Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIt feels like war - Andrew & Milo - Page 2
-14%
Le deal à ne pas rater :
Lave-linge hublot HOOVER HWP 10 kg (Induction, 1600 trs/min, Classe ...
299.99 € 349.99 €
Voir le deal


It feels like war - Andrew & Milo

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Andrew Spector , Milo Novak & Veïa Alvisio

It feels like war


Elle est forte cette tempête italienne. Je sens qu'elle pourrait consumer l'appartement tout entier. Tout exploser sur son passage et même sa poupée. D'une main tendre et un supplice, je lui demande d'arrêter. De la douceur qu'il me reste à travers mes larmes, j'essaie de lui transmettre tout mon amour. Le seul dans mon coeur. L'unique. Même s'il m'a retrouvé dans les bras d'Andrew. Un acte totalement chaste et imprégner de l'amitié qu'il avait pour moi. Il n'aurait jamais dévié sur nos anciennes habitudes. Maintenant mes courbes n'appellent que Milo, elle ne vibre que sous ses doigts. Je suis écorchée et marquée au fer blanc par la passion qu'il me transmet quand il me fait l'amour. Comme si j'étais la seule créature encore sur terre. Je voudrais pouvoir voyager dans le temps, remettre tout en place. Mais les retours en arrière sont impossibles. Je lui ai ouvert la porte ce soir et il a filé pour me retirer la vodka de mes mains. Milo l’ignore encore, le voyant encore comme un connard à qui on m’a arraché de ses bras   J'ai peur de la réaction de mon ami. Surtout quand il mentionne qu'il me donne des ordres. Car oui c'est un ordre, je sais que je ne peux pas reculer. Si je refuse qu'il parte, Milo m'échappera. En même temps je sais qu'Andrew comprendra. Sans doute un peu trop soumise, la dernière chose que j'ai envie de voir c'est mon homme me filer entre les doigts comme de la poussière. Il me tend cette perche un peu tremblante. Ce seul avertissement avant la catastrophe. Avant même que je puisse lui demander de partir, je le vois rassembler ses affaires en sermonnant Milo au passage. J'ai envie de lui crier d'arrêter, que de toute façon il n'entend plus rien. Je suis encore étonnée d'avoir réussi à le raisonner avant que tout vienne aux coups. Je lâche le bras de mon amoureux et j'ouvre la porte pour laisser passer Andrew. J'espère qu'il comprend dans mon regard que j'ai l'intention de le tenir au courant de la suite. Je ne donne pas d'ordre, je n'ai pas d'autorité et il a senti lui-même qu'il était temps de partir. Je referme la porte nous laissant ainsi seul dans nos tourments. Le visage encore massacré par les larmes, je ne suis pas un beau spectacle. Je ne suis plus ce que j’ai le droit de faire à présent. Ai-je le droit de l’embrasser ? Le prendre dans mes bras pour me laver de mes pêchés ? Le retrouver comme pendant ce voyage à Londres. Je le sens cet impact sur ma porcelaine, qu’on aurait entendu même dans la foule. La peur au ventre devant sa colère, j’attends qu’il revienne vers moi. Mes pardons déjà déposés plus tôt. Je retourne dans le salon en m’assoyant sur le sofa. D’une main tremblante j’allume une cigarette l’apportant à mes lèvres. Tu as le droit de m’en vouloir, mais ne me déteste pas, aime-moi comme autrefois. «Viens…» Ma voix brisée t’appelle à moi. Ne m’oblige pas à retourner vers la bouteille, même si son goût salé me rappelle le tien.



@Andrew T. Spector @Milo Novak
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
it feels like war.
Veia x Andrew x Milo
Le nerf sous mon œil tressaute. Je penche la tête sur le côté en me mordant durement la lèvre alors que je souffle comme un taureau pour canaliser le peu de contrôle que j'ai encore sur mon corps et la situation. Il en faut peu pour que j'explose. La poudre prend déjà feu, et je pourrai l'écorcher vif.
Je crois que c'est la première fois dans ma courte vie, que tuer quelqu'un ne me pose aucun problème. C'est la première fois aussi que j'ai cette envie de prendre n'importe quel objet tranchant pour le voir vider de son sang... On ne touche pas à ma femme. Et même, si nous sommes ensemble depuis peu, même si ce n'est pas un objet mais bien la plus belle créature au monde... Elle est à moi.
Que leur amitié malsaine débouche sur une amitié qu'ils considèrent surement pure, ce n'est pour moi qu'un amas de poussière. A la première dispute, les voilà réunis. A la première occasion d'abandonner leur moitié respective pour se retrouver à pleurer dans les bras l'un de l'autre. Non. Ça ne marche pas comme ça... C'est moi qu'elle aurait du appeler, je me serai pointé aussitôt.
Et lui qui profite de sa faiblesse, de ses peurs et ses doutes pour toucher son corps de lait, mon corps de lait. Ma Veïa.
Je ne réponds pas à sa remontrance sur le fait de donner des ordres à Veïa, jusqu'à preuve du contraire, je gère mon couple et ma colère comme je l'entends. C'était soit lui demander ça et discuter, soit lui casser la gueule et lui demander de partir... Avouer que c'est quand même une certaine preuve de maturité que j'ai eu.
Il rassemble ses affaires, et je tremble toujours autant de colère. A la perspective qu'il s'en aille, j'ai tout de même le cœur plus léger. Pas d'hématome, pas de blessure... pas de cris.
Il passe près de moi et je le regarde dans les yeux. Je crois que le turquoise de mes yeux a laissé place à un sale trou noir rempli de haine et d'obscurité. Je hausse un sourcil, un sourire moqueur sur les lèvres. Sarcastique, dédaigneux. « Ça me fait une belle jambe que tu sois content. » Il passe, insiste sur le fait que je fais ce que je veux. « Je fais ce que je veux. » que je répète.
Veïa ouvre la porte alors que je souffle encore, quand elle referme la porte, je reste un moment à fixer le cadran alors qu'elle s'éloigne pour s'assoir dans le canapé.
« Connard. » que je siffle entre les dents.

Je reste un moment dans l'entrée à me passer la main sur le visage pour évacuer le stress, la tension, la colère.
Je l'entends qui m'appelle et j'hésite à partir moi aussi. Mais cette colère est tout de même déraisonnable ou disproportionnée, j'en ai pleinement conscience et la source du problème est parti, donc...
D'une main, j'attrape sa cigarette d'entre ses lèvres pour tirer dessus avant de l'écraser dans le cendrier, tant pis si elle n'est pas terminée.
Je l'embrasse. Avec un peu de violence, sans doute et une passion qui m'a toujours animé. Depuis la première seconde, et j'espère jusqu'à mon dernier souffle. Je l'allonge sur son sofa et passe entre ses jambes pour m'allonger sur elle, appuyé sur les coudes pour ne pas l'écraser. Arrachant ses lèvres entre mes dents avant de plonger comme un désespéré au creux de son cou pour mordre, embrasser, sucer sa peau.
Ma peau de lait, ma poupée, ma porcelaine.
Ma femme. « Je t'aime... » que je chuchote contre sa peau avant de laisser le calme m'envahir et retomber un peu sur elle. Caché dans ses cheveux, une larme menace de perler... et de trahir la peur que j'ai eu.
(c) AMIANTE



@Veïa Alvisio @Andrew T. Spector
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Andrew Spector , Milo Novak & Veïa Alvisio

It feels like war


On a tous déjà senti ce moment. Ce moment qu’on se sent complètement perdu. Complètement à l’ouest, rongé par toutes ces émotions qui veulent la prennent la place des unes des autres. Elles vous bouffent l’âme vous laissant votre conscience dans les abysses. Et c’est comme ça que mon cerveau pense pour le moment, les mains tremblantes avec la cigarette aux lèvres. Les yeux rougis, l’alcool qui écorche mes veines, je me demande comment il va réagir face à sa poupée. Face à sa porcelaine qui a une fissure directe sur les artères. La peur encore présente, la violence qui se retrouve dans l’air, elle ne semble pas vouloir se dissiper. Sans doute, parce qu’à l’extérieur il en reste plus pour les autres âmes. Mon italien a tout bouffé pour lui, égoïstement avec l’idée de fracasser Andrew. Elle doit partir maintenant, elle doit filer à travers les carreaux pour que tu me reprennes dans tes bras. Parce que ta poupée elle n’est pas violente, elle est douce comme de l’eau, comme de la soie et comme le lait. Ce côté maso revient au galop en me disant que peu importe j’ai juste envie qu’il me prenne dans ses bras. Même si pendant un moment je ne le reconnaissais plus et c’est pour cette raison que je l’appelle à moi. Dans un mince supplice de ma voix rongé encore par les larmes. Je veux bien oublier la vodka, même si elle me fait penser à toi. Tu réponds à mes appelles et je te vois revenir vers moi après un juron contre la porte. J’ai été stupide. Pardonne-moi, je ne savais plus où donner de la tête. Tu ignore encore beaucoup de détails sur ma personne et peut-être qu’au fond c’est ce que tu envie à Andrew. Il a une longueur d’avance sur le psychique, mais au grand jamais dans mon cœur.  Tu me retire mon moment de détente avant de l’écraser dans le cendrier. Je suis chacun de tes gestes, les lèvres entre ouvertes et le ventre serré. Tu m’offre le plus beau cadeau, la seule chose que je désirais. Même si ce baiser n’est pas tendre, il est mon souffle, comme la toute première fois. Je sens que mon cœur se remet à tambouriner, je la sens la fissure qui se colmate. Il a encore du chemin à faire, mais pour le moment je la sens la chaleur qui s’émane. Mes larmes reviennent à mes prunelles lorsqu’il s’attarde sur mon cou réveillant en moi la flamme des premiers jours. Je le sers contre moi tellement fort n’ayant même pas peur de le blesser, même si j’en serais incapable. Son corps commence à revenir à l’harmonie en se fondant sur mes mèches de blé. «J’avais peur que tu me déteste…»   Quelle triste manière de penser. Croire qu’on peut briser une aussi belle passion, qui continue de grandir dans ses flammes. Au risque de brûler les autres âmes et les nôtres aussi au passage. Je reprends son visage au creux de mes mains en le fixant un instant. «Je t’aime…»   Je t’embrasse à mon tour pour oublier ma peur de t’avoir presque perdu. Un peu plus tendre que tes baisers, mais aussi essoufflé de te retrouver à nouveau, te pressant contre mon corps pour relier nos âmes une nouvelle fois.


@Milo Novak
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
it feels like war.
Veia x Andrew x Milo
Comment je pouvais la détester ? J'avais eu quelques relations, pas très sérieuses bien que jamais volage. Je ne suis pas de ceux qui couche pour coucher, j'ai toujours recherché cette passion. Elle est unique, la nôtre. Et si j'avais déjà connu l'amour, j'avais aussi connu la haine.
Mais la détester, elle ? C'est tout bonnement impossible. Une personne aussi belle ne mérite pas la violence, la haine... la peur. Et j'ai tout réuni comme un con, parce que j'ai été égoïste, parce que j'ai eu peur... et dans sa maladresse, j'ai préféré y voir de la trahison qu'un besoin de réconfort imminent.
C'est vrai que je jalouse Andrew, par sa relation... parce que je ne supporte pas d'imaginer qu'il ait pu poser ses sales pattes de chien sur elle. Et pourtant à l'écouter, c'est le meilleur ami du monde. Un mec qui la comprend mieux que personne... C'est moi qui dois te comprendre mieux que personne. Moi et personne d'autre... je veux être ce pilier, je veux être ton meilleur ami, ton confident et l'amour de ta vie.
J'en demande trop et j'en ai conscience. On ne peut pas devenir tout ça du jour au lendemain, on a besoin de temps pour s'acclimater, s'apprivoiser.
Et moi, je lui ai montré le pire côté... Je lui ai montré combien je pouvais être horrible. Égoïste, jaloux... possessif. Mais parce que j'ai toujours été abandonné par ceux en qui j'avais confiance. à l'exception de ma sœur.
j'ai juste eu peur de te perdre, Veïa. Mais je suis trop fier pour te l'avouer. « jamais. » que je réponds quand tu me donnes tes craintes. Jamais je ne te détesterai même si nous devions séparer nos âmes au couteau.

l'écho de son amour se mêlant au mien me redonne espoir. En nous, en cette crise qui finira par s'éteindre... Même si je ne pourrai jamais considérer Andrew comme un ami ou... un truc semblable.
Je ne sais pas encore si j'oserai lui demander d'arrêter de le fréquenter. Au fond, j'espère que ça viendra d'elle-même, qu'elle puisse se rendre compte que dans l'histoire... nous étions deux à être fissuré. l'insécurité a été ma plus grande faiblesse et ce pendant longtemps, aujourd'hui ma faiblesse porte un nom, celui de : Veïa.
Elle me force un peu à la regarder, et je peux décemment pas le lui refuser. Mes yeux brillent des larmes que je ne laisserai jamais couler, fierté italienne il paraît. Mais elle peut le lire... elle le sait. Que ses larmes ne me rendent pas insensible. Qu'elles me blessent, qu'elles me rappellent la cruauté de mon impulsivité.
Elle m'embrasse, tendrement... ce qui déconnote avec le mien, plus brusque. La glace et le feu... un mélange d'éléments pourtant contraire.
Et cette passion qui m'anime le ventre, elle ne me quittera jamais, Veïa. Ce sera toujours toi qui fera écho d'amour et de passion... Le vrai et le seul... voire l'unique.
Je l'enlace calant mes bras sous elle pour qu'on s'aime, encore et encore. Jusqu'à faire qu'un. je pose un baiser sur sa joue avant de poser ma tête contre son cou, de fermer les yeux, de me l'accaparer. Me la garder, pour toujours. La mienne. Et à personne d'autre. « Tu veux qu'on regarde quelque chose à la télé ? ou qu'on fasse quelque chose à manger ? » que je demande avec douceur, embrassant sa clavicule, afin de lui arracher un frisson que je suis le seul à pouvoir déclencher.
(c) AMIANTE



@Veïa Alvisio
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Andrew Spector , Milo Novak & Veïa Alvisio

It feels like war


 Ce petit mot qui brise toutes les tempêtes. Cette promesse dans l’air qui me fait du bien. Cette marque sur ma peau que je n’oublierai jamais. J’ai honte de penser que tu puisses me détester, mais c’est plus fort que moi. J’ai peur que tu me fracasse, j’ai peur que tu m’abandonne au bord du précipice, tout en étant certaine que tu vas t’accrocher jusqu’au bout. Ne me laissant pas dans la dérive, parce qu’au fond tu es venu ce soir à mon appart alors que l’orage faisait rage.  Sans doute que tu ne pouvais pas te séparer de moi aussi longtemps, entre ses deux textos un peu trop violents. On ne décolle pas deux amants encore moins deux aimants. Même si tes défauts me font peur, je me suis sentie protégé pendant un moment. J’ai compris que personne ne pourra jamais plus me toucher, même si je n’en ai pas envie.  Ne m’enchaine pas complètement par contre, l’oiseau a besoin de voler un peu. Autrement tu briseras son chant clair et tu feras faner la jolie fleure à trop vouloir l’a gardé contre toi. J’aimerais voir ses larmes qui brillent au creux de ses yeux couler sur ses joues. Peut-être un jour il me laissera voir cette faille, comme il a su m’atteindre ce soir. Malgré la douceur de mon être, je ne pleure pas souvent, je ne m’enrage pas souvent et pourtant avec toi, c’est totalement différent. Comme si je vivais pour la première fois.  L’eau se dépose sur tes flammes en oubliant l’huile que j’avais ajouté plutôt. Je les vois encore danser un peu, je sais que le temps arrangera bien les choses. Mon seul et unique. Mon amour sans limite. Il retrouve sa place initiale, celle qui épouse mon corps la tête contre mon cou. Je ferme les yeux et je savoure cet instant qui m’avait tant manqué. Même si c’était quelques heures. Je réfléchis un moment à ces idées qu’ils me proposent, mais j’ai envie d’une seule chose. M’endormir à ses côtés et tout oublier. J’ai plus envie de parler et en plus je suis totalement bourrée, même s’il ne l’a pas remarqué. «La seule que je veux, c’est que tu restes…» Rester là à me caresser les cheveux un peu, puis me faire l’amour comme si tu sais si bien le faire. Dans toute la passion que tu me portes.  Je tends mon bras vers la table basse avec quelques difficultés pour pousser la bouteille de vodka et prendre la télécommande. Un bruit de fond qui retire les dernières tensions. Je reviens pour t’embrasser, perdant mes doigts en dessous de ton t-shirt. Ma peau, mon torse. «Reste à dormir stp…» Même si c’est une évidence, je veux bien l’entendre. Je me perds dans ton cou que je mordille un peu avant d’entendre des petits pas sur le parquais. Ah Hermès…le pauvre avec les cris il avait dû se cacher.  «Puis, tu manques à ton fils.» Je souris pour la première fois depuis quelques heures. Je le ramène à moi pour un baiser langoureux, jamais assez fort. Nos langues se mêlent si bien ensemble, comme nos souffles, nos incertitudes et notre envie de ne jamais se séparer


@Milo Novak
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
it feels like war.
Veia x Andrew x Milo
c'est surement ça aussi, l'amour. Accepter de voir les défauts de l'autre... peut-être qu'après ma crise de ce soir, elle ne voudra plus jamais entendre parler de moi. Qu'avec le recul, elle va surtout se dire que ce n'est pas possible... que je suis trop con. Et je la comprendrai. J'ai nourri en moi quelque chose que j'ai toujours caché, tu aux yeux du monde... J'ai préféré devenir une bombe qui explose plutôt que de la désamorcer.
Je ne pourrai jamais te promettre d'être l'homme idéal, ou de ne jamais recommencer. Quiconque posera ses yeux sur toi aura sans doute à faire à moi. Je ne peux pas, je n'y arrive pas. C'est un travail que je vais devoir faire, auquel tu vas devoir apporter une aide... car je ne pourrai pas y arriver sans toi.
La jalousie est le pire mal du monde, et j'ai beau le savoir ... c'est quelque chose que je ne contrôle pas. C'est comme demander à un aveugle de voir. C'est tout bonnement impossible et c'est particulièrement douloureux.
Je ne veux pas te faire de mal, jamais. Mais si je gronde c'est pour évacuer la peur et le mal que je ressens.
Et je sais que de ces travers, tu finiras par appréhender, avoir peur de moi. et ce n'est pas la relation que je nous veux.
J'ai besoin de te voir épanouie. Mais égoïstement, je veux que ce soir par mon biais, et personne d'autre.
Mais ça encore, mon amour, ce n'est que dans ma tête... je ne te le dirai jamais, car je préfère t'entraver que de laisser la possibilité de te libérer.

« La seule que tu veux ? » que je répète après elle. Je hausse un sourcil en redressant pour la regarder, remettant une mèche de cheveux à sa place. Elle a bu ou quoi ? « il te manque des mots. » que je dis en riant à moitié. Mais bien que ce soit plus léger, je sens qu'elle est sérieuse. « je vais rester dormir, oui. »
Le cliquetis des petites pattes sur le sol me font sourire, léger, en coin mais apaisant comme il est bon de se dire qu'on partage un enfant.
Je l'ai eu il y a un moment déjà Hermès, mais là.. j'avoue que ce n'est pas vraiment à lui que je pense.
Bien que la télé soit allumée, bien que nous soyons retrouvés. Je n'arrive pas à me contenter de ce peu.
Je me redresse, passe mes mains sous ses fesses et contractons les adbos de toutes nos forces pour la soulever dans mes bras, lui laissant la possibilité d'enrouler ses jambes sur mes hanches avant de la soulever dans les airs, la gardant bien dans mes bras. « la chambre ? » que je demande alors qu'elle me la pointe du doigt.
Car ce soir, ce n'est pas mes retrouvailles avec mon fils... mais avec ma femme.
Au diable Andrew. Au diable la haine...
Fermant la porte du pied, je la jette sur le lit avant de me laisser tomber sur elle, me rattrapant in extremis sur les bras glissant entre ses cuisses, mes mains caressant ses mollets jusqu'aux hanches, embrassant son sein par dessus son vêtement avant de descendre sur son ventre laisser à l'air par le vêtement qui est remonté durant la chute, pour y déposer une myriade de baisers.
La physique est fascinante.
(c) AMIANTE



@Veïa Alvisio
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Andrew Spector , Milo Novak & Veïa Alvisio

It feels like war


 J'espère que cette brise plus légère va rester un moment entre nous deux. Les retrouvailles après la guerre sont les plus belles. Plus passionnels encore que toutes les épopées temporelles. Je le sais qu'on doit discuter, qu'on doit mettre des mots sur ce qui s’est passé. Mais pas ce soir, je veux le silence des plus complet. Je ne veux plus entende une seule parole. Je veux simplement entendre tes soupires aux creux de mes tympans, tes râles qui en redemande toujours plus. Même les plus belles déclarations ne mèneront à rien et encore moins une autre dispute si le sujet doit être abordé ici et maintenant. Je veux que tu me ramène à la surface, je veux flotter. On pourrait attendre le soleil pour nous ramener à la réalité, comme la première fois que je t’ai trouvée. Qui sait peut-être sera-tu me pardonner plus facilement sous les rayons du soleil. Et si ce n’est pas le cas, laisse-moi rêver naïvement, laisse-moi espérer jusqu’à me perdre dans le néant. Parce que résulter au fait que tu pourrais m’en vouloir, va me détruire jusqu’au bout.  L’amour se trouve dans la haine, comme la haine se trouve dans l’amour. Parce que tu es jaloux parce que tu m’aime, tu es possessif au risque de me perdre. Même si ce sont des mauvaises habitudes à prendre, je peux toujours les comprendre. Je perds dans mes idées, la vodka bien présente, même si les émotions m’ont fait oublier mon était instable, je le sens qu’il revient à la charge depuis que nous sommes à plat. Ainsi, je perds mes mots et tu rigole en me taquinant légèrement. Comme si tu n’avais pas remarqué que j’avais bu, moi qui porte son goût salé sur toute la chaire de mes lèvres. Peut-être qu’au final tu commences à t’habituer à voir ta petite princesse ainsi. Tu ne l’as pourtant jamais connu autrement. Tu me fais la plus belle des promesses en voulant partager mon lit de nouveau ce soir. Je ne t’aurais pas laisser filer de toute façon. Tu entame cette nuit en me soulevant pour me prendre dans tes bras. Mes jambes accrochées à ton bassin tu me transporte jusqu’à ma chambre que je te pointe de mon index. Le seul endroit où j’ai envie de te retrouver, même si mes idées folles auraient voulu te dévorer sur le sofa sans penser que Timothy pourrait rentrer. Avec un peu de violence et d’empressement j’atterris sur le lit. C’est moins doux qu’à l’habitude, comme si tu avais peur de retrouver les traces d’Andrew sur ma peau. Pourtant je ne vibre que par ta peau. Je retrouve tes baisers qui prennent d’assaut et tes mains sur mes jambes. Ce soir j’ai l’intention de me laisser dominer entièrement. «Je ne veux que toi…» Mes paupières se ferment et je m’abandonne complètement à toi. Je resserre mes jambes contre ton corps qui se retrouve au creux de mes reins. Je dépose mes mains au creux de tes cheveux t’insinuant à continuer de dévorer mon ventre qui frissonne. Je soupire déjà de plaisir, comme c’est bon de te retrouver. Je me cambre et je me tortille doucement. Mes mains glissent sur mon jean dont je fais éclater le bouton juste en dessous de ton cou. Me livrant toujours plus entièrement.


@Milo Novak
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
it feels like war.
Veia x Andrew x Milo
Je le savais. Je l'ai toujours su qu'elle ne voyait que par moi, mais je n'arrivais pas à le concevoir, parce que comme d'autres, elle prendrait finalement ses affaires pour m'abandonner. Surement parce que j'étais trop pénible pour être aimé plus de quelques années... je faisais toujours en sorte de rendre tout le monde heureux, et j'ai l'impression que je ne faisais pas les choses comme il fallait. J'étais maladroit et je manquais cruellement de confiance en moi. Je ne sais pas d'où ça sort, mais ça a toujours été un handicap. Maintenant qu'elle était là, que j'en étais plus ou moins sorti, je ne voulais pas qu'elle disparaisse pour me laisser retomber dans ces travers. je déteste les sentiments purs pour cette raison... On ne sait jamais combien de temps ça dure.
Mais je savais qu'elle ne voulait que moi, j'avais cette confiance en elle que je ne donnais et ne donnerai à personne d'autre. Elle était ma lumière, mon souffle... je moi aussi je ne voulais qu'elle.
Je voulais pouvoir la laisser être amie avec le monde entier... qui elle voulait, mais pas lui. je ne sais pas pourquoi, mais j'ai décidé que lui c'était la limite. Inconsciemment, il est devenu le modèle d'homme que je refuse de voir dans la vie de Veia.


(c) AMIANTE



@Veïa Alvisio
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Andrew Spector , Milo Novak & Veïa Alvisio

It feels like war


 L'amour est un lot de sacrifices que je dois apprendre à reconnaitre. Pourtant, l'égocentricité ne fait partie pas de mon vocabulaire et les blessures que j'ai fait subir à Milo n'ont jamais été intentionnelles. Je mérite d'être punis, même si je lui rappelle qu'il est ma seule source de bonheur. Je mérite d'être obéissante ce soir, ne cherchant pas à jouer avec lui, parce que j'ai des remords plein la tête. Parce que j'ai peur qu'il me délaisse dans la nuit en se rappelant à l'ordre. La violence dissipée en grande partie, il en reste un peu dans l'aire, lui donnant assez de force pour me faire sienne à nouveau. Continue de croire en moi, toujours plus fort. Ne perd pas espoir en mon amour dont tu ne connais même pas encore les limites.  


@Milo Novak
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
it feels like war.
Veia x Andrew x Milo

(c) AMIANTE



@Veïa Alvisio
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)