Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAnastasiya & Alekseï ♛ Loin du froid de décembre
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Anastasiya & Alekseï ♛ Loin du froid de décembre

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Anastasiya & Alekseï

I don't want a lot for Christmas there's just one thing I need I don't care about presents underneath the Christmas tree I just want you for my own more than you could ever know make my wish come true all I want for Christmas is you



Depuis le coup de la vidéo, les relations entre Anastasiya et Alekseï n’étaient pas au beau fixe et ça, personne ne pouvait le cacher. Le père du duc de Russie était venu en personne pour faire part de son mécontentement à son fils et mon dieu se fut la première fois qu’elle le vit comme ça. Honteux, vulnérable et si peu sûre de lui. Bien entendu la claque que lui avait mit le «  vieil homme » avait été monumental et jamais elle n’aurait cru voir ça de ses propres yeux. Depuis, la jeune femme se sentait mal. Jamais elle n’aurait pensé que son titre aurait été remis en jeu, qu’il devait de nouveau faire ses preuves au niveau de sa famille et surtout qu’à la moindre écartâde c’était le retour en Russie sans aucun titre. Une once de remords s’était donc emparé de la princesse de Russie et bien entendu elle avait tenté de se faire pardonner, se disant qu’elle était tout simplement allait trop loin mais rien ne semblait fonctionner. Aujourd’hui les deux jeunes russes devaient prendre l’avion ensemble pour passer les fêtes chez elle. Une idée de leur famille, une terrible idée. Parce que jouer la comédie en cet instant était assez compliqué. Dépêche Alekseï on va être en retard cria-t-elle alors que le chauffeur de la limousine était venu prendre ses bagages. Bien entendu sa réponse fut courte et froide c’était devenue une habitude et à vrai dire elle ne savait plus quoi faire. Tandis que le chauffeur s’occupait à présent des affaires du duc , la jeune femme l’attrapa par le bras avant qu’il ne passe la porte et plongea son regard dans le sien, histoire d’apaiser les choses à nouveau. Aleks … arrête de faire la tête s’il te plait .. Je pensais pas que ça irait trop loin , tu le sais .. Je m’excuse encore et encore et encore . Tu le sais que c’est pas mon genre de demander pardon , mais là, j’avoue que j'ai peut être dépassé les limites. Dit-elle en secouant la tête avant de le lâcher et de descendre les escaliers à toute vitesse. Rien n’y faisait. Le visage et le corps tournait à l’opposé du jeune homme, qui lui aussi adopté la même posture. Arrivé à l’aéroport, ils embarquaient dans l’avion sans même se parler et une fois le vol bien entamé, la jeune femme s’endormie sans même y faire attention, la tête contre l’épaule du jeune homme. Réveillé d’une manière peu douce, comme il avait l’habitude de le faire avant, elle le regarda légèrement triste pour le coup. Tous les efforts qu’ils avaient fait, tout ce qu’ils avaient pu partager ces derniers mois étaient partis en fumé et ceci par sa faute.

Une fois arrivé au palais de ses parents, elle sauta dans les bras de son père, tellement heureuse de le revoir et fit de même avec sa mère. Ses parents lui avaient tellement manqués. Elle regarda autour d’elle et le palais était tout simplement splendide au couleur de Noël. Maman , Grand ma est ici ? demanda-t-elle en touchant le collier que la vieille femme lui avait offert pour ses 8 ans. Bien entendu, la jeune femme fit la révérence devant les parents de son fiancé qui firent de même devant elle, après tout c’était elle la futur tsarine de Russie. Se tournant vers Alekseï, elle le regarda en se mordillant la lèvre comme une petite fille, se demandant si il était près à jouer le jeu. Elle lui tendit une main timide pour le coup espérant qu’il la prenne, surtout devant leur parents.
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Anastasiya & Alekseï
Loin du froid de décembre
Elle m'avait fait des crasses, des salopes parfois mais j'ai toujours su passer au-dessus de ça pour lui en faire en retour, juste un simple équilibre. J'ai su la pousser à bout, lui faire péter complètement un câble à la limite de la rendre meurtrière sur mon propre corps et elle a su aussi me pousser à cette limite, c’est tout le temps alterné entre nous, moi puis elle ou elle puis moi, ça pimentait nos vies de russes. Depuis que nous avons couchés ensemble, quelque chose de bizarre c'est passé, je ne dirais pas faire une partie de jambes en l'air avec elle ou baiser avec elle, je dirais faire l'amour, c'était si différent et c’est parce que c'était différent que notre relation à changée, avant c'était tendu entre nous mais bien tendu du genre à faire chier vraiment l'autre pour le plaisir, mais là il y a eu ce rapprochement, ok parfois c'est encore tendu, ok parfois on se fait encore bien chier mutuellement mais il y a quelque chose en plus, de l'affection, de la sympathie, beaucoup d'hypothèses exploitables, je sais que j'ai su l'apprécier derrière cette carapace de grand méchant loup même devant cette carapace, par moment ça pouvait se voir, lui faire le petit déjeuner, la faire rire, comme il y a pas longtemps lui apprendre à faire la cuisine ou à son tour à m'apprendre à patiner, il y a ce quelque chose en plus qui fait que notre relation n’est plus là même. Il y a même eu ce baiser, ce baiser qui quand vous fermer les yeux vous voyez des explosions, comme un feux d'artifices, cette étincelle, c'est le ressentit que j'avais dans ce baiser, il était différent de tous les autres que j'avais pu avoir jusqu'à maintenant, avec elle ou avec les autres filles, ça m'avait touché dans un sens, à ce moment précis j'ai sentis une faiblesse, comme si elle avait su briser ma carapace pour voir au fond de moi. Il a fallut qu'une fille montre le bout de son nez pour que ce moment si particulier soit gâcher et que mon côté gros dragueur et serial fucker prenne le dessus pour abandonner la russe et aller vers cette autre fille, j'ai tendance, je l'avoue, à gâcher certains moments, mais je suis un fouteur de merde, c’est dans ma nature. Elle avait la rage, je la comprenais mais je pensais qu'elle était passée elle aussi au-dessus de ça comme d’habitude mais je m'étais trompé, ce soir où je suis rentré, ce soir où j'ai vu deux de ses amies, ce soir où j'ai couchés avec ces filles, j'ai été trompé par la russe en personne, c'était un piège, ce n'était que de vulgaires putes et elle, Andy et Xaver avaient tout filmés, pour la première fois de ma vie, je me sentais comme une merde, je m'étais fait avoir si facilement, j'avais honte d'avoir été pris au piège, certes j'en voulais aux trois Eliots mais ce qui fit Anya par la suite, jamais je ne pensais qu'elle en serait capable, envoyer la vidéo en Russie, à mon père qui se fit une joie de venir à Harvard me parler en personne, ce jour là, j'ai eu honte de la connaitre, j'ai reçu cette claque devant elle par mon père, je me tenais la joue, je la regardais, j'entendais les paroles de mon père, la place du trône ne m'était plus accordée, ce titre qui était mien avec certitude, ce tire était remit en jeu et si je voulais l'avoir je devrai à nouveau faire mes preuves, tout avait été dit et jamais je n'avais été autant humilié, autant honteux, elle avait voulut me faire une crasse, elle avait gagner, aucune crasse ne pouvait rivaliser avec la sienne, elle avait gagnée. Depuis ce jour, elle a tentée de s'excuser, je voyais bien qu'elle avait des remords mais je m'en fichais, tout ce qu'on avaient vécu, ce rapprochement, tout était brisé par sa faute, je lui en voulais beaucoup, je l'envoyais balader à chaque tentative, moins je la voyais mieux j'étais, je l'évitais un maximum, elle me parlait, je l'ignorais, je faisais comme si elle n'était rien pour moi, comme si je l'avais bel et bien perdu. Tout ce temps ici c'était bien beau mais pour les fêtes de fin d'année, on devaient retournés en Russie, chez sa famille, une idée de nos parents, une mauvaise idée vu les circonstances actuelles mais on avaient pas le choix et je savais qu'on allaient devoir jouer encore une fois la comédie, je me posais des questions là-dessus, faire semblant après ce qu'elle m'a fait, je voulais qu’elle comprenne que pour la première fois de ma vie je me sentais trahis, blessé, que cette carapace ne servait plus à rien. Le chauffeur de la limousine s'occupait des bagages de la princesse de Russie, je finissais de préparer les miens alors que j'entendais la duchesse me crier dessus avec un ton que je n'aimais pas mais je ne voulais pas lui parler, le chauffeur s'occupait à présent des miens puis elle me tirait par le bras et me regardait dans le fond des yeux, je la regardais aussi, je l'écoutais On va être en retard... je ne prenais pas la peine de répondre à ce qu’elle disait juste lui dire qu'on risquaient de louper l'avion, on quittaient l'appartement en vitesse, on montaient en vitesse dans la limousine, pendant tout le trajet, aucune parole, aucun regard, une opposition totale, elle se retrouvait aussi dans l'avion, on avaient beau être assis à côté, je prenais pas la peine de m'intéresser à elle mais à un certain moment je sentis sa tête sur mon épaule, je la regardais, elle semblait bien dormir, je fermais les yeux peu à peu en reposant ma tête contre le dossier, essayant de faire le vide. Je me réveillais gentiment, je baillais un coup puis je sentais la tête de la russe toujours sur mon épaule, elle n'avait pas bouger d'un cil, je soulevais mon épaule, elle se réveillait et me regardait avec cet air triste, je la regardais aussi avant de porter mon regard sur l'extérieur à travers le hublot, je l’ignorais. On arrivaient enfin chez ses parents, passer la porte du palais, je pouvais voir les décorations de Noël qui disons le franchement étaient magnifiques, elle sautait dans les bras de ses parents, je ne fis pas la même chose avec mes parents, j'aurais pu mais avec la vidéo je préférais garder mes distances, je leur souriais juste, les saluant respectueusement en m'inclinant, ils faisaient de même, je voyais bien une certaine honte sur leur visage, Anastasiya s’inclinait devant ceux-ci, aussi avec respect puis elle se tournait vers moi, me regardant, me tendant la main espérant que je joue la comédie, je la regardais, je m'approchais, je prenais sa main pour la baiser et par la suite entrelacé mes doigts dans les siens, souriant à ses parents Très belles décorations Mr. et Mme Kataïeva.. je décidais de jouer la comédie, pour elle même après ce qu'elle m'avait fait, je déposais un baiser sur sa joue, comme le fiancé que j'étais.
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[justify]Ce n’était vraiment pas simple. Toute cette situation aurait dû la faire sourire, elle aurait dû y trouver une certaine satisfaction personnelle et pourtant rien. Le vide s’était installé depuis qu’il avait décidé de l’ignorer. L’ignorance était certainement la chose la plus dure ici , elle aurait tellement préféré être envoyer sur les roses à longueur de journée tout simplement parce qu’il lui aurait au moins adresser la parole. C’était pathétique de penser ça alors que tout semblait voler en éclat. Elle regrettait amèrement son geste et en subissait les conséquences chaque jour dans son mépris. Il lui arrivait par moment de rester seule dans le noir et de réfléchir à tout ce qui avait pu se passer entre eux ces derniers temps. Elle n’aimait pas le savoir avec d’autre fille, elle n’aimait pas savoir que d’autre personne pouvait avoir le même effet qu’elle sur lui … peut être parce que tant de chose avait changés et cette foutue impression que la réciprocité de ses sentiments n’était pas présent lui mettait un coup à chaque regard. La haine se lisait en lui, elle l’avait humilier, l’avait déshonoré devant son père alors pourquoi donc lui accorderait-il un regard à nouveau , ni même une parole . C’était bien trop demander et elle le savait et pourtant elle avait l’espoir qu’un jour tout ce manège cesserait. C’était dure de ressentir à nouveau , la dernière fois qu’elle s’ était laissé aller, la dernière fois qu’elle s’était autorisé a aimer, elle avait tout gâcher, du moins sa condition de futur tsarine avait tout gâché… Elle ne pouvait pas être avec lui, tout simplement parce qu’il n’était pas de la même condition social qu’elle … Lukas avait été son première amour et le restera à jamais et pourtant aujourd’hui, elle s’était laissé entraîné à nouveau dans le tourbillon de la vie, se disant que peut être, derrière toutes cette mascarade il en valait la peine … pourtant il lui avait fait du mal , tellement de mal déjà. Ce baiser au parc l’avait mit dans un état pas croyable . Elle avait l’impression que son cœur se dégelé petit à petit au rythme de ses lèvres et pourtant , il avait réussit à tout gâcher avec cette autre fille, devant elle en plus…. Ce jour là, elle avait sentit son cœur se fendre à nouveau certes, pas de la même manière, ce n’était pas comparable mais tout de même. Comment avoir confiance au reste du monde après ? Voilà c’était plus simple de remettre sa carapace , c’était plus simple de sourire à tous le monde au du moins presque parce qu’aucune question ne suivait. Non , quand on souris on a la certitude qu’on nous laissera en paix, c’est pourquoi elle s’était contenté de sourire encore et encore.
Les paroles qu’ils échangeaient n’étaient qu’anodine. «  T’as pris le pain »  « T’as fermé la porte ? » et encore ce n’était en aucun cas agréable. C’est pourquoi, elle redouté amèrement ce voyage, elle était persuadé que rien n’allait se passer comme sa famille le souhaitait, que tout allait déraper comme aujourd’hui , c’est pourquoi elle décida de s’excuser encore une fois , une ultime tentative… mais encore une fois rien. C’était comme s’adresser à un mur , un mur blanc sans aucune émotion … Baissant la tête ainsi que le regard, elle sortit de l’appartement pour entrer dans la voiture et se tourner vers la fenêtre sans dire aucun mot. Une distance s’était installée entre, des kilomètres et des kilomètres les séparés à présent comme jamais. C’était dure mais, elle avait fait tout son possible, elle avait baclée sa fierté en lui demandant pardon mais ce n’était pas suffisant apparemment, cependant, elle avait décidé de ne plus rien faire, s’était peine perdu, il lui avait fait comprendre beaucoup trop de fois pour qu’elle ne persiste à nouveau.

Une fois arrivée en Russie, une voiture les attendaient déjà pour se rendre au palais de ses parents, le même schéma se reproduisit , aucune paroles ne sortirent d’entre leurs lèvres . Cette situation commençait à la peser de plus en plus, elle perdait tout ses repères au fur et à mesure du temps, ne sachant plus vers qui se tournait. Ces sentiments qu’elle éprouvait pour lui semblait la couper de tout . Comment avait-elle pu se faire avoir par ce coureur de jupon, elle en était peu fière et pourtant, elle ne pouvait aller au-delà de tout ce qui s’était passé. Ouvrant la porte à la volée , elle sauta dans les bras de ses parents, s’agrippant à eux comme à une bouée de sauvetage, elle aurait aimé fondre en larme laisser enfin aller ses émotions, mais ici encore, il fallait qu’elle garde une certaine contenue. Jamais elle n’avait montrer ses sentiments elle se l’était interdit. Depuis son enfance, son père lui avait toujours dit que c’était une marque de faiblesse et quiconque lui voudrait du mal appuierais sur cette faille pour la faire tomber. Se contentant donc de les serrer dans ses bras et de déposer un baiser sur chacune de leur joues, elle leur fit enfin une révérence ainsi qu’aux Ivanovitch. Mr, Mme Ivanovitch, je suis heureuse que vous passiez les fêtes avec nous … dit-elle en se tournant vers Alekseï pour lui tendre la main. Elle ne savait pas vraiment s’il comptait jouer la comédie dans de pareil circonstance, au fond d’elle, elle l’espérait, ils allaient pouvoir enfin se parler même si ce n’était qu’illusion. Plongeant son regard dans le sien, elle fut surpris de le voir prendre les reines et d’autant plus en sentant ses lèvres sur sa joue. Passant sa langue sur ses lèvres, elle tenta de chercher le regard de quelqu’un pour éviter de sourire , pour éviter de se laisser submerger par ses émotions, pour éviter de lui mettre une claque. Elle ne pouvait pas jouer cette comédie non c’était plus fort qu’elle… Elle ne voulait pas souffrir… lorsque ce petit périple en Russie serait terminer , elle ne voulait pas qu’il l’abandonne à nouveau. Je vous remercie Alekseï , j’ai toujours aimé cette période de l’année … contrairement à notre petite fille dit Irina en regardant sa fille avec une petite moue avant de sourire. Vous devriez vous préparer nous allons passer à tables dans très peu de temps et une réception est donné en votre honneur dans la salle de balle, toute la haute Russie sera là … Vous allez enfin pouvoir officialiser vos fiançailles devant tous le monde, très chère il faut que je vous montre absolument les bagues … dit Irina, la mère d’Anastasiya en entraînant la mère d’Alekseï. Quant à son père, il vint déposer un baiser sur la front de sa fille et lui dire de monter se préparer . Hochant la tête, une fois que tous le monde fut parti, elle se retourna vers le Russe, levant ainsi son visage vers le sien. C’est pas la peine de jouer la comédie de cette sorte Alekseï .. dit-elle en se tournant pour monter à l’étage dans sa suite. Bien heureusement, ils l’avaient pas la même chambre car ils étaient hors de questions qu’ils dorment ensemble avant le mariage et pourtant ils avaient fait bien pire. Claquant la porte, elle s’y laissa glisser un instant pour reprendre ses esprits avant de voir la sublime robe qui était posé sur son lit. Elle la posa contre elle et un sourire se forma sur ses lèvres, s’était bon de revenir au pays même dans de pareil circonstance. Une fois doucher, elle s’occupa de ses cheveux, qu’elle attacha dans une coiffure sophistiqué et romantique ou quelques mèches rebelles venaient encadré son visage. Elle se maquilla légèrement, concentrant son attention sur son regard et ses pommette saillante. Par la suite, elle enfila cette robe noir qui coulait jusqu’à ses jambes, ouverte dans le dos jusqu’à la chute de ses reins et elle termina par poser sa couronne sur sa tête, une couronne qui brillait de mille feu , sertis d’un nombre incalculable de diamant et c’est une fois prête, avec un peu de retard, qu’elle descendit les escalier pour rejoindre Alekseï qui l’attendait déjà en bas.
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Anastasiya & Alekseï
Loin du froid de décembre
Elle portait bien son nom, la reine des glaces, elle savait faire les pires crasses qui puisse exister, lui planter un couteau dans le dos c'était signer son arrêt de mort, elle était si déterminé que tout était bon pour elle pour arriver à ses fins, pour avoir ce qu'elle désire. Ça a toujours été comme ça, elle a été élevée comme ça, une éducation basée sur des principes précis, la devise d'écraser quiconque se mettrait sur son chemin pour arriver à ce qu'elle veut, sa famille est d'une très grande détermination, diriger la Russie n’est pas chose facile, il faut savoir donner pouvoir, autorité, respect, sagesse et encore beaucoup de qualités, Anastasiya, héritière au trône de Russie, princesse et duchesse, parfaite physiquement, la déesse russe comme on dit, démoniaque intérieurement, la démone russe sur ce point ou du moins ce qu'elle rejette, sa carapace de fille intouchable, de reine des glaces qui cache la vraie Nastasiya, celle qui à un cœur. C'est avec elle que je vis à Cambridge, avec elle que devant les caméras, devant tous ces médias, aux soirées mondaines, pour les grandes occasion, je joue la comédie, le couple parfait bercé par l'amour et la joie, cette comédie que je déteste tant, la blonde est aussi d'accord avec moi à quoi cela sert-il ? Nous nous détestons, c’est l'éducation de nos parents qui a voulu ça, en guerre pour le trône, c'est elle ou moi, basé sur cette idée, le reste n'a fait que suivre et la question que je me pose c'est pourquoi la nécessité de cette comédie ? Pourquoi nos deux familles ont eu cette idée de nous unir par le mariage pour cesser cette guerre, nous rassembler, montrer une Russie forte et gouvernée par deux jeunes héritiers, c'est notre destin malheureusement, la princesse et moi avons le même avis sur le mariage, la comédie et tout ce qui est lié mais elle a raison, nous ne pouvons rien y faire, nous y sont confrontés, nous devons faire avec, les conséquences impliquaient de vivre ensemble, montrer ce couple si parfait alors qu'il n'a rien de parfait, ce n'est même pas un couple, cette image qu'on donne de nous m'amusait avant c'est vrai, mais ça ne dure qu'un temps, maintenant ça commence à me lasser, vraiment me lasser. Elle était salope quand elle voulait mais là c'était le coup par excellence, elle était capable de beaucoup pour me faire chier, de belles et bonnes crasses qui me cassaient bien les couilles mais celle-là, ce fut la plus explosive, dans tous les sens du terme, je savais qu'elle était capable de beaucoup mais pas qu'elle irait jusque là, me piéger avec deux vulgaires putes, me filmer, c'"tait une crasse de pute, pas qu'elle en soit une contrairement aux deux filles mais du genre à être une crasse qui ne se fait vraiment pas enfin jusque là c'est déjà vraiment pas mal mais qu'elle l'envoie à mon père, c'était la chose qui fit déborder la goute d'eau du vase, elle avait été trop loin et ce qu'elle voulait elle l'a eut, elle a gagnée, je m'inclinais sans hésiter. La conséquence de l'envoi de cette vidéo ? Mon père en personne qui venait à Harvard, chez Anastasiya, elle ne pouvait pas refuser qu'il entre, il avait beau être de la famille rivale, elle avait un grand respect pour lui, c'est la première fois que je fus aussi faible, aussi impuissant, je me sentais comme une honte, comme la merde de la famille, la gifle qu'il me donnait en était la preuve même et les paroles qui sortirent de sa bouche en rajoutait une couche, destitué du titre, faire de nouveau ses preuves envers ma famille, je sentais d'un coup le monde s'écrouler, elle devait être si contente d'avoir assistée à ce moment, elle venait d'avoir une longueur d'avance considérable. L'ignorance totale depuis ce jour, jamais je n'avais pensé qu'elle puisse me faire ça, l'envoi de la vidéo c'était trop, moins je la voyais mieux c'était, je pensais à ce qu'on as partagés ensemble, cette haine commune, ce rapprochement, ce baiser que je n'avais jamais ressentis de la même façon, durant ce baiser j'avais sentis une faiblesse chez moi, comme si inconsciemment elle perçait ma carapace pour y trouver mon cœur, c'est que je j'avais ressentis, cette petite étincelle, jamais ressentis auparavant avec n'importe quel baiser partagé avec une fille, ça me faisait bizarre c'est comme si desn sentiments étaient là mais j'y croyais pas, jamais j'ai été amoureux, et je voulais pas l'être, l'amour c'était pour les faibles, ça rendait con et aveugle, et pire ça pouvait même faire souffrir, j'étais pas le mec d'une fille mais le mec de plusieurs filles mais avec elle ce sentiment du mec à une fille était là, c'était encore flou, ça me questionnait mais c'était là enfin dès que cette fille se pointait, Anastasiya se retrouvait seule, j'étais déjà à draguer la fille, c'était mon côté serial fucker comme beaucoup disent, qui avait pris le dessus s'en que je m'en rende compte, je l'avais blessée, je le savais, m'excuser, j'étais trop fier et arrogant même si au fond je m'en voulais, j'espérais juste qu'elle passe au-dessus de ça, je m’étais trompé quelques temps après piégé et humilié. Les fêtes de fin d'années se déroulaient en Russie pour Anastasiya et moi, chez sa famille, encore une idée de nos familles respectives, une idée mauvaise vu les circonstances actuelles, surtout si on devaient jouer encore la comédie, ça me soulait vraiment, j'hésitais encore à jouer le fiancé parfait, me forcer à lui dire des doux mots, des sourires, des baisers, elle ne méritait même plus que je fasse la comédie, plus après ce qu'elle à oser faire. La limousine était là, le chauffeur s'occupait de ses baguages, je finissais les miens, j'entendais sa voix d'un ton que je n'aimais pas me disant de me dépêcher, je ne répondais pas, finissant ce que j'avais à faire puis alors que le chauffeur s'occupait à présent des miennes, elle me tirait par le bras avant que je franchisse le pas de la porte pour me regarder dans les yeux et s'excuser encore une fois parmi tant d'autres fois mais le résultat fut le même, l'échec, je disais juste qu'on allaient être en retard et c'est sans perdre de temps qu'on quittaient l'appartement pour entrer dans la limousine en direction de l’aéroport. Aucun regard, aucune parole, rien du tout durant ce trajet, on regardaient chacun à l'opposé de l'autre, comme si nous étions de parfaits inconnus, ce fut exactement pareil dans l'avion et comme dans l'autre limousine qui nous amenaient au palais de ses parents, des kilomètres nous séparaient, elle avait tout détruit, elle récoltait la tempête du vent qu'elle a semée. Une fois les portes de l'immense demeure franchise, les décorations de Noël dominait l'espace et juste dzvant nos ses parents et les miens, elle sautait dans leurs bras mais moi je restais à l'écart ne me contentant que de les saluer avec autant de respect que je le pouvais, Nastiya s'inclinait également devant mes parents avec le respect qu'elle leur devait ajoutant qu'elle était heureuse qu'ils soient présents, ma mère souriait prenant parole Nous sommes aussi ravis de partager ces instants de fêtes avec votre famille Anastasiya.. sincèrement la duchesse se tournait vers moi, me regardant, me tendant sa main espérant que je puisse jouer la comédie et je pris ma décision prenant sa main, j'allais une fois de plus jouer le fiancé parfait. Baisant sa main, entrelaçant mes doigts dans les siens et déposant un baiser sur sa joue je la regardais, je souriais puis je m'adressais à ses parents affirmant qu'ils avaient très bien décorer leur demeure, je souriais face à la remarque de la mère d'Anya et je l'écoutais parler de nouveau, acquiesçant d'un hochement de la tête J'ai hâte.. nous avons hâte dans ce cas Mme... je souriais encore une fois puis une fois que dans ce grand hall la russe et moi nous fûmes seuls, elle levait son regard vers le mien me disant que je n'étais pas obliger de jouer la comédie de cette façon, je ne répondais pas comme d’habitude depuis ce jouer fatidique, elle montait dans sa suite, je la suivais pour rejoindre la mienne. J'enlevais ma veste la déposant sur le lit où était déposer ce sublime costard des plus grand couturiers, je souriais le prenant dans mes mains et me regardant dans la glace le déposant sur moi, je le reposais après quelques instants sur le lit, j'enlevais mon t-shirt pour entrer dans cette grande salle de bain, dévêtu de mon pantalon et caleçon, j'entrais dans la douche, et dieu que c'était bon, j’essayais de me vider la tête, de ne penser à rien et d'apprécier juste l'eau ruisseler sur mon corps. Je ne sortais que quelques bonnes minutes plus tard, je me séchais puis enroulant une serviette autour de ma taille, je sortais de la salle de bain pour filer vers mes valises et prendre un nouveau caleçon, il ne restait qu'en suite, plus que le costard, je souriais le reprenant en main et une fois enfilé, j'ajustais la cravate, avant d'ajouter la dose de parfum et de perfectionner la coiffure, j'étais fin prêt pour le reste de la soirée, plus qu'a reprendre ce rôle et de voir commet ça va se passer. Je sortis de ma suite pour descendre les escaliers, j'attendais la russe aux pieds et seulement quelques minutes après, je la vis en haut, elle était juste magnifique, je restais bloquer sur elle, admiratif d'une telle beauté, elle descendait les marches de l’escalier dans sa robe noir qui la rendait parfaitement sublime et arriver à ma hauteur, je la regardais Même la personne qui te déteste le plus au monde ne peux pas nier, tu es juste magnifique ce soir.... un faible sourire, un regard, j'essayais de passer outre cette colère que j'avais envers elle mais connaissant ma fierté et mon arrogance, c'était très difficile.
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Une fois arrivée en Russie, se fut la même rengaine. Aucune paroles échangée , aucun regard … rien. Anastasiya se posait de multiples questions, comment allait se passer ces fêtes ? Allaient-il jouer la comédie devant leur parents ou allaient-il continuer de s’ignorer ? La voiture s’arrêta devant le palais de son enfance. Tout à coup ses yeux s’illuminèrent, tout simplement parce que cette vie lui manqué. Certes, elle s’était faite une place à Cambridge, certes, elle s’était trouvé une nouvelle famille chez les Eliots et avec ses amis mais ce n’était pas la même équivalence, bien au contraire. Elle avait bien plus sa place ici qu’en Amérique. Ici, elle avait des responsabilités plus que conséquentes, on avait besoin d’elle ici et elle se sentait réellement utiles, de plus ses parents lui manquait terriblement. Bien que durant son enfance, elle n’eut pas la même relation que tout les enfant auraient pu avoir avec ses paternels, elle n’en était peu moins reconnaissante envers eux, elle les aimait plus que tout et elle voulait passer d’agréable fêtes avec eux. Descendant de la limousine, elle se précipité à la porte du palais, sortant de son sac la clé de cette grande porte aux ornures précieuses et une fois que celle-ci fut ouverte, elle vit ses parents qui les attendaient déjà , ainsi que ceux d’Alekseï. Cette image était assez effarante quand on y pense. Leur famille était en guerre depuis des générations et voilà qu’ils allaient partager les fêtes ensemble. Anastasiya ne perdit pas de temps et laissa tomber son masque de froideur devant le visage heureux et tendres de ses parents pour leur sauter dans les bras. Les serrant fort contre elle chacun leur tour, elle resta un instant dans les bras de sa mère. Elle avait tellement besoin d’elle ces derniers temps. Elle ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, mais surtout elle ne le voulait pas … Elle ne voulait plus souffrir. Ces exigences que son poste lui imposait commençaient à lui gâcher la vie de plus en plus. Obligé de faire semblant devant autrui était devenue pesant surtout lorsque des sentiments commencent à s’immiscer . Cette réciprocité était-elle dû au jeu des médias ? Ou était-ce réelle ? De toute manière, la deuxième option était certainement peu plausibles aux vues de leur relation actuelles. Elle chuchota quelque petit mot à l’oreille de sa mère, lui disant qu’elle avait besoin d’elle et qu’elle aimerait lui parler plus tard. Irina , hocha la tête en serrant sa fille une dernière fois se doutant bien de ce qu’il s’agissait en voyant les regard un peu froid que le Russe lui portait. Anastasiya était un savant mélange de son père et sa mère bien qu’elle est hérité de la beauté de sa mère, de sa blondeur et du bleus profond de ses yeux. Une copie conforme. Bien entendu, suite à ce petit épisode de tendresse dont elle venait de faire preuve, elle fit la révérence devant les parents d’Alekseï, levant par la suite son regard dans le leur aussi respectueux que le leur. Les mots de la mère d’Alekseï, la firent sourire même si la réciprocité n’était pas tellement de mise, tout simplement parce qu’elle redoutait pleinement ces moments là. Se retournant vers Alekseï, elle lui tendit une main hésitante, se demandant si oui ou non il allait la prendre. Après tout , elle comprendrait qu’il ne le fasse pas et bien entendu elle s’était attendu à cette éventualité mais il arriva à la surprendre en faisant le contraire. C’était peut être bien même, parce qu’ici, elle savait que ce n’était que de la comédie, contrairement aux moments qu’ils avaient pu passé à Harvard ou le doute s’était immiscé mais maintenant ces moments lui paraissaient si lointain que ceci n’était devenue qu’une réminiscence du passé. Alors que tout ce beau monde était partis, elle se retourna vers Alekseï lui disant tout simplement que ce n’était pas la peine de jouer la comédie de la sorte, mais aucune réponse comme à chaque fois. Découragé par ce manque de communication, elle secoua la tête et monta les escalier deux à deux pour aller dans sa suite. C’était tellement pesant comme situation. Cependant, il fallait qu’elle remette son masque, qu’elle puisse reprendre un visage neutre et un sourire qui pouvait paraître sincère. Après une bonne heure de préparation , la jeune femme sortie enfin de sa suite pour se rendre au dîné que donnait ses parent dans la grande salle de bal qui était au rez de chaussé. Elle enleva la clé de la serrure pour la mettre dans sa petite pochette et descendit les escaliers avec une grâce digne des plus grande princesse de son rang. Elle le regarda du haut des escaliers alors qu’il l’attendait et cette image la fit sourire. Il était tellement beau, tellement élégant dans ce costume qu’elle ne pouvait faire autrement. Laissant sa main caresser le bois de la rampe, elle se mordilla les lèvres arriver à son niveau et souria faiblement . Merci … et cette personne qui me déteste le plus au monde c’est toi je suppose dit-elle en arquant un sourcil , bien entendu elle ne s’attendant pas à une réponse, elle avait prit l’habitude de faire des monologues à vrai dire. Passant son bras en dessous du siens , elle regarda ses parents rire et parler avec autant de bonheur que cette vision lui réchauffa le cœur , qui autant le dire en avait bien besoin ces derniers temps. Elle se rappela la discussion qu’elle avait eu avec Andy, lorsqu’elle avait sous entendu qu’elle tenait à Alekseï plus qu’elle ne l’aurait cru et ses mots raisonnèrent encore en elle . Il l’avait prise pour une folle, une sadomasochiste, tout simplement parce qu’elle ne voulait pas souffrir et qu’elle se jeté dans la gueule du loup sans se poser aucune question autant dire que ce n’était pas de cette façon qu’elle allait se protéger de quoi que se soit en agissant ainsi. Ce costume te vas bien aussi dit-elle en regardant droit devant elle et en poussant la porte. Aussitôt , un sourire se plaqua sur ses lèvres et voir cette salle ainsi l’émerveilla tout comme dans son enfance. C’était d’une tel beauté, elle avait toujours aimé lorsque ses parents donnés des réceptions ici. Avant de s'asseoir elle s’approcha un tant soit peu d’Alekseï et murmura quelques mots au creux de son oreille. S’il te plait ne gâche pas tout, si tu veux me renvoyer le bâton ,fait le à un autre moment … C’est important pour mes parents ce genre de fête et c’est important pour moi aussi …. dit-elle en grimaçant légèrement avant de s'asseoir aux côtés de son père qui était en bout de table et d’Alekseï qui bien entendu était placé à ses côtés. C’était peut être une mauvaise chose de le lui avoir dit … peut être qu’il allait s’en servir contre elle après tout, elle aurait hésité elle aussi mais elle espérait juste que la raison s’empare de lui. Anastasiya, Alekseï vous êtes somptueux … ajouta son père Ivan , en regardant sa fille et en prenant sa main pour lui déposer un baiser dessus. Bien des fois, la jeune femme s’était posé la question. Est-ce que leur parents aussi jouaient la comédie ? Ou pensaient-il réellement ce qu’il disaient. La mère d’Alekseï la regarda avec insistance avant d’ajouter. Tu est splendide Anastasiya je suis certaine que vous nous ferais de beaux petits enfants dit-elle avec un sourire. Nastiya manqua de s’étouffer avec son champagne en entendant cela et un sourire se forma sur ses lèvres,tentant de prendre un visage convenable Vous savez c’est pas encore dans l’ordre des choses, nous sommes jeunes encore. Attrapant une autre coupe, elle la bu d’une traite alors que l’entrée arrivait déjà. Alors , comment sa se passe à Harvard Alekseï, ce n’est pas trop dure de vivre avec ma fille ? Parce qu'autant dire que ce n’est pas facile tous les jours, elle est assez capricieuse quand elle le veut mais en même temps , c’est notre petite princesse, je crois que c’est de ma faute dit-il en riant légèrement. Se tournant vivement vers son père, elle fronça les sourcils se demandant si ce soir ce n’était pas sa fête. Oh vous savez Ivan , ce n’est pas facile de vivre avec mon fils aussi .. Disons qu’Anastasiya est certainement se dont il avait besoin , parce qu’il a tendance à s’écarter de sa condition et de ses obligations dit-il en regardant son fils avec une certaine sévérité dans le regard. La jeune princesse, se sentit mal tout à coup c’est pourquoi elle décida de prendre la défense de son pseudo fiancé face à son père . Vous savez, vote fils fait beaucoup d’effort et il a changé dans le bon sens du terme dit-elle en tournant son regard vers Alekseï en le regardant un instant sans pour autant sourire avant de commencer le repas après que son père l’eut fait.
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Anastasiya & Alekseï
Loin du froid de décembre
La Russie s'étendait à présent devant nous, l'Amérique allait attendre les fêtes de fin d'année, celles-ci se passaient chez les parents d'Anastsiya en compagnie de mes parents, une idée de leurs génie commun, mais ces derniers temps, je crois que cette idée est de mauvaise augure, ma relation avec la princesse à changée, c'est redevenue la fille que je déteste le plus au monde alors qu'il y a peu de temps, ce rapprochement m'a fait comprendre que je tenais vraiment à elle, que je semblais faiblir face à elle et que toute cette haine, je la mettais de côté pour trouver de la sympathie, de l'affection à son son égard mais ce coup qu'elle m'a fait, tout s'était envolé et la haine mise de côté revenait à la charge, plus que présente. Le trajet jusqu'à l'aéroport, le trajet dans l'avion, même le trajet jusqu'à la demeure de ses parents, la même chose produisait, aucune parole, aucun regard, une opposition totale, beaucoup de questions se posaient alors dans ma tête, on allaient devoir jouer la comédie, montrer que tout allait bien, que nous étions bercés par l'amour mais j'en avais assez de jouer ce rôle, au début c'était amusant mais avec le temps, lassant puis ma relation actuelle avec la russe n'arrangeait vraiment rien, j'hésitais encore à jouer le fiancé parfait, après ce qu'elle m'a fait, je ne voulais pas prendre la peine de faire quelque chose pour elle, je ne comprenais toujours pas pourquoi elle avait fait ça, je lui avais montré que j'avais changé, lui préparer des petits plats sans rien lui demander en retour sauf ce matin là où en échange elle m'a apprit à patiner et c’est aussi là qu'on s'est embrassés, je pensais que tout ça comptait pour elle, ça comptait pour moi, sincèrement, je passe très rarement au-dessus de ma fierté et de cette arrogance qui me caractérise tant mais je l'avoue, ce baiser m'a fait quelque chose, des sentiments se baladaient, pour la première fois de ma vie je me sentais faiblir comme jamais pour une femme alors que je me l'étais refuser depuis toujours, tomber amoureux s'était puissant et tellement puisant que ça engendrait des choses, la faiblesse, ça rendait con, l'aveuglement, je n'en voulais pas, je préférais me passer de sentiments, l'option de facilité était ma préférence mais face à elle cette option semblait s'envoler, face à elle j'avais l'impression de l'aimer. Elle avait tant essayer de se faire pardonner, dès qu'elle me voyait, j'entendais son "désolé", son "pardon", son "excuse-moi", je voyais bine qu'elle s'en voulait, elle été éprise de remords et dieu sait que c'était rare mais elle voulait me montrer qu'elle n'avait pas voulu aller aussi loin, son coup des deux putes et le piège c'était déjà salaud mais qu'elle envoi la vidéo à mon père, même moi je n’aurais jamais oser, ça aurait impliquer trop de problème et elle m'en avait attiré beaucoup, les foudres de mon père, ce titre qui m'était enlevé à moins que je fasse de nouveau mes preuves, cette honte et cette humiliation qui pesait sur moi, elle avait gagnée la partie, j'allais pas chercher à la combattre encore, j'abandonnais, elle m'avait tellement brisé que me relever, je ne pouvais plus. La voiture arriva enfin à son lieu de destination, l'immense palais des Kataïeva, la demeure de ses parents, elle sortait en vitesse pour vite ouvrir les deux immense porte et voir ses parents et les miens dans l'attente de notre venue, elle sautait dans les bras des siens, je me contentais juste de saluer les miens avec tout le respect que je pouvais leur donner, je voyais bien sur leurs visages qu'il avait une once de honte et de désolation face à moi mais ils souriaient et me saluaient à leur tour tout comme à Anastsiya quand la belle blonde s'inclina tout en leur disant qu'elle était ravie qu'ils passent ce moment avec nous, ma mère dans sa grande élégance et politesse lui répondait, affirmant qu'elle aussi étaient contente que ma famille soit présente, je regardais Nastiya, son sourire se dessinait à l'entente des mots de ma mère, cette image me faisait bizarre, avant cette idée de mariage c'était une guerre pour le trône et là voir mes parents et les siens, passer les fêtes ensembles, partager ces instants ensemble, je me demandais si ce n'était pas eux qui jouaient la comédie. Elle me tendait sa main, me regardant dans les yeux, pendant tout ce temps j'avais hésiter à savoir si j'allais oui ou non jouer ce rôle, je ne lui devais plus rien mais malgré toute cette rage, cette colère et cette haine, je prenais sa main, expliquer le pourquoi, traduire le comment, c'était un mystère, disons juste que je ne voulais pas encore tout gâcher, et je voulais regagner l'honneur de ma famille, la confiance et la fierté de mon père alors une fois sa main entre mes doigts, je la baisais comme je l'avais fais lors de toutes ces soirées où la comédie était nécessaire, sa joue gouta à mes lèvres et je m'adressais à ses parents avec tout le respect que je leur devais même si je ne pouvais pas en dire autant de leur fille. Une fois que dans ce hall, nous étions plus qu'elle et moi, elle me disait de ne pas jouer la comédie de cette façon mais aucune réponse de ma part, c'était devenu une habitude, elle ne perdait pas de temps et montait les escaliers pour gagner sa suite et se préparer, j'en fis de même de mon côté. Après Une bonne heure à me préparer pour la soirée, je quittais ma suite vêtu de ce somptueux costard, hors de prix et réalisé par les plus grands couturiers il en était certain, fermant la porte à clé et mettant celle-ci dans ma poche, je marchais jusqu'à l’escalier pour descendre ses marches et attendre la princesse de Russie comme le fiancé que j'étais. Elle était là quelques minutes plus tard, somptueuse, parfaite, magnifique, aucun homme en pouvait le nier, elle descendait les marches vêtue de cette robe noire, de cette couronne sur sa tête, la princesse était là et arriver à ma hauteur elle souriait alors que je lui faisais la remarque que même l'homme qui la détestait le plus au monde ne pouvait nier la magnifique beauté dont elle faisait grâce, elle comprenait par là qu'il devait s'agir de moi, je ne faisais que la regarder et exprimer un faible sourire alors qu'elle passer son bras en dessous du mien Merci duchesse.. lui répondre à ce qu'elle venait de me dire, c'était rare mais j'avais pris la peine de lui répondre, je pensais finalement que ça en valait surement la peine. On franchissait les portes et la salle de réception s'étendait devant nous, c'était beau, tout comme ma famille,la sienne savait recevoir, et juste avant de s'asseoir la russe murmura à mon oreille se rapprochant de moi que si je voulais tout gâcher pour ce qu'elle m'a fait, elle espérait plus tard mais pas maintenant, je ne répondais pas, j'avais très bien entendu, je me contentais juste de m'asseoir à ses côtés, à ma gauche, mes parents, à sa droite les siens et sur le reste de toute cette table, la haute Russie, une réception importante pour sa famille, pour elle, ça l'était je pense pour la mienne et pour moi aussi au fond. Son père nous complimentait et ma mère en rajoutait, tout comme Anastasiya, je faillis m'étouffer avec la gorgée de champagne que je venais de boire Mère... disais-je d'un air peu enthousiaste face à cette idée en la regardant puis Nastiya avait raison on étaient encore trop jeune, elle ne perdait d'ailleurs pas de temps pour boire une autre coupe cul sec, je la regardais, elle semblait angoissée voir stressé par la remarque de ma mère, enfin bref, l'entrée arrivait, les assiettes devant nous, tout cela donnait faim mais dans les principes de la haute monarchie, c'était le celui qui recevait, autrement dit là, père de la princesse, qui devait ouvrir le repas en commençant, nous attendions alors qu'il s'adressait à moi, parlant de sa fille, je souriais le regardant mais mon père en rajoutait une couche sur mon compte, je le regardais, je pouvais voir cette sévérité dans ses yeux puis aussi surprenant soit-il la duchesse prenait ma défense face à mon père, je la regardais puis lorsque son père commençait le repas, elle le suivit comme tout le monde ici Changé ? La vidéo le montre bien en effet... c'ets comme si un gros poids me tombait dessus, je prenais une bouché du contenu de mon assiette, je ne regardais que cette assiette Merci de me le rappeler père... toute la fierté que vous avez à mon égard s'entend dans votre voix... je buvais une gorgée du délicieux champagne avant de m'adresser au père d'Anastasiya Mr. Kataïeva, votre fille est si surprenante... vous pouvez être fier d'elle, je n'ai jamais connu une fille comme la votre.. mon regard se portait sur elle Elle a su me faire faiblir... sa détermination est superbe, capable de tant de chose pour arriver à son but, soyez fière d'elle... une telle beauté ça ne se trouve pas partout.
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Sortant de sa suite, elle eu un petit pincement au cœur en faisant tomber la clé dans sa petite pochette. En effet, elle disait au revoir à cette endroit qui était son repère pour la soirée. Elle disait au revoir à la vérité et à la tranquillité pour endossé le rôle de la femme éperdument amoureuse. Passant sa langue sur ses lèvres, elle ferma les yeux un instant pour en suite passer devant le grand miroir incrusté de dimant qui surplombé le hall pour se regarder et s’entrainer à sourire un instant. Elle se regarda un instant en laissant tomber le masque et la femme qu’elle vit en face d’elle n’était autre , qu’une femme triste qui se laisser aller à penser que tout ceci la rendait heureuse mais ces derniers temps ce n’était en aucun cas le cas. Prenant une longue inspiration, elle se retourna tout en relevant la tête, oui elle marcherait toujours la tête haute quoi qu’elle puisse faire, quoi qu’il arrive. Elle ne pouvait tout simplement pas se montrer faible, surtout face au duc même si dernier temps elle l’avait été. Descendant les escalier avec élégance et grâce, elle regarda droit devant elle et le spectacle qu’elle vit eu le don de la faire sourire intérieurement. Arrivé au bas, elle souria à son compliment mais il insinuait tout de même qu’il la détestait plus que tout au monde. C’est pourquoi elle osa lui demander si c’était de lui qu’il parlait mais au vue de son silence elle en déduisis que oui , même si au fond d’elle, elle le savait. Marchant à l’unisson pour se rendre dans la salle de réception, la jeune femme fut éblouie comme à son habitude par le travail que sa mère avait réalisé. C’était une véritable passion pour elle et elle excellait dans ce domaine. S’installant à table après que les majordomes lui recule la chaise pour qu’elle puisse s’asseoir aux côtés de son père. Merci … Installait convenablement, elle souria à son père qui lui semblait totalement comblé. Alors que les deux jeunes Américano-Russe étaient quelque peu stressé par ce repas , la jeune femme manqua de s’ettoufer aux paroles de madame Ivanovitch, mon dieu si elle savait ce qu’il se passait entre eux … si elle savait à quel point son fils la détestait et qu’en aucun cas cette option n’était envisageable, même du point de vu d’Anya. Ils étaient bien trop jeune pour avoir un enfant et elle ne voulait certainement pas en avoir avec lui, tout simplement parce qu’elle était persuadé que du temps ou elle serait chez eux à s’occuper du nourrisson ils seraient en train de coucher avec une autre fille. Anastasiya n’avait aucune confiance en Alekseï. Buvant sa coupe de champagne d’une traitre, elle en prit une autre sur l’un des plateaux qui n’avait de cesse de faire le tour de la table portaient par des serveurs. Regardant son père, elle fit les gros yeux lorsqu’il parla d’elle. Avaient-ils tous décidé de balancer leur moindre petit secrets aux yeux de tous pour montrer à quel points ils étaient des parents formidables ? Anastasiya avait beau aimer ses parents plus que tous, ils n’avaient pas souvent été là, il faut l’avouer. Attendant que son père commence de manger, la jeune femme prit la défense d’Alekseï sachant pertinemment que Mr Ivanovitch parlait en raison de cette vidéo et lorsqu’il la mentionna, elle se tourna vers Alekseï d’un air désolé. Elle profita de cette comédie pour poser sa main sur la sienne , s’excusant encore d’une certaine manière puis la culpabilité la rongé en cet instant précis jusqu’à ce que ce dernier s’adresse à son père en lui disant qu’elle était prête à tout pour arriver à ses fins. Son regard se retourna vers lui, un regard noir ? Elle se doutait bien qu’il allait la descendre au près de ses parents même au travers de petit sarcasme détournés. Elle enleva aussitôt sa main et se tourna vers son père. Je suis comme vous m’avez élevé père … C’est de vous que vous pouvez être fière. Quand à Alekseï monsieur Ivanovitch , cette vidéo n’était autre qu’une scène du film que nous tournons à Harvard pour un cour… rien d’autre … maintenant excusez moi j’ai mal au cœur c’est surement les petit fours qui ne sont pas passés Se levant de table en s’inclinant face à l’assemblé, elle sortit sans même un regard pour Alek sur le balcon histoire de fumer une clope. Elle venait d’arranger les choses pour Alekseï , lui permettant ainsi de retrouver son titre, elle le savait bien mais autant réparer son erreur surtout face à ce père qui semblait s’amuser à descendre son père, peu fière d’elle, elle croisa ses bras sur la barrière et frictionna ses derniers. Elle était certaine qu’elle attraperait un virus , surtout lorsqu’on sait que les température ici avoisiné les - 20 degrès en cette période cependant elle fit abstraction de ça , elle avait déjà besoin de souffler.
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Je quittais ma suite, la porte verrouillée, la clé alla dans le fond de ma poche, j'étais prêt pour la soirée, physiquement avec ce somptueux costard, cette coiffure impeccable mais aussi mentalement, jouer de nouveau ce fiancé parfait amoureux, j'avais hésiter pas mal de temps, réfléchir à rejouer oui ou non la comédie mais quand j'ai pris la main d'Anastasiya tout à l'heure, je lui montrais que je reprenais ce rôle alors que je ne lui devais plus rien, plus après ce qu'elle m'a fait mais c'est comme si au fond ça servait à quelque chose cette comédie. Je l'attendais au pied de l'escalier et juste quelques minutes d'attente et elle était en haut, magnifique dans sa robe, je la fixais durant toute la descente de cet escalier et une fois qu'elle fut à ma hauteur je la complimentais malgré tout, en ce moment même je la détestais vraiment mais je ne pouvais nier le fait que ce soir elle était vraiment superbe, elle savait qu'il s'agissait de moi, elle préférait demander, je me contentais juste de sourire faiblement. Son bras en dessous du mien, on avançaient vers la salle de réception et une fois dedans, c'était l’éblouissement, je scrutais chaque recoins et c'était parfait, ils savaient décorés et recevoir, du respect c'était certain, même ma mère, grande organisatrice à ses temps perdu ne pourrait faire mieux, il fallait le dire c'était un véritable talent qu'Irina avait. Les majordomes reculaient nos chaises et nous les avançaient pour que nous puissions nous asseoir, je devais avouer être stressé par ce repas, je jouais la comédie certes mais je n'oubliais pas ma relation actuelle avec la jeune princesse de Russie, son père nous complimentait et ma mère ajoutait une remarque qui nous laissait perplexe, on faillit s’étouffer avec notre propre gorgée de champagne, pas d'enfants avec elle, c'était vraiment pas prévu même pas du tout, on étaient trop jeune puis non je ne m'imaginais pas avec un gosse, elle avait le don pour foutre dans l'embarra même son propre fils. Anastasiya avait embler assez angoissée par la remarque de ma mère qu'elle se laissa aller et bu cul sec deux coupes de champagnes, les entrées arrivaient enfin et avant que nous débutions, son père semblait la critiquer tout comme le mien juste après à mon égard, il n'hésita pas pour parler de la vidéo, la douleur revenait, cette honte, cet échec, je sentis la main d'Anya se poser sur la mienne, je savais qu'a travers ce geste elle s'excusait encore une fois, même son regard me le transmettait mais m'adressant à son père, je lui disais que sa fille était prête à tout pour arriver à ses fin, ça pouvait sous entendre le coup qu’elle m'avait fait, le piège comme l'envoi de la vidéo. Sa main se retirait systématiquement et s'adressant d'abord à son père, elle en venait à parler au mien lui disant que cette vidéo était rien d'autre qu'une scène pour un projet sur le campus, je comprenais par là qu'elle essayait de se racheter, je la regardais se lever de table, elle allait au balcon, ce n'était pas les petits fours qui la rendait dans cet état mais autre chose Père... croyez ce que vous voulez mais jamais je n'aurais fait cette chose de mon plein gré, c'était un projet.. excusez-moi mais ma fiancée ne va pas bien... je vais voir ce qui la tracasse..poursuivez le repas... on revient très vite... me levant je m'excusais auprès des deux hommes avant de filer au balcon pour retrouver Anatasaiya. Ce froid ne va en rien t'aider.... je retirais ma veste de costard pour la déposer sur elle Ana..mer...merci...pour ce que tu as dit à mon père... je restais planté derrière elle, n'osant pas approcher après lui avoir mit ma veste.
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Arrivant dans la salle de réception aux bras d’Alekseï, la jeune femme se sentit assez mal à l’aise. Toute cette comédie était assez pesante sur Harvard mais ici c’était encore plus compliqué. Mentir devant ses parents , faire semblant n’était pas aussi facile … pourtant eux aussi semblait bien jouer la comédie … S’installant à sa place, elle posa une main sur celle de son père en plongeant son regard dans le sien , espérant que ce petit moment d’intimité qu’ils venaient de partageait ne serait en aucun cas vue par les autres. Elle avait besoin d’avoir ses parents rien que pour elle, elle avait besoin d’avoir les conseils de sa mère en cette instant comme une vrai mère, elle avait besoin d’un vrai père qui lui dirait qu’il tuerait celui qui oserait lui faire du mal … elle demandait juste une famille normale par moment … mais lorsqu’il enleva sa main dans la sienne pour saluer la tablé, elle la reposa sur ses genoux en baissant la tête. Oui elle se plaisait ici, oui cette vie était plus que plaisante, elle avait toujours eu ce qu’elle voulait ou presque. L’attention de ses parents, n’était pas réellement présente et bon dieu qu’elle en avait besoin . Surtout en ce moment. Alors que leur parents échangé des banalités, ils vinrent à leur parler, les mettre de nouveau mal à l’aise. Anastasiya manqua de s'étouffer lorsque la mère d’Alekseï évoqua une grossesse prochaine. Buvant son verre cul sec, elle secoua la tête et énonça sa façon de penser d’une manière courtoise, elle avait peut être dit oui pour le mariage , mais pour l’enfant c’était tout une autre affaire. Premièrement, elle n’avait pas la fibre maternelle, elle ne se voyait mais alors pas du tout avec un enfant. A vrai dire elle n’était pas une grande fan… elle se demandait même comment allait faire Andy avec Coraleen…Cependant ses interrogations s’envola bien assez vite en entendant le père d’Alekseï parler ouvertement de la vidéo. Elle se sentit tout de suite mal. Tout était de sa faute et jamais elle n’aurait cru que ce sujet de discussion aurai sa place ici. N’avait-il aucune dignité, auucune fierté personnelle ? Subitement, elle posa sa main sur celle de son fiancé, lui faisant comprendre qu’elle le soutenait malgré que tout ceci fut de sa faute, mais lorsqu’il s’adressa à son père, elle retira toute trace de gentillesse en son égard. Elle ne le regarda même plus et posa sa main sur la table. Comment avait-il osé faire une telle remarque. Bien que son père ne sache pas réellement le pourquoi, elle oui , et bien entendu elle se sentit gêné . Elle décida donc de sauver la face d’Alekseï face à son père, en évoquant tout simplement que ceci n’était qu’une mascarade et qu’il s’agissait d’une expérience pour un film qu’il devait tourner. Cependant, si il faisait encore ce genre de remarque elle ne se gênerait pas pour prendre en aparté son père et lui dire qu’en aucun cas ce n’était un projet mais que juste elle se sentait honteuse que son fiancé lui ai fait une tel chose et qu’elle avait préférée couper court à cette conversation qui remettait en cause son honneur devant la Russie, mais surtout devant sa famille. C’était si facile de défaire ce qu’elle venait de faire. Se levant de table, elle eut subitement l’envie de se rendre dehors, de souffler et surtout de s’éloigner un instant. Attrapant une cigarette dans sa pochette, elle la porta à ses lèvres, et ferma les yeux sur cette vue que lui offrait le balcon. En effet, ici on pouvait voir toute la Russie, les montage d’un côté, St Petersburg de l’autre et tant d’autre. Depuis son enfance, elle aimait venir ici et à chaque fois ça ne manquait pas, elle avait déjà l’impression de régner sur tout ça.
Qu’est-ce que ça peut te faire si ça m’aide ou pas ? Tu me parles maintenant ? Toi par contre m’aider tu peux pas … Je t’avais demander de faire aucune allusion devant mon père, même si lui ne sait pas, moi oui, j’ai pas envie de gâcher mes retrouvailles, tu comprends pas que j’en ai besoin ! dit-elle en ouvrant les yeux. Subitement, elle sentit la veste d’Alekseï sur ses épaules , du moins elle reconnu l’odeur et un petit sourire se forma sur son visage, sourire qu’il ne vit pas pour ensuite reprendre ce masque de neutralité qu’elle avait pu avoir dès qu’ils eurent passés la porte. Elle la retira et en se retournant vers lui, elle la lui rendit du bout de l’index. Je l’ai pas fait pour toi, j’avais pas envie que ton père gâche le repas de mes parents avec ses allusions et tu sais très bien que je peux défaire ce que je viens de faire… alors tu arrêtes. dit-elle en levant son regard dans le sien. Il ne comprenait certainement pas qu’elle veuille passer de bon moment avec ses parents en cette fin d’année. De toute manière Alekseï tu te fais passer pour la victime dans l’histoire mais t’aurais pu dire non … tu vois sa montre encore que je ne peux pas avoir confiance en toi. … elles étaient censés être mes amies et tu l’as quand même fait. Tu m’expliques pourquoi tu me fais ça … alors que tu m’avais dit que j’étais la seule qui compté réellement ! Alors oui je suis peut être aller loin, mais on ne joue pas avec moi et t’as qu’à penser avec ton cerveau par moment tu verras que seras moins con .
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Anastasiya & Alekseï
Loin du froid de décembre
Les portes franchis, la salle de réception s'offrait à nous, une si belle décoration, c'était juste resplendissant, on arrivaient à notre place, les majordomes nous installant, je voyais en jetant un bref regard que Anya avait sa main poser sur celle de son père, j'aurais tellement aimé faire pareil, elle a besoin de ses parents, surtout maintenant, moi aussi j'ai besoin des miens, leur expliquer ce que je ressens, leur expliquer que je ne suis pas prêt pour le trône, j'ai tant de choses à leur dire, tant de choses qu'ils ont à écouter mais je n'ose plus, cette vidéo m'a complètement détruit, moi comme la confiance, l'honneur portée à ma famille, je n'ose que les regarder, leur sourire, voir si ils me sourissent, ça s'arrête là. Et pour en rien arranger nos parents nous mettaient mal à l'aise devant tout ce beau monde, ma mère faisant la remarque d'une futur grossesse possible pour Anastasiya, on faillit s'étouffer avec notre gorgée de champagne, on étaient même pas encore mariés puis on avaient pas l'âme de parents, plus moi qu'elle et on étaient jeunes, c'était pas du tout prévu, personnellement ça ne m'avait jamais traversé l'esprit même l'idée de ce mariage me soulait alors celle d'un gosse, même pas la peine d'imaginer. Et mon père qui me rabaissait en personne, j'aurais penser qu'il ne parle pas de ça ce soir mais il osa, il osa rappeler à son fils unique quel point il était déçu de son acte, dans ses paroles, je sentais la honte pure et méchante, dans ma tête raisonnait une seule question, pourquoi Nastiya à envoyée cette vidéo ? Le coup qu'elle m'a fait, dégueulasse certes, dépassa les limites c'était sur mais c'était iren par rapport à ça, elle était prêt à tout pour avoir son trône, me déshériter, m'achever, m'humilier devant mon paternel, je ne comprenais toujours pas alors que notre relation avait changée du tout au tout, on a couchés ensemble et le changement s’est vu, on s'est même embrassés, ça ne comptait vraiment pas pour elle, elle m'avait manipuler et jouer la comédie ? Je ne cherchais pas à m'embrouiller l'esprit plus qu'il ne l'était déjà, je m'adressais à son père, insistant bien sur le fait que sa fille était prêt à tout pour arriver à ses fins, elle seule comprenait vraiment ce que cela voulait dire, juste avant le diner elle m'avait dit de ne pas faire ce genre de choses, elle m'avait supplier de ne pas le faire ce soir mais je ne lui devais plus rien, elle se levait s'excusant avec un prétexte des petits fours mal passer, elle allait à l'extérieur, sur le balcon mais juste avant elle venait de me sauver la mise en disant à mon père que cette vidéo était une scène d'un film en vu d'un projet pour l'université, j'étais surpris de ce qu'elle venait de faire. Je me levais aussi, m'excusant pour la retrouver sur le balcon Anastasiya... je veux pas gâcher tes retrouvailles avec tes parents.. mais j'ai parlé avant de penser... tu me connais... j'enlevais ma veste pour la déposer sur elle, éviter qu'elle attrape froid mais elle me la rendait quelques secondes plus tard Arrêter quoi ? Je te remercie juste.. on s'en fou du pourquoi ou du comment, je te dis juste merci... mais si tu veux me briser encore plus je t'en pris retour voir mon père et lui dire ce que t'as sur le cœur... son regard me transperçait, je la fixais l'écoutant parler, j'ai agis comme un con, c’est pour ça que je ne veux pas de ce mariage, je ne veux pas qu’elle souffre, ces putes en sont la preuves, elles jouaient ses amies et j'ai couché avec, elle avait raison Ok mais pourquoi ce plan alors ? T'avais prévu que je couche avec non ? T'avais prévu ça... t'as utiliser cette faiblesse que j'ai sur les femmes, tellement les aimer que la moindre qui passe devant moi est capable de finir dans mon lit.. tu le savais et tu me fais maintenant des reproches ? je remettais ma veste soupirant et poursuivant Oui j'ai dis que tu étais la seule à compter... c'était sincère... cette fille c'était rien... j'ai rien fais avec... j'ai même pas pris son numéro.. rien de tout ça... c'est toi qui compte... qui comptait....
(Invité)

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