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Remember me as a time of day □ featuring Aaron

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Les cours venaient tout juste de reprendre après avoir été suspendus pendant environ 6 semaines suite à l'attentat à la bombe. Poppy avait malheureusement dut manquer l'avant-midi puisqu'elle avait un rendez-vous chez le médecin pour voir comment sa jambe cassée guérissait. Elle devait toujours porter des béquilles mais apparemment il ne lui en resterais pas pour très longtemps ce qui était plutôt une bonne nouvelle. Elle s'ennuyait des cheerleaders, ou simplement de prendre une petite marche bien ordinaire. Elle fit donc apparition dans la cour d'Harvard aux alentour de midi, alors que la plupart des étudiants étaient entrain de manger. Elle ne fut d'ailleurs pas sans remarquer que beaucoup d'entre eux étaient manquer, enfin c'est normal car les cours qui avaient repris étaient plutôt limités avec les dégâts. Heureusement, elle vit le beau Aaron assis tout seul à une table, le nez dans un bon livre comme à son habitude. Elle le rejoignit donc à sa table, s'installant près de lui en l'embrassant sur la joue. Bonjour beau blond !
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S'il ne le montrait pas, Aaron éprouvait un soulagement certain a voir les cours reprendre. La vie reprenait doucement après les derniers événements et travailler lui permettait de ne plus penser à ce qui l'attendait dehors. Ce besoin de fuir la réalité était en partie dut à la présence de sa mère. Il ne l'avait pas encore revue et il n'était pas sur de le vouloir mais son père l'appelait, essayant de le convaincre de l'écouter et son grand père ne pouvait s'empêcher de lui en parler au boulot. En cours, personne ne viendrait lui parler de sa mère. Peu enclin à être entouré de monde, à l'heure du déjeuner, Aaron alla s'installer dans la cour pour travailler. Il se plongea dans un livre entièrement écrit en français. Comme toujours dans ce genre de moments, il n'avait envie que d'une chose : partir vivre en France, loin de ses problèmes et, évidemment, emmener Poppy avec lui. Il n'irait nulle part sans elle. Il n'irait nulle part tout court. Il n'était pas capable de laisser son père et ses grands parents. Quelqu'un vint s'installer à sa table et il leva la tête de son livre tandis que Poppy l'embrassait sur la joue. Salut dit-il avec tendresse. Il referma son livre et inclina la tête pour l'embrasser sur la bouche. Puis il se recula légèrement. Comment va tu ? La reprise n'est pas trop difficile ? Elle faisait partie des personnes blessées par les derniers événements et il se faisait du soucis pour elle. Comment s'est passée ta visite chez le médecin ?
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Depuis quelques temps, Poppy c'était beaucoup renfermé sur elle-même, elle évitait de parler de ses problèmes à qui que se soit, même son petit-ami Aaron. Ils c'étaient même un peu éloignés depuis l'attentat, non pas qu'ils s'aimaient moins bien au contraire, mais disons que leur complicité était un peu passée au second plan avec tout ça. Elle essayait de se reprendre par amour, alors en le voyant installé à une table tout seul elle décida de le rejoindre histoire de discuter un peu avant que les cours ne recommencent. En arrivant, elle le salua, puis l'embrassa sur la bouche comme le font tous les couples. Ça va ! et toi ? En fait non, enfin pour le peu de cours que j'ai eu c'était bien et les Eliots sont super. Toi alors comment ça se passe ? Eh oui,la gentille Cabot avait donné le flambeau à d'autres depuis les derniers évènements. Elle avait aussi perdu beaucoup de personnes de vue, préférant garder contact avec ceux qui le méritait vraiment au lieu de se donner corps et âme à des personnes qui ne s'intéressait même pas à elle. Toute l'université se posait des questions à propos de son changement radical ce qui la faisait bien sourire, c'est fou ce qu'une It Girl attire l'attention même dans les plus grandes villes. Bien, il m'a dit que d'ici quelques semaines je pourrais à nouveau marcher sans béquilles. J'ai bien hâte, je me sens comme une bête curieuse ici. Elle détourna légèrement son regard pour regarder les étudiants d'Harvard qui l'observait comme si elle était le monstre du Loch Ness. Oui bon elle avait reçu une bibliothèque sur la jambe et après ? Elle n'était pas un extraterrestre pour autant, les gens pouvaient regarder ailleurs.
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Trop de changements ces derniers temps et Aaron n'aspirait qu'a retrouver une certaine tranquillité. Il avait fréquemment envie de fuir tous ses ennuis tant il était las de tout ce qui se passait autour de lui, bouleversant son quotidien. Il ne pouvait rien y faire et avait le sentiment de ne plus rien contrôler. Même Poppy semblait lointaine. Même quand ils s'embrassaient, elle semblait penser à autre chose. Il était affecté par ce changement quand bien même il le pensait temporaire. Poppy avait son lot d'ennuis elle aussi, il était normal qu'elle soit moins affectueuse. Il n'allait sûrement pas lui demander davantage que ce qu'elle lui donnait déjà. Cela ne lui ressemblait vraiment pas du tout. Je vais bien, ça va peu être te sembler bizarre, mais les cours m'ont manqués. Soit, il n'avait guère rejoins les Dunster sans raison. Mais il ne ressentait pas seulement ce sentiment car il avait toujours porté beaucoup d'importance à ses études, il se sentait soulagé de reprendre sa routine. Peu être que tout redeviendrait comme avant s'il retrouvait ses habitudes. Il lui demanda comment c'était passé sa visite chez le médecin. Elle lui raconta qu'elle se sentait observée, regardée de travers. Aaron roula des yeux. Tu n'as rien d'une bête curieuse murmura-t'il en se tournant vers elle. Il déposa ses mains sur son visage et approche le sien. Leurs fronts se touchèrent et lui fit un nouveau baiser. Je m'inquiète pour toi ces temps-ci avoua-t'il avec douceur. Je suis inquiet pour nous, même si c'est stupide songea-t'il mais il n'en dit rien. Il n'était pas réellement inquiet, rien n'avait changé, ils s'aimaient toujours autant, Aaron n'imaginait pas que cela puisse en être autrement, mais elle était plus distante et il ne pouvait s'empêcher de penser qu'il y était peu être pour quelque chose.
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Présentement, tous les habitants de Cambridge avaient la vie difficile avec l'attentat qui avait eut lieu mais aussi les événements généreux d'une vie d'adulte. Aaron et Poppy faisait tous les deux bien parti de ce lot, entre la mère de son petit-ami qui était de retour en ville ce qui le bouleversait après 3 ans d'absence et l'infertilité de la nouvelle Eliot ou encore sa soeur qui était récemment décédée ils avaient eut le moral en montagne russe ces derniers temps. Heureusement, ils avaient su rester soudés et être là l'un pour l'autre sans trop se disputer. C'était tout de même un merveilleux signe d'amour,malgré que l'affection avait légèrement pris du recul. Ça reviendrait sans doute bientôt. Il y a une raison particulière ? La jeune femme était étonnée de l'entendre dire cela, en fait il faut avouer que les étudiants qui ont envie d'aller en cours c'est pas ce qu'il y a de plus commun,même à l'université. Toutefois elle le comprenait, c'était long 1 mois à ne rien pouvoir faire, n'avoir aucunes études ni rien.Les cours leur apportait un minimum d'activité, et de vie sociale aussi même si Poppy avait un peu rejeter ce côté là. Aaron lui avoua s'inquiéter pour elle, ce qui la charma. Tu sais que je t'aime n'est-ce pas ? Mais je vais bien, t'en fait pas. Elle lui prit la main gentiment en lui offrant un petit sourire. Il est vrai qu'elle était distante ces derniers temps niveau physique seulement ça ne changeait absolument rien à l'amour qu'elle ressentait pour lui, elle ignorait qu'il se sentait coupable pour ce changement car il n'avait absolument rien à voir avec la situation actuelle. Jamais Poppy ne se permettrait de le laisser partir.
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Il haussa légèrement les épaules. Depuis qu'il était gamin, il avait le sentiment de mettre des barrières entre sa propre personne et les autres. Il était à l'époque un garçon blond peut expressif, aimé de ses professeurs qui ne pouvaient que approuver son sérieux et sa curiosité. Pour les gamins de son âge, il était un enfant étrange qui lisait par plaisir et non car ses parents l'y avait forcé. A l'époque, Aaron se préoccupait de tout ça. Désormais, il avait tendance à ne plus y penser. Il ne cachait pas son besoin de travailler, d'avoir d'excellentes notes. Ainsi avait-il trouvé sa place chez les Dunster. Poppy était désormais une Eliot. Un autre changement. Être en cours me permet d'avoir de nouvelles excuses pour refuser de passer du temps avec ma mère et mon père. Lui semble lui avoir pardonné, à l'entendre on croirait qu'il voudrait qu'on reforme une famille tous les trois. Ca sonne tellement faux tout ça. Il poussa un long soupire frustré avant de se calmer. Donc ça me fait du bien, cette reprise, j'avais besoin de reprendre mes études en main ajouta-t'il. Aaron rassura Poppy et l'embrassa avec douceur. Il ne voulait pas aborder aussi franchement son inquiétude mais il reconnut en avoir pour elle. Il sourit quand elle lui dit qu'elle l'aimait. Non pas qu'il en doutait, mais c'était précisément ce qu'il avait envie d'entendre et de dire lui aussi. Elle vint lui attraper la main et il la laissa faire. D'accord, ça me rassure et je t'aime, moi aussi répondit-il en lui adressant un sourire.
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Au contraire de beaucoup, Poppy avait toujours su ce qui était juste de faire, elle était parfaite, exactement comme ses parents et son entourage voulait qu'elle soit. Elle ne c'était jamais trop poser de questions, cette vie lui plaisait, et ça a été ainsi pendant 21 ans. Seulement à un moment il faut bien changer, grandir, et ce moment était arriver aujourd'hui. T'as raison, personne n'a le droit de disparaitre pendant 3 ans et de revenir comme si de rien était en espérant être instantanément pardonner. Surtout, personne n'a le droit de te faire de mal Aaron. Ce n'était peut-être pas super gentil envers sa mère, elle espérait d'ailleurs ne pas l'avoir blesser avec ses propos. Elle avait simplement perdu ce filtre qu'elle avait autrefois qui lui permettait de toujours dire les choses gentiment alors que ce qu'elle pensait était un peu plus... violent. Heureusement Aaron et ses amis étaient immuniser contre cette méchanceté ! Il lui partagea ensuite son inquiétude à propos de son récent changement, ce qui fit sentir la jeune femme touchée, chose plutôt rare désormais. Elle se contenta d'être franche et lui dis que tout allait bien, et qu'elle l'aimait. Bon allez bien n'était pas vraiment franc, seulement elle ne voulait pas l'inquiéter. Tu sais que tu va faire des jaloux ? Tu sors avec l'une des filles les plus populaires d'Harvard maintenant ! Elle se permit un petit rire pour montrer la blague que représentait cette phrase.
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Il fut heureux qu'elle comprenne son point de vue. Ainsi elle pensait aussi qu'il était tout simplement étrange de feindre que les trois dernières années n'étaient guère passées. Aaron n'était pas d'humeur à faire semblant de se ravir du retour de sa mère dans sa vie et a jouer son rôle de fils comme si rien n'avait changer. Il ne voulait pas incarner un personnage au sein de la famille modèle que sa mère semblait décidée à créer. Elle était responsable de cette situation et Aaron ne la laisserait pas l'oublier. Merci, de me comprendre. J'en viens à douter car mon père a l'air ravi du retour de ma mère, comme s'il était capable de tourner la page avec facilité. Mais ce n'est pas mon cas il secoua la tête. Il était peu être trop rancunier, c'était ce que ses parents devaient penser de lui. Mais il estimait avoir le droit d'être en colère. Il ne voulait pas garder toute cette rancune en lui. Quand bien même c'était douloureux pour lui à dire et pour ses parents à entendre, il fallait qu'il parle de son ressentit et cette situation le blessait. Il ne pouvait pas le cacher. Comme si ce n'était pas suffisant, à ses problèmes familiaux s'ajoutait le sentiment que Poppy s'éloignait de lui, hors il avait besoin d'elle. Elle était devenue si importante pour lui avec les années. Elle le rassura, l'embrassa et il se détendit. Il roula des yeux en entendant sa remarque. Poppy se mit a rire et il la regarda en souriant. Je suis un sacré chanceux il le pensait. Pas car il sortait avec une fille populaire, mais car il s'agissait de Poppy et qu'elle lui apportait tant. Il rentra dans son jeu. Mais les garçons vont te regarder encore plus, promets moi de ne pas me quitter pour courir dans les bras d'un des garçons de ta nouvelle confrérie il n'avait pas peur, quand bien même il la trouvait distance ces temps-ci. Il croyait en elle, en leur histoire.
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Heureusement pour certains, Poppy n'avait changer d'attitude qu'auprès de ceux qu'elle ne connaissait pas ou qu'elle avait retirer de sa vie. Ceux ayant toujours la chance d'avoir son affection avaient aussi droit à un minimum de gentillesse et de compréhension. Elle serait toujours là pour les défendre corps et âme, Aaron était le premier en haut de la liste tellement il avait une grande importance dans sa vie. Auprès de lui elle faisait attention à bien se tenir, elle se refusait le moindre pas de travers qui remettrait en cause leur couple. Et tu n'as pas à le faire ! Je sais que c'est ta mère et que je ne la connais pas, mais c'est elle qui t'a blessée, qui a laissé cette situation devenir aussi horrible. Elle n'a pas a te demander d'oublier ou encore de redevenir son fils exactement comme avant. Elle se sentait légèrement dure envers la mère d'Aaron surtout qu'elle ne l'avait encore jamais encore rencontrée pour la juger si durement,seulement ça la blessait de voir que son petit-ami avait tellement souffert de ses 3 ans d'absences et surtout de son retour en ville. Il méritait d'être heureux, la Eliot ne souhaitait surtout pas qu'il se sente comme elle se sentait en ce moment, et elle anéantirait quiconque lui ferait une chose pareille. Qui que se soit. Puis elle décida de détendre un peu l'atmosphère en le taquinant un peu, lui rappelant qu'il ne fréquentait plus n'importe qui, elle était désormais membre de l'élite Harvardienne encore plus qu'avant. Il avoua tout d'abord sa chance, puis la mis en garde contre les garçons qui tenteraient de la séduire. Je te promet tout ce que tu veux ! C'est sans doute trop tôt pour dire une chose pareille, mais t'es l'homme de ma vie Aaron Kingstone. Elle s'approcha à nouveau de lui pour l'embrasser avec passion. Il n'y avait aucune chance qu'elle tombe amoureuse d'un autre après avoir connu une relation avec lui, il était tout ce qu'elle désirais. Suite au baiser, elle détourna légèrement le regard, fixant l'endroit où était la bibliothèque en se remémorant le jour de l'attentat. C'était si douloureux.
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Il s'abstenu de dire quoi que ce soit de plus au sujet de sa mère. Il lui en voulait encore tellement, il n'estimait même pas raisonnable de passer autant de temps à penser à elle alors qu'elle n'avait pas prit de ses nouvelles, de lui son fils, durant trois ans. Peu être y avait-elle souvent songer mais n'avait guère oser le faire. Aaron aurait adorer pouvoir croire ça. Se dire que sa mère ne l'avait pas réellement rayé de sa vie avant de décider de revenir y faire irruption comme si de rien n'était et en espérant que les choses allaient redevenir comme avant. Sa rancune le dévorait et il n'était pas sain de la garder ainsi en lui. Elle allait grandir et bien tôt, il ne la contrôlerait plus. Sa colère se mettrait à jaillir et quand il aurait enfin une discussion avec sa mère, il risquait de dire des choses qu'il ne pensait pas. Cette situation était désastreuse. Il aurait aimé qu'elle reparte, tout était plus simple alors. Il se sentait horrible de penser une chose pareille mais évita de le dire à voix haute. Non, il ne voulait plus en parler. Poppy détendit un peu l'atmosphère et il l'en remercia en silence. Elle parvenait toujours à le calmer. Sa présence le détendait. Il fut touché par sa petite déclaration. Sans doute que c'est trop tôt, oui, mais je pense la même chose. Je n'imagine plus ma vie sans toi admit-il. Inutile de garder cela pour lui quand l'évidence sautait aux yeux : il était amoureux d'elle, plus qu'il ne l'avait jamais été. Elle se tourna légèrement vers la bibliothèque. Elle devait penser à l'attentat. Aaron vint enrouler ses bras autour d'elle. Il se pencha, allant enfouir sa tête sur son cou, y déposant un baiser. Ce n'est pas facile, n'est ce pas ? Les derniers événements sont encore très vifs dans nos mémoires.
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