finalement c'était une mauvaise idée, être enfermé dans cette ambiance non merci. Plus la tête à étudier, ni a rien, tout me semblait lourd et oppressant maintenant. Je veux des répondes, mais pas parler dans le vide. J'essaie de retrouver ce pourquoi je suis venu ici au départ, mes cours, ma thèse. Refaire l'expérience pour être sûr des données, une énième fois. Perfectionniste ? Le mot est faible, mais je me soigne. Je ne me suis sentie supérieur aux autres, chacun se donne la peine de trouver les moyens de réussir. Préférant de loin vivre comme chaque étudiant, un vie normale à sortir avec des amis et faire la fête. Malheureusement, je me suis souvent fait avoir à cause des femmes, tombant trop vite sous le charme. Les filles de caractères, sûres d'elles et qui savent ce qu'elles veulent, ça c'est mon truc et je me demandais maintenant si je ne m'étais pas trompé sur Alaska. Je fouille dans mes affaires, ouvre rapidement le premier livre qui me tombe sous la main, mais je ne peux m'empêcher de la regarder aller s'asseoir au plus loin de la salle, s'installer et regarder son livre. Le silence devient pesant et me gêne, quoi que je fasse, elle reculera ? possible... “Tu crois que quelqu’un va venir voir si y a quelqu’un. J’ai pas envie d’etre enfermer toute la nuit ici.” j'en suis presque étonné d'entendre sa voix, son ton semble se décontracté, mais on ne sait jamais. t'en fais pas, on ne doit pas être les seuls à vouloir étudier, enfin j'espère.
t'en fais pas, on ne doit pas être les seuls à vouloir étudier, enfin j'espère. Je souris a sa reponse. Tout comme lui, j’esperais que d’autres eleves se trouvaient dans les sous-sols et pourraient nous ouvrir de l’exterieur. Je croyais que Harvard etait une univeriste parfaite, alors pourquoi y avaient des portes qui se coincaient toute seule. Ca me faisait vraiment chier cette situation. J’essayais de me concentrer sur mon livre. Cependant, cela etait un peu impossible. Juste le fait qu’il soit dans la meme piece que moi et que je n’avais aucun moyen d’echappatoire me mettait hors de moi. Deja que juste le croiser comme ca me genait, et j’avais tout le temps eu le sentiment de devoir m’en fuir, par honte. Vous ne pouvez meme pas imaginer comment je me sentais en ce moment. J’essayai tellement de l’ignorer et de mon concentrer sur mon livre, mais cela s’averiait plus difficile que cela. Je savais qu’il etait la, je savais qu’il etait la au fond de la salle entrain de faire son travail, et ca me mettait tellement hors de moi. D’habitude, je n’etais pas comme cela, je ne reagissais pas si puerillement si je pouvais dire. J’ai toujours su ce que je voulais, j’ai toujours su qu’un jour je voudrai etre danseuse etoile, qu’un jour, je ferais le tour du monde pour decouvrir de nouvelle ruine, ou d’en explorer d’ancienne. C’etait ca mon reve, mon ambition, et j’allais tout faire pour l’avoir. Quand je voulais une premiere place lors d’un concours, je ferais tout pour me surpasser et l’avoir. J’etais comme cela. Avec les hommes pourtant, c’etait tout le contraire. J’avais des amis mecs certes, et je pouvais leur parler comme bon me semblait sans blocage. Avec Driss, plus rien n’allait, c’est comme si je n’arrivais plus a me controler. “Oui, t’as surement raison.” lui repondi-je alors.
Un silence soucieux et très gênant revint encore dans la pièce, tout paraissait si froid maintenant. Impossible de me concentrer sur quoi que ce soit, j'avais pourtant la tête collé à mon livre et mes notes. Je n'ai jamais eu aucun doute, je veux devenir médecin, aider mon prochain, tout faire pour chercher des remèdes et peut-être même des vaccins importants comme mon grand-père l'a fait en son temps. La concentration est de rigueur dans ces moments là et je ne pensais pas que la présence de cette jeune femme m'empêcherai autant de faire mon travail. Si on m'avait ce matin que je me retrouverai ici, coincé et presque embêté, je ne serais sûrement pas venu. Elle avait fait un pas en me parlant, mais je suis assez mature pour aller droit au but. L'impulsivité n'est pas dans mes habitudes mais là j'étais obligé de faire quelque chose. Je ne voulais pas qu'elle se concentre et me laisse dans un blanc monumental, éloigné de moi, j'aime la proximité avec les gens que j'apprécie. La différence d'âge ne m'intéresse pas, quand on est bien avec une personne c'est le plus important, sa jeunesse ne me dérange pas au contraire, on a envie de la cajoler presque. Ses grands yeux bleus me laissent perplexe, mais je sais ce que je veux. Je me lève de ma table, fermant mon carnet de notes, mes pas se dirigent vers elle une nouvelle fois doucement, mais étant assise, la jeune femme n'ira pas bien loin. dis moi ce que j'ai fais pour mériter cette distance que tu m'imposes, je peux comprendre, mais s'il te plait ne continue pas à me fuir comme ça. des paroles réfléchis et posés, je ne voulais pas être brusque au contraire, mais mettre les points sur les "i" et c'était peut-être la meilleur solution. je comprends pas Alaska, je pensais qu'on aurait continué à se voir en dehors, je voulais vraiment de tes nouvelles.
Cela ne servait absolument a rien que j’essaie de me concentrer sur mes notes et mon image. J’avais beau essaye de le chaser de mon esprit, cela ne fonctionnait pas. Il revenait encore et encore comme un fantome qui hantait une vieille maison, sauf que la c’etait quelqu’un de bien vivant qui hantait mon esprit. Mes yeux etaient beau rives sur mon livre, aucun lettre ne rentrait dans ma tete. J’avais beau lire n’importe quoi sur la periode des Vikings et des Saxons, le texte et l’information ne faisait qu’entrer par une oreille pui restortir directement pas l’autre. Tellement pour les revisions et le travail a faire, je vous dis. Je vais devoir retourner un autre jour et faire mon travail comme il le faut. Je levais les yeux de mon livre trentes seconds et vis que Driss avait ferme son livre et s’approchais de moi. Oh non, par pitie pas ca. Si je reculais maintenant, j’allais tomber de ma chaise et me retrouver par terre. Ce qui vous allez dire et bien, y a un etudiant en medicine avec moi la, sauf que non, c’etait pas bien. Je n’avais donc vraiment plus d’echappatoire. J’allais devoir lui faire face une fois pour toute et je n’aimais pas vraiment cela. dis moi ce que j'ai fais pour mériter cette distance que tu m'imposes, je peux comprendre, mais s'il te plait ne continue pas à me fuir comme ça. Gloops, pas bon signe ca. Je deposais mon stylo sur le bureau, completement petrifie de ce qu’il venait de dire. Il pouvait pas juste faire comme moi, et m’ignorer. Apparemment, ce n’etait pas le cas. je comprends pas Alaska, je pensais qu'on aurait continué à se voir en dehors, je voulais vraiment de tes nouvelles. Je voulais qu’il arrete avec ca, qu’il se taise. Je ne voulais pas de cette discussion, mais alors vraiment pas. Je me redressais sur ma chaise, n’etant pas sure si j’allais vraiment dire ce que j’allais dire. Surement, il m’avait enerve la avec cette discussion et ce sujet. “Tu me plais!” lui retorquai-je alors d’une haute eleve. On pouvait entendre dans le ton de ma voix que j’etais enervee, et que j’aurais prefere garde cla pour moi. “Voila, maintenant tu sais. Content?” ajoutai-je alors un peu ironiquement.
“Tu me plais!” wow, ça, ça résonne bien en tête, ça fait sourire, ça fait plaisir,mais je suis surtout étonné d'avoir enfin réussi à lui faire lâcher ce qui lui portait au coeur. Je m'en fous des conséquences et je vais sûrement me faire avoir encore. Je ne m'y attendais pas, mais tout d'un coup, tout semblait s'expliquer, ses réactions depuis leur rencontre, sa gêne, son dénie. C'était presque de la haine dans ses yeux, elle ne semblait vraiment pas vouloir lui dire. Mais pas la honte qu'elle trainait jusqu'à maintenant. “Voila, maintenant tu sais. Content?” continua-t-elle avec un cynisme certain, elle lui en voulait de l'avoir forcé à dire ça. Je demeurait pourtant imperturbable, je ne ferais jamais de mal à quelqu'un, surtout pas à une fille, c'est moi qui me fait avoir à chaque fois. Et si je voulais tellement savoir, m'accrocher à elle, c'était bien pour quelque chose. Pas sûr de savoir où tout cela allait nous mener, ce qui était certain c'est que oui, elle me plaît aussi. Mais fini les gamineries, soyons honnête un peu Et tu comptais me le cacher encore longtemps je suppose... je lui souris gentiment mauvaise idée, tu sais quoi, je ne vais pas te demander pourquoi , tu as tes raisons. mais saches que tu si ne me l'avais pas dis aujourd'hui, tu n'aurais jamais su que c'est réciproque. Oui, je suis content maintenant. oh quel maturité, j'étais devant elle, assuré sur mes positions.
Et tu comptais me le cacher encore longtemps je suppose... Techniquement, je n’avais jamais voulu lui dire. Je voulais que ca reste ma souffrance, mon honte, mon probleme. Mais il en avait decide autrement ce qui ne me faisait pas du tout plaisir. Quand y a quelque chose qui me demange, je le gardais pour moi, et je faisais en sorte que je m’en sorte toute seule. mauvaise idée, tu sais quoi, je ne vais pas te demander pourquoi , tu as tes raisons. mais saches que tu si ne me l'avais pas dis aujourd'hui, tu n'aurais jamais su que c'est réciproque. Oui, je suis content maintenant. Un autre deglutissement. Reciproque? Il disait ca juste pour pas me blesser. Je suis une grande fille, je sais c’est quoi que de plonger dans quelque chose qui ne se passera jamais. Je me suis faites avoir comme ca plein de fois a croire qu’un mec me plairait mais en fait c’etait pas le cas. Pas vraiment besoin de se demander pourquoi j’etais encore vierge en fait. Cependant, sur le coup, je ne savais plus du tout quoi repondre. C’etait juste un autre moment de froid et d’inconfort totale. J’avalais encore une fois ma salive. Au moins, j’aurai bu quelques litres de ma salive aujourd’hui. Mes yeux etaient rives sur lui, essayant de cherchant ou etait la blague, que c’etait faux ce qu’il le disait, mais je ne trouvais rien. Voulant echapper a la suite de cette discussion, je retournai a mon livre et pris mon bic pour gribouiller des mots sur mon cachier – qui n’avait aucuns sens mais pas grave. “Joue pas avec moi Driss. C’est vraiment pas drole. Je me sens deja assez mal comme ca de te l'avoir dis. J'ai pas besoin que tu te moques de moi parce que je suis une premiere annee!” lui repondis-je alors en gardant mes yeux sur mon bloc note.
“Joue pas avec moi Driss. C’est vraiment pas drole. Je me sens deja assez mal comme ca de te l'avoir dis. J'ai pas besoin que tu te moques de moi parce que je suis une premiere annee!” c'est fou ce caractère, impressionnant limite. elle le pensait vraiment s'en était presque blessant. Je la regardais écrire machinalement, elle aurait sûrement préféré en rester là mais j'étais bien trop avancé dans mes propos pour donner fin à cette discussion et je voyais déjà la fin de la scène, une silence de mort jusqu'à ce que l'on entende des pas à travers la porte, se jetant dessus, nous ouvrir et partir comme deux étrangers. Et puis de toute façon, tout ce qu'elle disais était totalement ahurissant C'est vrai qu'on ne se connait pas encore assez pour que tu saches que je ne suis pas un mec comme ça. J'ai pas le temps de faire souffrir les gens tu sais, je vois déjà assez de personnes malheureuses à l'hôpital quand j'y suis, c'est pas pour faire les con quand je dis la vérité. La situation devenait délicate, mais quand on garde trop de choses sur le coeur, c'est difficle quand on est campé sur ses positions. C'est fou, comment tu peux croire ça ? J'arrive pas à te cerner, t'es tellement sur la défensive que tu as l'air de te méfier de tout, même du meilleur j'ai que 23 ans, je suis loin d'avoir tout appris, je fais des erreurs comme tout le monde, j'suis jeune et loin de venir médecin encore. Je sais trop bien ce que ça fait d'être pris pour un con.
On m’a souvent de dire de faire attention, de me mefier des mecs plus grands, qu’ils prennaient souvent l’innoncence des premieres annees pour en faire un sorte de jeu. Ok, j’avoue c’est mon frère qui a dit ca, que les mecs c’etaient tous des batards et blablabla. Je ne le croyais pas vraiment, pas du tout meme. Cependant, cela avait creuse un certain doute en moi. J’ai 5 ans de difference avec Driss, y a rien de serieux qui peut se produire. Puis comment je peux savoir qu’il est serieux? Je l’ai rencontre a l’hopital, on a parle pendant quoi une heure, 2 heures a tout casse. Je ne connaissais rien sur lui, et pourtant j’avais quand meme flashe sur lui. Tellement moi, j’ai envie de dire, toujours a tomber sur le mec qu’il faut pas. Je continuais a gribouiller des mots et des phrases dans mon cahier, meme si il n’y avait aucunes logiques dans ce que j’ecrivais. J’essayais seulement de me distraire, de pas flencher et devenir mechante et cynique dans ma voix. J’avais tellement envie de lui balancer comment je me sentais, comment j’avais tellement honte d’avoir pu etre charme par lui alors qu’on se connaissait a peine, comment j’etais genee quand je le voyais parce que cela me rappelait ce que je ressentais pour lui. C'est vrai qu'on ne se connait pas encore assez pour que tu saches que je ne suis pas un mec comme ça. J'ai pas le temps de faire souffrir les gens tu sais, je vois déjà assez de personnes malheureuses à l'hôpital quand j'y suis, c'est pas pour faire les con quand je dis la vérité. Je ne repondis rien a cela, je faisais semblant de ne pas avoir entendu et continuais a “travailler”. Je voulais eviter le moins de parole. Je savais que j’allais finir par dire des choses que je ne pensais pas juste a cause de la pression et du malaise qui reignait dans la piece. C'est fou, comment tu peux croire ça ? J'arrive pas à te cerner, t'es tellement sur la défensive que tu as l'air de te méfier de tout, même du meilleur Il avait fini avec ces commentaires-la. Que cherchait-il? Voulait-il que j’avoue pourquoi j’etais comme ca? Je soupirais un bon coup avant de balancer mon bic sur le bureau. “Tu veux savoir pourquoi je suis comme ca avec toi? C’est ca que tu veux?” retorquai-je alors. “Je te connais quasiment pas Driss. On a parle quoi? Deux heures a tout cassées. Je sais rien sur toi. T’es peut-etre un gay refoulé qui essaie de le cacher en sortant avec des meufs. Qu’est-ce que j’en sais-je moi? Tu vois le truc. T’as 23 ans, j’en ai 18. Je connais rien de la vie moi. Tout ce que je sais c’est ce qu’on raconte dans les films et livres, mais c’est jamais la realite. Alors ouais je suis sur la defensive, mais j’ai pas envie de me faire avoir a cause de quelque chose dont je ne suis meme pas certaines que ca soit vraiment reciproques et vraies.” repondis-je en ayant hausse la voix considerablement.
“Tu veux savoir pourquoi je suis comme ca avec toi? C’est ca que tu veux?” retorquai-je alors. “Je te connais quasiment pas Driss. On a parle quoi? Deux heures a tout cassées. Je sais rien sur toi. T’es peut-etre un gay refoulé qui essaie de le cacher en sortant avec des meufs. Qu’est-ce que j’en sais-je moi? Tu vois le truc. T’as 23 ans, j’en ai 18. Je connais rien de la vie moi. Tout ce que je sais c’est ce qu’on raconte dans les films et livres, mais c’est jamais la realite. Alors ouais je suis sur la defensive, mais j’ai pas envie de me faire avoir a cause de quelque chose dont je ne suis meme pas certaines que ca soit vraiment reciproques et vraies.” Incroyable cette fille, pas moyen de lui décrocher un mot pendant des jours et tout a coup, toutes ses émotions qu'elle t'envoie à la face sans pouvoir y remédier. J'était tellement abasourdie que je pensais ne pas tout avoir retenu, j'avais juste l'impression qu'elle n'était vraiment pas décider. Un gay refoulé? Bon j'vais pas prendre la mouche pour si peu mais j'ai pas l'impression de donner cette image là, celle de l'intello peut-être mais du gay, étrange. tu sais, c'est pas en me fuyant que tu vas me connaître son énervement me frustrait finalement, j'étais loin de m'imaginer tout ça au début de l'histoire, mais enfin elle avait décidé de me parler honnêtement, c'était pas pour rien au moins. et je suis très loin de savoir tout de la vie, et puis qu'est-ce qu'on en à a foutre de la différence d'âge sérieux ? Evidemment que je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle avait tant de réticence avec moi, mais je suis pas comme ces mathers qui parlent pour coucher. Il n'y a jamais eu une once de charme dans mes propos, c'était naturel tout simplement, comme leur rencontre à l'hôpital. elle aurait pu tomber sur bien pire certes, et sa peur est compréhensible, mais si elle ne lui permet pas de mieux le connaître, elle ne saura probablement jamais. donc tu préfères qu'on continue à s'ignorer à l'avenir ? dis-je finalement, elle n'avait qu'un mot à dire et je ne la reverrai plus.
Cette situation me mettait tellement hors de moi. Je ne controlais plus rien. Mes emotions faisaient ce qu’ils voulaient et je n’avais plus aucun controle sur ce que je disais. Tout ce que je pensais sortait de mes levres sans vraiment que je puisse decider ce que je voulais dire ou pas. J’etais un peu comme un enfant qui disait n’importe quoi. Bon ok, techniquement, je suis encore un enfant. Je suis meme pas encore completement majeure. Il y avait juste tellement de choses qui dans ma tete ne pouvait pas fonctionner, meme si ils etaient completement absurdes. tu sais c'est pas en me fuyant quand tu vas me connaître. Merci comme si je savais pas quoi. Mais c’est pas moi qui decide. Je sais pas si il est au courant, on fait pas toujours des choses qu’on veut faire. Si je pouvais, y aura bien longtemps que je serais allee le voir et j’aurais pas reagi comme je le faisais. Mais la raison et le coeur ne decidaient que rarement de cohabiter et cette fois-ci cela avait ete la raison qui l’avait emporte. et je suis très loin de savoir tout de la vie, et puis qu'est-ce qu'on en à a foutre de la différence d'âge sérieux ? J’avais toujours la tete dans mon cahier et mes notes evitant tout contacts visuelles avec le jeune homme. Je savais que si je le regardais. J’allais encore une fois perdre mes moyens et dire des choses que je ne voulais pas. Cependant, il avait raison. C’est quoi la difference d’age de nos jours? Qu’est-ce que cela change? Rien au fond, alors pourquoi j’en faisais autant en plat? Je cherchais surement une excuse pour pas devoir faire face a ce que je ressentais. donc tu préfères qu'on continue à s'ignorer à l'avenir ? Je m’arretais alors dans ce que je faisais. Pourquoi il disait ca? Est-ce que c’etait cela que je voulais? Est-ce que je voulais vraiment qu’il disparaisse comme ca? Non, certainement pas. Je levais alors les yeux en sa direction. “Non, j’ai jamais insinue ca.” Je crois que mon expression etait tellement blanche. J’etais passe en uun rien de temps de la fille qui petait son cable et celle qui ne savait plus rien dire.