enfin seuls (constance)

Je revenais nu devant elle et cela sans aucune gêne. Nous sommes ensemble depuis un bon mois maintenant et autant dire que je n'avais peur de rien, surtout pas de bonheur auprès d'elle. Mila dormait et c'était le meilleur moment pour nous de passer un moment intime. Souriant doucement je chercher ses lèvres et la laissant emprisonner mon corps je souriais en l'écoutant me dire qu'elle m'aimait. Caressant son visage je venais l'embrassais avec fougue avant de lui souffler à l'oreille. Moi aussi, je t'aime. Je souriais alors que je venais pénétrais délicatement en elle. Un soupire se fit entendre de ma part et rapidement je venais lui sourire, je me sentais bien à ses côtés. La regardant alors je venais doucement saisir ses lèvres pour commencer des va et viens en elle avec douceur.

Moi aussi, je t'aime. Il m'avait chuchoté ses mots comme l’aurait fait un enfant dans le creux de l’oreille de son amoureuse. Dexter captura mes lèvres pendant que je continuais de caresser son dos. Ce fut d'un tendre coup de rein, que nous faisons désormais plus qu'un. Ainsi il se permit d'instaurer son rythme, en commençant par une telle douceur que j'en grognais déjà de plaisir. Cabrant ma colonne vertébrale, je facilitais notre ébat dans nos nouveaux soupirs plus longs et sensuels. Je sentais mon bas ventre se démener sur celui du brun, tandis que je fermais les yeux laissant battre mon coeur à la chamade.

Je l'entendais soupire et ses hanches cognèrent contre les miennes et autant dire que le plaisir ce voulait plus intense. Je grognais sous le plaisir, je me voulais doux et devenais pourtant un peu sauvage. Mes caresses continuer sur le haut de son corps alors que mes lèvres rester coller contre les siennes pour un baiser toujours plus envieux. Je suis totalement dingue de cette fille et bien entendus ce moment intime le prouver encore, elle aussi est folle de moi.

Un soupir, un cri, puis deux... puis trois... les gestes de Dexter m'arrachait un plaisir intense. Il n'y avait plus rien à répondre par les mots, non vraiment plus rien. Mais mes ongles s’agrippèrent un peu trop fort à la peau du brun et je sentis que mes griffes accrochèrent, répondant de ce fait à cette envie fulgurante qui tapait contre mes hanches. Me cabrant un peu plus tandis que je sentais monter en moi le plaisir, je balançais ma chevelure en arrière. Mes mouvements s’accélèrent en même temps que mes soupirs qui se faisaient plus longs et plus fort encore, laissant échapper des cris, plaignant secrètement les voisins.

La jeune femme ce montrais réceptive à chacun de mes gestes, de mes mouvements et mon plaisir monter. Ses cris me faisait accélérer la cadence et rougissant de plaisir je venais sentir les ongles de celle ci me griffés le dos ce qui m'arracha un cri non de douleur mais de plaisir. C'était sauvage, totalement incroyable et mes coups de reins devenait bien puissant et rapide, je sentais l'extase arriver et j'attendais le moment propice pour relâchais chacun de mes gémissements.

Dexter faisait des mouvements bien trop plaisants et sensuels pour que je reste de marbre... Les coups de reins par ci et par là, faisaient vibrer le canapé qui s'épuisait à suivre tous nos mouvements violents et doux à la fois. Les grognements du brun, ses murmures, ses caresses et ses baisers me rendais fiévreuse toujours un peu plus. Il était doué pour me donner du plaisir, un véritable dieu des temps modernes qui ne laissait aucune partie de mon corps à l'abandon. Je plaquais alors tout mon corps contre lui, avec force et violence délicate, me crispa un peu plus, puis dans un dernier coup de rein je criais, hurlant ce plaisir que je ne pouvais plus retenir. Une extase prenant tout mon corps en otage. Après cet effort délicieux, je ne bougeais pas, laissant tout mes muscles se décontracter. C'est avec une caresse que je vins caresser le visage de Dexter. Rappelle moi de faire ça plus souvent.

Constance ce montrer très receptive à chacun de mes mouvements et le plaisir augmenter, elle savait me donner du plaisir tout comme moi je savais lui rendre. Je sentais l'extase arrivait et lorsque mon corps se cambra un maximum en sentant le désir extrême arrivait je lâchais un long et fort gémissement sortir de ma bouche en laissant mon corps tomber doucement sur celui de Constance, je sentais déjà mes muscles ce relâcher un peu. Soupirant je sentais une caresse sur mon visage et écouta Constance me dire de lui rappeler de faire ça plus souvent. Un petit rire sortis de ma bouche avant de me retirer de son corps avec délicatesse et tendrement l'embrasser. Je ne peux qu’approuver ta demande ma chérie. Je venais embrasser son cou puis sa poitrine en finissant vers ses lèvres.

La respiration encore saccadée, le cœur battant de tous les cotés, je me sentais bien, merveilleusement bien même, bien que le sommeil me guettait avec autant d’émotion en une seule soirée. Dexter laissa échapper un rire avant de se retirer avec délicatesse. Je ne peux qu’approuver ta demande ma chérie. Je souriais malicieusement, et le brun s'empressa de m'embrasser du cou jusqu'à mes lèvres. C'est étrange de t'entendre dire ça, surtout venant du Don Juan. Evidemment je le taquinais et j'aimais ça. Doucement je venais me loger contre le torse de Dexter ainsi qu'entre ses bras. Dex ? Je rompais le silence en reprenant mon sérieux. Tu crois qu'un jour tu me laisseras tomber pour redevenir l'ancien ? Je posais cette question avec recul, ça y est j'avais peur qu'il me laisse tomber. J'avais plus envie qu'on me relâche surtout après mon expérience avec Aaron. J'étais si faible...

C'est étrange de t'entendre dire ça, surtout venant du Don Juan. Je souriais doucement et je savais qu'elle me taquinait. Bien évidemment j'avais changer auprès d'elle, parfois je me disais même un peu trop ce qui me faisait totalement flippé car j'avais l'impression de ne plus trop être moi même. Venant m'installer sur le canapé doucement je venais prendre une couverture afin de nous protéger de notre nuditié. Constance brisa le silence. Dex ? Je venais la regardais. Hm ? Je me demandais pourquoi elle m'interroger du regard et pourtant je la vis de plus en plus sérieuse. Tu crois qu'un jour tu me laisseras tomber pour redevenir l'ancien ? Aie ! C'est quoi sa question là ? Je soupirais, qu'est ce que je peux lui dire moi hein ? Je me sens bête et totalement paniquais intérieurement, elle venait de brisé le bonheur ou je me trouvais il y a de cela quelques secondes. Redevenir l'ancien je pense pas, je suis père maintenant. Je venais la regardais et essayer d'être le plus honnête possible. Te quitter je sais pas Constance, on ne sait pas ce que l'avenir nous réserver et .. Je soupirais doucement venant baissais les yeux. Ecoute je .. Je sais pas quoi te dire, je t'aime, je tiens vraiment à toi mais tu savais qui j'étais lorsque tu as voulu t'engager avec moi. Je t'ai promis de changer et j'ai l'impression que depuis quelques temps tout va trop vite ... Pour moi en tous cas. Toi t'es géniale avec moi et ... Et je dois te parler de quelque chose. Je venais attraper mon caleçon et me lever doucement du canapé. Je me sentais mal et j'avais peur de la perdre, pourtant je devais être honnête avec elle.

A ma question, Dexter soupira et oui je venais de rompre ce doux moment. Redevenir l'ancien je pense pas, je suis père maintenant. Je souriais mais je savais qu'il n'avait pas fini de parler. Te quitter je sais pas Constance, on ne sait pas ce que l'avenir nous réserver et .. Je continuais de le regarder doit dans les yeux, je n'aimais pas trop comment il avait prononcé sa phrase, ça sous-entendait quelque chose. Ecoute je .. Je sais pas quoi te dire, je t'aime, je tiens vraiment à toi mais tu savais qui j'étais lorsque tu as voulu t'engager avec moi. Je t'ai promis de changer et j'ai l'impression que depuis quelques temps tout va trop vite ... Pour moi en tous cas. Toi t'es géniale avec moi et ... Et je dois te parler de quelque chose. Mon sourire s'estompa aussitôt lorsqu'il se attrapa son caleçon pour se lever ensuite. WTF ? Il s'en allait ou je rêve ? Qu'est-ce qu'il se passe ? Dis-moi c'que t'as à dire Dexter. Seule sur le canapé, j'avais la bouche ouverte. Je venais de tout gâcher...