Dynya Come with me in a child's world. w/ @Anya Harrison — Paris, février 2019 Le problème avec les plaisanteries, c'est qu'on a du mal à savoir si le fond est sérieux ou non... Et c'est pour ça que je ne voulais pas le dire, parce que je suis comme toi, que j'aurais réagis de la même manière. Seul un léger sourire en coin s'étire lorsque tu affirmes être ma propriété désormais, le doute m'envahissant ne me faisant pas franchement rire, me demandant si tu te fous de ma gueule ou si c'est vraiment ce que tu penses alors que j'évite toujours ton regard. Je t'entends à peine me répondre que mes mots te font plaisir, ce n'est que lorsque tes lèvres se posent sur les miennes que je finis par prendre sérieusement tes intentions. Est-ce que ça va trop vite ? Je ne sais pas, je ne calcule rien du tout, je profite juste de ce qui se passe entre nous présentement sans réfléchir au futur. Te libérant pour te laisser avancer et entrer dans l'attraction, je peux sentir à quel point tu fais beaucoup moins la maline que tout à l'heure. Le sourire il est sur mon visage désormais, il est trop tard pour faire marche arrière, on fera Peter Pan si tu le souhaites, mais on doit d'abord affronter la Tour de le terreur. "Si tu pleures pas, tu auras le droit à un nouveau bisou !", promettais-je à la jeune femme assis à mes côtés pour la motiver un peu alors que je répétais aux mecs louches près de de nous: "Pas touche les mecs ! C'est la propriété de Mr Thomas le futur écrivain à succès !". Non mais quel vantard sérieux... Bon ça démarre ce truc où on reste planté là ?
non mais ouais, c’était vraiment nul comme excuse. sauf que c’était la seule chose que j’avais trouvé sur le moment pour me sortir de là. pour qu’on fasse demi tour et que je ne supporte pas le coup de l’ascenseur mais.. visiblement, ça ne marchait pas. « c’est moche de faire ça » ce genre de chantage là comme ça. et ça se voit à l’air boudeur que j’aborde que ça ne me plaît pas vraiment. que je ne suis pas ravie de tout ça. « idiot » que je souffle juste avant que tu ne fasses ton sketch face aux acteurs présent. « j’aime quand tu dis ça » que je suis ta propriété. est-ce que c’est sérieux au moins ? j’ai pas le temps de poser quoi que ce soit comme question que le film d’entrée démarre. l’explication sur l’hôtel, sur le pourquoi du comment et c’est parti. la machine monte encore et encore jusqu’à ce qu’on soit capable d’apercevoir l’étendu du parc. c’est là que je viens chercher ta main parce que je sais que ça ne va pas tarder. c’est une fraction de seconde mais ça donne l’impression que notre coeur va se décrocher. j’ai même pas le temps d’hurler, j’garde les yeux fermés, crispés comme jamais. et finalement, les portes s’ouvrent. « vas y, moque toi » je sais que tu vas le faire. ça se voit sur ton visage que t’attends l’occasion pour jeter les piques. moi, j’quitte l’attraction rejoignant l’extérieur avant de faire volte face vers toi. « j’te signale que j’ai pas pleuré » et que du coup, rien que pour ça, tu m’es redevable. fallait pas faire de promesse là-dedans.
Dynya Come with me in a child's world. w/ @Anya Harrison — Paris, février 2019 Est-ce étrange de partager une telle complicité avec une personne en si peu de temps ? Je me suis posé la question après notre séjour bien trop court à Copenhague, commençant à me demander ce qui se passait réellement entre nous, mais je ne suis parvenue à aucune réponse. Est ce que j'en cherchais vraiment d'ailleurs ? Jolie Anya se plains de mon chantage, c'est vrai que ce n'est pas le genre de méthode que tu pourrais employer pour m'extorquer quoique ce soit, ce n'est pas du tout ton genre. J'aime le fait que tu apprécies d'être ma propriété, même si le terme semble un peu excessif, le sens l'est beaucoup moins. Le film démarre et le silence s'installe entre nous alors que l'ascenseur se met à grimper, donnant l'impression qu'il ne va jamais s'arrêter. Au sommet, je sens ta main se poser sur le dos de la mienne que je tourne pour entrelacer nos doigts et affronter cette épreuve ensemble. Dans la descente, je ne fais clairement pas le fier non plus, j'ai juste le temps de jeter un oeil à la jeune femme assise à mes côtés qui ferment les yeux et je sens la forte pression sur ma main. "Me moquer ? Moi ? Je ne fais jamais ça !", m'exclamais-je alors que le sourire sur mon visage avouer une tout autre vérité tandis que je suivais la brunette qui sortait de l'attraction avant de se retourner vers moi pour réclamer son dû. "Ah ça tu ne l'as pas oublié !", dis je avant de m'approcher, laissant mes doigts se poser sur sa joue et de laisser mes lèvres trouver tendrement les siennes pour un baiser bien moins chaste que ce smack d'il y a quelques minutes seulement. Restant à quelques centimètres de son visage, je ne trouve rien d'autre à dire que: "On se le fait ce Peter Pan ou pas ?".
je ne suis clairement pas du genre à oublier. encore moins quand ça m’intéresse autant. et j’ai aucune idée d’à quoi on est en train de jouer. probablement même que l’on pourrait finir par se brûler à trop tirer sur la corde mais.. dans le fond, je crois que toi comme moi, on a besoin de se libérer un peu. des relations nocives, de tout ce qui fait que c’est parfois un peu trop dur de se lever le matin. et si on est bon à se soulager, pourquoi passer à côté ? « j’oublie jamais » encore moins ce genre de chose. et je souris bêtement quand tu t’approches de moi, juste avant que tes lèvres ne viennent danser avec les miennes pour un échange bien plus prononcé que le précédent. dans tous les cas, tu t’es pas fait prier. est-ce que ça veut dire que tu en avais autant envie que moi ? et si c’est le cas, est-ce que c’est totalement innocent ? est-ce que ce n’est rien d’autre qu’un baiser perdu au cours d’un défi ou plus que ça ? j’souffle un coup quand tu te détaches de moi, approuvant d’un signe de tête. « plus tard, il est dans l’autre parc. » j’regardais autour de moi, ma main venant attraper la tienne l’air de rien. « par contre, y a ratatouille pas trop loin » et disons que pour des âmes enfants, il était plutôt sympa à faire. manquait plus qu’à prier pour que la file d’attente ne dépasse pas l’heure. c’était dingue le succès de cette attraction d’ailleurs. « faudrait qu’on aille chercher un programme aussi pour connaître les heures des parades » comment ça j’connais le fonctionnement de disney par coeur ? not guilty.
Dynya Come with me in a child's world. w/ @Anya Harrison — Paris, février 2019 Serait-ce notre premier vrai baiser que nous venons de vivre Anya ? Je ne saurais le dire parce que je ne sais tout simplement pas ce que nous sommes l'un pour l'autre, ce que nous sommes en train de devenir. J'en ai finis de me prendre la tête avec ce genre de question depuis ma dernière déconvenue amoureuse, je vis l'instant présent, Carpe Diem comme disais ce bon vieux Horace. L'autre parc ? Je ne savais même pas qu'il y avait plusieurs parcs, un signe de plus qui montre à quel point j'ai organisé ce petit petit séjour à Disney au dernier moment, juste pour te faire plaisir, et parce que j'en avais très envie aussi, je l'avoue. Ta main se glisse tout naturellement dans la mienne et ça ne me choque même pas, je me laisse faire, t'écoutant m'expliquer la suite du programme, découvrant avec un sourire légèrement moqueur que je dissimule à peine que la jeune femme connait sur le bout des doigts le fonctionnement du parc. "Va pour Ratatouille alors !", dis-je sans ôter ce sourire sur mon visage tandis que le petit bout de femme prends les commandes, un tempérament que j'ai déjà pu découvrir chez elle, petit gabarit mais gros caractère quand elle veut. La façade du restaurant, porte d'entrée de l'attraction, s'offre à nous et par chance, la file d'attente se veut très courte. "Tu vas avoir peur dans celle-là aussi ?", demandais-je à Anya à qui je tenais toujours la main pendant que nous pénétrons dans l'attraction qui devrait être tout de même moins effrayante que la précédente.
et peut être que j’ai l’air juste un peu trop enjouée. j’sais pas si c’est l’effet du rapprochement que l’on vient d’avoir ou si c’est juste que disney, ça m’a toujours un peu trop emballée. dans tous les cas, je donne probablement l’impression d’être une pile électrique et si je m’écoutais réellement, j’serais prête à te faire courir dans tout le parc pour qu’on ait le temps de faire deux fois chaque attraction. « t’as fini de te moquer ? » que je ronchonne en secouant la tête. non mais parce que clairement, c’est une attraction pour gosse ça, rien à voir avec la tour de la terreur. bien sûr que j’vais pas flipper dedans, c’est pas non plus comme si c’était un truc à sensation. on se ballade juste dans les cuisines de rémi et le moment le plus « stressant » est quand on reçoit une bouffée de chaleur en passant sous la gazinière. je crois que je devrais pouvoir survivre à ça. « je te signale que tu faisais pas le malin juste avant » non mais parce que c’est bien beau de vouloir jouer le mec plein de testostérone qui n’a peur de rien mais j’pourrais parier que t’étais à deux doigts de tomber dans les pommes. et on prenait place dans la petite nacelle qui nous ferait la visite des cuisines, attendant sagement que l’attraction se lance. « on passe tout le week end ici ? » que je demandais finalement. non mais parce qu’en soit, à la seconde où j’avais vu le parc se dessiner devant moi, j’avais arrêté de réfléchir et d’écouter ce que tu pouvais bien dire. sorry ? de toute manière, j'avais toujours été bien trop distraite comme nana. c'était pas nouveau et si on continuait à passer autant de temps ensemble, t'allais finir par t'en rendre compte tout seul.
Dynya Come with me in a child's world. w/ @Anya Harrison — Paris, février 2019 Malheureusement non ma belle, ce n’est que le début, la moquerie est mon passe-temps préféré. Seulement parce que ça me plait de voir ta petite bouille de ronchon, que je trouve ça mignon. “N’importe quoi… Je n’ai pas eu peur du tout !”, fis-je fièrement, mentant éhontément sans la moindre gêne. Parce que oui Dylan, tu peux le cacher autant que tu veux, cette Tour de la Terreur a quand même réussis a te faire flipper. Et il semblerait que cela n’a pas échappé à la jeune femme. Prenant place dans la nacelle aux côtés de cette dernière, tu souris à sa question parce qu’il te semble lui avoir déjà dit non ? L’émotion d’être en ma compagnie te ferait-elle perdre tes moyens Anya ? “Ouais tout le week-end ! A moins que tu t’ennuies déjà ?”, lançais-je dans l’espoir que ce ne soit quand même pas le cas ! Une telle réponse me refroidirait violemment et j’aurais beaucoup de mal à le croire. Parce que depuis le début de la journée, c’est plutôt l’effet inverse en ce qui me concerne, j’apprécie ta présence à mes côtés et j’aimerais que cela dure un peu plus longtemps que deux petits jours. La nacelle démarre son voyage dans les cuisines du Chef et de son petit rat gourmet et je profite de ce moment pour sortir le plan drague le plus vieux du monde, baillant exagérément pour étirer mon bras et le passer autour de la jeune femme. Mon Dieu Dylan… Heureusement que tu ne fais pas ça sérieusement… Ça marche vraiment ce genre de technique sur les femmes ?
disons que j’avais la capacité de concentration d’un moineau. un instant j’étais avec toi et l’instant d’après, mon esprit pouvait se mettre à divaguer pour s’intéresser aux feuilles mortes sur le sol. donc ouais, autant dire que c’était parfois difficile de me raconter des choses, personne n’était jamais réellement sur que j’étais présente à cent pour cent. « mensonge, trahison, disgrâce » que j’entonne sur l’air que tout le monde connait déjà trop. mais je comprends, ça entacherait probablement ta fierté d’homme d’avouer que sur le moment, t’étais bien loin de faire le malin. « non du tout, c’est trop cool. t’es trop cool » tu pourrais me dire qu’on reste ici une semaine entière que ça ne me dérangerait pas de toute façon. et t’sais, dans le fond, ça me fait du bien tout ça. de passer du temps avec toi, d’être loin de boston, de pas avoir besoin de me prendre la tête avec qui que ce soit. c’est un peu comme si tu rendais les choses beaucoup plus simple en fait et ça me conviens parfaitement. là, j’échangerais ma place avec personne. et alors que je me fais totalement absorbée par toute l’animation autour de nous, l’instant d’après il y a ton bras qui vient s’accrocher autour de mes épaules déclenchant un sourire de ma part. « je rêve ou t’es en train de me draguer là ? » mais j’bouge pas, je te laisse faire. en fait, je me colle même à toi l’air de rien. j’sais pas du tout à quoi on est en train de jouer mais j’crois qu’on y fonce tous les deux tête baissé. et comme pour chaque attraction disney, des heures de queues pour deux minutes d’attraction. la fin arrive et on sort de la nacelle, empruntant le couloir menant à la sortie. « et sinon ton livre ? tout s’passe bien ? » tu vois, je me renseigne un peu, tout ça.
Dynya Come with me in a child's world. w/ @Anya Harrison — Paris, février 2019 Manuel du dragueur, page 236, chapitre 13: “L’art du rapprochement physique”. C’est à peu près le genre de conneries que certains livres stupide dans le domaine expliquerait quant à ce que je suis en train de faire avec la brunette qui m’accompagne aujourd’hui. De mon point de vue, je ne suis aucunes règles prédéfinies ou méthodes quelconques, je me comporte tout naturellement avec elle. Et le naturel chez moi, c’est les conneries, comme ce bras qui passe autour de ses épaules dans un geste exagéré et qui déclenche une interrogation chez la jeune femme. “Moi ? Non, pas mon genre de faire ça”, répondais-je avec un léger sourire réfutant fortement mes dires. Une initiative qui ne semble cependant pas te déplaire puisque tu te colles un peu plus à moi et qu’on profite tous les deux de la fin de cette attraction qui, il est vrai, n’est pas la plus flippante de tous le parc, mais que tu as rendus intéressante par ta proximité. On en termine avec les aventures du rat gourmet et tu en profite pour t’intéresser à mon livre, une question surprenante, mais à laquelle je réponds avec plaisir: “Ça avance doucement mais surement.”. Mes yeux se plissent légèrement lorsqu’on retrouve la lumière du jour tandis que j’ajoute: “En fait, je m’inspire pas mal de ma vie réelle pour l’écrire. Donc peut-être qu’il y aura une Anya dans mon monde imaginaire.”. Qui sait ? Peut-être que l’inspiration que me donne ma vie créera un perso qui lui ressemble, surement un personnage de petite taille par contre… Quoique, ce serait drôle d’en faire une géante non ? Anya la géante ! J’aime cette idée. “Oh des gaufres ! Dis moi que tu aimes les gaufres ! Tout le monde aime les gaufres ! Je te renie si tu n’aimes pas ça !”, m’exclamais-je dans un débit de parole ultra rapide, on dirait un môme hyperactif. Mais c’est bon, maintenant j’en veux une ! Je ferais une fois de plus passer ça comme une dépense vitale à mon éditeur qui va surement commencer à se poser des questions. Mais on s’en fou !
j’essaie de m’intéresser en fait. parce qu’en soit, on a beau passer énormément de temps ensemble ces derniers temps, on discute pas vraiment en profondeur. et de base, si tu parcours le monde, c’est pour ce livre en question alors ouais, j’essaie de savoir un peu comment ça avance, si tu t’en sors, ce genre de truc en fait. « oh, vraiment ? » j’esquisse un sourire amusée suivit d’un haussement d’épaule. « ce sera probablement le meilleur personnage de toute l’histoire de la littérature » et mes chevilles dans tout ça ? elles se portent plutôt bien à vrai dire. et puis la conversation dévie soudainement quand ton regard se fait accaparer par le stand mobile. gaufres, crêpes, tout ce dont les gosses raffolent et.. moi par association. « t’as déjà rencontré quelqu’un qui n’aime pas les gaufres ? » c’est une vraie question. à mon sens, c’est typiquement le genre de truc impossible en fait. et puisqu’il est encore tôt, comble de chance pour nous, personne n’attendait devant le stand nous permettant de passer commande plus que rapidement. « tu sais, si ton bouquin fonctionne pas tu pourras toujours ouvrir un truc comme ça » ok, je me fous légèrement de toi mais en réalité, j’espère sincèrement que tu viendras à bout de ce livre et qu’il aura le succès que t’espères. puis dans le fond, si t’as un éditeur, c’est que t’as un réel potentiel. « en tant que futur médecin, je me chargerais de sauver tout ce que tu auras intoxiqué » j’hausse un sourcil amusé, arborant le sourire le plus angélique que je pouvais avoir en réserve, l’air de rien. « j’ai tellement pas envie de rentrer sur boston » et pourtant, je savais que je ne pouvais clairement pas m’éterniser dans ce genre de voyage. j’étais déjà en train de mettre mon avenir en suspens et la médecine, c’était pas le genre de truc que l’on pouvait se permettre de sécher sans avoir aucune conséquences par la suite.
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Le problème avec les plaisanteries, c'est qu'on a du mal à savoir si le fond est sérieux ou non... Et c'est pour ça que je ne voulais pas le dire, parce que je suis comme toi, que j'aurais réagis de la même manière. Seul un léger sourire en coin s'étire lorsque tu affirmes être ma propriété désormais, le doute m'envahissant ne me faisant pas franchement rire, me demandant si tu te fous de ma gueule ou si c'est vraiment ce que tu penses alors que j'évite toujours ton regard. Je t'entends à peine me répondre que mes mots te font plaisir, ce n'est que lorsque tes lèvres se posent sur les miennes que je finis par prendre sérieusement tes intentions. Est-ce que ça va trop vite ? Je ne sais pas, je ne calcule rien du tout, je profite juste de ce qui se passe entre nous présentement sans réfléchir au futur. Te libérant pour te laisser avancer et entrer dans l'attraction, je peux sentir à quel point tu fais beaucoup moins la maline que tout à l'heure. Le sourire il est sur mon visage désormais, il est trop tard pour faire marche arrière, on fera Peter Pan si tu le souhaites, mais on doit d'abord affronter la Tour de le terreur. "Si tu pleures pas, tu auras le droit à un nouveau bisou !", promettais-je à la jeune femme assis à mes côtés pour la motiver un peu alors que je répétais aux mecs louches près de de nous: "Pas touche les mecs ! C'est la propriété de Mr Thomas le futur écrivain à succès !". Non mais quel vantard sérieux... Bon ça démarre ce truc où on reste planté là ?
