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drunk in love ♦ naëlle

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Rester dans l'expectative de ses réunions, ça ne m'enchantait pas des masses. Ne pas savoir si je peux organiser une soirée rien que pour nous deux, en mode romance et batifolage, ou rien qu'un cinéma, ça allait devenir compliqué. Alors je soupirais doucement, en haussant les épaules. De toute façon, j'avais pas spécialement le choix, elle était engagée dans son MC, alors... « Okay, si tu le dis. » murmurais-je avant qu'elle ne m'embrasse. J'étais frustrée, c'est vrai, mais je pouvais bien la partager avec ses amis, comme elle me laissait passer du temps avec les miens quand j'en avais envie. Ses explications sont étranges, presque étranglées dans un ressentiment. Ou dans un mensonge éhonté. Je la fixe un instant, puis j'abandonne. Ses motifs me suffiront, car ils semblent malgré tout honnêtes. « D'accord... Tu sais, tu peux me parler si tu en as envie. Tu sais que je suis là pour toi, mon amour. » dis-je en souriant légèrement, le regard compatissant. Je ne veux pas la voir triste, je ne veux pas qu'elle se sente forcée de me dire ce qu'elle ne veut pas. Alors qu'elle accepte mon envie d'adopter un chaton, je saute de joie dans ses bras, laissant mes préparations sur le bar. « Merci, merci, merci, merci mon coeur. Je suis trop trop contente là ! » m'exclamais-je. J'étais comme une gamine sur-excitée le soir de Noël. Puis je m'attelais à lui préparer un bon plat, sagement. « Fais comme chez toi, t'as l'habitude maintenant. » m'amusais-je à lui dire, en bougeant mes fesses sur le rythme de la musique que j'avais dans la tête.
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Elle n'est pas du genre à dissimuler ses émotions sur son visage, et je vois bien qu'elle a du mal à comprendre que je me sois engagée dans un motor club. En même temps, je ne lui ai jamais parlé de ma passion pour les grosses cylindrées vrombissantes. Malgré qu'elle soit au courant de beaucoup de choses à mon sujet, j'ai encore des choses à lui apprendre. « Dis toi juste que c'est toi que je préfère. » souriais-je doucement en plongeant mon regard dans le sien un instant.
Je ne me sens pas prête à extérioriser ce que j'ai appris la veille. La pilule a du mal à passer et j'ai peur qu'elle voit une partie de moi qui pourrait l'effrayer. Alors je serre les dents, je fais abstraction de cette crampe dans l'estomac et je fais comme si de rien n'était. Je lui adresse un léger sourire. « Je sais. Je... Merci, mon coeur. » répondis-je simplement. J'ai envie de lui dire, de me fondre dans ses bras et qu'elle me caresse les cheveux en me disant que tout ira bien, que c'est pas grave. Mais ça attendra.
Je retrouve le sourire quand je vois son bonheur qui explose dans mes bras. J'ai jamais vu quelqu'un aussi joyeux pour quelque chose d'aussi simple. L'expression joyeuse de mon visage vaut bien plus que mille mots.
Alors qu'elle m'invite à faire comme chez moi, je la prends aux mots. Je retire la boucle de ma ceinture et mes chaussures, que je pose dans l'entrée. Après cela, je file rapidement dans sa chambre pour me dévêtir et revenir en petite tenue dans le salon, avant de m'installer devant le bar, à la regarder se dandiner. « J'vais te demander plus souvent de me faire un truc à manger. » dis-je en riant légèrement, avant de la regarder avec tendresse.
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Elle a du voir l'expression de mon visage pour me dire une chose pareille. Je n'ai jamais eu l'habitude d'entendre ce genre de paroles. Ni de la part de mes ex, ni de la sienne. Alors j'avoue que je jubile légèrement quand elle plonge son regard dans le mien après avoir entendu ces quelques mots. « T'as plutôt intérêt, je te rappelle que je peux t'offrir certaines choses qu'une moto ne peut pas. » dis-je dans un sourire amusé.
Je la vois hésitante, je sens qu'elle a quelque chose à dire mais qu'elle ne se sent pas prête à le faire. Le temps viendra où elle saura me dire ces secrets de famille, qui la mettent dans cet état. En attendant, je dépose mes lèvres sur sa joue, pour confirmer ce que je lui ai dit avant. Il faut qu'elle sache qu'elle peut tout me dire et que je serai là pour elle, pour l'épauler du mieux que je peux. « C'est normal, on est une équipe, maintenant. » souriais-je doucement.
J'allais avoir mon chaton, et j'étais la plus heureuse. J'aurai pu prendre la décision toute seule, mais je voulais que ça marque un instant charnière dans notre relation. Même si ça ne fait pas si longtemps que ça qu'on forme un couple, ça fait tout de même plusieurs mois qu'on se tourne autour. Et surtout, j'étais heureuse de retrouver cette joie sur son visage.
Je me dandine, avant de ne prendre la télécommande de la télévision et de mon décodeur internet pour taper le numéro de la chaîne musicale, pour bouger au rythme des sons qui passent. Je suis totalement à fond, quand d'un coup, la voix de Naëlle me surprend et me fait rire. Quand je me retourne et que je la vois en brassière et petit short, mon sourire me trahit. « Et moi je vais te dire plus souvent de faire comme chez toi. » dis-je en la regardant, tout en mordillant ma lèvre inférieure. Puis j'étais la plaque de cuisson, sors deux assiettes et nous sers de quoi nous remplir la panse. Je prends alors les deux assiettes pleines, avant de lui faire un bisou dans le cou. « Tu viens ? »demandais-je en me dirigeant vers le canapé.
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Elle avait raison, sur ce point. Même si ma moto me procure des sensations agréables, elle ne peut pas rivaliser avec ce qu'Helina m'apporte. Je me sens vraiment bien, avec elle. Apaisée, détendue, aimée, tout un tas d'émotions de ce genre. Et même si ma bécane me fait vibrer, c'est pour la belle brésilienne qui me fait ronronner de l'intérieur. Alors je lui souris, comme pour acquiescer ce qu'elle disait. « Heureusement que tu m'apportes plus. L'inverse serait bizarre. » répondis-je en riant.
Ses mots me font réfléchir. J'aurai bien besoin de me vider l'esprit, et j'ai peur que les mots me trahissent, que mes émotions négatives prennent le dessus ou que je ne fonde en larmes de pouvoir enfin lâcher les vannes. Je prends une grande inspiration, et je tente tant bien que mal de me lancer. « J'vais te parler un peu de... ma famille, de ma vie en général. Pas des trucs inutiles, du moins je vais éviter. » dis-je en souriant timidement. « Je suis la dernière d'une famille de quatre gosses. J'ai deux soeurs et un frère. Avec lui, les rapports sont vraiment mauvais, depuis toujours. Et avec mes parents, ça allait presque bien, jusqu'à il y a quatre ans. Et comme tu dois le savoir, mon nom de famille, c'est un peu un héritage pourri qui m'a valu pas mal d'emmerdes. » dis-je en riant. « Bref, il y a quatre ans, mes parents m'ont rejetée. En vérité, ils ont jamais accepté qui j'étais vraiment. Et hier, en faisant mes courses... » ma voix se serre. Je sens que je ne vais pas y arriver, que c'est trop dur. « J'ai surpris une discussion de ma mère, dans les rayons. Et j'étais assommée par ce qu'elle révélait à sa collègue. J'ai appris par hasard que toute ma vie est basée sur un mensonge. » C'était sorti, difficilement. Je respirais longuement, pour laisser échapper toute la haine qui m'incarne, et trouver la force d'esquisser un sourire.
Quand je suis sortie de la chambre, je n'ai même pas pris la peine de faire attention à la télévision allumée. Je souris largement quand elle me fait la remarque qu'elle me proposerait plus souvent de faire comme chez moi. Ses lèvres dans mon cou me réchauffent le coeur, et je la suis dans le canapé. Au bout de quelques plantés de fourchette dans l'assiette, je la regarde en souriant. « C'est super bon, ce truc. Et sinon, ça se passe bien les cours, tout ça ? » demandais-je en souriant.
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J'écoute ce qu'elle me raconte, et je me rends compte qu'elle n'a pas eu une vie familiale simple. Et même si je ne comprends pas totalement où elle veut en venir quand elle me dit que sa vie est basée sur un mensonge, je sens que ça lui fait du bien d'en parler, bien que sa voix se soit serrée et qu'elle a eu besoin d'une grande inspiration pour laisser échapper la pression qu'elle a du ressentir en me racontant ces choses. Et moi, je la regardais avec encore plus de compassion et de tendresse qu'avant. Instinctivement, je venais la serrer contre moi. Je suis heureuse qu'elle me fasse assez confiance pour me confier ces choses de son existence, et pourtant, je suis malheureuse de ce qu'elle a pu traverser durant toutes ces années sans ses proches. « Quel genre d'emmerdes t'as eu ? Mais genre, t'as un lien avec le truc du FBI ? Et c'est quoi, le problème de ton frère ? Il s'est passé quoi y'a quatre ans pour qu'ils veulent plus te voir, à part qu'ils acceptaient pas que tu sois une fille merveilleuse, belle et talentueuse ? Je sais que je pose beaucoup de questions, mais tu me fais qu'un résumé. Et t'as appris quoi, en fait ? » J'espérais n'avoir raté aucune information, malgré tout. D'apprendre tout ça ce soir, ça me permet de la voir d'une autre manière. Elle s'ouvre à moi et me montre ses faiblesses, et ça fait battre mon petit coeur un peu plus fort.
Le repas se fait plus calme, et je souris quand elle me dit que ce que j'ai préparé est bon. Je ne suis pas tellement adepte de la cuisine, mais quand j'y mets du coeur, je peux faire des petites merveilles. « Merci mon amour. Oh, tu sais comment c'est. Je fais ce que j'ai à faire, je me débrouille pour passer mon année et je fais la fête avec les gens de ma confrérie. » dis-je en riant légèrement. « Et toi le boulot ? Ils ont kiffé ta campagne de pub pour la Nouvelle Calédonie ? » demandais-je, avant de piquer ma fourchette dans mon assiette, pour les derniers bouts qui s'y trouvent.
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Les questions qu'elle me pose sont légitimes, mais elles se bousculent dans mon esprit. Est-ce que je serai capable de tout raconter avec plus de détails ? J'en suis pas sûre. « J'ai été agressée, plusieurs fois. A me faire tailler par une lame, ce genre de choses. Et ouais, j'suis l'arrière petite-fille du premier directeur du FBI. Mon grand-père était agent, mon père est un agent, et mon frère aussi, maintenant. Moi, j'me suis éloignée de ce cette tradition de bureaucrates. Pour Humphrey, j'suis une artiste, et les artistes sont des camés, des bons à rien. Alors qu'en plus j'suis gouine et tatouée, je te laisse imaginer l'ouverture d'esprit du mec. Ils ont pas vraiment accepté que j'aime les femmes, et ils se donnaient l'air de le vivre bien. Et y'a quatre ans, j'étais sur le point de franchir un cap avec une de mes ex et je l'ai laissée tomber au dernier moment. Alors ça a été le point de rupture complet, la fracture définitive. Et j'ai appris que... John, mon père... c'est pas lui. » Finalement, tout était sorti, avec un maximum de détails, sans aller trop profond. J'esquisse un léger sourire, même si je suis un peu triste au fond. « C'est con, mine de rien. D'apprendre ça dans un supermarché, entre deux rayons de conserves et de pâtes. »
Elle me fait un résumé de sa vie d'étudiante, des fêtes de confrérie et ça me rappelle toutes mes études, terminée l'année précédente, et je retrouve du baume au coeur. Les soirée d'Harvard ne doivent pas être les mêmes que celles que j'ai connues. « J'ai toujours aimé cette ambiance confrérie. Et ouais, j'vois bien ce que tu veux dire. » dis-je en riant légèrement à mon tour. « Ouais, la boîte et l'agence de là-bas ont validé le projet. Alors ils m'ont payée une blinde ! » ajoutais-je en souriant fièrement. Puis je terminais mon assiette, avant de m'installer confortablement au fond du canapé. Je venais passer ma main dans le bas de son dos. « Tu comptes aller au Spring Break ? » demandais-je, innocemment, en espérant que je n'ai pas prévu de m'y rendre pour rien.
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Je me rendais compte qu'en fait, c'était ça, cette ouverture d'esprit chez elle. Et je comprenais aussi les cicatrices que portait son corps, derrière ses tatouages. Naëlle était une femme vraiment courageuse et admirable, et je ne pouvais qu'être fière de l'avoir près de moi. Alors j'écoutais son histoire avec attention, et j'ai compris qu'elle avait failli se marier à son ex il y a quatre ans de ça, mais qu'elle l'a abandonnée au dernier moment. C'est pas si engageant que ça, quand j'y pense. Mais dans l'histoire, je ne comprends pas quel est ce problème d'ouverture d'esprit dans sa famille. Alors intérieurement, je suis énervée de voir cette absence d'empathie de ses proches. « Putain c'est dingue. Je sors avec une meuf qui en impose en fait. Et qui vaut mieux que tous ceux qui pensent qu'elle ne vaut rien parce qu'elle est différente. T'es une fille géniale, Gwenaëlle Hoover. Mieux que cet abruti de Humphrey qui te voit comme une droguée. » lui avouais-je simplement, dans une tirade digne des plus grands révolutionnaires que le monde ai porté. Je pose alors doucement ma main sur sa joue, et lui souris tendrement. « Dis toi qu'au moins, tu le sais, ce qui n'est pas le cas de tout le monde. » Je ne savais pas vraiment quoi lui dire sur le sujet, étant donné que j'étais fille unique et que je n'ai jamais eu à gérer ce genre de choses.
Je souris largement quand elle évoque son passé d'étudiante à Harvard et ses souvenirs de soirées. Elle avait retrouvé le sourire et ça me faisait du bien. « Ca te manque pas, d'être étudiante ? » demandais-je, avec espièglerie. Perso, je sais qu'une fois la fac terminée, j'aurai du mal à m'y faire. Puis j'étais heureuse d'apprendre que ses photos ont été aimées par les deux parties. Non seulement, le voyage était super, et en plus, elle a empoché le contrat avec brio. « Je suis fière de toi, mon coeur. » répondis-je alors en souriant, alors qu'elle venait passer sa main dans le bas de mon dos. Un fin sourire venait se dessiner sur mes lèvres quand elle me pose la question pour le Spring Break. « Pourquoi cette question d'un coup ? T'as peur que je fasse des bêtises en ton absence ? » répondis-je pour la taquiner. « Ouais, j'ai bien envie d'y aller. Tu veux venir avec moi ? » demandais-je en me blottissant dans ses bras et en caressant sa cuisse.
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J'avais du mal à montrer mes faiblesses, à montrer que derrière cette force d'esprit, cette carapace, il y avait une fille qui souffrait depuis des années de ce statut, de cette emprise familiale. Mais j'étais prête à me livrer cette fois. Prête à encaisser mes propres problèmes, pour la première fois de ma vie. La réaction d'Helina me fait légèrement rire, parce que je m'attendais à tout sauf à cette réaction, à la fois de la colère envers ma famille et de la fierté d'être avec moi. « Je ne savais pas que tu étais du genre rebelle, chérie. C'est beau. » répondis-je en souriant. « Ouais, j'suis même pas sûre que lui le soit, alors j'pense m'en tirer à bon compte... Mais j'aurai aimé l'apprendre d'une autre façon, je crois. » finis-je par conclure sur le sujet. Je n'ai plus envie d'en parler, j'en ai bien trop dit de toute façon.
A sa question, je ricane doucement. « En soi, les études ça me manque pas. Mais l'ambiance des soirées, tout ça, ouais ça me manque un peu. Mais bon, je vais pas recommencer des études juste pour kiffer quelques années de plus. » finis-je par admettre en souriant. Alors qu'elle évoquait sa fierté sur mon boulot, j'esquissais un sourire. « Merci ma puce. » Tout simple, mais chaleureux.
Pour le Spring Break, sa première question laissait apparaître une pointe de jalousie au fond de moi, au point que mon regard semble s'assombrir, si on regarde bien. Mes mâchoires se serrent, mais je redescends en pression quand je comprends qu'elle joue un peu de ça. « J'espère que t'es pas ce genre de meuf, j'ai eu ma dose de tromperie pour toute une vie. » laissais-je échapper doucement. « Pourquoi pas, mais je sais pas si les non-étudiants sont admis, alors... Il faut bien que j'apprenne à te faire confiance, dans le pire des cas. » répondis-je alors, un peu déboussolée. Je passe mes bras autour d'elle et pose mon menton sur sa tête, avant d'y déposer un baiser.
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Je ne m'étais jamais montrée dans mon mood "je veux changer le monde" devant elle, mais là, c'était plus fort que moi, je ne pouvais pas laisser cette rage me consumer alors que je la vois dans un tel état, c'était impossible de rester calme. Et sa remarque m'amuse malgré tout, parce que c'était totalement incontrôlé. « Tu dois apprendre quelque chose de moi. Je suis une grande gueule et militante engagée. » avouais-je alors, comme si c'était un secret d'état. Fière de ce que je suis, malgré tout. Je lui souris tendrement. « Même si ce n'est pas ton géniteur et qu'à l'heure actuelle il t'a reniée, c'est quand même lui qui t'a élevée. Dis toi que je ne voyais mes parents que pour les vacances de Noël de mes dix ans à mes dix-huit ans, parce qu'ils m'ont envoyée à New-York chez une tante. » Je voulais qu'elle relativise. Même si ma famille semble moins étrange, elle n'en demeure pas moins décousue. Que tout ça n'est qu'une question de point de vue. Et je sens surtout qu'il est temps de changer de sujet.
Elle me parle du fait que les études ne lui manquent pas, mais que l'ambiance si, ce que je pouvais comprendre. Quand on passe autant de temps dans un endroit qu'on considère presque comme un chez soi, il est assez compliqué de s'en défaire. « Si tu veux, j'ai gardé ma chambre étudiante à la Currier House en plus de l'appart. Donc si t'as envie de te sentir comme une universitaire, on pourra s'y voir de temps en temps. » dis-je pour la taquiner un peu.
Je ne m'attendais pas à ce qu'elle prenne ma remarque, que je prenais pour drôle, aussi sérieusement. Ni même à ce qu'elle m'avait annoncé après ça. J'arquais un sourcil, curieuse de savoir qui lui avait fait subir l'infidélité. « Non, je suis pas comme ça. J'aime plaire, mais je reste droite quand j'aime. Et toi, je t'aime, alors.. » finis-je par dire, légèrement rougissante. « Je ne sais pas non plus, mais au pire, tu pourras toujours m'y rejoindre. » Je souris lorsque je sens ses lèvres se poser dans mes cheveux, et finalement, je me tourne vers elle, pour l'embrasser sensuellement.
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Ce petit bout de femme me surprend toujours lorsque je m'y attends le moins. Elle qui semble si douce, malgré ses coups de sang, s'avère être une militante engagée. Pour une fois, je crois que je ne me suis pas trompée sur la fille qui partage ma vie. « Je crois que je vais t'aimer encore plus. » avouais-je dans un sourire. D'un côté, elle n'a pas tort. C'est lui qui m'a éduquée, tout ça. Mais c'est assez traumatisant de se dire après tout ce temps qu'un mec qui n'a rien à voir avec moi m'a vue grandir, s'est occupé de moi en pensant que j'étais sa véritable progéniture. Enfin, je suis un peu perturbée par tout ça, et je n'ai pas vraiment les idées claires.
Retrouver la vie étudiante sans les études, ça doit être amusant, et même si elle me taquine en me proposant sa chambre dans la confrérie pour quelques batifolages de temps en temps, je trouve l'idée intéressante. « Pourquoi pas. J'aime bien faire ça dans les lieux différents. » dis-je en riant.
Ce qu'elle me dit me rassure. Je me rends compte que, malgré le fait qu'elle soit plus jeune que moi ne veut pas dire qu'elle est immorale et sans coeur, comme ont pu l'être certaines, ou comme j'ai pu l'être aussi, sûrement. Alors je souris franchement et je me rends compte que cette relation n'est pas celle qui me fera souffrir. « Moi aussi je t'aime. » finis-je par répondre à son aveu. Elle n'avait pas tort, je pouvais la rejoindre pour ce spring break malgré tout. « Je viendrais que si je te manque, alors. » répondis-je doucement, avant qu'on ne s'embrasse avec plus de sensualité qu'à mon arrivée, me laissant comprendre ce qu'elle voulait au fond. Et ce n'est pas pour me déplaire, bien au contraire.
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