. prédateur, hein ? mais qui chasse l'autre en vérité ? langue qui vient se poser à côté du doigt, même doigt qui s'échappe.
lippes qui reviennent en contact, plus appuyé, de cette même langue qui s'insinue, se fraye un chemin pour venir danser avec la sienne, mélangés les alcools.
sur cette même langue, tu y feras marqué north au fer rouge.
t'es à moi, maintenant.


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Ivresse d’un moment que tu consommes bien trop rapidement, sans modération, lieu choisi finalement à la perfection, cette intimité que tu ne regrettes pour rien au monde, l’adrénaline de la peur de mourir qui à laissé place au désir brulant de s’emparer de ce qui n’est pas encore tient. Première fois qu’un baiser te comble autant en si peu de temps, terrible envie d’y revenir pour y ragoûter, terrible envie de la faire céder. Tu te retiens tant bien que mal, tu ne veux pas, tu ne peux pas, être celui qui sera le plus faible. Position de roi que tu comptes arborer, cap vers cette île cachée, vers ce trésor que tu comptes dérober. Cœur si convoité pour lequel tu es prêt à tant faire ce soir. Les verres qui s’entrechoquent, sensation de légèreté, de liberté qui commence à venir s’immiscer dans ton corps, les barrières qui s’estomperont avec le temps, avec le désir grandissant, point culminant de la soirée, tu n’es pas loin d’être au bord du précipice, prêt à sauter vers ta destinée, prêt à déployer tes ailes pour t’envoler jusqu’au septième ciel.
Ton corps prêt à se courber sous son toucher, sous ses doigts maîtrisés, tu te laisses bercer, laisse s’immiscer un peu plus profondément ce poison, renforçant cette addiction. Chaque sillon que tu ressens au plus profond de toi, te consomme un peu plus, la marque dans ton esprit. La question qui tombe et te fait dresser un rictus. « Est-ce que tu voudras encore de moi ? » de cet homme qui ne voulait à la base qu’une soirée, qui avait été cash quitte à trahir ses intentions. Une question en réponse à une autre, mais c’est la sienne qui déterminera tout, parce que tes gestes te trahissent, toi, tes intentions, tes désirs. Toi qui as jeté ton dévolue sur la belle, toi qui t’es dit que ce serait une soirée normale, qu’elle entraînerait un moment charnel éphémère, toi qui te rends compte de ton erreur alors que le complexe mécanique dans ta poitrine se met à battre un peu plus vite à chaque caresse qu’elle laisse sur ton corps. « Assez pour vouloir y goûter encore et encore jusqu’à en perdre la tête. » Proximité que tu désirerais encore plus renforcée pourtant déjà bien assez prêt pour sentir cette cerise qui vient te chatouiller les narines, les yeux qui dansent dans les siens sans jamais la lâcher, ta bouche prisonnière de la sienne, ton verre que tu déposes, mains que tu viens ancrer dans son dos l’attirant un peu plus vers toi, baiser langoureux dont tu captes tous les sens. Tu es en train de te faire bouffer et tu en es pleinement conscient, mais tu ne peux pas résister à ça, tu préfères succomber à ce poison. Les lèvres qui s’éloignent, assez proche pour effleurer les siennes. Les mots presque imperceptibles qui t’échappent trahissant ce que tu désires, ce que tu veux, ce que tu ressens. « Rends moi fou. » réponse que tu n’attends pas pour venir à ton tour capturer ses lippes, lui offrir le brasier de désir qui brûle depuis trop longtemps en toi, cette chaleur qui s’empare beaucoup trop de ton corps. T’as besoin de l’expulser, t’as besoin de te noyer dans cet océan bleu dans lequel t’es inlassablement attiré. Toi qui pensais perdre tes protections à cause de l’alcool, toi qui penser tomber sans avoir ta conscience pour te châtier, t’étais vraiment en train de tomber pour elle, pour ce visage bien plus jeune que le tiens, pour cette femme si originale, pour ce mystère derrière le masque qui te travaille tant. Peut-être qu’elle causera ta perte, peut-être qu’elle est en train de jouer avec toi et que tu es la proie, mais tu es prêt à l’accepter, tu es prêt à tomber.
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j'entends le cri, au loin, des loups.
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fin stratagème, et je ne pouvais que ployer genou. qui n'oserait répondre à cette question. pourtant, je mets du temps à répondre, observe son regard, cherche à capter les tremblements sous mes cuisses, sous mes doigts.
est-ce que je veux de lui ? le même rictus que le sien se dessine à la commissure, danse avec le cœur. languis la réponse, fini par demande si le poison lui plait. et sa réponse ravit l'âme. « intéressant. » souffle qui vient jouer sur ses lippes. « dans ce cas, le poison voudra encore de son détenteur. » car pour exister, le poison, il a besoin de quelqu'un à empoisonné. quelqu'un qui pense à lui, qui en a besoin. autant qu'il a besoin de lui.
c'était une danse à deux, un rencontre atypique qui rendait l'échange impressionnant par sa non-maîtrise.
je ne connais rien de lui, il ne sait rien de moi. et pourtant, j'étais prête à laisser l'inconnu s'insinuer doucement au creux de mes cuisses. le laisser tracer un sillon jusqu'aux creux de mes seins.
il pourrait vivre en moi que je l'accepterai. diablement étrange, mais si poétique. le baiser qui vient sceller les mots, définir les limites qui avaient une liberté certaine.
et je me persuadais au fond, que tout ça, ce n'était qu'un jeu. qu'on ressortirait d'ici avec des étoiles dans les yeux, des souvenirs plein la tête mais le cœur intact.
je voulais le posséder, le faire mien. qu'il m'appelle, me réclame... se dise que finalement tout le reste du monde, à côté de moi, est fade. que la comparaison ne se fait même pas...
de ces idiotes qui croient en l'amour, en l'âme sœur... je pourrais leur mettre sous le nez que le vrai coup de foudre, il se passe comme ça. pas besoin de se dire quoi que ce soit pour comprendre.
et les lèvres s'éloignent, s'échappent presque, mais ne sont jamais bien loin. il joue au même jeu que moi, le diable. il me tente, me donne les frissons nécessaires à faire naître les perles sur la peau.
cette ordre qui me fait entrouvrir les lèvres, me prends de court. mais pas le temps à la réflexion que les lèvres viennent retrouver leur place, s'offre un nouveau duel langoureux, du quel je me laisse volontiers tomber en premier.
et s'il me rapproche encore de lui, je finirais par entrer dans son âme, capter des doigts le cœur qui bat ici, bientôt pour moi.
les lippes qui se quittent à nouveau, le sourire qui se dessine en même temps que les joues rosies par le manque d'air. mourir asphyxié de cette manière, ça me va. prends le verre entre les doigts, tinte légèrement l'ongle dessus avant d'en boire une nouvelle gorgée, plus longue cette fois. légèrement grimace, les yeux qui se plissent. et le repos du verre, les mains qui viennent encadrer son visage, les pouces qui dessinent de léger cercles sur ses pommettes. « je pourrais te bouffer tout entier, si je pouvais. » le nez qui se plisse en même temps que se dessine le sourire goguenard. « mais on est pas tous seuls. » murmure qui glisse jusqu'à son oreille, les lèvres qui embrasse le lobe puis la mâchoire, reviens caresser son oreille de quelques mots susurrés. « en vérité, c'est toi qui me rends folle. » et intense.
incapacité à réfléchir correctement.



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Paroles qui te ravissent t’arrachant un énième sourire non dissimulée, ses mots résonnent en toi comme la promesse d’un lendemain que tu n’attendais pas, la soirée est loin d’être terminée, et pourtant vous avez réussi à glisser sur ce sujet aussi rapidement, attachement mutuel naissant, toi qui n’avait pas vraiment envie de finir enchaîner, toi qui vivait ta vie au jour le jour, toi Isaac, qui pensait connaître parfaitement ton cœur et ton esprit comme un manoir bien gardé, aurais-tu été capable d’avoir laissé une porte dérobée, aurais-tu laissé la possibilité à une âme de s’immiscer dans ton royaume, de venir corrompre ton programme, d’y déposer son virus et de faire de toi sa chose. Tu ne t’en rendras pas compte aujourd’hui, oh non, tu accorderas bien plus d’importance à ces doux yeux bleues, à cet épiderme que tu es en ce moment même en train de caresser, que tu es en train d’effleurer de tes doigts. « J’crois qu'on est lié alors. » les yeux que tu relèves de ses jambes sur lesquelles tu t’étais attardé. Les mots qui te charment toujours un peu plus, sourcil arqué quand elle t’avoue son désir, toi qui avais déjà oublié où vous vous trouviez, bien trop concentré sur celle qui à prit place sur toi. Et tu t’embrases toujours un peu plus, brûle un peu plus sous chaque caresse qu’elle te dédie, sur chaque endroit où elle ose se poser ses lèvres. Territoire que tu la laisses marquer, revanche que tu prendras en temps et en heure, tu ronges ton frein, tu n’as jamais laissé un moment autant en suspens bien trop habitué à agir et à ne pas te laisser bouffer. « T’as qu’un seul mot à dire. » Un seul mot pour prendre la fuite sur une bécane, un seul mot pour passer à l’étape suivante, un seul mot pour faire chavirer le navire de la décence, un seul mot pour prendre possession de toi. Les lippes qui viennent à ton tour prendre en chasse son corps, son cou sur lequel tu t’attardes, mille et un baiser que tu t’autorises à déposer, la langue que tu laisses danser sur cet épiderme que tu veux toujours un peu plus découvrir, t’es bien faible là, toi l’homme responsable de sécurité, celui supposé être inébranlable, tu es en train de te décomposer, en train de te désagréger. Sourire que tu lui adresses alors que tu quittes le territoire que tu viens de marquer, de conquérir, ton verre que tu attrapes et fini d’une traite, cet alcool qui te brûle la gorge bien moins que le désir qui te consume, le verre qui glisse sur la table. La main qui s’attarde sur la cuisse, qui trace un sillon remontant presque un peu trop haut, sourire carnassier adressé, poche que tu viens finalement attraper pour en sortir ton portefeuille, billet que tu lances sur la table. « C’est à toi de décider le chemin de cette soirée. Je t’ai confié ma vie, tu me confies ta nuit ? » la main qui s’attarde sur une de ses joues, ses lippes que tu viens quérir une énième fois, les caresses que tu veux multiplier, les mots avec lesquels tu veux danser autant qu’avec son corps. Songes que tu ne peux chasser, frisson qui te parcourt l’échine. Tu as envie de la rendre encore plus folle qu’elle ne l’est, tu as envie de te perdre dans ce jeu stimulant, sachant pertinemment que ça t’affectera aussi, parce que c’est déjà trop tard, parce que le poison s’est immiscé et que tu l’as embrassé. Choisis le chemin que tu veux Isaac, mais désormais, il sera toujours teinté par cette gueule d’ange que tu as osé croiser, par ce poison qui s’est ancré dans ton esprit. .
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liés, oui. j'en doute pas, isaac. même si, au fond, ça fait flipper. je n'étais pas venue dans l'optique de trouver quelque chose de plus qu'une simple relation basée sur du charnel, que nos corps rentrent en contact, s'oublient finalement. que le lendemain tu sois capable d'oublier mon prénom pour que je puisse continuer à vivre. j'existerai peut-être pas dans tes souvenirs, mais toi tu pourras perdurer encore quelques jours puis finalement, je passerai à autre chose.
c'est de cette finalité, celle à laquelle j'étais le plus habituée, que je m'étais amourachée. mais tu corromps tout. jusqu'à même mes simples pensées... comme si tu devenais une donnée essentielle à ma programmation, comme si tout à coup tout se casserait la gueule si je mettais pas isaac.exe dans le lancement du launcher. et ça c'est vraiment effrayant.
parce que je ne voulais pas m'attacher, si c'était pour que tu fasses comme les autres connards qui volent ta nuit pour leur plaisir personnel, ça ne m'intéressait pas de te donner plus que mes cuisses.
m'intéressait pas que tu voles ce qui est protégé sous cloche depuis si longtemps. alors pourquoi j'hésite, finalement ? pourquoi ça fait battre le cœur quand tu parles ? pourquoi tu me fais si mal quand tu me regardes ? « un seul ? » j'avais plein de mot qui venaient, mais ils étaient tous accompagnés d'autres mots. des allons-y à j'ai envie de toi qui n'entraient pas dans l'exercice qu'il me demande.
et ça glisse dans ma tête, des mots qui s'entrechoquent qui s'essayent à correspondre à la demande, rien qui ne vient sauf un. étrange pour la situation mais qui veut pourtant tout dire. « rêver. » je voulais rêver, pouvoir penser qu'un jour sans lendemain ça pouvait exister.
que dans le creux des cuisses, tu puisses pourtant transporter mon âme au delà du plaisir. mais ça, je ne l'avoue pas. c'est mon secret, un secret du quel je préfère me préserver.
me donner encore, seulement pour la nuit. comme les autres. « évidemment, je te la confie. » et puis tu pourras m'oublier au delà de ça. j'ai pris l'habitude, d'être laissé sur le côté.
je joue, moi aussi. alors sans doute que je ferai la même chose. que je laisserai les états d'âme s'évanouir pour venir quérir le besoin et le désir. avant de rejeter le bonheur et le plaisir.
et le poison il glisse aussi dans mes veines, il s'insinue, m'emprisonne quelque part. mais de ça, je viens juste t'embrasser une dernière fois, plus doux. chaste comme un tout premier, une autre demande plus silencieuse, sans doute.
et je me lève, danse autour de la table, prends le verre bu cul-sec. et prête, le sourire aux lèvres. « allons-y. » souffle sur  une bougie pour le propre plaisir. « chez toi ? »
non pas que je ne veuille pas aller chez moi, mais... c'était plus rassurant d'être chez l'homme que l'homme chez soi. non ?
et comme un aimant, attirée irrémédiablement à ses bras un fois levé, venu chercher un énième baiser avant de fuir vers la porte, retrouver la fraîcheur du soir, le silence de la nuit.
le diable a fini de danser pour laisser place à bien d'autres malices... douce drogue qui fini par devenir plus légère, moins conceptuel. de ces amoureux transits qui bouffent le miel par le nez.
j'étais loin d'imaginer que si mon cœur battait si fort, ce n'était pas à cause de l'adrénaline mais bien parce qu'il y avait marqué un nom. le sien.



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Au fond, tu la redoutes un peu cette réponse tant attendue, un seul mot demandé, un seul mot qui pourrait tout changer. Le problème Isaac, c’est que tu t’es embrasé, que tu t’es fait plus d’un scénario, que ce venin doucement déposé dans tes veines, il a commencé à t’emporter au pays des rêves. Le problème, c’est que t’as continué d’escalader sans regarder en bas, sans prendre en considération que ce mot, pourrait autant te tirer vers le haut, que te balancer et t’enfoncer dans le sol. Toi, le système infecté qui ne se souvient plus de qui il est, qui a rebooté en changeant sa personnalité lorsqu’elle a déposé son premier baisé.
Le visage s’illumine, l’écho de ce mot retentit en ton for intérieur comme une douce mélodie, le temps qui reprend son cours, ta respiration libérée, sourire esquissé annonçant que tu es comblé. Ouais elle t’as touché là où il fallait et à ouvert la porte des possibilités, le problème c’est qu’elle à aussi réussi à pénétrer ta chambre forte et qu’elle se tient juste devant ton plus précieux trésor, celui que t’avait pourtant réussi à garder jusqu’à ce soir. Tous les systèmes d’alarmes se sont déclenchés et pourtant, tu ne réagis pas, tu te laisses guider, mener par le bout du nez. « Tu ne le regretteras pas. » Tu ne perds pas le nord pour autant et continues à jouer, parce que si cette manche est déjà finie, la partie, elle, est loin de l’être.
Et tu te laisses emporter, embrasser, hypnotiser, tu la laisses un peu plus planter ses crocs dans ta peau, infiltrer ton âme. Petit endroit d’intimité troqué pour retrouver ce ciel étoilé, mouvement de tête rapidement adressé dans sa direction avant de lui lancer à nouveau ce casque gardant cette fois les clefs. « Chez moi. » Tes doigts qui glissent rapidement sur ton téléphone, message envoyé à ton frère pour lui faire comprendre de s’en aller pour la soirée. Le doux bruit de ta bécane retrouvé avant de foncer vers ton appartement, les lumières presque imperceptibles défilent sous tes yeux, l’alcool mêlé au désir d’adrénaline te font jouer à un jeu dangereux. Tu le sais. Et pourtant, tu continues d’accélérer parce que tu brûles, te consumes, parce que t’as déjà cette addiction qui revient te frapper de plein fouet, ce besoin de la toucher, de l’embrasser. Les voitures sont frôlées, parfois de trop près, les feux sont grillés, les piétons esquivés, heureusement pour toi les miles que tu as à parcourir sont peu nombreux.
Le moteur est coupé, la béquille placée, sourire esquissé trahissant toutes tes intentions, t’attires la belle à toi, saisissant bien trop langoureusement ses lèvres que tu ne peux plus quitter. Sa main que tu attrapes avec la plus grande douceur, tu l’entraînes doucement vers ton antre, ton repaire, finalement peut-être que c’est bien toi le chasseur. La porte refermée avec un coup de pied, bien trop occupé avec tes mains à l’enlacer, baiser déposé au creux du coup. Les lèvres qui glissent doucement avant de s’en éloigner. « J’te fais pas visiter, j’espère que tu m’en voudras pas. » Léger rire partiellement retenu. Tu brûles Isaac, tu brûles de désir, tu sens ton corps entrer en ébullition et tous les moyens sont bons pour endiguer la propagation. Tu jettes ta veste qu’importe où elle atterrira, la seule chose qui retient ton attention est face à toi, divine créature que tu ne cesses de provoquer, les doigts qui glissent le long de son dos jusqu’à son creux.
T’es au bord du précipice, les systèmes d’alarmes ont redoublés d’effort pour te prévenir du risque et le fond encore, mais tu es trop touché, trop perché, inlassablement attiré par ce vide inconnu, t’attrapes ces lèvres, joues avec sa langue, lui transmet tout ce désir brûlant, cette passion dévorante, et tu finis par sauter, espérant silencieusement que sous les nuages se trouvent un Eden naissant.
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le casque entre les mains et la promesse d'une nuit bien moins claire qui se profile comme un voile devant le regard.
de ces gens qui pensent pouvoir tout offrir avant de tout arracher. de quel type es-tu, isaac ? celui qui prend le temps de te mettre en confiance ou celui qui arrache la jugulaire à pleine dent ? ce n'est qu'une question de temps pour en faire état. je me rendrais bien vite compte si je suis comme toutes les autres. ou si tu brûles d'un désir inédit.
je ne marque jamais les gens, l'attache m'effraie. si je marque les esprits, c'est pour mon corps, mes prouesses... je ne brille pas vraiment par mon intelligence, tue derrière des audacieuses caresses.
est-ce que tu creuseras, toi ? nous ne savons toujours rien l'un de l'autre. mais tu m'attires irrémédiablement à toi. c'est une perte de contrôle que je n'ai pas d'ordinaire, et je n'ai pas assez bu pour mettre cet effet sur le compte de l'alcool.
alors quoi ? qu'est-ce que tu m'as fait ?
grimpant sur la moto, les mains qui viennent t'agripper, cherchent un point d’ancrage alors que le monde défile à toute allure. l'adrénaline est là, mais ce n'est pas le fait de frôler les voitures, d'éviter de justesse des passants qui me fait battre autant le cœur, c'est le poison qui s'égraine, qui se distille dans les veines.
j'ai complètement peur. serrant les cuisses contre toi, puis la tête posée sur le dos, regarde les lumières qui défilent devant mes yeux, souris quand on bifurque, risque nos vies plus d'une fois, suis le mouvement de la moto comme si j'étais une simple extension d'elle.
et tout s'arrête, tout ralenti et le cœur se remet à battre. le masque doit être porté... et je lui tends son casque alors que je regarde la façade avec curiosité.
pénétrant finalement chez lui, le regard qui se pose sur les meubles et l'obscurité de la pièce avant d'être happée par autre chose. la curiosité mise de côté pour sentir les mains d'isaac sur mon corps, de ces envies qui finissent par brûler, raviver les cendres endormies par le trajet. « quel dommage... » sarcastique, alors que les bras viennent se poser sur ses épaules, chercher les lèvres, embrasser jusqu'à plus soif, jouant des langues et du désir qui vient tout brûler. comme un brasier en plein été, et j'ai chaud, terriblement chaud.
retire finalement le cardigan de laine, la peau marqué de plaques rouges par le froid insinué sur le retour et pourtant, rien à foutre de la douleur de la morsure de l'hiver.
le débardeur qui vient rejoindre le cardigan, seins nus sans soutien ce jour. quelle perte de temps, non ?
les mains qui glissent sous les vêtements, viennent danser sur les côtes. « fais moi hurler, isaac... » paradoxe amusant de ce chuchotement enivrant, de ce regard qui laisse entendre bien plus de malice.
tire sur la ceinture, fais sauter le bouton, glisse une main entre le jean et le tissu qui retient tout. « à moins que tu veuilles hurler mon nom ? » peu importe tes mœurs, i'm in.
t'es à moi, maintenant.


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