enfin seuls (constance)

J'avais l'impression que mon coeur était meurtrie. J'avais fait la plus grosse erreur de ma vie ! Trahir la confiance de Constance est pour moi l'erreur qui sera la plus monumentale de ma vie. Je l'aime et cela depuis le début et il a fallut que Charity rentre dans ma vie et que tout ce chamboule dans ma tête. Ce moment que je venais de passer avec elle est clair pour moi, je l'aime et je ne peux même pas imaginer vivre sans elle. Pourtant le fait qu'elle vienne me poser cette question ma fait me souvenir que j'avais pas été honnête avec elle. Je soupirais. J'étais déchiré et j'en pouvais plus. Elle ce relevait et enfilait ses sous vetements, je sentais mon coeur totalement paniquais et vraiment j'avais peur qu'elle parte. Ecoute ça ne peut pas continuer comme ça, tu comprends ? J'me rencontre juste à quel point mon effet sur les garçons est si négatif… Et n'essaye pas de me contredire ! J'ai bien un problème ou alors tu aimes cette fille. D'ailleurs dis-moi son nom ! Je venais hochait la tête de gauche à droite. Et mes larmes venait couler sur mes joues, j'avais l'impression de la perdre et cela me déchiré. Non Constance, je t'en prie, crois moi. Ce n'est pas toi ... Je ne voulais pas lui dire le prénom de la fille pour la simple et bonne raison qu'elle ne mérite pas de le savoir, je veux pas lui dire aussi car c'est l'une de ses proches amies. J'peux pas laisser ça de côté. Si j'te pardonne ça sera plus la même chose, j'serai alors que tu l'aimeras et je me lasserai de toi. Je venais la regardais, les yeux humides ! Mais Constance, c'est toi que j'aime ! Pas elle, mais toi ! Je soupirais. Passant mes mains sur mon visage je venais soufflais et la regardant alors je venais lui dire. Est ce que si je te dis la vérité et le pourquoi je l'ai embrassé, si je suis honnête avec toi totalement j'aurais une chance de me faire pardonner. Je t'assure, cela me déchire le coeur, je t'aime et je viens de tout détruire. Une nouvelle larme coula sur ma joue.

J'étais naïve, égoïste et surtout faible c'est bien pour ça que je m'empêchais de pleurer où plutôt que je n'y arrivais pas. Lorsque je m'étais engagée avec Dexter je n'aurais jamais pensé qu'il aurait pu me faire ça, j'avais cru qu'il avait changé et ça pour toujours. Mais bien évidemment j'étais si naïve que je ne m'étonnais pas. Non Constance, je t'en prie, crois moi. Ce n'est pas toi … Je le regardais de nouveau et là il avait le visage en larmes, je ne l'avais jamais vu dans cet état là. Mais Constance, c'est toi que j'aime ! Pas elle, mais toi ! Cette phrase m'arracha complètement de mes pensées que je pris mes habits et les jetai par terre. NON DEXTER ! Tu l'as embrassé ! C'est pas rien ça ! J'essayais de me calmer en essayant de respirer le plus convenablement possible. Est ce que si je te dis la vérité et le pourquoi je l'ai embrassé, si je suis honnête avec toi totalement j'aurais une chance de me faire pardonner. Je t'assure, cela me déchire le coeur, je t'aime et je viens de tout détruire. J'hochais la tête et je croisais mes bras. Va-s'y, j't'écoute. Mais ça marche pas comme ça Dexter… Je soupirais, blasée et agacée.

Avoir détruit la seule chance d'être heureux ? C'est exactement ce que de faire mais je savais aussi que quoi que je lui dise elle ne voudra rien entendre, du moins, elle est blessé et m'en voudras, ce que je comprends parfaitement. Je soupirais, je savais plus quoi faire, plus quoi dire et j'aurais voulu oublier et ne rien dire. Etre trop honnête peut vraiment vous détruire et détruire ce que vous venez de construire. NON DEXTER ! Tu l'as embrassé ! C'est pas rien ça ! Je voyais de la colère et je baissais les yeux, totalement honteux et con. Ouais, j'assumais ce que j'avais fait mais je m'en voulais de lui faire du mal. Essayant de vouloir calmer le conflit je lui demandais si lui raconter la vérité pourrait faire parti du début de mon pardon et l'écouta. Va-s'y, j't'écoute. Mais ça marche pas comme ça Dexter… Je venais inspirais, essuyer les larmes qui continuer de couler sur ma joue. M'installant sur la table basse je venais la regardais et lui parler. Je ... Cette fille est l'une de mes ex. Je suis sorti avec lorsque j'étais encore le Don Juan de toutes les filles du campus, bien entendus personne le savait, j'avais fait en sorte de caché notre relation mais je l'ai faite souffrir, énormément et j'ai vraiment été le pire enfoiré qui puisse être. Aujourd'hui, enfin, il y a deux, trois jours, je l'ai revu. Elle voulait mettre les choses au clair et finalement on a remuer le passé trop rapidement ce qui m'a totalement fait culpabilisé, oui j'ai changé Constance, mais j'ai lutter pour toi et pour Mila mais je suis pas encore le parfait petit ami et je sais que ce baiser était mauvais, d'ailleurs la minute qui à suivi je m'en suis voulu mais le mal était fait et je pensais pouvoir éventuellement te le cacher mais la preuve, je t'aime trop et je sais que Aaron t'a fait du mal alors je ne souhaitais pas te le cacher au risque de te faire encore plus mal... Je crois simplement que j'ai fais la plus grosse erreur de ma vie ... Je baissais le regard, j'avais parler avec sincérité et j'espérais qu'elle comprenne que mon erreur était une erreur de mec abruti et encore faible devant la sincérité d'une femme.

Là tout de suite ? J'attendais qu'il m'explique le pourquoi du comment il avait embrassé cette fille. Et visiblement il ne voulait pas me dire son nom, peut-être que je la connaissais, qui sait ? Je ... Cette fille est l'une de mes ex. Je suis sorti avec lorsque j'étais encore le Don Juan de toutes les filles du campus, bien entendus personne le savait, j'avais fait en sorte de caché notre relation mais je l'ai faite souffrir, énormément et j'ai vraiment été le pire enfoiré qui puisse être. Aujourd'hui, enfin, il y a deux, trois jours, je l'ai revu. Elle voulait mettre les choses au clair et finalement on a remuer le passé trop rapidement ce qui m'a totalement fait culpabilisé, oui j'ai changé Constance, mais j'ai lutter pour toi et pour Mila mais je suis pas encore le parfait petit ami et je sais que ce baiser était mauvais, d'ailleurs la minute qui à suivi je m'en suis voulu mais le mal était fait et je pensais pouvoir éventuellement te le cacher mais la preuve, je t'aime trop et je sais que Aaron t'a fait du mal alors je ne souhaitais pas te le cacher au risque de te faire encore plus mal... Je crois simplement que j'ai fais la plus grosse erreur de ma vie ... Pendant plus d'une minute je ne bougeais pas, me rappelant chacune de ses phrases. Et tout ça me menait à une seule conclusion. Il va falloir qu'on arrête de se voir… Il fallait que je réfléchisse et que je mette tout ça à point en plus de découvrir qui était cette briseuse de couple. Ça revient au même, tu l'as embrassé ce qui signifie que d'un côté tu ressens quelque chose pour elle… Je finissais de m'habiller en me procurant ma robe blanche et mon gilet. Ça va te permettre de t'occuper de la petite, après tout tu es son père. Encore une fois je grimaçais et je croisais les bras en attente d'une réponse.

Il va falloir qu'on arrête de se voir… Cette phrase avait pour don de me détruire à l'instant même. Mes larmes ce lâchait encore plus et rapidement je regardais Constance, hochant la tête de gauche à droite. Non je t'en prie ... Je voyais bien qu'elle était triste et pas du tout ravi de ce que je lui avais dis mais c'est elle que j'aime. Ça revient au même, tu l'as embrassé ce qui signifie que d'un côté tu ressens quelque chose pour elle… Je soupirais, passant mes mains sur mon visage. Certes elle n'avait peut être pas tord mais elle est celle auquel je tiens, celle que j'aime. Ça va te permettre de t'occuper de la petite, après tout tu es son père. Je relevais mon regard sur son visage. Hochant la tête de gauche à droite. Je suis son père et tu es sa mère Constance ! Je t'en prie, reste. Je la regardais, les yeux humides. M'approchant d'elle je venais caressait son visage, paniquais et totalement en colère contre moi même. Me laisse pas, je t'en prie. Je t'aime. Je venais tenter un baiser.

Toute cette situation me faisait rendre compte à quel point quelqu'un pouvait changer aussi vite et qu'on pouvait détruire le bonheur en moins de deux secondes. Non je t'en prie ... Je refusais de le regarder, ça me faisait aussi mal il fallait pas croire que ça me réjouissait. Je suis son père et tu es sa mère Constance ! Je t'en prie, reste. Je prenais ma gibecière en me la passant sur le bras droit. Me laisse pas, je t'en prie. Je t'aime. Il m'embrassa mais ma réflexion fut de le pousser en passant ma main sur la bouche. Non Dexter, il faut que je réfléchisse c'est pas pour autant que j'te plaque. J'allais sans doute rejoindre le campus ou alors chez mes parents. Là où mon père ne savait même pas que j'avais adopté un enfant. Je devais passer outre son arrogance et tout lui dire, sinon j'allais droit en enfer. J'irais donc dans mon vrai chez moi.