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dilemme - choisir d'être heureux, c'est choisir de se pardonner. |
Ça semblait être une évidence et pourtant, j'avais l'impression de faire ou dire n'importe quoi. Nous avions des points communs, des visions communes... et pas mal de points divergents mais qui rendaient la nouvelle relation tout à fait passionnante. Non pas que nous ayons une relation quelconque, c'était une rencontre... Et on savait tous les deux, que sur tinder, ce n'était pas pour aller jouer au bingo avec les mamies le dimanche. Nous on savait qu'on se voyait parce qu'on se plaisait un minimum, que l'intérêt était partagé sans pour autant avoir une réelle finalité. Elle était intéressante de par son ambition, son côté très famille, cette loyauté et cette douce simplicité qui la rendait presque unique. J'étais content de me retrouver avec elle, ce soir. Ce n'était pas donné à tout le monde de se rencontrer, d'être à l'aise ou d'être mis à l'aise. Et elle a réussi à apaiser mon anxiété avec de jolis mots, des mots rassurants surtout. Malgré une petite taquine cachée sous ses airs doux, et j'aimais ça d'autant plus.
Car c'est la folie que réside les vraies relations passionnantes.
On échange sur divers sujets autour de notre verre de spritz, tout tourne autour de l'école, des études. On s'encourage, se félicite. On est courageux tous les deux, cela va s'en dire. De part nos longues études et nos domaines respectifs, ça nous fait un grand point commun qui pourrait être l'essence même de notre amitié nouvelle. Même si, à mes yeux, j'avais trouvé que June était une femme des plus magnifiques... Une femme qu'on pense souvent inatteignable. Et qui pourtant m'offrait la chance de diner avec elle. Je ne comprends pas comment une poupée aussi jolie et intelligente qu'elle puisse être célibataire, mais je n'avais pas envie de mettre les pieds dans le plat. Je me contente simplement de lui dire que je suis contente qu'on ait pu se rencontrer, qu'elle m'accorde une confiance qu'on ne donne pas à tout le monde encore moins au premier venu.
Même si ce n'était qu'un diner, qu'elle aurait pu faire demi-tour, elle avait fait le pas de me rencontrer. Et pour moi ça signifiait beaucoup. Aussi bien pour ma confiance que pour l'avenir... je suppose. Je rigole quand elle affirme que je n'avais pas l'air d'un psychopathe. « Au grand damne de ma sœur. » que je dis en riant. Ma sœur étudiante en sociologie, voulait se spécialiser dans les enquêtes policières comme profiler, comprendre les psychopathes c'était une passion que je ne comprenais pas, mais qui la faisait vivre. Je hoche la tête positivement. « C'est avec plaisir aussi, j'ai vraiment accroché. » que je dis en rougissant doucement, pas très sûr de moi.
Je bois mon verre et l'invite à retourner à notre table. « On va s'installer à table pour commander de quoi accompagner notre verre ? » car j'avais les crocs, je ne mens pas. Cette rencontre m'avait tellement stressé, que j'en étais venu à rien mangé de la journée. Je me lève en lui offrant ma main pour l'aider à descendre du tabouret de bar pour aller jusque la table. « Tu as des envies de voyage sinon ? Tu es déjà sortie de Boston ? »
Car c'est la folie que réside les vraies relations passionnantes.
On échange sur divers sujets autour de notre verre de spritz, tout tourne autour de l'école, des études. On s'encourage, se félicite. On est courageux tous les deux, cela va s'en dire. De part nos longues études et nos domaines respectifs, ça nous fait un grand point commun qui pourrait être l'essence même de notre amitié nouvelle. Même si, à mes yeux, j'avais trouvé que June était une femme des plus magnifiques... Une femme qu'on pense souvent inatteignable. Et qui pourtant m'offrait la chance de diner avec elle. Je ne comprends pas comment une poupée aussi jolie et intelligente qu'elle puisse être célibataire, mais je n'avais pas envie de mettre les pieds dans le plat. Je me contente simplement de lui dire que je suis contente qu'on ait pu se rencontrer, qu'elle m'accorde une confiance qu'on ne donne pas à tout le monde encore moins au premier venu.
Même si ce n'était qu'un diner, qu'elle aurait pu faire demi-tour, elle avait fait le pas de me rencontrer. Et pour moi ça signifiait beaucoup. Aussi bien pour ma confiance que pour l'avenir... je suppose. Je rigole quand elle affirme que je n'avais pas l'air d'un psychopathe. « Au grand damne de ma sœur. » que je dis en riant. Ma sœur étudiante en sociologie, voulait se spécialiser dans les enquêtes policières comme profiler, comprendre les psychopathes c'était une passion que je ne comprenais pas, mais qui la faisait vivre. Je hoche la tête positivement. « C'est avec plaisir aussi, j'ai vraiment accroché. » que je dis en rougissant doucement, pas très sûr de moi.
Je bois mon verre et l'invite à retourner à notre table. « On va s'installer à table pour commander de quoi accompagner notre verre ? » car j'avais les crocs, je ne mens pas. Cette rencontre m'avait tellement stressé, que j'en étais venu à rien mangé de la journée. Je me lève en lui offrant ma main pour l'aider à descendre du tabouret de bar pour aller jusque la table. « Tu as des envies de voyage sinon ? Tu es déjà sortie de Boston ? »
(c) AMIANTE
@June Carvalho
(Invité)