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(jilias) where is my mind

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Je veux juste l'avoir de nouveau dans mes bras, c'est pas chinois si ? Ce contact tout chaud, rassurant, sécurisant. Ses gros bras autour des miens, ma joue contre son torse, tout ça quoi. Mais pour Silas, ça semble être trop dangereux. Et je comprends pas. Sincèrement, j'essaye de connecter mes neurones mais je ne vois pas où est le mal de se prendre dans les bras. Je me mords la joue en je fais une petite grimace boudeuse. « je joue pas arrête, je veux juste retrouver tes bras, c'est pas la mer à boire, si ? " » ne me lâche pas que t'es le genre de mec qui n'est pas tendre car la façon dont tu m'as embrassé prouve tout le contraire. Alors qu'est-ce qui bloque ? Je lève un sourcil quand il parle de mon bouton de plaisir, comme ça lui. Décidément, je provoque quelque chose de fort chez lui, au niveau pulsionnel. il parle d'un air sévère, comme si c'était grave, et moi, je souris encore plus. « ah ouais ? tu ferais ça pour moi ? enfin je veux dire, pour lui ? » tais-toi Jill. Je suis vraiment en train de le perturber car il ferme les yeux, comme s'il méditait ou s'il se concentrait et moi... bah je ne sais pas trop comment réagir. Mal ? Silas, il touche toutes les femmes qu'il veut et quand moi j'en ai un peu envie, ça se dégonfle. Pauvre chéri. Je grandis ma tête pour lui faire face et je plaque mon index sur ses lèvres pour le faire taire. « tais toi. tu ne sais pas ce que je veux ou pas. t'es gentil mais ne parle pas à ma place. » instinctivement je me mords la lèvre en l'observant et je pose mes mains sur son torse. Mes doigts touchent ses abdos à travers son t-shirt et je m'amuse à mes les imaginer dans ma tête. « donne-moi chaud Silas. je te le demande. » je te le supplie presque. Ne me repousse pas alors que je découvre un peu de chaleur, le goût de ta peau et l'odeur de ta nuque. Me renvoie pas chez moi comme ça toute seule, s'il te plait. J'veux me sentir vivre.
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Ce n’est pas la mer à boire, tu dis? Non, t’as raison, complètement raison, mais ce n’est pas mon genre d’être tendre avec quelqu’un. Et avec toi, toi qui n’as jamais expérimenté quoi que ce soit avec un homme, ce n’est pas très attrayant. Et pourtant, j’ai envie, oh oui j’ai envie de te faire découvrir des sensations que tu ne connais pas encore. Cependant, je ne peux pas me le permettre, je n’ai pas envie que tu t’attaches à moi, ça non plus ce n’est pas la mer à boire. Je ne suis pas fait pour toi et ça on le sait tous les deux. Et tu m’énerves, à un point que ça en devient pathétique… Je réagis presque comme une pucelle à mon tour, parce que tu es si naïve de t’aventurer sur ce chemin si glissant. Faire ça pour lui? Tu parles vraiment comme une vraie débutante, mais ce n'est impossible que personne ne t’est fait plaisir au moins une fois, n’est-ce pas? Et si… « Jill… Es-tu en train de me dire qu’on t’as jamais touché? » Et voilà que tu me coupes dans mon élan, m’empêchant de continuer ce que j’ai à te dire. Tu m’accuses même de ne pas savoir ce que tu veux. Certes, c’est un point, je ne suis pas dans ta tête, mais tu ne veux pas de moi. Tu ne veux pas que je me charge de cette besogne. De un… J’en demanderais trop en échange et de deux… Je n’ai pas le temps de réfléchir plus longtemps. Tu me demandes quelque chose que tu n’aurais jamais dû faire. « C’est ce que tu veux? C’est ce que tu vas avoir! Suis-moi! » Oui parce que je ne suis pas certain que tu désires t’aventurer dans un petit coin sombre d’une boîte de nuit ou encore pire dans la ruelle, tout juste à côté. Je t’emmène jusqu’à ma voiture où nous attend mon chauffeur. « George, voici Jill. » Ce dernier semble surpris que j’aie prononcé son prénom, que je me souvienne de ce prénom d’ailleurs. « À la maison, s’il te plaît et ensuite, je te donne congé. » Ce serait tout de même dommage qu’il entende tes petits cris, tes gémissements. Eux, je veux les garder que pour moi. Pure égoïste que je suis. Tu vois ce que tu me fais faire, Jill? Arrivé à destination, j’attrape ta main et une fois entrer à l’intérieur de ma maison, je ne prends pas la peine d’attendre que tu enlèves ta veste, ni même tes chaussures que je t’attrape sous les cuisses pour te soulever capturant par le même fait tes lèvres. En moins de 30 secondes, tu vois confortablement installée sur mon matelas moelleux. Je profite de quelques instants pour te scruter attentivement avant de te surplomber de tout mon corps. « Tu m'fais confiance? Je ferai rien que tu ne veux pas… » À peine ai-je eu le temps de terminer ma phrase, que je plonge une nouvelle fois sur tes lèvres, descendant petit à petit dans ton cou, laissant un sillage de baiser le long de ta carotide. Profitant également pour glisser mes mains sous ton haut, afin de te l’enlever, le faisant passer au-dessus de ta tête. Une fois de plus, je m’arrête et continue ma contemplation que j’ai pu commencer tout à l’heure. « Ne te cache pas, pas avec un corps aussi magnifique! » Je te souris avant de continuer ce que j’ai pu commencer laissant glisser mes lèvres, ma langue jusqu’à la couture de ton soutien-gorge. « C’est le temps de mettre tes barrières et me dire jusqu’où je peux aller. » C’était une façon également à moi de te demander la permission d’aller plus loin. Tu as beau être réchauffé par l’alcool, je ne profiterai pas de toi et je n’ai pas non plus envie que tu cries au viol. Les médias s’en régaleraient beaucoup trop, au grand plaisir de mon oncle.
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Je fais une petite moue en battant des cils, comme une petite fille qui avait honte de dire quoi que ce soit. T'as compris à mon silence et à mon regard que nope, jamais on ne ma touché de la sorte. Enfin, je ne sais même pas ce que tu t'apprêtes à me faire mais chose est sûre que je n'y connais rien. Des bisous avec quelques garçons, et encore, Yann fut mon premier vrai baiser. Yann, pourquoi est-ce qu'il me revient en tête ce con-là ? Car lui aussi a voulu me mettre en confiance comme Silas, lui aussi m'a lancé de belles paroles avant de s'en aller comme un con. J'ai l'impression d'avoir un radar avec les bad boys. Silas, il a un caractère qui m'insupporte mais qui m'excite à la fois, c'est ouf. Je crois que je viens de lui donner mon feu vert pour les enfers. Ni une ni deux, je me retrouve dans sa voiture avec son chauffeur que je salue d'un simple : « bonsoir m'sieur. » jusqu'à ce qu'on retrouve le silence. A la maison donc. Woaw, je vais aller chez Silas youhou. Et en plus, il a un chauffeur perso. Si c'est pas la classe ça ? Après tout se déroule très vite, je me retrouve chez lui, et j'ai à peine le temps de oser les pieds qu'il m'attrape comme un koala, il m'embrasse passionnément et je me retrouve couchée sur une matière confortable. Oh, son lit... Ok Jill, panique pas. Je suis dans son lit quoi, les draps qui ont son odeur, quel kiffe. Silas commence à me dévorer toute crue. je sens le poids de son corps sur le mien, mon coeur s'emballe, ma respiration aussi et tout mon corps augmente sa température. L'empreinte de ses lèvres se retrouve un peu partout sur ma peau et je vibre. Je le laisse parcourir mon corps de ses mains même si... ça me fait bizarre car j'ai pas l'habitude qu'on soit si tactile avec moi de la sorte. Mais je ne dis rien, car au fond, c'est Silas, et ça me plait. « okay. » que je dis pour répondre à sa question sur la confiance. Je pensais pas qu'il serait à ce point attentif. Dans quoi je m'embarque merde ? Je me retrouve en sous-vêtements, avec ma jupe certes mais on peut voir ma culotte. Silas complimente mon corps et je fais une légère grimace. La seule chose que je supporte pas c'est ma cicatrice bien visible sur ma jambe au niveau de mon genou. C'est pour ça que je porte des bas et je ne sais pas encore si j'ai le courage de les retirer ou pas.  « attends. » que je souffle alors que ses lèvres sont sur ma poitrine. Je le repousse de ma main et je reste assise un moment en remontant la bretelle de mon soutien. « juste deux secondes. » ça va trop vite pour moi, j'arrive même plus à reprendre mon souffle. Je lève le regard vers lui et dès que j'y plonge mes yeux, toutes mes inquiétudes s'envolent. Je suis apaisée, et j'ai encore plus envie de continuer. « laisse-moi te voir... » à mon tour de l'observer et je viens timidement glisser mes mains contre ses hanches pour venir chercher son t-shirt et le retirer. Bordel de dieu de olala. il est putain de canon, je vais tomber dans les pommes c'est pas possible. Je glisse mes mains sur son torse parfaitement dessiné et je laisse même ma bouche s'écraser contre son épaule. Je comprends qu'il sait ce qu'il fait avec les filles, mais moi, je ne sais pas comment m'y prendre et je préfère y aller lentement, avec douceur et tendresse, c'est tout moi quoi.
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Si tu savais Jill que je ne ramène aucune femme chez moi. T’es une des premières, en dehors de mes amies, que je permets d’entrer ici. Tu ne le sais pas non, mais compte toi chanceuse. J’aurais bien voulu lui demander ce que voulait dire la grimace que tu venais de faire, mais j’étais trop occupé à goûter ta peau. Jill, je me fais tellement violence en ce moment pour ne pas faire comme les autres femmes. Je continue toujours à croire et à penser que tu mérites mieux que moi pour faire tes petites expériences, mais je suis en train de céder aux promesses que je me suis faite. Tu m’attires Jill et ça je n’y peux rien. C’est plus fort que moi, t’es en train de me rendre fou avec tes petites mimiques. Avec ta façon d’être. Tout ce que j’ai envie c’est de te protéger, de te montrer des facettes que cette terre ne t’as pas encore montré. Et ça commence par ce que je suis en train de te faire vivre. Mes yeux te dévorent de la tête aux pieds, désireux de te faire murmurer mon prénom, d’entendre tous ces petits soupires que je pourrais te donner. J’en deviens fiévreux, mais une fois de plus, sans comprendre pourquoi je réagis de cette façon, je te demande tes limites. Limite à ne pas franchir. Mais pourquoi suis-je comme ça? Simplement repenser à ce que ce mec au bar aurait pu te faire me donne envie de vomir. Mes lèvres devenant de plus en plus baladeuses, tu me demandes d’arrêter. Ce serait mentir si je n’ai pas un léger soupire de mécontentement. Normal en même temps, ça me plaisait ce rapprochement, mais je m’arrête tout de même, prêt à te laisser remettre ton haut. Encore une fois, tu me surprends. Oui, puisque au moment où j’allais me pencher pour prendre ton T-shirt et te le redonner, tu prends les devants voulant me voir. Mon éternel sourire charmeur refait surface. Je te laisse faire et t’aide à retirer mon t-shirt. Un frisson m’échappe, alors que tes doigts dessinent mes abdos. « Fais tout ce dont tu as envie. Expérimente, je te laisse faire. » Mais laisse-moi effleurer ta peau, la goûter, la sentir contre la mienne. Sans doute que tu aimerais que je sois à ta merci, non? Du moins, c’est ce que je peux penser. Alors je bouge légèrement et vais me coucher dos sur le matelas, ne te lâchant pas du regard une seule seconde. « Viens! » Je te tends la main pour que tu la saisisses et fais en sorte que tu embarques à califourchon sur moi. Bon, je comprends que la position peut t’intimider, mais je veux simplement te montrer que tu peux avoir le contrôle. Que tu peux faire tout ce dont tu as envie de moi. Je ne broncherai pas. J’attrape tes deux mains et les déposes sur mon torse. Tu me troubles, puisque je ne sais pas l’allure que je peux prendre. Une chose est certaine, je trouve ça beaucoup trop lent pour moi, mais ne m’attendant pas à faire grand-chose ce soir, ça s’égalise. Pour tester quelque chose, je donne un léger coup de reins, puis une deuxième un peu plus rapide, simplement pour voir ta réaction. Mes mains sur tes hanches, remontent lentement et je me redresse, venant détacher les agrafes de ton soutien-gorge, venant t’embrasser de nouveau dans le cou. Du même coup, je fais glisser une bretelle, puis l’autre, tout en te caressant les bras et le dos. « Tellement belle! » L’un de mes pouces vient effleurer doucement l’un de tes tétons durcis, mon regard toujours plongé dans le tien, te souriant pour essayer de te détendre. Prêt à arrêter à tout moment si tel est ton désir. C’est difficile, très difficile de me contrôler, par contre. Je prie simplement le ciel pour que tu ne franchisses pas la ligne de non-retour, puisque c’est certain que je ne répondrai plus de mes actes. Là encore, nous sommes tous les deux sur un chemin dangereux, mais ô combien excitant. Dans cette position où nous nous trouvons, tu peux clairement sentir l’effet que tu commences à me faire.
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J'ai chaud, vraiment chaud. Silas réveille en moi tous mes sens, des pulsions, une petite partie de moi que je n'avais pas encore explorée. Je me laisse flotter dans les airs, sous ses baisers endiablés qui accélèrent mon palpitant. Par moment, je manque d'air, je ne sais plus respirer normalement, une vague de chaleur gonfle dans ma poitrine et j'ai envie... de lui. Pour la première fois dans ma vie, j'ai envie de quelqu'un, que cette personne me touche, m'embrasse, corps à corps. Mais j'ai besoin de temps, ouais, du temps pour découvrir chaque nouvelle sensation alors que Silas, vu qu'il sait ce qu'il fait, il est beaucoup plus rapide. Je lui demande un stop, de quelques secondes, que je réalise, que je retrouve un peu mon esprit car j'ai peur que ça soit l'alcool qui me fasse faire ce genre de choses. Mais au diable la réflexion, quand je croise son regard si envoûtant, je m'agrippe à lui pour lui enlever son haut. Quel spectacle olala. Je me sens minable à côté de lui. Silas m'appelle, me tire par la main et je suis à califourchon sur lui. Une position très... dominatrice, alors que je le suis pas du tout. Mais au moins je peux faire ce que je veux de lui. Mes mains touchent son torse, comme Silas le demande et je presse mes doigts à chaque courbe de ses muscles. « j'me sens bête. » que je lui dis timidement alors que je retire mes mains pour cacher ma poitrine, fort gênée. Cette position me dérange. Je préfère que tu sois au-dessus de moi, que tu m'écrases, là où je peux être petite. Je suis surprise de recevoir des coups de bassin mais ça me fait sourire. Ma gêne s'en va peu à peu et Silas vient m'embrasser le cou, tout en dégrafant mon soutif. « tellement beau. » que je dis en échange, mes yeux qui pétillent de mile feu. Je le désire, à fond, je le sens au plus profond de mes tripes. Une nouvelle vague de chaleur s'empare de moi quand il touche le bout de mon sein. Mais plus bas... ça se réchauffe entre mes cuisses. Et je sens bien que lui aussi est excité. Je veux voir, je veux voir la bête, le loup. Je veux voir ce que ça fait quand un garçon a envie d'une fille. Après tout, il m'a dit de faire tout ce dont j'avais envie. Avec tout le courage et l'assurance du monde, j'arrive à déboutonner son jeans. Je tire dessus pour le foutre en caleçon et je fais de gros yeux. Y'a une bosse et pas une petite quoi. Pardon mais c'est le premier pénis que je vais voir de si près. Toujours en silence, et avec des gestes lents et doux, je me penche pour embrasser passionnément mon Silas, et j'en profite de le distraire avec ma bouche pour retirer son slip. Oups ? Ouais Jill, au fond t'es une coquine, tu ne le savais juste pas encore. Je n'ose pas encore toucher son membre avec ma main. Je sens juste quelque chose de chaud et dur qui frotte contre mon ventre et... qui m'excite putain. Alors je me déhanche sensuellement contre son érection tout en tirant sur sa lèvre inférieure.
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Je te laisse expérimenter. Je te laisse vivre quelques expériences avant que je prenne les choses en mains. Avec toi, je me découvre une patience que je croyais disparue depuis des années. J’aime sentir tes mains sur mon corps comme tu le fais. Si peur certaine de toi. « Eh oh… Ne te cache pas. T’es tout sauf être bête! » Que je te dis, voulant te mettre à l’aise, mais bordel ce n’est pas moi ça. Je ne sais pas comment mettre les gens en confiance. Je suis plus du genre à les repousser, mais toi… toi  c’est différent. Je me dis que si j’agis de cette façon avec toi c’est que mon subconscient te veut. Il te veut tellement qu’il en fait une obsession et que dès qu’il aura réussi à avoir ce qu’il désire, il t’oubliera et tout rentrera à la normale. Je redeviendrai normal. Ce bon vieux Silas qui enchaîne toutes les femmes qu’il désire en un simple claquement de doigts.  Parce qu’ensuite, lorsque tu auras dépassé le cap, tu n’auras plus besoin de mon aide. Tu pourras te débrouiller seule et en faire baver à tous les petits cons. Et je serai fier de pouvoir dire que c’est moi qui aie fait de toi cette femme fatale. Cette femme qui a confiance et qui peut mettre n’importe quel homme sous son influence. Tu seras mon trophée, mon bijou… ma pierre précieuse. Voulant revenir dans la réalité et arrêter d’être aussi puéril dans mes pensées, je me donne une gifle mentale et te redonne toute mon attention. Mes mains caressent les parcelles de ta peau qui me sont accessibles. Pour la première fois de ma vie, la toute première fois, je me concentre sur ses sensations que je peux te donner. Et une fois de plus, je suis subjugué. Tu ne cesses de me surprendre. Si on m’avait dit que tu allais prendre tout ton petit courage pour que je me retrouve en boxer, je ne l’aurais pas cru. Si tu regardes mon visage à ce moment précis, tu pourrais voir la fierté. Puisque mon but est atteint. Rendre à l’aise quelqu’un ce n’est pas toujours facile et te voir prendre les devants de cette façon, ne me fait qu’espérer que tu continues ainsi. J’étouffe un rire en voyant ta réaction, mais me concentre. Intrigué parce que tu vas faire, j’accueille le baiser que tu m’offres avec vivacité et envie. C’est à ce moment que je me dis que j’ai bien fait de me déplacer pour aller surveiller ce que l’enfoiré allait faire. Je me sens bien en ce moment, disons que pour l’instant, je ne voudrais pas me retrouver ailleurs. Et là le souffle me coupe. Mon sang ne fait qu’un tour, je manque même m’étouffer avec ma salive, tandis que tu te déhanches contre moi. Ma respiration s’intensifie et j’agrippe ton bassin pour le presser contre le mien dans l’espoir que tu arrêtes de bouger. Voulant reprendre contenance, pour ne pas commettre une bévue, mais ce fut l’effet inverse.
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