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June & Bat | Un soir comme les autres...

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Le jeune homme embrassa June dans le cou avant d'aller attraper les mains de la demoiselle avec les siennes il les posa au dessus de la tête de June avant d'aller reprendre les menottes qui était dans la poche arrière de son jeans, il lui susura a l'oreille, " J'ai très envie de jouer avec les menottes moi ce soir!" Le jeune homme attacha un main de la jeune femme avant d'attacher la seconde en passant les mailles dans le cadre de son lit, il redescendit ses mains le long des bras de la jeune fille avant de continuer à l'embrasser, il l'embrassa tendrement avant de s'éloigner d'elle en souriant, il s'assit a côté d'elle en souriant, attendant une réaction de sa part du mécontentement, de l'envie n'importe quoi mais il voulait savoir ce qu'elle resentait d'être ainsi, se disant qu'il interdirait a Grace d'utiliser des menottes avec un inconnu, car après tout elle était un peu voir même beaucoup a sa merci, heureusement que le jeune homme était un gentil!
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    J’avais commencé à descendre ma main dans son pantalon lorsqu’il me dit qu’il avait très envie de jouer avec les menottes, pourquoi pas, c’était une nouvelle expérience mais je ne disais pas non, je devais bien m’en servir un jour et puis Batiste avait l’air curieux de voir ce qu’on pourrait faire avec ça. Je me laissais donc faire en présentant mes mains près des barreaux du lit, je lui répondis avec un petit sourire : « Oh oui, fais de moi ton esclave ! ». Je me mis à rire avant de prolonger le baiser quand il s’éloignait de moi je ne comprenais pas du tout ce qu’il faisait ! Il avait l’air assez excité et là il jouait le mec froid assis sur le lit qui ne voulait plus de moi. Je me redressais un peu dans le lit en le poussant avec mon pied : « Y a un problème là ? ». Tout ce que j’espérais c’est qu’il me laisse pas en plan comme ça au beau milieu du lit alors que je commençais sérieusement à avoir envie de lui et que j’étais en mal d’amour. Je ne comprenais pas pourquoi il avait fait ça, je finis par lui demander : « C’est quoi ton délire espèce de pervers ? ». Oui je devais peut être pas l’insulter maintenant mais je me demandais qu’elle était ce plan débile, j’étais prête à tout accepter mais pas qu’on me traite comme son chien non plus à être attaché dans un lit sans pouvoir bouger pendant des heures et surtout…sans sexe.
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Batiste laissa son pantallon ouvert avant d'aller se prendre une cigarette, il ouvrit la fenêtre de la chambre de la jeune femme. Bat la regarda attachée dans le lit, comme une victime d'un viol, il n'aima pas du tout les propos de la noirette. " Non ,je ne resents rien a te voir attaché ainsi, si tu veux tout savoir! J'ai juste pas envie de baiser se soir... mais j'ai une mauvaise nouvelle pour toi, je n'ai aucune d'idée d'ou tu as pu mettre les clefs des menottes, je ne sais même pas te détacher." Le jeune homme tira une fois de plus sur sa cigarette avant de la finir et de chercher son t-shirt, il le lança qur le lit de la jeune femme en souriant doucement. " Je te le laisse en souvenir, de cette folle nuit de débauche!" Je jeune homme enfila sa veste ensuite ses chaussures avant de s'approcher de la jeune femme pour lui poser un bisou sur le front en lui remettant bien les cheveux en place.
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    Là faut avouer que j’avais du mal à comprendre, je ne comprenais même rien. Il y a quelques minutes encore on été sur le point de coucher ensembles et là il venait de ma lâcher comme une merde en me disant qu’il n’avait pas envie de baiser. Mais merde ? C’est quoi mon problème avec les mecs, même pour un soir ils ne veulent pas de moi ! Je me sentais vraiment nul ! Je le regarde avec un air à la fois surpris et blasé : « Comment ça tu ne veux pas coucher avec moi ? Mais tu ne vas pas me laisser comme ça ? Tu ne peux pas laisser une femme en détresse à moitié à poil dans son lit sans prévenir personne ! Non ! C’est inhumain ». Surtout une femme enceinte mais je n’avais envie de rajouter ce détail au cas où je l’intéressais encore un minimum. Il me balançait ensuite son t-shirt à la figure et vint m’embrasser me faisant comprendre qu’il partait. Mais là, je le laissais pas faire, il ne pouvait pas partir comme ça en me laissant dans la merde, j’approchais alors mon visage du siens avant de lui donner un bon coup de boule dans la figure. On voyait clairement que j’avais fait de la boxe. Je lui répondis après ça comme presque fière de moi : « Tu vois même sans mes mains je suis douée ! »
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Batiste sourit a la jeune femme quant elle l'implora quelle que peu. " June, je t'apprécie, mais la j'ai pas envie du tout, ca doit être l'alcool, j'ai trop bu! Et biensure que si je vais te laisser là!" Le jeune homme s'approcha donc pour lui donner un bisou sur le front avant de se prendre un coup de boule, son arcade s'ouvrit sous le coup, il fut un peu sonné, mais sourit a la jeune femme, avant d'aller prendre un mouchoir pour faire pression sur son arcade. " June, tu pensais quoi en faisant ca? Non mais franchement, que je te frappe? Je suis un homme classe moi, mademoiselle, la violence, ne sert a rien du tout dans ma vie...Prend soin de toi, je passerais surement un jour à la Taverne pour te faire un coucou!" Batiste la regarda dans les yeux en se tenant toujours l'arcade sourcilière, il n'était même pas fâché, ni amusé d'ailleurs il était balsé de s'être prit un coup!
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    Je le regarde alors stupéfaite, pour moi ses justifications ne sont pas des raisons valables pour laisser sa partenaire menottés au lit. Je ne comprends pas ce qui se passe mais je suis bien fait encore une fois, moi et les hommes, c’est vraiment la catastrophe. Je lui réponds alors, décontenancé : « Okay, on ne couche pas ensemble mais détache moi au moins, merde ! T’as pas le droit de me laisser comme ça, ça peut être de la non assistance à personne en danger, je peux porter plainte je te signale ! ». Oui, je savais très bien qu’aux états unis c’était très facile de porter plainte contre quelqu’un et je comptais bien le menacer avec ça. J’avais finit par lui mettre un coup de boule mais je ne m’étais pas rendu compte que j’avais été aussi violente, je ne voulais pas vraiment lui faire mal, juste l’assommer un peu pour qu’il revienne à la raison. Je lui criais alors : « Non mais toi un homme classe, tu te fous de ma gueule ! Ah ouai passe à la taverne, tu seras bien mal reçu, je te servirais pas c’est or de question…croise plus jamais ma route ! ». J’étais énervé contre lui et si j’étais à sa place je ne jouerais pas le malin. J’essayais de bouger dans tous les sens mais c’était impossible, mes menottes me faisaient même mal aux poignets.
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Surement, et alors il serait poursuivi pour non assistance, mais a quoi? A rien du tout, et puis les avocats de sa mère se ferait une joie de le défendre. C'était un mather, il ne craignait pas du tout les tribunaux, car il n y avait jamais mit les pieds et s'en moquait légèrement. " June arrête tes arguments s'il te plait, tu m'as traitée de pervers! Mais si tu veux vraiment me poursuivre fait le, je pars au urgence de suite pour avoir un papier pour agression, coups et blessures! Réfléchi bien ce que tu veux!" Il lui fit un clin d'oeil avant qu'elle ne se remette a parler, elle ne le servirait pas a la taverne, pourquoi est ce qu'il était aussi sure d'être servit au bar, une serveuse qui refuse de servir un client, qui a le plus a perdre? la est la question et la réponse est la serveuse. " Oh, depuis quand une serveuse refuse de servir un client qui flambe son argent n'importe ou!" Batiste jeta le mouchoir sanguinolant
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    Je soupirais après qu’il m’ai dit que je pouvais être également poursuivis en justice, il n’avait pas tord après tout mais moi à la différence de lui j’attendais un bébé et si il faisait quelque chose de mal à mon enfant, il allait en entendre parler pendant longtemps. Je lui réponds alors, comme crachant la vérité : « Sauf que moi je suis enceinte et si il arrive quelque chose à mon bébé par ta faute je peux te dire que tu entendras parler jusqu'à ma mort, si tu veux avoir la mort d’un bébé sur ta conscience c’est ton problème ! ». Okay je n’y allais pas mains mortes mais depuis que j’étais enceinte j’avais déjà mal au ventre alors si il se passait quelque chose de plus grave je n’hésiterais pas à dire que c’est sa faute. Je me mis à rire lorsqu’il m’affirmait que j’avais l’obligation de le servir. Non, je pouvais très bien le faire servir par une collègue : « Tu me connais mal, quand je décide de quelque chose je m’y tiens. Tu viendras mais je te servirais pas, jamais ! Je veux pas servir quelqu’un qui se croit au dessus de tout juste parce qu’il a un peu d’argent ! ». Je poussai le mouchoir qu’il m’avait envoyé puis le poussait de mon lit avec le pied : « Dégages imbécile, je veux plus jamais avoir à faire à toi ! ».
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Batiste resta béa de savoir qu'elle était enceinte, enfin non surtout de la façon dont elle l'annonçait la tout de suite, mais il décida de ne rien faire. " June, promet moi de ne pas l'appeller Batiste, ni Nino, ni Alexander...Je voudrais pas que tu penses trop a moi! " Le jeune homme continua de regarder la jeune femme, avant de se dire qu'elle ne risquait rien quelqu'un se soucierait bien de son état, et puis il n'allait pas la laisser enfermer dans sa chambre la porte allait être ouverte et entre ouverte peut-être même grande ouverte, il s'en moquait, sa plaisanterie n'allait faire aucun déga et puis au pire il pourrait toujours repasser voir si elle était toujours attaché, c'était une bonne manière de la revoir. " Bon je reviens demain, a dix heures, soit dans sept heures, si tu es encore là...Je te détache, mais ne t'inquiète pas, je laisse la porte ouverte derrière moi!" Batiste se prit un bon dégage imbécile, c'était encore super symaps, il aurait pu se prendre vraiment pire comme insulte. " June, j'adore quand tu me parles avec tant d'amour!" Batiste alla se prendre un verre d'eau.
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    Je fus choqué quand il me répondit qu’il ne fallait pas l’appeler Batiste ou l’un de ses prénoms. Bien sûr que je ne ferais pas cela étant donné que je détestais le jeune homme avec qui j’avais fait connaissance un peu plus tôt. Je lui répondis pratiquement en hurlant tellement j’étais en colère contre lui : « Faudrait que je sois vraiment folle pour appeler un enfant comme toi, je ne veux pas que mon fils devienne comme toi c'est-à-dire un petit salopard qui ne respecte pas les femmes au point de les attacher au lit. C’est user des faiblesses des autres et ça, je ne le supporte pas ! ». Oui car franchement on ne pouvait pas dire que j’étais en position de force, attaché sur un lit à ne rien pouvoir faire. Je me demandais comment j’avais pu faire confiance à ce type au point de l’emmener chez moi et de lui montrer tout mes accessoires, y avait vraiment un truc qui n’allait pas dans ma tête. Il m’informa un peu plus tard qu’il laisserait la porte ouverte, je savais bien que quelqu’un de la lowell house finirait par venir me chercher car j’avais la voix qui porte. Je le fixai alors méchamment puis lui répondis : « Tu veux une médaille pour ça ? ». Je me mis à rire lorsqu’il me répondit qu’il aimait quand je lui parlais avec tant d’amour, c’était bien sûr un rire plus nerveux et sadique qu’autre chose. Je m’approche un peu de lui avant de lui mettre un coup de pied bien placé dans l’entre jambe : « Tu aimes aussi ça ? ». Au moins j’aurais la satisfaction de ne pas le voir coucher avec une autre fille que moi ce soir. Il finit par partir et je le gratifiai d’un : « Adieu ! ».
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