Don't piss me off ft. Soliman [hot]

J'avais finalement succombé à cette tension sexuelle entre lui et moi, il m'excitait comme personne et j'étais prêt à conclure avec lui. Il déposa de longs baisers sur mes lèvres et mon cou tandis que ses mains s'occupaient de mon torse. Sa bouche gourmande vint ensuite mordiller mes tétons, après avoir soigneusement enlevé mon tshirt. Je gémissais alors légèrement face au plaisir que sa bouche me procurait. Mon sexe était si dur, si fort, si imposant qu'il me faisait mal, étant prisonnier sous mon jean, c'est pourquoi je fus quelque peu libéré quand il enleva ma ceinture. Mon sexe alors couvert dans mon boxer pointa en flèche contre mon ventre, de quoi lui donner de bonnes idées. Je m'activais alors à mon tour, et enlevais rapidement son tshirt, puis m'attaquais à sa ceinture. Je la fis voler dans sa chambre, tout en commençant à déboutonner les boutons de son jean et enfin de le faire tomber jusqu'à ses pieds. Je pouvais moi aussi sentir son érection très imposante.; je glissais mes lèvres entre ses lèvres, pendant que mes mains actives tâtait la dure bosse qui se trouvait dans son boxer.

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Garett était en train de me faire perdre les pédales, non seulement il avait un corps divin et un pénis très imposant qui me donnait déjà envie d’aller plus vite mais ses regards, ses lèvres, ses doigts sur mon corps me faisaient perdre la tête. Alors que je déboutonnais sa ceinture non sans sentir que ce qui était dissimulé en dessous étais plus que dur il m’aidait à retirer mon t-shirt, me relevait le temps de faire glisser mon jean le long de mes cuisses, je me retrouvais à nouveau vêtu de mon boxer de bain orange et sur le point d’exploser. C’est bien simple, il était écarté de plusieurs centimètres et je me sentais vraiment à l’étroit à l’intérieur. Je ne voulais plus attendre, je le prenais par le bras le poussant pour qu’il puisse s’asseoir sur mon lit, je me mordillais la lèvre m’agenouillant au pied de lit pour déposer quelques baisers sur ses cuisses remontant dangereusement jusqu’à son maillot de bain que je retirais ne pouvant retenir un petit soupir d’aisance en constatant qu’il avait tout ce qu’il fallait et qu’il répondait à mes attentes bien au-delà de mes espérances. Je ne perdais pas une minute supplémentaire pour venir humidifier sa verge à l’aide de ma langue m’attardant sur son gland contre lequel je faisais quelques vas et viens sensuellement.

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Il était parvenu à se débarrasser de mon jean, ne laissant que mon boxer et ma verge plus que réveillé. Il m'attira alors sur son lit, et décida de me faire plaisir en commençant à déposer des baisers sur mes jambes. Je me mordis les lèvres, je savais déjà que j'allais avoir droit à une petite gâterie, ma gâterie préférée d'ailleurs. Comme je l'avais donc anticipé, il me dévêtit de mon maillot de bain, et observa longuement mon héritage paternel. Je pouvais voir à ses yeux qu'il était satisfait de ce qu'il voyait, je posais alors tendrement ma main sur ses cheveux et l'encourageait dans son projet. Il déposa alors lentement sa langue sur mon pénis, ce qui électrifia mon corps. Je basculais ma tête en arrière tout en gardant mes mains sur sa tête, l'encourageant à continuer plus rapidement et profondément. Le contact de sa langue sur ma verge faisait battre mon cœur à toute vitesse. Je ne pouvais m'empêcher de gémir face à ce plaisir délectable.

Oui...plus rapidement...profondément...

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Attendre plus longtemps encore pour lui sauter dessus était tellement difficile, pourtant je parvenais à canaliser toute l’excitation qui m’envahissait et m’approchait très lentement, d’une manière presque torturante pour lui de son maillot de bain que j’avais très vite retiré, la vue de son pénis me plaisait énormément et j’étais déjà loin dans le futur au moment où l’un d’entre nous irait offrir une bonne tranche de plaisir à son partenaire, j’en frissonnais d’avance et ne pouvait plus me laisser désirer, sa main contre mes cheveux me le faisait comprendre, il n’attendait plus que et moi et j’étais apte à le faire crier de plaisir rien qu’avec ma bouche. Timidement d’abord dans le but de le préparer à ce que j’allais lui faire je poursuivais de petits vas et viens le longs de son imposant pénis avec ma langue sans jamais me servir de mes deux lèvres, je venais mordiller ses testicules ne pouvant m’empêcher de me libérer tout seul de l’emprise de mon boxer de bain, je ne pouvais plus tenir là-dedans, j’avais besoin d’espace. « Oui...plus rapidement...profondément... » Je souriais coquinement plongeant son pénis entièrement dans ma bouche ce qui relevait du défi véritablement, j’accélérais les mouvements de vas et viens au sein de ma bouche n’hésitant pas à m’aventurer sur son torse par le biais de mes doigts pour le caresser encore un peu plus et faire monter le désir.

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Il me faisait languir, et même sexuellement il parvenait à me provoquer. Il déposait de fins coups de langues sur ma verge ce qui ne faisait que de frustrer mon excitation au plus haut point. J'avais terriblement et désespérément besoin d'intensité et de rapidité et quand il daigna enfin me les donner, je fus alors au 7éme ciel. Malgré la taille et l’épaisseur de mon sexe, il s'y prenais absolument bien et ne semblait pas avoir de problème à l'engloutir dans son intégralité. J'appuyais ses cheveux, les caressais, les tirait plus fortement, étant totalement guidé par mon excitation. J'avais droit à une véritable gorge profonde digne de ce nom et à cet instant, je bénissais tous les dieux de l'avoir rencontré à la piscine. Je poursuivais cette séance buccale en donnant de légers coup de reins, de façon à le guider complétement dans son activité. Il s'y prenais tellement bien que l'envie de lui rendre ce même plaisir commençait à parcourir mon esprit, j'avais moi aussi très envie de gouter son sexe.

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Garett étais exquis, je prenais un plaisir naturel et non dissimulé à le taquiner sexuellement parlant, son pénis complètement enfoncé dans ma bouche m’excitait encore plus, j’allais avoir droit à ma part de plaisir j’en étais certain à le voir me dévorer du regard de cette manière, ses petits coups de reins me permettaient de faire des vas et viens sans trop me fatiguer. Je m’arrêtais néanmoins après quelques minutes supplémentaires m’occupant de le masturber à l’aide de ma main tout en me redressant légèrement pour pouvoir atteindre ses lèvres sur lesquelles je déposais des baisers plus chastes que jamais, si je ne créais pas des attentes au jeune homme il ne se souviendrait pas longtemps de ce moment que je lui accordais alors que quelques minutes auparavant je le haïssais comme en temps normal. Je me mordillais la lèvre, être aussi peu démonstratif était difficile mais je savais comment rendre quelqu’un dépendant et c’était comme ça qu’il fallait s’y prendre, être très sensuel tout en suggérant pour que l’autre ne souhaite qu’une seule chose, que tout aille plus vite, la frustration était un cadeau pour les relations dans notre genre… Quelle était notre relation ? Je n’en savais strictement rien justement ! Je lui mordillais la lèvre inférieure me caressant pour faire monter le désir de mon camarade.

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Après plusieurs minutes de provocation, il avait finalement décidé de combler mon excitation avec intensité et délicatesse. Il était évident qu'il savait s'y prendre avec les hommes, je le trouvais presque plus doué que moi. Il allait sans dire qu'il était de loin le mec le plus appliqué dans la fellation que je n'avais jamais rencontré. Après m'avoir ouvert les portes du plaisir buccal, il conclut en me masturbant et m'embrassant simultanément. Notre baiser dura quelques secondes car la vision de son membre encore isolé dans son maillot m'interpella. Dire que la bosse était visible était un euphémisme, son membre m’appelait et me demandait de le libérer de ce tissu. Après avoir vaguement lécher le contour de ses lèvres, j'entrepris de faire voyager ma langue, de son cou jusqu'à son nombril en passant par ses tétons. Une fois arriver à la limite de son maillot, je fus assis et lui debout, je passais alors ma langue sur sa verge à travers son maillot. Je finis peu à peu par lui retirer son boxer, faisant directement à faire à son sexe qui pointa rapidement vers mon visage. Je me mis donc à le lécher dans toute sa longueur, de ses testicules jusqu'à son gland, pour au final l'entrer entièrement dans ma bouche. Je fais rarement dans la dentelle, et je suis impatient niveau sexe. Hors de question que je m'amuse à donc à jouer avec les fines parties de son organes, j'avais bien plus envie de l'engloutir intégralement dans ma bouche. Je sentais son sexe aller jusqu'au bout de ma gorge tellement il était long. Je faisais donc de longs va et viens, à la fois lentement en allant et rapidement en venant. Je tenais son sexe d'une main, mon autre main étant bien trop occupé à me masturber. Je retirais parfois mes doigts de son sexe pour malaxer ses testicules et ainsi lui procurer un maximum de plaisir. J'avais également envie de le faire languir comme il me l'avait fait, mais j'étais bien trop gourmand. Je la voulais entièrement dans ma bouche, sans y aller par 4 chemins.

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Je n’aurais jamais pensé que Garett pourrait être aussi entreprenant avec moi. Bien entendu il n’avait pas mon expérience avec les hommes et était parfois maladroit dans sa manière de m’embrasser, me caresser mais il s’en sortait mieux que la plupart des hommes avec qui j’avais pu avoir des ébats dans ma vie. Après l’avoir embrassé goulument il avait repris le contrôle d’une manière que j’appréciais, sa main contre mon corps, ses lèvres contre mes tétons, mes abdominaux, mes tatouages qui me rendaient encore plus sexy, sur mon boxer de bain. Oh mon dieu, je frisais l’immolation de l’intérieur, mon corps tout entier était en train de s’embraser et ce petit bout de tissu qu’était mon maillot n’allait plus tenir longtemps sous la pression insistante de mon pénis. Je me mordillais la lèvre ne pouvant me retenir de pousser un long soupir de plaisir lorsque je sentais enfin ses lèvres, sa langue contre ma verge, il me rendait fou. Je me caressais le torse prenant l’un de ses bras pour venir embrasser le bout de ses doigts, les mordiller parfois pour retenir certains gémissements et finalement pour en sucer quelques secondes, une manière peu imaginative de lui faire comprendre que je voulais recommencer avec son soldat au garde à vous. Je ne pourrais hélas pas recommencer, je n’étais plus patient, je voulais juste aller encore plus loin. Mes gémissements montaient en intensité, il était tellement habile de sa bouche. « J’ai envie de toi beau brun, ne me fais plus attendre ! » Une manière peu subtile mais tellement coquine de lui faire comprendre qu’il était temps d’en finir avec les préliminaires pour s’attaquer à la partie la plus intéressante.

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J'avais finalement réussi à le rendre fou. Fou de plaisir, d'excitation..complétement fou de moi. Je m'appliquais avec rigueur et finesse dans mes va et viens oraux, il devait certainement être surpris de voir jusqu’où j'étais capable d'engloutir sa verge. J'avais des années d’expérience dans ce domaine, une sorte de master en fellation. Je suçais à présent son membre tout en le masturbant simultanément. Cela l'excitait, à tel point qu'il se mit à passer deux de mes doigts dans sa bouche, comme une manière de me rendre partiellement ce plaisir. J'étais autant excité que lui, je faisais donc des va et viens de plus en plus rapide, prêt à recevoir son doux et chaud élixir quand soudain, il me fit comprendre qu'il désirait passer aux choses sérieuses. Je souriais face à cette proposition que je trouvais plus qu'alléchante. Je déposais un dernier baiser sur son sexe puis me relevai jusqu'à sa taille. Je l'embrassais alors passionnément, mes mains caressant à la fois ses fesses et sa longue tige. J'étais définitivement prêt à la recevoir en moi, je le voulais en moi. Je me retournai alors légèrement, et frottai mes fesses contre son pénis tout en pivotant mon cou afin de poursuivre nos baisers langoureux.

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Garett me faisait tellement de bien, je gémissais de plus en plus fort n’hésitant pas à mettre quelques coups de bassin dans sa bouche pour l’aider dans ses vas et viens. Je devais néanmoins interrompre cette fellation qu’il exécutait à la perfection, c’était tellement bon que je devais me faire violence mais je voulais lui faire l’amour et s’il continuait aussi vite et surtout en mettant en avant ses aptitudes à faire du bien j’allais exploser dans sa bouche et je ne voulais pas que ce soit aussi rapide. Je le stoppais donc en lui faisant comprendre par le biais de paroles coquines que je n’attendais plus que lui pour entamer les choses sérieuses. Il revenait à califourchon sur moi prenant possession de mes lèvres avec passion, je prolongeais n’hésitant pas entremêler nos langues sensuellement alors que mes mains trouvaient rapidement le chemin de ses petites fesses bombées, mes doigts venaient rapidement entrer en lui histoire de préparer ma venue, j’y allais tout d’abord en douceur puis beaucoup plus rapidement en enfonçant un second doigt puis un troisième. Je le repoussais afin de pouvoir l’allonger sur le lit de profil me glissant contre son dos sur lequel je déposais quelques baisers tout en me munissant d’un préservatif que j’enfilais rapidement. Me collant à lui totalement je prenais sa jambe que je soulevais et le pénétrais d’un coup de bassin sauvage, j’en profitais pour lui caresser le lobe de l’oreille à l’aide de ma langue. Il allait apprécier le moment à venir, j’en étais certain !

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