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Andrew Spector , Milo Novak & Veïa Alvisio
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Ma tête est déjà tout embrumée et ça me fait mal. Beaucoup trop mal. Parce que je ne comprends pas ce que j'ai pu faire. J'avais eu peur de cette relation et peut-être pour une bonne raison. Je tournais le couteau dans la plaie en laissant Andrew venir me voir, parce qu'il savait que j'avais une tendance à l'autodestruction. La vodka coulait au creux de ma gorge et ça brûlait tellement fort, mais pas autant que mon petit coeur. La culpabilité me ronge corps et âme. J'avais même renvoyé en plein visage la situation de Yen' à Milo. Je me trouvais totalement horrible. Mon portable prise dans mes doigts, mes phalanges étaient encore plus laiteuses qu'à leur habitude. Je les revoyais ces mots qui défilaient sur l'écran et pourtant ils ne formaient aucun sens. Une gorgée puis une autre jusqu'en voir le fond de la bouteille. Au moins je ne voyais pas les billets verts partir aussi rapidement. Qu’est-ce que je pouvais faire de plus au final ? Je ne pouvais même plus à présent m’imaginer dans les bras d’un autre. Le calcul ne se faisait plus. Le bruit sourd de la sonnette retentissait dans le loft. Je regardais par la fenêtre apercevant sa silhouette sous les lampadaires. Un instant, je restais égaré en me disant que c’était sans doute le point de non-retour. Je me lève, tout de même, en sachant que je commets une grave erreur et je m’en veux déjà. Le vase est déjà plein, il déborde alors je le regarde couler. J’ouvre finalement la porte, le regard un peu vide, la bouteille toujours dans mes mains. « Bienvenue chez la plus grande copine indigne !» Je lève les bras au ciel, alors que je n'ai aucun enthousiasme et je retourne tranquillement vers mon sofa en retournant au goulot aussitôt. La spirale de la jalousie, ça revient vite et ça dérape aussi vite. J'ai plus envie de me fracasser, les morceaux m'échappent. Je le regarde pendant qu'il s'approche vers moi. «Tu sais qu'il va te tuer s'il sait que t'es ici ?» Je garde la vodka contre moi en priant qu'il ne me retire pas. C'est ça les relations fusionnelles, la moindre étincelle vous fait vibrez comme vous déchire l'âme bout à bout. Et si je ne peux pas l'avoir avec Milo alors je l'aurai avec cet alcool. Cet élixir qui me fait doucement penser à lui.
@Andrew T. Spector @Milo Novak
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Alors que j'étais tranquillement entrain de regarder une série avec Sara dans mes bras, je sentais mon téléphone vibrer. Je fronce mon regard en voyant le SMS de Veïa. Elle était entrain de s'embrouiller avec son nouveau mec à cause de moi? J'aime être le coeur des embrouilles de couple mais quand même... Puis l'a connaissant je sais qu'elle va replonger dans des choses qu'elle avait mis de côté à un moment et surtout depuis qu'elle était en couple. Bon son couple était aussi frais que le mien, donc je peux comprendre les tensions et tout le reste mais voila. Je regarde Sara et je m'excuse, il fallait que j'aille la sauver.. Lui parler. L'a raisonner. Sara n'apprécie pas non plus trop Veïa, je le sais Parr apport à ma relation qu'on avait eu ensemble avant..Mais voila le sexe nous avait rapprocher et avait crée notre amitié, il n'y avait plus rien entre nous et il n'y aura plus cette attraction. C'est fini. Il y avait eu, mais on va dire qu'on avait peut-être besoin de ça pour se trouver. Je m'habille rapidement d'un jogging assez large et d'un T-Shirt accompagné d'un pull chaud. Oui bon il faisait froid dehors il fallait que je sois assez au chaud quand même, surtout que je l'étais au fond de mon plaid. Elle avait de la chance que je l'appréciais la jeune femme... Je ne ferais pas ça pour tout le monde. J'embrasse Sara en lui disant que je reviens le plus rapidement possible puis je fonce dans ma voiture. Je prend la première qui me tend la main. Je sors du parking et je roule assez vite. Il fallait que je traverse toute la ville. C'était le soucis d'habiter dans le centre. Enfin voila, quelques minutes environ une vingtaine de minutes me voila dans son quartier. Je me gare en bas de son loft. Je sonne, elle mis du temps à me répondre. Elle était déjà cuite je crois. Je l'a regarde de haut en bas alors qu'elle était totalement dans un sale état. Je fronce le regard en avançant fermant la porte derrière moi. Elle se remet dans le sofa en reprenant sa bouteille. "Je m'en branle de lui là.. Je veux juste que toi tu ailles bien... Donc.. Déjà donne moi ça!" Je tend la main en lui demandant qu'elle me donne sa bouteille. Elle ne doit pas retourner dans cette spirale sans fin qu'est l'alcool. "Bat toi merde! L'alcool c'est pas la solution. Il t'as dis quoi sur moi? il a pas confiance sur notre amitié c'est ça? Tu lui as dis que j'étais en couple aussi?" Je m'assoit prêt d'elle sur le canapé la main toujours vers la bouteille avec le regard insistant.
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Je préfère n'est qu'un simple mirage de moi-même plutôt qu'il m'échappe. J'y retourne encore et encore à la bouteille, comme si elle pouvait me donner une réponse. Même si elle est aussi limpide que de l'eau, elle est embrouillée comme un caniveau. Je le laisse rentrer dans mon loft en sachant les impacts. Je trébuche sur mon sofa protégeant ma seule récompense de la soirée. Je le savais que ce moment viendrait un jour, le moment où il apprendrait l'existence d'Andrew. Mais j'avais voulu lui cacher alors que cela causait du tort à notre amour. Parce qu'il ne pouvait pas comprendre le lien que j'avais lui. Oui il m'avait touché, oui nous avions partagés les mêmes draps, mais au fond il connaissait ma vulnérabilité comme je connaissais la sienne. Nous le savions tous les deux qu'un jour ou l'autre on allait arrêter de coucher ensemble, puisque l'amitié avait pris le dessus. Il était le seul à connaitre mon problème bien trop présent avec l'alcool que je continuais de me cacher à ma propre personne. Ces mots sont une douce berceuse à mes oreilles sur le moment, se souciant de mon moral. Milo, était pourtant le seul qui pourrait arrêter ma descente à grande vitesse. Je fronce les sourcils lorsqu'il tend la main pour la bouteille. J'en profite pour prendre une gorgée lui montrant que je ne lui donnerai pas. Tu peux bien essayer, mais la vérité c'est que ma chambre en est remplie. Tu continues sur ta lancer en me demandant de me battre, me poussant un peu plus vers la réalité. La poupée n'a plus de force. Parce qu'elle est soit de chiffon ou de porcelaine et dans tous ses aspects, elle n'a pas la force d'une tempête. «Me battre contre quoi Andrew ? Sur le fait que je ne le mérite clairement pas !» Je lui tourne le dos les larmes au creux de mes prunelles, la gorge qui se sert et mon ventre qui fait 1/4 de tour. «Je lui ai déjà tout dit ça. Que tu avais quelqu'un dans ta vie et qu'il n'avait plus rien entre nous...Et tu sais ce que j'ai trouvé de mieux à dire ?» Mes larmes prennent d'assaut ma peau limpide presque vide. «Je lui ai reproché d'habiter avec son ex...ELLE EST MOURANTE.» Je me retourne vers lui le visage complètement imbibé. «Je suis complètement horrible...c'est sûrement moi qui fait tout de travers. On devrait pas être ami...il a sûrement raison.» Je me relève du sofa en me tenant debout devant lui retournant à la vodka encore une fois. «Et tu devrais pas être ici non plus. Je fais juste multiplier les erreurs.» Je file vers la porte d'entrée et je lui ouvre faisant signe qu'il pouvait partir, alors qu'au fond j'ai envie qu'il reste. Je referme la porte aussi rapidement ouverte collant mon dos contre celle-ci, les jambes tremblantes me laissant tomber sur le sol, le coeur qui saigne et les remords qui me guettent.
@Andrew T. Spector @Milo Novak
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J'avais été le plus rapidement possible, pour la retrouver. Je ne voulais pas qu'elle fasse de connerie, déjà l'alcool c'était de trop. Bon je l'a retrouve dans un état totalement déplorable, je ne l'avais jamais vu comme ça. Elle avait baissé sa garde, et ce mec lui avait fait mal, par rapport à une crise de jalousie. Je suis comme lui, je suis ultra possessif mais c'est pas une raison, je n'ai pas fais pleuré ma petite amie comme ça lors de mes crises. J'apprend à prendre sur moi, car même si je suis anglais, je suis ultra sanguin et je peux partir en bagarre. Bref... Je l'écoute déballer ses erreurs, ce qu'elle avait dit.. Elle pleurait aussi et là tout devenait flou. "Oh Veïa.. Déjà.. Calme toi.. Respire. Et donne moi ça putain!" Je lui prend la bouteille, pour la poser sur la table, c'est bon elle a assez bu. C'était pas du tout ce que je voulais. Elle doit encore avoir les esprits clair et là clairement elle débite des conneries. Je fronce le regard quand elle dit qu'elle lui avait reprocher de vivre avec son ex copine qui était mourante. Oui bon on en dit tous des conneries sous la colère. "Tu le pensais où pas quand tu l'as dis ça? Clairement je pense que c'est la colère qui a parlé car il t'a fait monter dans les tours en ayant pas confiance en toi.... On peut dire des choses qu'on ne pense pas. Et je suis bien placé pour te dire ça, tu sais au combien j'en ai dis sur mon ex femme sous la colère..." C'est vrai, j'avais critiqué Aymalyne de tous les noms à l'époque, j'avais été loin, très loin, je l'avais blessé mais comme elle m'avait blessé. Je ne voulais pas qu'elle fasse les même erreurs que moi. Milo est là pour la sauver, pour l'aider. Elle est si heureuse depuis qu'il est dans sa vie. Elle n'a jamais été comme ça ou alors il y a longtemps. Elle vit pour lui. J'ai vu son changement et c'était pour ça que notre amitié était exceptionnelle. "Ecoute... Vous êtes tous les deux sanguins, vous êtes tous les deux italiens donc oui ça va partir en couille des fois, oui il y aura des tensions..." Je prend ma respiration en la tournant pour qu'elle me regarde droit dans les yeux. "Mais c'est en autant des disputes qu'un couple en revient plus fort! Quand on est un couple on est jamais parfait, on le sera jamais. Il y a des hauts et des bas. Il faut apprendre à vivre avec l'autre, à le connaitre, à lui donner la confiance. A apprendre ses amis, ses liaisons. On vit avec les problèmes de l'autre et ses changements d'humeur. C'est ça l'amour ok." J'avais dis ça doucement. Je me me reconnais pas, moi donner des conseils sur l'amour? Sur le même amour que j'ai détruit avec mon ex femme? Ok Sara m'avait ouvert les yeux, elle m'avait changé, j'étais devenu quelqu'un de plus beau, quelqu'un de meilleurs depuis que je suis en couple avec elle. J'avais ouvert les yeux sur qu'était le vrai amour. On ne s'était jamais dis les mots, les termes... Pas encore. On veut y aller doucement.. C'était ça aussi une relation, y aller avec le rythme de l'autre, écouter l'autre. Je l'ai compris que trop tard. Mais j'ai appris de mes erreurs, de mes expériences. Et je serais là pour que Veïa l'apprenne aussi. Pour qu'elle puisse réussir son couple avec Milo comme elle aimerait. Elle s élève en débitant encore des conneries, je me lève aussi. Du haut de mon mètre quatre-vingts trois, je pose mes yeux sur elle à nouveau. "On est devenus amis sans qu'on s'en rende compte tous les deux. Oui on a couché ensemble, oui on a apprécié ces moments de partage mais il va falloir qu'il pige qu'on est amis et point barre. Que je serais là pour toi comme t'es là pour moi. C'est ainsi. Même Sara va devoir le comprendre. Je vais pas abandonner mon amitié avec toi pour ma petite amie. Et elle a confiance en moi. Je suis ici pour toi clairement. Je vais pas te laisser sombrer encore une fois!" Je l'a vois ouvrir la porte, elle voulait que je parte, je secoue la tête, ohhh non je ne partirais pas, clairement pas. Je vais pas l'a laisser. Elle referme la porte d'un coup et elle finit en pleure le long de celle-ci. Je me baisse devant elle... Je m'approche d'elle, puis je l'a prend dans mes bras. La serrant contre moi... "Vasy pleure.. Ca te fera du bien je suis là..." Je lui caresse le dos. Il ne se passera plus rien entre nous Milo va devoir le comprendre. Faudra que je lui touche deux trois mots à ce mec...
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C'était beau de voir comme il avait accouru vite pour venir me voir. J'étais étonnée, mais au fond profondément touchée. Même si j'avais voulu garder cette porte fermée, j'aurais fini par l'ouvrir en me demandant s'il pouvait comprendre la souffrance qui m'accaparais. La douleur que j'avais quand Milo était loin de moi alors qu'on était dans la même pièce. Alors cette fois c'était un trou béant sur ma poitrine qui se formait en passant qu'il pouvait m'en vouloir. Me prêter des attentions qui n'étaient pas mienne. Il me retirait ma bouteille d'entre les mains. Je lui en voulais de le faire, mais ma frustration n'arrivait plus à passer la barrière de mes lèvres comme la tristesse arrivait au galop. J'écoute ces paroles qui se veulent rassurantes, mais je suis noyé dans mes pensées culpabilisantes. Je n'avais pas le droit de reprocher ça à Milo. Je n'avais pas le droit de lui remettre sur le nez qu'il voulait aider une amie dont il ne se doutait pas quand le jour serait venu. «Mais j'avais pas le droit Andrew...c'est pas moi m'énerver comme ça. Je ne me reconnais pas. Je lui aurais jamais reproché ça en temps normal.» Il était ma faille, comme ma plus grande force. Il me faisait vivre mes émotions jusqu'au bout. Il me rappelle que nous partageons les mêmes origines et il est vrai que les tensions italiennes nous font voir de toutes les couleurs. J'ai vu les étoiles dans ses bras, on a poussé le jeu plus d'une fois, comme des adolescents dans leur premier amour. Andrew me semble un peu étranger ce soir même si j'écoute son discours d'une oreille attentive. Comment il arrivait à me sortir tous ces mots sur l'amour ? Lui qui avait tant merdé auparavant. Nous avons toujours été deux âmes en peine qui ne savent pas comment aimer ou du moins qui ne savent plus comment faire. Sara avait vraiment été un baume dans sa vie, un petit ange qui l'avait sorti de sa noirceur. Cette femme devait être merveilleuse et j'ose espérer qu'il ne la laissera jamais partir, comme j'aimerais que Milo le fasse avec moi. Même après toutes mes conneries, même après la déception, aussi terrifiante qu'elle soit. Si bien que je ne sais plus quoi dire devant tout ça. Je suis complètement bouche bée. Je me lève après tous ces mots en continuant dans m'a lancé et il continue de me surprendre. Fort comme un roc prêt à rattraper la petite ficelle qui tombe dans le vide. Pourquoi autant de mal pour moi Andrew ? Je me noie sous mes larmes contre la porte et je le vois à travers la brume qu'il se rapproche. Je sens la chaleur de ses bras et je me cache au creux de son cou. Trop faible pour le repousser, trop bien dans ce besoin de venir me sauver. Je ne voulais pas le perdre autant que je ne voulais pas perdre mon bel italien. Mon amoureux des étoiles qui me fait rêver sous les étincelles. Je passe mes bras autours de lui en le serrant fort en espérant qu'il reste un peu. Mes dents rencontrent la chaire de ma lèvre inférieure qui tremble sous mes sanglots. «Je sais pas ce que j'aurais fait si tu n'étais pas arrivé...» Et c'est vrai, je serais morte dans ce sofa ivre une fois de plus. Même si ce n’est pas encore terminé cette histoire d'alcool, pour le moment, je veux bien l'oublier. «Merci de ne pas m'abandonner...»J'oublie tout pendant un moment, j'oublie que je ne dois pas être dans ses bras. J'oublie les pauvres conséquences et je m'attache le plus fort que je peux contre ce saule qui tient bon.
@Andrew T. Spector @Milo Novak
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J'étais vraiment énervé, au point d'avoir jeté mon téléphone contre le mur ce qui m'a valu une entrée en trombe d'Elvia dans ma chambre. Elle me regarde, je la regarde... c'est un vrai duel de regard. En temps normal, elle aurait rien lâché. Mais elle voulait se faire plus petite, me laisser de l'air là où j'avais l'habitude de ne pas en avoir. Elle ramasse mon téléphone me le colle violemment contre le torse et soupire en sortant. Je l'ai entendu dans son silence qu'elle m'avait prévenue.
Je pose mon téléphone sur le lit alors que je commence à faire les cent pas en parlant tout seul. Est-ce que j'ai eu tort d'être si rude ? Nan, nan. Bien sûr que non. Ce gars là, Andrew mes couilles, il ne devait pas rester dans nos vies. Parce que c'est le genre de bonhomme qui ne quitte jamais un lit... j'en sais rien mais j'ai le sale pressentiment que même en couple, il serait capable de céder. C'est normal, ma femme est belle, magnifique et d'une naïveté affligeante dont je veux absolument la protéger.
La protéger des maux du monde. Mais putain, c'est pas en m'énervant que je vais arriver à lui faire comprendre que si je monte autant dans les tours, c'est parce que je tien à elle... que je ne veux pas la voir s'envoler parmi les étoiles et me retrouver seul, dans le cosmos.
Ca suffit, maintenant. Cette histoire a assez duré, je vais prendre l'air. Je ne ferai pas le fucking premier pas. je n'ai rien à me reprocher... surtout qu'elle s'en est prise à Yennefer qui n'avait rien demandé. Elle n'avait jamais eu le moindre comportement ambigu avec moi... elle était à sa place, comme une excellente amie qui respectait ma relation au point de l'inclure dans nos sorties prévues depuis des semaines. Elle prenait de ses nouvelles, s'inquiétait pour nous alors qu'elle avait entamer sa chimio, ses cheveux avaient disparu me rappelant combien j'avais peur qu'elle disparaisse à tout jamais.
C'était allé beaucoup trop loin.
Je prends mes clefs dans le vide poche et sors sans prévenir personne. Dans la voiture, j'ouvre la fenêtre et je conduis en silence, parfois dépassant la limitation pour prendre un virage serré. Je voulais clairement jouer avec ma vie. Passer mes nerfs, je n'ai jamais été aussi furieux.
Mais je l'aime bien plus que je ne pourrai jamais l'avouer. Et c'est qu'une première dispute parmi tant d'autres. Inconsciemment, je suis dans sa rue et je lève les yeux vers son immeuble. Peut-être que je ferai mieux d'aller la voir... la laisser seule dans le tourment alors que j'avais décidé de plus répondre. je sais que les larmes ont du prendre possession de son corps, de son coeur... autant que ça irrite le mien.
Un mea culpa. Un seul, un pardon que je veux aussi entendre de ses lèvres pour qu'on reparte. Et je serai obligé de vouloir qu'il s'en aille... pour toujours.
J'arrive à son étage et m'apprête à frapper à sa porte quand des voix s'élèvent. Je comprends pas tout, Timothy ? Non, il est pas là ce soir.
Je plisse les yeux, si c'est ... Je prends une grande inspiration. Je me mords la lèvre presque à sang. Au diable les bonnes manières, je tourne la poignée pour buter dans sur quelque chose, je force un peu et passe la tête pour ... « Ve-... »
Quoi ? Je reste une seconde sans rien dire mais là c'est trop. Je force le passage pour m'engouffrer dans l'appartement, le noir aux yeux, la haine au cœur. « C'est une putain de blague ? » que je hurle, tremblant, en les regardant à tour de rôle alors que j'attrape Veia par le bras pour la ramener à moi avant de la devancer et de confronter ce fameux andrew. Ah ouais, hein ? belle gueule. Mais qu'est-ce que j'avais dit ? Un chien de la casse. Comme tous ces dalleux qui ignorent où sont leur place. « Je savais que t'étais pas quelqu'un de réglo... mais profiter de ma copine dans ce genre de situation. » je savais qu'il attendait que ça. Je colle mon front au sien, et si ça doit en venir aux mains, je veux bien l'éclater et me faire éclater, je m'en bas les couilles. « Dégage d'ici. » siffler doucement entre les dents. Et c'est mon unique avertissement.
Je pose mon téléphone sur le lit alors que je commence à faire les cent pas en parlant tout seul. Est-ce que j'ai eu tort d'être si rude ? Nan, nan. Bien sûr que non. Ce gars là, Andrew mes couilles, il ne devait pas rester dans nos vies. Parce que c'est le genre de bonhomme qui ne quitte jamais un lit... j'en sais rien mais j'ai le sale pressentiment que même en couple, il serait capable de céder. C'est normal, ma femme est belle, magnifique et d'une naïveté affligeante dont je veux absolument la protéger.
La protéger des maux du monde. Mais putain, c'est pas en m'énervant que je vais arriver à lui faire comprendre que si je monte autant dans les tours, c'est parce que je tien à elle... que je ne veux pas la voir s'envoler parmi les étoiles et me retrouver seul, dans le cosmos.
Ca suffit, maintenant. Cette histoire a assez duré, je vais prendre l'air. Je ne ferai pas le fucking premier pas. je n'ai rien à me reprocher... surtout qu'elle s'en est prise à Yennefer qui n'avait rien demandé. Elle n'avait jamais eu le moindre comportement ambigu avec moi... elle était à sa place, comme une excellente amie qui respectait ma relation au point de l'inclure dans nos sorties prévues depuis des semaines. Elle prenait de ses nouvelles, s'inquiétait pour nous alors qu'elle avait entamer sa chimio, ses cheveux avaient disparu me rappelant combien j'avais peur qu'elle disparaisse à tout jamais.
C'était allé beaucoup trop loin.
Je prends mes clefs dans le vide poche et sors sans prévenir personne. Dans la voiture, j'ouvre la fenêtre et je conduis en silence, parfois dépassant la limitation pour prendre un virage serré. Je voulais clairement jouer avec ma vie. Passer mes nerfs, je n'ai jamais été aussi furieux.
Mais je l'aime bien plus que je ne pourrai jamais l'avouer. Et c'est qu'une première dispute parmi tant d'autres. Inconsciemment, je suis dans sa rue et je lève les yeux vers son immeuble. Peut-être que je ferai mieux d'aller la voir... la laisser seule dans le tourment alors que j'avais décidé de plus répondre. je sais que les larmes ont du prendre possession de son corps, de son coeur... autant que ça irrite le mien.
Un mea culpa. Un seul, un pardon que je veux aussi entendre de ses lèvres pour qu'on reparte. Et je serai obligé de vouloir qu'il s'en aille... pour toujours.
J'arrive à son étage et m'apprête à frapper à sa porte quand des voix s'élèvent. Je comprends pas tout, Timothy ? Non, il est pas là ce soir.
Je plisse les yeux, si c'est ... Je prends une grande inspiration. Je me mords la lèvre presque à sang. Au diable les bonnes manières, je tourne la poignée pour buter dans sur quelque chose, je force un peu et passe la tête pour ... « Ve-... »
Quoi ? Je reste une seconde sans rien dire mais là c'est trop. Je force le passage pour m'engouffrer dans l'appartement, le noir aux yeux, la haine au cœur. « C'est une putain de blague ? » que je hurle, tremblant, en les regardant à tour de rôle alors que j'attrape Veia par le bras pour la ramener à moi avant de la devancer et de confronter ce fameux andrew. Ah ouais, hein ? belle gueule. Mais qu'est-ce que j'avais dit ? Un chien de la casse. Comme tous ces dalleux qui ignorent où sont leur place. « Je savais que t'étais pas quelqu'un de réglo... mais profiter de ma copine dans ce genre de situation. » je savais qu'il attendait que ça. Je colle mon front au sien, et si ça doit en venir aux mains, je veux bien l'éclater et me faire éclater, je m'en bas les couilles. « Dégage d'ici. » siffler doucement entre les dents. Et c'est mon unique avertissement.
(c) AMIANTE
@Veïa Alvisio @Andrew T. Spector
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Elle était au bout de sa vie, elle l'aimait ce mec, ça se voyait, je ne l'avais jamais vu comme ça. Ok normal, vous me direz, je connaissais la jeune femme un peu folle, celle meurtrie, celle qui m'avait tout raconter. Le sexe avait été une étape mais clairement jamais j'aurais imaginer notre relation partir comme ça. Et j'appréciais. J'étais passé outre le fait qu'on avait couché ensemble, et elle aussi. Maintenant on déconnait sur ça, sur ce passé commun mais rien de plus dans le respect des personnes qui partagent aujourd'hui notre vie. La preuve, je ne suis pas là pour qu'elle accoure dans mon lit, ou autre, non je suis la en tant qu'ami, pour la calmer, la rassurer. De toute façon arrivé à un moment mon petit ami va se calmer puis ça ne dit rien que la mienne ne va pas aussi taper une crise. Car clairement je l'ai laissé seule dans le canapé ce soir pour venir à la rescousse de Veïa. Mais il faudra que tout le monde comprenne que mes amies c'est les amies... Même si j'ai couché avec elles. C'est comme ça. JE ne recommencerais pas les même erreurs qu'avant à perdre tout le monde pour une histoire de couple. Non. Bon j'étais pas la pour penser à moi mais plutôt à ... Veïa. Je voulais qu'elle se calme. Qu'elle relativise. Mais c"'était pas gagné. Elle voulait me faire partir mais elle n'eut pas la force. J'en suis content car clairement, je ne serais pas partit, je ne veux pas la laisser en compagnie de cette bouteille qui est devenu sa meilleure amie, son échappatoire. "La colère dit des choses qu'on ne pense pas, juste.. .Calme toi, excuse toi... Tu l'aimes et ça se voit, ça se sent. Montre lui, prouve lui.Il est peut-être dans le même état à l'heure actuelle.. " Je l'a regarde puis je l'a prend dans mes bras, elle devait se relever, elle devait être forte, c'était pour son bien. Et non je n'aime pas quand elle est comme cela.Je n'aime pas quand mes amies vont mal. Je suis passé par là, je suis passé par ces cases et j'ai perdu ma femme en faisant n'importe quoi, en étant égoïste, je ne veux pas recommencer mes erreurs. J'ai bien appris. Puis revenir d'une tentative de suicide, ça réveille je peux vous le dire. "Les amis c'est la pour ça non? Pour éviter que tu fasses des conneries que tu regrettes et que t'ailles mieux." Je souris, alors que je l'a sers un peu plus contre moi, d'un coup je sens la porte s'ouvrir, je fronce le regard, elle bute contre mon dos, mais la personne force quand même. Je reconnais une voix d'homme. Oh putain. Il pousse la porte, je me décale de celle-ci, libérant Veïa de mes bras, c'était donc oui... Le Milo de Veïa. Je le regarde de haut en bas. Un petit jeunot d'après ce que je vois. Je fronce le regard en l'écoutant alors qu'il prend Veïa vers lui comme un vulgaire objet. Le respect des femmes? Il connait. "Profiter de ta copine? Remercie moi déjà d'avoir été là car tu ne sais pas dans quel état tu l'aurais retrouver... C'est une amie, met le dans ta petite tête. Et arrête de la tenir comme ça, c'est pas un objet." Il était aussi possessif que moi, on avait surement le même caractère donc oui deux mâles dominant dans la même pièce ça va pas aller.... "Dégagez? Pas avant de dire au revoir à Veïa... Je lui ai calmé ses larmes je te signale." Je suis calme, j'ai une éducation comme ça, je suis un ancien Eliot aussi, j'ai appris à tenir tête à tout ces connards de DBS etc.. C'est pas un petit étudiant qui va me faire peur maintenant. Est-ce qu'il sait qu'il parle à un professeur?
@Milo Novak @Veïa Alvisio
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Pendant un moment la tempête se dissipait. Pendant un moment les rayons du soleil me réchauffaient tranquillement et je la voyais cette petite lumière au bout du tunnel. J’allais espérer un peu pendant qu’il serait là à me tenir contre les vagues de ma tristesse et de ma colère. J’allais tenir le coup pour lui vu qu’il était venu, même si clairement il devrait être avec Sara. Pourtant il tient bon, il sert fort la petite poupée toute chiffonnée. La petite poupée bourrée et honteuse de chacune de ses actions. Mais l’horreur revient au galop et mes entrailles explosent quand la porte s’ouvre. Tout est encore plus flou, mais je vois dans cette épaisse brume le visage de Milo apparaitre dans le cadrage. Je ne vois pas sa beauté habituelle, je ne vois pas sa douceur et la bonté qui m’a charmé la première fois. Je vois cet homme furax, cette bête italienne qui m’agrippe fermement pour me débarrasser des bras de Andrew. Tout se bouscule et se fracasse dans mes pensées. Ma boite crânienne subit de nombreuses explosions. Heureuse de le voir revenir vers moi, mais aussi honteuse qu’il me retrouve dans ses bras. Horrifiée aussi de le voir comme ça. Pour la toute première fois je le voyais ainsi, cet élan possessif qui faisait rage à l’intérieur de lui. Et pour le coup j’avais peur, car je ne le reconnaissais pas. Sa voix percutait les murs bleus de mon loft. J’étais figé dans l’air du temps en me demandant si tout était bien réel. Cette rencontre ne devait pas avoir lieu, je la redoutais. Pourtant s’il savait que j’étais au bout pour lui et qu’Andrew a juste voulu me rattraper au bord de la falaise. Il a juste voulu m’échapper à mes tourments et mes excès sans borne. Mais tu ne le savais pas encore, parce que tu ne me connaissais pas encore complètement. Même si tu te détenais mon âme tout entière. Ils sont beaucoup trop proche et j’ai l’impression que tout va venir au coup. Je reprends le contrôle de mes esprits. «Milo arrête, je t’en prie…» Je n’ai plus la force de crier, ni même de hurler. C’est un supplice que je lance dans ma gorge étranglée J’ai envie de lui dire le contraire, qu’il n’a pas profiter de moi, mais tout s’enchaine et Andrew lui répond. Un des deux restent calme pour le moment, mais la tornade se tiens au coin de la pièce. J’ai peur qu’un des deux passent par la fenêtre. Je prends un peu de mon courage pour prendre le poignet de Milo. Il est planté comme un roc au sol. Légère comme une plume, je ne pourrai pas le détacher, mais je veux au moins l’apaiser. Et je suis stupide de penser ainsi, parce que je le sens ce feu qui bouillonne à l’intérieur de lui, il ne voit plus clair, posséder par le démon de la colère. «On a rien fait mon amour… » Mes sanglots reviennent à la charge. «Pardonne-moi…» Je sers un peu plus son bras pour qu’il comprenne, ronger par ma peine. Je tremble comme une feuille avec le cliquetis de la bombe au creux de mes tympans. Je ne sais plus quel fil couper pour la désamorcée. L’explosion est tout prêt. Tu m’avais promis de l’éclater, s’il revenait, mais fait attention de ne pas le faire avec moi au passage. On peut tout oublier et se retrouver.
@Andrew T. Spector @Milo Novak
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Je vois rouge, en fait, c'est tout mon sang qui bouillonne et qui empêche les informations utiles d'atteindre la capacité prise de recul sur la situation.
je sens son front contre le mien, le souffle acre, je le déteste. Et y a rien qui me fera changer de position. Je veux qu'il dégage, s'il ne veut pas que je le dégage moi-même. Je suis peut-être pas le mec baraqué des films, mais j'ai assez de folie pour savoir user d'une force qu'on me croit toujours incapable d'avoir.
Quand je suis en colère, j'ai une très mauvaise gestion de la force. Aussi quand il me dit de ne pas tenir par copine par le bras, je pense qu'il est légitime que je lui fasse fermer sa boîte à merde, les dents serrées, je réplique. « Je l'ai ramenée à moi alors que tu avais tes mains dessus. » le connard reste coincé dans la gorge, car j'ai encore assez d'éducation pour ne pas me laisser embarquer dans la vulgarité. mais je le pense. Car celui qui prend les gens pour des objets c'est clairement pas moi, c'est lui. Je sais qui tu es, les recherches, les connaissances... C'est assez facile de savoir qui tu es, ce que tu fais... et hors de question que Veia reste à trainer avec ce type de personne. La protéger des maux du monde, à commencer par les loups du game. Par les mecs qui ont une bite à la place du cerveau et un respect frôlant le quotient zéro.
Je ne le remecierai jamais d'avoir été présent pour elle ce soir, ni les autres soirs, ni chaque fois qu'elle enverra un sms qui va me tirer toujours plus de haine à son encontre. « On t'a rien demandé, c'est ta faute tout ça. » et c'est vrai, les problèmes de notre couple ne regardent que nous. Personne d'autre. Mon poing se serre quand il défie ma demande, quand il la contourne pour me tacler d'avoir créé les larmes à ma femme. ma femme, la mienne. Alors qu'il en est toute l'origine.
Je serre le poing, prêt à l'asséner. je n'ai pas envie de parler avec ce genre de type, je préfère qu'il ait le pif cassé et qu'il aille pleurer auprès de sa copine qui est assez folle pour croire que ce genre de mec peut changer. Je lui souhaite bien du courage... et si elle apprend cette relation tordue qu'ils entretiennent, pas sûr qu'elle prenne leur parti. Nan, vous êtes égoïstes de penser qu'on vous laissera jouir d'une amitié qui a commencé par l'apprentissage de vos corps. Vous êtes tarés.
Je sens sa main se refermer sur mon poignet et la douceur de son geste accompagné de sa supplique me tire doucement de la torpeur, je décolle enfin mon front d'andrew le gardant à l’œil avec la haine dans le regard. « Encore heureux. » que je réponds sèchement, même si je peinais à le croire. C'est que je l'ai trouvé les bras dans les bras... c'est difficile de croire que si j'étais arrivé un peu plus tard, j'aurais pu les trouver en levrette dans le salon. Je desserre le poing pour tomber mes yeux dans les siens, sans considérer l'autre gueux. « Demande lui de partir. » ma voix est froide mais c'est sans appel. Comme si finalement, il n'avait pas assez d'intérêt pour que je réitère ma demande.
Soit il part, soit je pars. Et si je franchis la porte il n'y aura aucun retour.
Soit il résiste, et là, je ne donne pas cher de sa peau, de la mienne et de l'état de l'appartement.
Car je suis à ça... rien qu'à ça, de devenir quelqu'un d'autre. Ce Milo que même moi je ne connais pas.
je sens son front contre le mien, le souffle acre, je le déteste. Et y a rien qui me fera changer de position. Je veux qu'il dégage, s'il ne veut pas que je le dégage moi-même. Je suis peut-être pas le mec baraqué des films, mais j'ai assez de folie pour savoir user d'une force qu'on me croit toujours incapable d'avoir.
Quand je suis en colère, j'ai une très mauvaise gestion de la force. Aussi quand il me dit de ne pas tenir par copine par le bras, je pense qu'il est légitime que je lui fasse fermer sa boîte à merde, les dents serrées, je réplique. « Je l'ai ramenée à moi alors que tu avais tes mains dessus. » le connard reste coincé dans la gorge, car j'ai encore assez d'éducation pour ne pas me laisser embarquer dans la vulgarité. mais je le pense. Car celui qui prend les gens pour des objets c'est clairement pas moi, c'est lui. Je sais qui tu es, les recherches, les connaissances... C'est assez facile de savoir qui tu es, ce que tu fais... et hors de question que Veia reste à trainer avec ce type de personne. La protéger des maux du monde, à commencer par les loups du game. Par les mecs qui ont une bite à la place du cerveau et un respect frôlant le quotient zéro.
Je ne le remecierai jamais d'avoir été présent pour elle ce soir, ni les autres soirs, ni chaque fois qu'elle enverra un sms qui va me tirer toujours plus de haine à son encontre. « On t'a rien demandé, c'est ta faute tout ça. » et c'est vrai, les problèmes de notre couple ne regardent que nous. Personne d'autre. Mon poing se serre quand il défie ma demande, quand il la contourne pour me tacler d'avoir créé les larmes à ma femme. ma femme, la mienne. Alors qu'il en est toute l'origine.
Je serre le poing, prêt à l'asséner. je n'ai pas envie de parler avec ce genre de type, je préfère qu'il ait le pif cassé et qu'il aille pleurer auprès de sa copine qui est assez folle pour croire que ce genre de mec peut changer. Je lui souhaite bien du courage... et si elle apprend cette relation tordue qu'ils entretiennent, pas sûr qu'elle prenne leur parti. Nan, vous êtes égoïstes de penser qu'on vous laissera jouir d'une amitié qui a commencé par l'apprentissage de vos corps. Vous êtes tarés.
Je sens sa main se refermer sur mon poignet et la douceur de son geste accompagné de sa supplique me tire doucement de la torpeur, je décolle enfin mon front d'andrew le gardant à l’œil avec la haine dans le regard. « Encore heureux. » que je réponds sèchement, même si je peinais à le croire. C'est que je l'ai trouvé les bras dans les bras... c'est difficile de croire que si j'étais arrivé un peu plus tard, j'aurais pu les trouver en levrette dans le salon. Je desserre le poing pour tomber mes yeux dans les siens, sans considérer l'autre gueux. « Demande lui de partir. » ma voix est froide mais c'est sans appel. Comme si finalement, il n'avait pas assez d'intérêt pour que je réitère ma demande.
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Soit il résiste, et là, je ne donne pas cher de sa peau, de la mienne et de l'état de l'appartement.
Car je suis à ça... rien qu'à ça, de devenir quelqu'un d'autre. Ce Milo que même moi je ne connais pas.
(c) AMIANTE
@Veïa Alvisio @Andrew T. Spector
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Je lève les yeux, les mains de dessus, non mais j'aurais tout entendu, c'était pas possible. C'était mon amie, oui j'ai décidé de la prendre dans mes bras, parce que oui, je suis comme ça et surtout elle a besoin de ça. Je suis là pour elle, puis on a un passé qui a durer quelques parties de jambes de l'air, mais quelques. On a jamais eu de sentiments l'un pour l'autre, puis aujourd'hui, je suis heureux pour elle, elle avait changé, elle était épanouie et cette dispute avec Milo, la met mal. Car elle ne veut pas le perdre ça se voit, elle s'est fortement attaché.. Je ne veux pas être mauvaise langue mais j'espère juste qu'il ne l'a fera pas souffrir qu'il verra son erreur. Il va surement lui demander de ne plus jamais me parler, mais on passera autre cela, car tous les deux on a une amitié que l'on gère et qu'on connait. Il n'y a rien d'ambigu. Bref, mon regard se pose sur le jeune homme totalement hors de lui. Je savais que les ritals étaient clairement chaud mais là.. C'était de l'abus en faite. "Attend tu lui donnes des ordres là t'es sérieux?" Il l'a prend pour un objet, c'est pas possible. C'est une femme mais quand même, on doit la respecter. Elle n'a pas d'ordres à recevoir ce lui, ou même de qui que ça soit. Je ne sors pas d'ordres à Sara, et j'en ai jamais donné à mon ex femme. Je ne suis pas fou non plus. Je fronce mon regard, alors que je le voyais bouillir. C'est un truc de dingue quand même, comment il peut me détester alors que moi je suis là, à défendre son couple etc.. Mais je peux comprendre, je suis aussi dans le même style possessif. Je le regarde de haut en bas. "Juste sache, que je suis le premier à être heureux de votre couple, dès que Veïa me l'a dit. Mais fais comme tu veux. " Je secoue la tête alors que je récupère ma veste. De toute façon il fallait que je rentre pour retrouver ma petite amie que j'ai abandonné dans le canapé devant un film qu'on avait commencé tous les deux J'avais déjà passé pas mal de temps ici, et Veïa allait mieux, je lui avais enlevé cette bouteille de la main, cette amie qu'elle avait trouvée. Maintenant je dois aussi m'en aller. Sinon je sens que Sara va dormir quand je vais rentrer. Et on aura pas notre moment de tendresse avant d'aller dormir. Oui je me suis habitué à être un canard. Bref...
@Milo Novak @Veïa Alvisio
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