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De Bourlan ☆ La violence d'un acte qui détruira nos vies sans surprise

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C’est stupide, tu es pris de spasmes insupportables ne sachant pas quoi faire alors que les larmes et la solitude coulent seules sur tes joues. Tu essayes d’oublier en l’embrassant mais ça ne marche pas, et elle n’a pas l’air de t’en vouloir plus que ça. L’idée qu’elle dépose cette serviette humide sur ton corps te brûle voir même pire, cela te blesse réellement et tu as mal. Ton visage affiche la douleur mais tu évites de lui montrer sauf qu’elle le voit quand même. Cette situation est horrible, impossible pour toi de te détendre ou encore d’essayer de te calmer, mais tu sais qu’il va falloir le faire. Elle te propose une solution, une solution qui pourrait t’aider toi et tes blessures mais t’es chaud chaud à l’idée de prendre une douche maintenant. Tu hésites, tu es silencieux parce que si tu parles, tu ne sais pas ce qui pourrait sortir de ta bouche. Tu gardes tes mains dans les siennes, les serrant légèrement avant de commencer à te lever difficilement. C’était déjà compliqué avant avec ta jambe mais là, tu galères carrément et c’est insupportable finalement. Tu te tiens au canapé en avançant alors qu’elle s’en va, tu t’arrêtes. Tu l’observes chercher ses trucs bizarres plus long et quand tu la vois avec un flacon et un cachet, tu fronces les sourcils. Tu hoches la tête négativement, parce que tu peux pas prendre ça, tu peux prendre aucun médicament à part les tiens et c’est comme ça. Tu pinces tes lèvres, laissant quand même les affaires sur le canapé. En silence tu avances difficilement jusqu’à la douche et tu t’arrêtes en soufflant. Oui, tu as fait tout ça d’une seule longueur et tu as déjà du mal à respirer rien qu’à l’idée d’être seul ici. Tu observes Deirdre qui est derrière toi, comme pour te laisser de l’espace, mais tu ne vas pas supporter d’être tout seul ici. Mais c’est un autre problème qui vient se greffer à toi. Tu t’approches de l’évier, le premier endroit que tu trouves adéquate pour tousser légèrement et en laisser ton sang dans l’ivoire blanc de cet évier. Tu n’es pas bien, tu n’es vraiment pas bien et c’est insupportable d’être comme ça. Tu as déjà donné pendant ta période de sevrage ou t’as finalement baissé les bras mais là, t’es pas assez fort pour ça, pas maintenant en plus. Tu t’accroches doucement en finissant de tousser Tu .. Tu peux m’aider ? demandes-tu faiblement, très faiblement finalement. C’est un supplice ce truc et tu as l’impression de péril lentement sous les décombres de cette merde..

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Tu te défais de lui parce que ce canapé ne suffit plus finalement. Les blessures sont trop sourdes et insidieuses, il est en proie à cette lutte, intolérable pour toi. Et tu cherches à l'apaiser de tes remèdes. Qu'il refuse pourtant. Tu l'observes alors qu'il se traîne littéralement jusqu'à la salle de bains. Tu n'oses pas intervenir, tu le sais assez perturbé. Alors tu laisses l'espace s'agrandir entre toi et lui. La pièce l'accueille finalement et sur le rebord de l'évier, les gouttes rougeoyantes expient le fardeau, le mal. Tu t'approches de lui. Ta main activant le robinet d'eau pour laisser échapper l'eau, laver ce sang que tu ne peux voir. Tu passes tes phalanges sous le liquide glacé que tu viens porter à ses lèvres comme pour le calmer, apaiser le mal. Même si tu sais que c'est impossible. On ne peut pas laver ça. Il se met à tousser et te demande de l'aider. Tu hoches la tête doucement et termine de le déshabiller, son corps frissonne, se rétracte à ton contact, tu observes les plaies, les ecchymoses, les stigmates, tu souffres de contempler son corps de martyr mais tu n'as pas le temps de t'épancher, il faut agir, être forte. Tu te relèves, envoie valser tes chaussures d'un coup de pied, passe tes mains autour de sa taille pour le supporter, l'entraîne sous l'eau que tu déclenches, tiède, tu te glisses l'entraînant à ta suite. Lui nu, toi habillée, spectacle étrange, mais t'es pas là pour l'émoustiller ou quoi. Tes mains prennent le savon et tu l'observes doucement. Tu ne sais pas quoi faire. « Tu veux encore de l'aide ? » que tu murmures doucement, tes lèvres venant s'échouer furtivement sur les siennes, ne prenant guère d'attention hormis pour lui, ne voyant pas les traînées crayonneuses qui s'échappent de tes yeux incandescents, ni ce rouge qui s'efface doucement, comme ses larmes que tu ne parviens pas à faire couler, parce que c'est son mal qui te ronge, non le tien. Tu dois l'accueillir et le soulever, pas t'effondrer avec lui. Alors tes phalanges se resserrent sur le corps meurtri comme pour insuffler une force que tu veux contagieuse.
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Tu as réussi à cracher ou vomir, t'en sais rien, t'es trop pris par cet élan soudain de fatigue et de destruction de corps. Alors elle t'aide, tu arrives à t'asseoir, enfin à te tenir à ce lavabo. Elle est si gentille avec toi, si délicat que c'est bizarre mais agréable. Tes pupilles se posent sur les tiennes quand elle t'aide entièrement à te mettre sous l'eau, tu sers les poings et tes yeux se ferment fortement. Ca fait mal, ça brûle mais tu restes comme ça, la tenant fortement pour éviter de parler ou de crier Tu vas être mouiller si tu restes dis-tu d'instinct parce que c'est vrai, tellement vrai. C'est horrible mais c'est vrai. Tu viens ouvrir les yeux lentement pour la regarder la jeune femme et tu souris faiblement. Tu passes ta main sur sa joue lentement, essayant de ne pas trop grimacer et tu éteins l'eau entièrement finalement. Tu as tenu 5 minutes c'est bon non ? Hors de question de retourner sous l'eau maintenant, oui hors de question, tu ne veux pas et tu n'iras pas sous l'eau
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Elle est bien loin la Classe et Prestigieuse Deirdre ainsi échouée sous l'eau tiède. Les cheveux ruissellent, le maquillage file en larmes striées, contrastant avec la porcelaine dévoilée, les vêtements se replient sur le corps occupé à laver un Valentin pour le moins tendu et prostré. Tu ne perds rien de ton objectif pour autant et face à son silence, tu te contentes de poser le savon sur les plaies et de laver rapidement. Tu sens son emprise se resserrer sur son corps mais tu ne dis mot et reste concentrée. Car tu dois à tout prix éviter un risque d'infection. Tu as tout juste terminé lorsqu'il éteint l'eau. N'y tenant plus apparemment. « C'est trop tard mais on s'en fout. » Que tu rétorques en passant rapidement ta main dans ses boucles pour les rejeter en arrière. Tu sors aussitôt de la douche pour attraper une serviette et tu essuies son corps en le tamponnant aux endroits abîmés. « Je vais t'aider à t'allonger sur le lit, tu seras plus confortable. » que tu dis pour lui indiquer la marche à suivre. Tu attrapes rapidement les mèches brunes entre tes doigts pour les essorer, puis tu le soutiens jusqu'à ta chambre. Qu'il se repose, c'est le plus important finalement.
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Immobile dans tes songes, tu restes là sous l'eau à te demander ce que Dieu a bien pu te prévoir d'autres mais c'est pas possible, tu vas mourir demain ? Tu arrives à sortir de la douche alors que tu enfiles quand même ton sous vêtement mais elle te propose son lit pour essayer d'être confortable. Tu hoches la tête en simple question. Tu humectes tes lèvres faiblement, venant marcher seulement, difficilement, t'accrochant à elle avant de grimacer à chaque geste. Le fait de s'asseoir. Le fait de déposer tes jambes sur le lit et le fait de t'allonger. Tu es en train de mourir petit à petit. Tu n'oses même plus bouger. Tu restes là à regarder le plafond, tournant la tête vers elle simplement. Mais elle s'éloigne parce qu'elle doit aller chercher d'autres trucs et toi tu t'endors finalement sous le coup de tes blessures. Elles t'arrachent encore de la sueur froide. Elles te détruisent encore l'âme et honnêtement tu as mal à chaque mouvement que ton corps ose réaliser. Tu ne sais même pas si c'est plus simple de dormir ou de mourir ..
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Tu l'accompagnes jusqu'au lit, non sans mal, mais vous finissez par y arriver et tu le trouves particulièrement courageux franchement. Tu as envie de savoir mais clairement, il n'est pas en état de parler. Désormais allongé, tu retournes au salon pour reprendre le matériel que tu avais ressorti précédemment. Tu remarques qu'il est endormi, sans doute épuisé par cette lutte. Le corps relâche, l'esprit aussi. Et tu ne sais pas vraiment quoi faire car certaines plaies auront besoin de pansement. Tu décides donc de te changer puisque tu es littéralement trempée. Tu enlèves ta robe puis tes bas et le reste des vêtements. Tu enfiles rapidement un tee-shirt et termine de te préparer pour nuit comme il se doit. Tu reviens bientôt près de lui et observe son corps en silence, ne sachant pas trop quoi faire. Tu as mal au cœur de le réveiller là franchement. Tu le frôles de tes phalanges et ses paupières s'ouvrent à nouveau. Tu vois la sueur qui perle à son front. « T'es certain que tu veux pas prendre un anti-douleur ? » Parce que c'est pas humain de rester comme ça et encore pire de le regarder. Mieux vaut avoir mal que de regarder quelqu'un souffrir à sa place.
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La violence de ces gestes sur toi, ce n’était pas normal, rien n’était normal contre toi. Parce que t’es toujours gentil, t’es toujours doux, tu fais jamais de bruit et là c’est pire que tout. Tu succombes lentement à tes blessures dans un sommeil profond. Tu ne sais même pas si c’est normal d’avoir aussi mal, d’être aussi mal. Tu t’endors lentement, prenant à coeur tes blessures qui te rongent lentement le corps. Tu sens du mouvement, tu ne bouges pas, tu n’oses pas bouger mais ses phalanges te frôlent, tu en lâches un léger grognement. Tu ouvres tes yeux, petit à petit, ton coeur tambourine lentement dans ta cage thoracique et ta voix se fait faible Non.. J’ai pas le droit Parce que tu n’as pas le droit de toucher à d’autres médicaments, tu n’as pas le droit de toucher à autre chose. Et tu hésites un instant, tu en veux parce que tu sais que ça te fera moins mal après tout .. J’ai le droit de fumer ? Tu poses la question, tu demandes, tu n’oses pas la regarder alors tes yeux se ferment lentement une nouvelle fois pour les ouvrir de nouveau Je suis pas beau, j’ai du bleu partout mais honnêtement, tu en rigoles nerveusement. Oui, tu ris lentement et difficilement parce que tu as mal aux côtés et c’était stupide comme une blague. Enfin oui, tu as aussi fait une blague attention ..
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Il grogne entre ses dents et tu sens que quelque chose se resserre en toi. C'est indescriptible et tu ne sais pas à quoi attribuer cette sensation alors que tes billes claires se relèvent. Il t'explique ne pas avoir droit de prendre d'autres médicaments. Il prend des médicaments pour son autisme ? Sans doute et tu n'oses pas demander davantage d'explications. Il te demande du coup si il a le droit de fumer. « Une cigarette ou de la drogue ? » Parce que tu n'es pas pour la deuxième option, tu lui as déjà dit. Et en même temps, il a si mal là, que tu serais prête à n'importe quoi. Il n'ose pas te regarder, tu sens son regard qui t'évite et sa phrase t'arrache un sourire, qui s'agrandit quand il se met à rire. C'est ridicule de penser ça. « Tu es toujours beau à mes yeux. » C'est même là le nœud du problème, ce serait tellement plus simple si tu n'étais pas autant attirée par lui.
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Tu la regardes avant de pincer tes lèvres légèrement. Oui, vous en aviez déjà parlé de ça, et oui vous aviez dis non. Mais tu ne sais pas pourquoi tu as dis, tu ne sais pas pourquoi tu as osé lui demandé Oui Parce que c'est pas de la cigarette et elle le sait, c'est de la drogue que tu veux. Mais tu ne sais pas si elle sera d'accord, tu ne sais pas si elle sera d'accord pour que tu fumes réellement et en plus dans sa chambre ou pire, à sa fenêtre. Mais tu sais que tu es mieux avec, beaucoup mieux. Ton regard la fuit, tu essayes d'être normal mais c'est dur et là c'est compliqué. Tu pinces tes lèvres légèrement, venant sourire faiblement à sa remarque. Elle a dit que tu étais beau, toujours beau mais là, t'es juste horrible en fait, tu ne sais même pas si c'est normal en fait. Même comme ça ? demandes-tu alors que tu regardes ton corps couverts de bleus/rouges/violets, c'était horrible mais c'était ce que tu pensais
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Tu viens pincer ta lèvre de tes dents alors qu'il te fait cette réponse. Tu sais très bien ce qu'il veut lui. On est pas soulagé de la sorte par une cigarette. Ça fait pas disparaître la douleur. Et tu hausses les épaules alors. « Je n'ai que des cigarettes. » Et tu lui refuseras pas la drogue, t'es juste entrain de renoncer à tous tes principes avec lui. D'ailleurs, tu le trouves toujours beau oui, malgré toutes les couleurs que sa peau a prise sous les coups qu'on lui a infligé, malgré les larmes qui ont coulé sur son visage sans aucune retenue. Malgré tout ce qu'il peut être. De différent de toi. De différent des autres. « Même comme ça oui. » que tu réponds doucement en le regardant droit dans les yeux puisqu'il s'est furtivement appuyé de son regard à toi. C'est un horrible aveu, aussi faible que véridique.
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