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tenenspoon + I'm a loser getting beat by my own game

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T’es trop précieuse, trop frêle pour ma personne. C’est ce que j’aimerais bien croire. La vérité étant que je ne sais pas lequel de nous deux se brûlera le plus les ailes. Je me sens comme pris à mon propre jeu, le tambour me chuchotant sa frénétique mécanique dans la jugulaire que tu viens explorer de tes lèvres juvéniles. Ma peau a pourtant connu nombre d’ombres féminines, des silhouettes plus redoutables, des femmes tenaces, des femmes fragiles, des femmes avides, des femmes timides. Certaines ont laissé plus de marques que d’autres, mais la tienne reste singulière Marla. Estampillant le sombre de nuances de couleurs pour finalement revirer vers les ténèbres. Avec toi, j’oscille, entre ce qu’il y de bon et de pire en ma personne. Je ne choisis pas de camp, mais ce flou qui nous emporte. De tes lèvres charmantes dont je m’abreuve paupières closes comme pour mieux mémoriser le téméraire chemin qu’elles empruntent. Ma main tenant ta taille, s’aventure sous le tissu de ton haut pour remonter du bout de la pulpe de mes phalanges au milieu de ton dos, jouant de l’accroche du tissu pour barrer l’affront de mes mains vers ta poitrine. Mon souffle s’accélère dans le silence étrange de cette étreinte, alors que ta question résonne. « Oui. » Mille fois oui, je vais pas faire dans l’enrobage ou les nuances parce que ce sont avant tous mes pulsions qui me commandent, ces mêmes pulsions que tu attises mais que tu redoutes. J’ouvre de nouveau mes paupières pour t’observer quelques instants, mon autre main remonte dans tes cheveux et les tire tendrement en arrière pour que finalement enfin ma bouche avide, poussive s’empare avec force de la tienne.
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Mes lèvres parcourent sa mâchoire dans le simple but de le faire céder en premier. Ce baiser que je lui vais déjà offert il y a quelques semaines, bien sûr que j'avais envie de le tenter une nouvelle fois. Mais, j'voulais pas être la seule à l'avouer. Pour une fois, j'voulais que ce soit quelqu'un d'autre qui demande, quelqu'un d'autre qui succombe. Je ne voulais pas être la seule personne faible dans cette pièce, encore moins en étant sur mon territoire. Mon souffle s’accélère en sentant les doigts du géant se glisser sous mon haut et ne plus s'arrêter. Ma peau pâle frissonne. J'prends déjà goût à ses caresses. Est-ce que vouloir recommencer dans les semaines à venir, c'était une forme d'attachement ? Non ? Tant mieux. Mes lèvres glissent toujours un peu plus loin, puis elles s'étirent en un sourire à l'écoute de sa réponse. Avec délicatesse, ses doigts viennent glisser dans mes cheveux blonds, tirant dessus dans le simple but de me faire redresser la tête. Dans le simple but de succomber à l'appel. Je prolonge son baiser avec envie, je l'intensifie alors que les mains viennent encadrer son visage pour être certaine qu'il ne s'échappe pas. J'sentais déjà les sensations dans le creux de mon estomac. L'excitation, le désir... la peur aussi. J'étais pas aussi à l'aise que j'essayais de le lui montrer. Il suffisait d'un instant pour que des pensées s’immiscent dans ma tête et compliquent les choses. Mes lèvres quittent les siennes, mais la proximité reste la tête. « J'peux te faire confiance ? » J'ai besoin de m'en assurer. J'ai besoin que tu me le dises. J'avais besoin de pouvoir faire confiance dans ces moments là.
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La flamme qui m’étreint, l’envie qui brûle le bout de mes doigts, ce sont les seules règles que j’impose à mes veines. Alors lorsque mon corps demande plus de toi Marla, malgré l’étrangeté de la chose, je m’y soumets. Je me répands dans tes nuances d’or, mes phalanges trop épaisses pour ta silhouette trop gracile, mes lignes aiment toutefois dessiner de nouvelles routes sur ta peau exsangue et chétive. Mes lèvres quémandent leur dû de cette douce pression qu’exercent mes doigts sur tes mèches. Ma bouche rencontre ton monde, s’aventure dans ce goût inédit, de fille modèle un peu trop sage, carapace trop lisse pour des démons redoutables, les doigts en rebord de la dentelle jouent machinalement avec l’attache. Ta voix résonne dans cette singulière étreinte, et mes pupilles déterminées rencontrent les tiennes. Dans la lignée du feu, je serai toujours une exemple, de l’instinct le maître, ce dicton qui prétend que le remord ici n’est pas appréciable. « Tu peux me faire confiance. » que je dis du bout des lèvres. Tu me connais, tu sais ce que je suis, et je ne sais pas vraiment pourquoi je te réponds cela moi qui fuit toute attache, je sais pourtant que la dernière chose que je veux c’est de faire du mal. Mes lèvres parcourent la naissance de ton cou , les doigts délient l’attache pour explorer de nouveaux mondes, t’entraîner dans des lueurs plus sauvages, te réconcilier avec le primitif de ta personne.
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Ma tête se redresse sous ton autorité. L'instant d'après, nos lèvres se rencontrent pour une deuxième fois depuis que l'on se connait. C'était comme succomber à la pression électrique qui nous entoure depuis des semaines déjà. Mes mains dans tes cheveux enferment ton visage pour accentuer la pression de notre baiser. Je ne fais plus attention à rien. Je ne fais plus attention à qui nous sommes, où nous sommes et ce qui est en train de se jouer. Je profite simplement, sans vraiment réfléchir, juste un peu. On ne fait que s'embrasser dans le fond - si on fait abstraction de ta main dans mon dos qui défait l’agrafe de mon soutien-gorge. Avant d'aller plus loin, j'ai une ultime question, de la plus haute importance. La réponse sera cruciale pour pour les moments à venir. « Tu peux me faire confiance. » J'le savais déjà dans le fond. Même si j'avais été en colère, j'avais bien vu dans ton regard, la fois où tu avais découvert mes blessures que tu te faisais un réel souci pour moi. Au moins, tu ne seras pas choqué de revoir mes blessures aujourd'hui. Tes mains arrivent à leurs fins tandis que tes lèvres marquent ma peau. Ma tête se penche pour te laisser de la place. Mon estomac se tord sous l'excitation grandissante. « J'ai envie de toi » que je souffle en m'attaquant à tes lèvres une nouvelle fois pour t'offrir un baiser langoureux. Mes mains quant à elles se sont immiscées sous le tissu de ton haut pour parcourir ton torse et te dévêtir par la même occasion.
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Je sens tes mains chétives entourer mon visage, c’est une douceur inattendue, une flamme que je soupçonnais pas entre tes paumes. Ma raison me dirait sans doute que je fais n’importe quoi mais il y a bien longtemps qu’elle croupit dans la salle d’attente. Alors mes lèvres quémandent simplement les tiennes, mes mains t’explorent bien plus qu’il ne faudrait. Elle est encore loin lorsque mes prunelles reposent sur les tiennes, lorsque ma voix proclame que tu peux me faire confiance. La vérité, c’est que je ne me ferai pas confiance à moi-même. Mais je suis certain d’une chose Marla, je veux pas te faire du mal, je suis pas là pour te juger, et encore moins pour te prêter serment. Juste pour que nos corps vivent un peu plus, pour que nous profitions de cet instant sans alourdir nos épaules d’éternelles questions. Et elle chavire pour de bon, noyée, perdue dans les eaux profondes lorsque ta voix me chuchote ces quelques mots, mes paumes suspendent leur trajectoire l’instant d’un souffle alors que mes yeux sondent les tiens comme pour m’assurer de la véracité de tes propos. « T’es sûre ? » Parce que y’aura pas de retour en arrière, pas d’apaisement pour la brûlure entre nous, le feu on s’y jette sans lui tourner le dos. Mes phalanges empoignent les rebords de ton tee-shirt pour le remonter doucement, dévoilant davantage de ta peau, je viens cueillir à nouveau l’enveloppe désormais nue de ton dos, ma bouche repose sur ton front, puis sur l’arête de ton nez avant de m’emparer de tes lèvres à nouveau.
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T'as l'air d'être le premier surpris. J'ai envie de toi. C'est pas étonnant pourtant, tu t'es vu Mave ? La géant à la tête étrange. T'as un charme fou, tu rayonnes et malgré tes travers, ça te rend beau. Et même, tu n'as pas besoin de ça pour l'être, physiquement, t'es attrayant. J'ai aucun mal à me perdre dans tes yeux sombres. J'ai aucun mal à te rendre tes sourires. T'es cheveux ils appellent mes doigts et ta voix... Ta voix c'est comme le cri des sirènes. J't'ai détesté pendant un moment, mais j'suis pas rancunière et puis, ça me plait de transformer les gens et les relations. Ça me plait d'te voir évoluer dans ma vie, sous mes yeux et d'te laisser les rênes en main. J'ai beau être une petite fille rangée en apparence, la vérité c'est que j'suis complètement détraquée. La vie m'a déjà fait bien plus de mal qu'on ne le pense et ce que j'te demande là, c'est de s'enfermer pendant quelques heures dans une bulle, juste toi et moi, pour oublier l’extérieur. « T’es sûre ? » Je hoche la tête vivement, de haut en bas, mes pupilles azures rivées dans les tiennes. « Oui » J'ai jamais été aussi certaine de moi qu'à cet instant. Fais-moi du bien Maverick. J'sens tes mains agripper mon t-shirt et bientôt, je lève les bras pour que tu me l'enlèves. Tes gestes sont fait avec douceur et ça me rassure. Ta présence m’apaise, tu vois. Tes lèvres viennent retracer mon profil et enfin, je t'embrasse à nouveau, les yeux clos, profitant de l'instant que tu m'offres. J'approfondis le baiser, je le rends langoureux. Délicatement, mes mains agrippent tes bras et j'te tire dans ma chute en arrière. On se retrouve allongé sur mon lit, toi au dessus de moi, bercé par mon rire.  
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Je te demande si t’es certaine parce que tu es peut-être ce genre de fille qui ne fait pas de bêtises. Je te peins bien de nouvelles nuances ces dernières semaines Marla, mais sait-on jamais ? Je n’ai pas envie que notre relation se résume à cet acte que tu regrettes, que les choses redeviennent étranges entre nous alors qu’elles sont devenues faciles maintenant. Je ne sais pas comment tu vois les choses alors je préfère m’assurer de ta certitude. Un sourire léger vient toutefois emplir mes lèvres effrontées lorsque tu viens m’assurer de ta volonté qu’on se possède. Ma bouche détaille chaque parcelle de ton corps, alors que la tienne vient s’emparer de ma personne une nouvelle fois dans une volonté bien plus langoureuse. Ton frêle corps, m’entraîne dans sa chute, droit sur le tien, ton rire résonne entre les murs et un sourire muet se peint sur mon visage alors que mes bras amortissent la chute pour ne pas te faire mal. Lentement, je te déshabille, je te laisse me déshabiller entièrement, et une chose entraînant l’autre, nous improvisons cette danse que je n’aurais jamais cru possible entre nous. Quelques instants plus tard, je suis passablement échevelé mais satisfait lorsque mon dos se pose sur le matelas, un peu à l’étroit, je t’entraîne contre moi pour qu’on y tienne à deux. Ma bouche se perd dans tes mèches furtivement, je sens ton odeur se mêler à la mienne, c’est presque incongru, sérieusement. « Alors heureuse ? » que je lance avec une moue satisfaite avant de rire pour de bon, je suis vraiment con parfois.
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Notre relation prend un tournant inattendu. Et à entendre la façon dont mes gémissements raisonnent auprès de ton oreille, tu pourras comprendre que je suis satisfaite de ce revirement de situation. J'suis épuisée par l'effort physique, bercée par les effets de l'allégresse. Je tente de retrouver une respiration normale petit à petit quand tu me tires dans tes bras. Ce qui était beau, c'est que je n'avais pas besoin de te supplier pour que tu m'offres encore quelques minutes de tendresse. Après avoir fait l'amour, ce que je préférais, c'était d'avoir des câlins, ce que l'on m'accordait pas forcement. Toi, t'avais pas besoin que j'te le demande. J'me calais bien, ma tête sur ton torse alors que ton visage se perd dans mes cheveux blonds. « Alors heureuse ? » Mes sourcils se froncent et j'pouffe de rire. « Tu dis ça comme si j'avais dû te supplier de faire l'amour avec toi et que ça avait été un fardeau de le faire... » D'un coup, j'me mettais à douter sans le vouloir : « Tu n'as pas aimé ? » Parce que moi, si. Je signais quand il le voulait pour recommencer. « Là, ce dont je suis heureuse, c'est que j'ai pas besoin de te demander pour avoir un câlin. J'étais déjà en train de préparer ma meilleure mine triste pour te convaincre de m'en faire encore... » Mais il n'était pas comme grumpy Mikke que j'avais dû laisser fumer dans le lit pour avoir ce dont j'avais besoin.
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Je suis un crétin de première, c’est pas nouveau et tu devrais être au courant de ce fait Marla. Alors quand je viens te demander si t’es heureuse, c’est juste pour alimenter ces clichés à la con. Car oui, on l’est tous les deux à ce présent moment. « Oh tu n’as pas eu beaucoup à supplier il me semble. » Je souris en venant resserrer encore un peu ton corps contre le mien. « Maintenant que tu as goûté à mes talents, tu risques de supplier plus souvent mais bon. » Je te lance un œil amusé, fier de ma propre connerie. Mais je sens que mes bêtises insinuent le doute en toi. Avec ce qu’on vient de vivre, je viens presque à en oublier comme tu peux être timide et peu sûre de toi parfois, parce que pour le coup, tu semblais savoir précisément ce que tu veux. Mes phalanges passent dans ton dos pour l’effleurer dans un mouvement distrait d’aller et retour. « Ce que je sais, c’est que moi, je pourrai facilement te supplier. » Vaut mieux pas que tu aies à vivre ça si tu ne veux pas te coller la honte, mais ça répond à ta question. Bien entendu que j’ai aimé. Et d’ailleurs, ces gestes qui sont pour moi instinctifs, tu sembles les apprécier. Je suis volage, éphémère mais pas pour autant pas tendre ou pas sincère dans mes attaches. J’admets que c’est un paradoxe. « Pas besoin de faire ta mine triste pour ça. » que je rétorque en me redressant un brin. Je me baisse vers ton visage pour venir accoler tes lèvres aux miennes et te prendre contre moi. Je suis pas mal à l’aise avec la tendresse, au contraire. « T’as pas froid ? » Parce que t’es si chétive que ça m’inquiète.
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« Oh tu n’as pas eu beaucoup à supplier il me semble. » C'est vrai. Je n'avais pas supplié du tout d'ailleurs. Il avait simplement suffit que je me fasse comprendre sur mes intentions pour qu'il entre dans mon jeu. Je l'imite en resserrant moi aussi mon étreinte. « Maintenant que tu as goûté à mes talents, tu risques de supplier plus souvent mais bon. » J'peux pas m'empêcher de pouffer de rire. « J'connaissais pas cette facette de toi encore... » Celle du... mec bourré de stéréotype. Est-ce qu'il disait tout ça pour faire exprès de casser le moment de tendresse à deux ? Le pire, c'est qu'il arrivait à me faire douter. Est-ce qu'il avait passé un bon moment seulement ? Est-ce que je m'étais laissée trop faire ? Uurk, j'me posais beaucoup trop de questions. Ses caresses me rassurent et chassent mes pensées en quelques secondes. « Ce que je sais, c’est que moi, je pourrai facilement te supplier. » Vraiment ? « Ça me changerait un peu » De manière générale, les hommes n'avaient pas besoin de me supplier quand ils m'avaient déjà dans leurs filets. Peut-être même que ça me ferait du bien. Au moins, ce que j'aimais chez lui, c'est qu'il transpirait la sincérité. Il n'avait pas peur de dire ce qu'il pensait. Il n'avait pas peur de se montrer affectueux pendant que beaucoup d'hommes râlaient pour un simple câlin. J'avais besoin de tendresse et je trouvais ce qu'il me fallait dans ses bras. Comme pour marquer tes propos, tes lèvres viennent trouver les miennes un instant. « T’as pas froid ? » Ma tête se secoue légèrement pour te répondre à la négative. J'étais juste bien, c'était parfait. Mes lèvres trouvent les tiennes à nouveau. « Est-ce qu'on t'a déjà dit que tu étais très beau et que tu avais un charme fou ? » Sans doute oui.
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