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De Bourlan ☆ La violence d'un acte qui détruira nos vies sans surprise

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Elle est venue te voir à l'université, seule d'abord. Et vous avez parlé, enfin elle a parlé, beaucoup, toi tu as rien dis, absolument rien dit. Elle t'a parlé des attentats, elle a dit ce qu'elle avait vu et qu'elle était venue te voir chaque nuit pendant que tu dormais. Mais tu ne sais, tu n'as pas voulu savoir pourquoi elle te disait ça. Elle t'a touché la main, elle t'a touché le visage aussi mais à chaque fois tu as reculé. Zéro mot, rien, tu n'as même pas dis bonjour, au revoir parce que la politesse était importante mais tu n'as rien dis, strictement rien dis. Alors elle t'a emmené à son hôtel pour parler plus facilement, comme si le monde extérieur te protégeait, tu n'as pas su dire non, alors tu es allé avec elle, tu as marché jusqu'à cet hôtel plutôt miteux et elle t'a demandé de l'argent, beaucoup d'argent. Mais toi tu avais rien, bien trop rien sur toi. Juste 5 dollars pour prendre le bus finalement. Pas de carte. Pas de liquide supérieur à 5 dollars pour quatre tickets de bus. Pas de chéquier. Rien du tout. Parce que c'est Sophia qui gère tes comptes et tu achètes jamais rien après tout. Alors, tu ne l'as pas vu venir, tu n'as jamais su combien de temps il est resté là à faire ça mais tu as tout pris, pleurant à chaudes de larmes, essayant de te calmer, essayant d'être fort mais il t'a réouvert des plaies guérris, il t'a encore plus détruit que tu ne l'es. Puis tu es sortit, tu ne sais comment, déposer devant l'université en silence, en pleine nuit. Tu finis par avancer, lentement, trop lentement à ton gout en directement d'une adresse que tu connais trop bien. Silence ragueur dans l'âme, tu as mal partout et tu continues de pleurer face à la violence de ses gestes. Un homme et une femme qui viennent de prendre la fragilité d'un autiste qui n'a rien demandé à personne. Difficilement, tu as une envie de te laisser aller. De Pleurer, de crier, de hurler, tu as mal, tellement mal, tu es brisé, tu ne veux plus que personne ne te voit comme ça. Et tu penses à ta soeur qui a du supporter cela pendant des années, tu ne sais pas comment. Tu arrives enfin devant son immeuble, levant la tête de ton sweat à capuche avant d'avancer. Heureusement, personne ne te voit, personne ne t'a vu et tu ne veux pas que cela en soit autrement. Ton père te tuerait et elle se vengerait facilement. Parce que te toucher c'est toucher à ta soeur et là toucher c'est bien te toucher. Le plus difficile reste à expliquer ça. Sauf que tu sonnes et personne ne répond, comme si elle était encore dehors. Alors tu t'assois, en silence, venant poser la tête contre le mur en silence. Tes envies de sommeil profond jusqu'à un non réveil te transporte et c'est ce qui est en train d'arriver, lentement, contre ton gré ..


@Deirdre M. Wheelan :heaart:
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Tu as passé une bonne partie de la soirée avec Alexis. Elle a regagné le rang des Eliots. Et revoir sa silhouette parmi les Bleus te rappelle ta véritable appartenance. Parce que ces derniers temps, tu en doutes. Ces derniers temps, ton envie la plus profonde c'est de prendre le large. De te faire oublier de ton monde. De Harvard, de la Eliot, de tes amis même. Tu aurais pu opter pour une nuit parmi les tiens mais l'envie de retrouver ton chez toi est plus forte, alors malgré l'heure tardive, tu conduis jusqu'à ton domicile. Ta silhouette s'extirpe bientôt de ta voiture et une cigarette vient s'attarder sur tes lèvres. La manie devient plus régulière, le poison plus présent. Mais peu importe. Tu accueilles avec plaisir ce nuage éphémère autour de toi, contraste insaisissable entre la sombre nuit et le volute clairsemé entre tes doigts. Tu cherches la clé de ton domicile, les yeux s'abaissant à l'intérieur du sac lorsque tu aperçois cette silhouette assise, presque gisante au sol. Tu sursautes malgré toi mais reconnaît vite les traits de l'intrus. Traits abîmés, mais familiers. Tu te baisses pour échouer à sa misérable hauteur, jette la cigarette à terre, et laisse tes phalanges encadrer avec une douceur ferme le visage. « Valentin. » ta voix douce tonne étrangement, elle est animée par une inquiétude sourde et pressante entre les lettres prononcées. « Réveille-toi. » Tu n'aimes pas cette sensation qui vient torturer ta poitrine et tes entrailles, tu n'aimes pas cette... peur ? « Reveille-toi. » Parce qu'il n'est peut-être pas en état de se réveiller et alors, tu feras quoi ? Incapable. Tes lèvres se hissent aux siennes, viennent les caresser doucement puis appliquer le souffle plus fermement.  Vous êtes loin du Prince charmant et de la Belle, mais tu entretiens cet espoir irrationnel que tes lèvres le rappellent à votre monde. Mais la magie n'existe plus depuis longtemps. Elle n'a jamais existé.
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Assis par terre tel un vulgaire déchet, tu te rends compte que ton corps entier ne veut plus avancer ou continuer de vivre parce que tu as trop mal de ses coups. Il a mit toute sa force sur toi parce que tu n'avais rien sur toi. Autant dire que tu t'en veux. Tu es trop naif comme gamin, bien trop inoffensif pour penser du mal des gens et pourtant tu aurais du écouter ta soeur comme toujours, elle le savait, elle en a vécut l'expérience mais ça tu ne le savais pas. Assis devant la porte, tes yeux se referment lentement dans la nuit, cherchant u signe d'éveil jusqu'à entendre sa voix, cette voix si douce et délicate et pourtant si violente quand elle te parle. Tu as du mal à ouvrir les yeux, tu as trop mal, en plus de tes blessures de l'attentat, tu souffres vraiment. Tu sens ses lèvres sur les tiennes, ta réaction est lente et tes paupières s'ouvrent légèrement quand tu la regardes alors que tes yeux n'ont pas fini de pleurer. Les larmes s'écoulent seules pour ne pas te laisser le choix que de souffrir Je savais pas où aller .. Ta soeur t'aurait tué, elle et lui en même temps si tu étais allé chez toi. A la Winthrop House, tout le monde aurait lancé un avis de meurtre sur les personnes qui t'ont frappé. Et vivre dans la rue ce n'est pas ton délire ultime en fait. Tu te redresses difficilement pour la regarder dans les yeux, compliqué soit-il, tu as trop honte qu'elle te voit comme ça ou même qu'elle t'engueule ou même pire qu'elle se lance à la chasse aux sorcières. mais c'est plus compliqué que ça, ta mère est une tarée et ton beau père aussi maintenant et tu en es certain à 200 % juste .. Je vais rentrer .. j'aurai pas du t'embêter .. Parce que c'était aussi très stupide pour toi de venir ici et de débarquer comme ça, comme une fleur alors que tu aurais pu rentrer chez toi ou même aller à l'hôpital .. Mais c'est plus compliqué que ça ..
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Tes paumes entourent son visage abîmé, brisé, les larmes s'écoulent sur tes doigts et tu vois son regard qui s'accroche au tien mais qui veut te fuir pourtant. Il est au moins conscient et bel et bien là. Mais toi tu es juste sonnée par tout ça. Sonnée de le voir comme ça. Il se redresse, sans doute dans un élan d'orgueil bien qu'il soit bien plus à l'aise que toi pour exprimer sa tristesse, sa honte également. Tu sens ta gorge se resserrer, tu as l'impression d'un étau là entre tes deux carotides. Il ne savait pas où aller et c'est dans l'antre du démon que tu es qu'il vient se perdre. Ta main cherche la sienne, tu ne comprends pas, tout ton corps reste en alerte néanmoins et tu es attentive à lui. Mais les mots ne passent pas la barrière de tes lèvres. C'est trop difficile. Tu cherches sa main doucement que tu viens prendre dans la tienne pour la serrer. Mais il veut partir. Il n'aurait pas du venir explique-t-il et toi tu es trop nulle pour savoir comment réagir Deirdre. « Tu as bien fait. » que tu parviens à dire finalement. Le sang redevient froid. Les billes scrutent à nouveau, ramasse la logique et la raison éparpillées un peu plus tôt. Tu dois tenir. Parce que lui est en miettes. Et il a besoin de toi Deirdre. Que tu le veuilles ou non, tu l'as exposé, tu l'as initié, tu récoltes ce que tu sèmes et une part de toi est flattée qu'il revienne à toi. « Tu ne vas nulle part. » que tu dis fermement. Ta main capture ses doigts et tu ouvres ta porte de l'autre, tu l'entraînes, il n'a pas le choix. Vous entrez bientôt à l'intérieur de ton appartement. Tu allumes les lumières de soirée, plus douces que celles habituelles. Mais la vision est pire à la lumière. Tu sens une colère sourde venir nourrir tes veines. Envers ceux qui lui ont fait ça. Mais il est trop tôt. « Déshabille-toi. » que tu dis doucement. Et ce n'est pas la perversité qui anime tes mots pour une fois. Tu veux voir l'étendue des dégâts, tu veux contempler les béances, les blessures nouvelles et les anciennes ravivées. Tu veux les panser de tes mains, aussi frêles soient-elles, elles n'en seront pour le moins assurées. Le Diable est capable de prendre soin de ses damnés.
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Difficilement tu relèves la tête vers elle, elle est assise à tes côtés et tu as mal. Tu te tournes légèrement vers elle, elle arrive à te prendre la main et tu arrives à mettre ton visage dans son cou doucement. Tu as mal, tu souffres réellement et tu as l'impression de te faire marcher dessus à chaque fois que tu bouges. Complexe à décrire mais réelle en sensation. Tu finis par te redresser de façon difficile, et tu t'avances avec elle jusqu'à son canapé, l'endroit le plus proche pour s'asseoir que tu connais parfaitement. Mais une fois assis, ta tête se repose sur l'apuis tête et tu manques de mourir. Tu as grimacé tout du long, tu as encore mal, rien qu'en bougeant la tête mais elle veut que tu te déshabilles, tu vas devoir refuser ... Non ... tu hoches la tête négativement en plus pour lui faire comprendre que tu ne le feras pas, qu'elle devra t'arracher tes vêtements clairement. Mais son regard te fait peur, réellement peur alors tu détournes les yeux. Tu ne supportes pas ce côté là d'elle, ce côté si froid, si violent et tu le sens qu'elle te regarde, encore et toujours, attendant peut-être que tu commences à te mettre à nu pour voir l'état ou les dégats.. Tu es incapable de bouger mais tu capitules au bout de quelques minutes. Tu enlèves difficilement ta veste, grimaçant à chaque mouvement, ayant mal à chaque geste, parce que tu souffres vraiment et tu souffles quand ta veste en cuir s'échappe entièrement de toi. Ta chemise légèrement tachée, tu la regardes puis tu relèves les yeux lentement jusqu'à elle, tu n'oses pas imaginer ce qu'elle a dans la tête ou ce qu'elle veut leur faire.. Arrête de me regarder comme ça.. Je veux pas que tu me grondes PArce qu'elle ne doit pas le faire exprès mais son regard est glacial et tu as froid rien qu'en la regardant ..
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Tu l'observes pendant quelques secondes sans ciller. Il refuse de se déshabiller. De s'exposer. Mais tu as ce regard qui n'appelle aucun refus et tu ne bougeras pas tant qu'il n'aura pas cédé. Celui lui demande des efforts, tu perçois sa souffrance à chaque mouvement et une violence sourde vient palpiter lentement mais sûrement en toi. Tu te demandes qui a pu lui faire ça et tu sens déjà ce goût de vengeance venir naître sur tes lèvres. Il t'observe et t'implore de ne pas le gronder. Et alors tu comprends. Tu comprends qu'il perçoit cette violence en toi mais qu'il la prend pour lui. Tes épaules s'affaissent lentement et tu t'éclipses en observant sa chemise tâchée de sang. Tu te rends dans la salle de bains, te préparant mentalement à affronter un supplice. Tu sors le matériel dont tu te servais pour ton pansement et remplit une petite bassine d'eau chaude. Tu te laves les mains soigneusement et rend de nouveau dans le salon. Valentin est trop exténué de toute façon pour avoir fait le moindre mouvement. Tu t'agenouilles devant lui et ton regard se relève au sien. Tu viens passer tes doigts sur sa joue avec tendresse. « Je ne vais pas te gronder. Laisse-moi faire. » Tes doigts viennent enlever les boutons, tu peux contempler les plaies. D'une pression douce, tu passes tes mains sur ses épaules et l'invite à se pencher vers toi pour achever de retirer le vêtement. Tu vois que son dos n'est pas mieux finalement. « Je vais te soigner d'accord, mais tu vas devoir me dire Val, qui t'a fait ça ? » Parce que c'est pas humain de faire une chose pareille, tu pourrais tout simplement tuer la personne qui a fait ça. Tu prends un linge humide et tiède entre tes doigts. « Je vais nettoyer. » que tu préviens finalement. Tu appliques le tissu sur ton torse pour venir laver les plaies, plusieurs fois l'aller-retour s'effectue entre son corps et l'eau et tu contemples avec une rage sourde, le transparent du liquide prendre une teinte rosée. Ton regard se relève à lui et tu vois le trouble qui s'empare de lui. Tu n'y tiens plus. Tu viens poser ta main derrière sa nuque et laisser ton visage venir se blottir contre le sien. « Je suis là. » que tu dis doucement en venant poser tes lèvres sur la peau préservée. Tu es là oui et ceux qui lui ont fait ça vont bien le regretter.
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Lentement tu sens ton corps souffrir à chaque mouvement mais tu n'oses pas bouger alors qu'elle s'en va. Tu pourrais quitter ce monde de cette façon et silencieusement comme si de rien était. Lentement elle s'approche de toi, elle te rassure encore mais tu as trop peur qu'elle t'en veuilles. Tu renifles légèrement, venant la sentir enlever chacun de tes boutons et le mouvement avant de faire de nouveau grimacer. Tu serres les dents pour éviter d'hurler ou d'émettre un son, tu es un homme. C'était ce qu'il disait. Ce qu'il te demandait d'affirmer. Mais il n'a jamais compris. Tu n'entends pas ça, tu l'écoutes seulement, incapable de parler, alors que les larmes coulent seules sur tes joues, sans aucune retenue. Tu n'arrives pas à t'arrêter. Tu avais pourtant confiance en elle, à croire que tu es trop naif pour ça, bien trop naif pour essayer de savoir si elle se joue de toi ou non. Et lui en a profiter de cette faiblesse, du silence et même pire, de la totalité. Tu ne peux pas t'empêcher de baisser les yeux, même venir essayer ses perles te brûlent et tu n'oses pas bouger. Tu te laisses faire, grimaçant à chaque mouvement, il ne t'a pas loupé, il ne s'est pas fait prier non plus pour te briser entièrement. Sauf que tu n'arrives pas à te retenir, ou bien à t'arrêter et tu viens fermer les yeux, sanglotant contre elle, c'est impossible pour toi, c'est inhumain et c'est même irréaliste finalement.
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Il est brisé ton Prince, tu contemples les lambeaux éparses à tes pieds, les larmes qui perlent sur sa peau écorchée. Et une part de toi se brise aussi Deirdre. Tu ne comprends pas ce qui lui est arrivé, tu t'inquiètes, tu sens cette colère remuer en toi et tu as juste envie de hurler. Il vient contre toi et sanglote davantage , tu l'entoures de tes bras et vous restez comme ça un moment. Plusieurs fois tu murmures « Je suis là. » et que tout es fini. Qu'il est là avec toi et plus avec ces personnes qui lui ont fait du mal. Il ne peut pas parler pour l'instant, tu le sens et il ne veut pas en parler s'exposer d'ailleurs puisque c'est à toi qu'il est venu et non pas à Juan ou sa sœur. Tes lèvres viennent cueillir l'eau salée gisante sur ses joues puis tes doigts effacent leurs traces à jamais gravées pourtant. On ne peut pas effacer ce genre de choses et tu le sais. Tu ne le sais que trop. Tu viens poser tes lèvres de nouveau aux siennes doucement puis tu poses tes billes claires dans les siennes bien plus sombres. Tes mains encadrent son visage. « Ecoute-moi Valentin. » Tu ne lâcheras pas ton emprise tant que tu n'auras pas obtenu un regard de sa part, signe de ton attention. « Je vais te soigner ok ? Et t'es pas obligé d'en parler tout de suite, mais faudra le faire plus tard, faudra me dire, c'est trop grave ce qu'ils t'ont fait. » Et tu relâches ton éteinte pour venir saisir les compresses, tu sais pas si il pourra te parler et t'en crèves à l'avance parce que t'es impuissante, tu peux rien faire pour lui, rien faire pour le réparer, et t'en veux à la terre entière pour ce qu'ils ont fait.
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Elle est si douce et délicate avec toi, elle fait attention à chacun de ses mouvements sur ton corps et pourtant, tu as mal vraiment mal.. Tu restes là, à sangloter malgré l'envie suprême de te calmer, sauf que c'est impossible, c'est trop dur, c'est trop difficile. Ton coeur bat rapidement et tu baisses la tête rien qu'à l'idée de devoir lui parler de ça. Parce qu'elle veut savoir, elle veut tout savoir. Etrangement, tu penses que cette idée va partir de sa tête, elle va s'envoler comme toutes les idées que tu peux avoir mais non. Elle va rester encrer en elle. Tu viens relever ton visage vers elle, baissant les yeux une seconde vers ses lèvres pour l'embrasser. Quoi ? Tu as entendu dire que ça pouvait leur faire oublier certains trucs si elles couchent avec des hommes non ? Stupide ? Ouais comme d'habitude avec toi. Mais c'est la seule idée qui te vient à l'esprit là maintenant. Mais tout ça c'est pas toi, c'est trop compliqué pour que ce soit toi. Tu ne sais pas ce qu'il t'a pris de l'embrasser de cette violence, de cette délicatesse et de cet envie alors que tu ne veux rien faire à part pleurer Pardon tu as du mal à parler, c'était si faible et si incompréhensible que tu 'noses plus la regarder maintenant. Tu sens néanmoins encore sa force sur toi ce qui te fait grimacer légèrement. Tu dois l'avoir dans la peau maintenant non ?
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Tu vois qu'il ne peut rien faire, les larmes coulent seules et toi tu ne sais pas par où commencer pour débarrasser son corps du sang et des plaies. Il est incapable de te parler et l'inquiétude te gagne mais tu ne montres rien. Tu restes forte parce que c'est ce que tu sais faire de mieux Deirdre. Il vient t'embrasser à nouveau puis s'excuse. Tu passes ta main dans ses cheveux en le regardant tendrement. Une vraie louve apprivoisée. « Ne t'excuse pas. » c'est à eux de le faire, elle, lui, t'en sais rien mais tu te jures intérieurement qu'ils demanderont pardon et à genoux. Tu tentes de nettoyer encore son corps mais tu souffles. C'est compliqué.« Le mieux serait que tu ailles sous la douche. Je pourrais désinfecter ensuite, panser, et tu pourras t'allonger. » Mais tu sais qu'il a du mal à tenir debout, que chaque mouvement est pénible. « Tu penses que tu pourrais faire ça Val ? » Tu prends tes mains dans les siennes doucement, toujours agenouillée, tu relèves ton visage vers le sien. C'est une image étrange de te voir si forte mais soumise et lui de sa hauteur brisée qui te regarde. C'est une belle image en fait. « Quand tu seras prêt. » que tu dis doucement. Une lueur passe dans tes yeux néanmoins, et tu te redresses. « Attends. » Tu te lèves et te dirige vers un coin de la pièce, celui où tu ranges toutes tes affaires de botanique et compagnie. Tu en sors un anti-douleur et un autre naturel que tu as confectionné dans une fiole. « Prends ça. » tu lui tends le flacon et le cachet. « Fais-moi confiance. » que tu dis doucement. Étrange sorcière que tu es.
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