Happy Saint-Valentin My Love | Andrelyne

Elle m'explique alors ce qu'il lui était passé, je fronce le regard, non mais cette maison n'est plus ce que c'était ou comment ça se passe? j'ai limite plus envie qu'elle y remette les pieds. Pourquoi kidnapper une mère de famille merde. Les personens qui ont fait ça sont vraiment des imbéciles en faite. C'était abusé. Je l'a regarde lorsqu'elle me dit qu'elle n'était pas seule et qu'il y avait avec elle d'autres présidentes. "Sérieusement... Les connards qui ont fait ça n'ont pas de cerveaux ou ça se passe comment?? C'est ridicule! Qui a fait ça vous avez des idées? Histoire que j'aille lui toucher deux trois mots" J'étais énervé, on touche pas à ma putain de fiancée merde! Je fus assez surpris de savoir que c'était Hadès qui était venu les libérer. Il a quand même un peu de bien au fond de lui ou quoi? Il commence enfin à se resaissir? C'est bien, il a mis du temps. "Clairement? Je vais plus jamais te laisser y aller..." Je l'a prend contre moi en l'embassant sur le front, je ne veux pas la perdre bêtement. Puis elle est bien ici non? Après tout elle peut aussi ravailler sur les problèmes de Eliots à distance non? Au pire De Belgique garde la baraque pendant ce temps là. Non là c'est mort, je suis trop protecteur pour la laisser partir. Si seulement j'étais adpte à marcher. "Passer du temps en famille, j'aime l'idée. J'ai même envie qu'on se barre loin de ce bordel. Loin de Boston et de ces attentats qui peuvent nous retomber dessus, loin de la Eliot et leur sécurité merdique. Loin d'Harvard. " Je passe mon nez sur le nez ne la quittant pas du regard. "Hum... Tu me coupes les cheveux tous les ans..." Je rigole en tirant la langue. "Mais je suis d'accord." Je me redresse alors sur le lit pour me lever. Difficilement certes mais j'y arrive. Encore... 2 mois avec cette jambe dans le plâtre. Ca va être d'un long. Puis surtout cette cicatrice me tire. Je pose ma main sur mon ventre en grimaçant rapidement sans que Aymalyne y fasse attention. "Go dans la cuisine?" Je prend mes béquilles qui était posée avant de me lever complêtement.

Je me lève en me redressant chopant mes béquilles, on part tous les deux directions la cuisine. C'étit quand même le moment de profiter de cette petite journée n'est ce pas? Notre fille dort, donc je suis tout seul avec la femme de ma vie et ma future femme surtout. Comment vous dire que je suis le plus heureux des hommes. Elle marche à mes côtés comme si j'étais un homme normal, un homme simple malgré les blessures des attentats qui sont encore présent. Ca va quasiement faire 1 mois et j'ai toujours des cauchemars sauf lorsqu'elle dort près de moi car je l'aime? C'était surement ça, elle m'apaise en faite. Quand elle est avec moi, tous les soucis sont comme partis, ils n'hesistent plus. Il y a juste nous et notre vie de jeune parents, plus nos moments un peu plus sexuel. Je m'installe sur le plan de travail et lorsqu'elle se retourne pour aller chercher un truc, je l'a tire par le bras pour la faire revenir pour l'embrasser avec tout mon amour. J'adore quand elle rigole comme ça, quand elle se laisse faire. C'est juste génial. Mon coeur bat plus vite. Ma main fini au niveau de sa nuque alors que je l'a colle un peu plus contre moi. "Hum.; Allez.. Va chercher ce que tu pensais prendre.. Désolé du contre temps." Je lui fais un clin d'oeil tapotant ses fesses en rigolant. On est vraiment des ado ça fait peur. J'apprécie. Est-ce que je l'a mate? Oui clairement... Je passe ma main dans ma barbe l'air de rien en passant ma langue sur ma lèvres. "Qu'est ce qui m'a mis une femme aussi belle sur mon chemin?" J'ai pensé à haute voix là?

Si tout aurait été prévu comme je le voulais à l'époque de Yale, on serait déjà marié, on aurait déjà au moins 2 enfants et des grands, ils iraient à l'école... On aurait déjà notre vie toute tracée mais voila, hélas, j'avais merdé mais cela m'a appris des choses et maintenant je ne veux plus la perdre. Pendant 6 ans il manquait une partie de moi, et cette partie c'était elle, nous. "Crois moi.. Je veux pas attendre non plus." Je l'embrasse à nouveau tendrement la collant à moi. C'était nous et notre couple le plus important à mes yeux. Clairement, ma famille était la première dans mon coeur, même si j'ai énormément de travail ou autre ils passeront toujours en priprité et ma fille dès qu'elle aura un soucis, je serais le premier sur place. Je vais tellement la protéger quand elle sera plus grande vous n'êtes pas prêt. Mon regard amoureux se pose sur elle, dans ses yeux, je bouge une mèche rebelle qu'elle avait derrière son oreille. "Des fois je rêve de nous, toi en jolie robe arrivé dans l'allée de l'église. Magnifique, rayonnante comme toujours. " Jai tellement envie de dire "oui je le veux" en la voyant, faire envie ma vie avec elle, même si on habite ensemble et qu'on a une fille. Mais que tout cela soit officiel. Qu'on arrête de nous prendre la tête car nous sommes pas mariés. Que je puisse enfin l'appeler ma femme. Même si elle ne portera pas mon nom de famille à proprement dis... Dans ma tête ça le sera.

Je rigole en l'entendant. "Oh mais oh je suis un homme honnête moi. Ces rumeurs sont tous ridicule. J'aime une femme et j'en regarde qu'une. Elle s'appelle Aymalyne Strauss." Je souris alors que l'embrasse en posant ma main sur sa joue. Mon regard tendre se plonge dans ses yeux. Elle avait ce sourire qui me rend fou, elle était rayonnante aujourd'hui. Ca faisait je pense officiellement qu'on était ensemble où tout avait réellement commencé alors oui moi aussi je suis le plus heureux. Malgré ma posture après ces attentats qui sont tombés très mal. "Bon aller tu me fais cette coupe..." Je rigole alors que je m'installe sur une chaise en la regardant même si la tout ce que je veux c'est qu'elle vienne sur mes genoux, j'avais besoin de la prendre dans mes bras et de la serrer. Un instant au calme avant que notre petite puce se reveille de sa sieste. Ca va nous remette la réalité des choses à ce moment. La vie de famille. Même si clairement c'était elle que j'ai toujours voulu et souhaité avec elle.

Alors qu'elle s'installe sur mes cuisses après m'avoir coupé les cheveux, je passe mes bras autour d'elle. Mon regard se plante dans le sien. Je souris, ces moments complices remplis d'amour c'est ce dont on avait besoin. Dire qu'ici quelques mois elle sera mienne. On aura tous les deux une alliance, symbole de notre amour. Bon j'avoue dans mon immagination je voyais surtout notre fille avec ses magnifiques cheveux blond arriver avec les alliances en marchant. Mais clairement je n'en pouvais plus d'attendre et je voulais qu'elle devienne ma femme, la mienne. Qu'on forme un nous. Surtout qu'oncloue le bec à toutes les personnes qui pensent que notre amour ne sera jamais. "Je voudrais que cette journée s'arrête là. Qu'elle bloque, qu'on reste comme ça.." Dis-je alors que je lui caresse le dos en souriant la collant un peu plus contre moi faisant une légère pression. C'est à ce moment où j'ai pas envie que ma fille se réveille car j'ai bien des idées derrière la tête on va dire. Je l'embrasse dans le cou plusieurs fois sagement. Je ne sais pas si elle avait les mêmes envie que moi mais pourquoi pas non?