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De Bourlan ☆ S'accrocher a ta vie pour vivre

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S'accrocher a ta vie pour vivre
— with @Deirdre M. Wheelan  

Ton coeur se noye sous cette barrière de la vie, elle est en train de tout te prendre et tu perds tout. Tu te concentre sur ses lèvres pendant ce baiser si tendu et délicat à la fois, c'est horrible mais si parfait quand même. Tu ne sais même pas si tu vas pouvoir te détacher d'elle tellement tu sembles oublier tout ce qui se passe à ses côtés. En fait, la bulle vient de se refermer, la bulle qu'elle a éclaté et recréé ensuite. Elle arrive à réellement tout te prendre. Ton regard la fixe enfin quand elle te parle, tu baisses la tête, regardant tes mains légèrement quand tu viens entendre les conneries qu'elle peut déballer Non. J'ai pas envie moi. Je veux pas que tu sois mon amie. Je veux que tu sois quelque chose d'autre ! Comme avant ! Pas comme ça, je veux pas ça. Je veux comme avant ! Comme avant !! t'es en colère, tu commences à taper du pied parce qu'elle comprend pas, elle comprend pas ce que tu veux en fait alors que tu enlèves ses mains de tes joues, tu commences à faire les cents pas, répétant encore et encore que tu veux comme avant mais elle doit comprendre. Tu t'en fous de Juan, de tout ce qui se passe. Juan est ton garde du corps et pas celui de ton père donc il doit t'obéir non ? Enfin plutôt en rêve mais bon. Si tu ne veux pas qu'il te suive, par contre, ça tu sais qu'il le fera réellement donc autant dire que par contre, ça tu peux jouer avec pour aller voir ta Deirdre, ta douleur irlandaise. Mais là, tu répètes ses deux mots en marchant, tu dois te calmer en fait, parce que lasituation, tu la contrôles plus du tout ..
 

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Tu essaies de trouver une solution. Par tous les moyens, même si ils sont stupides. Et à mesure que tu réfléchis, tu exposes ta réflexion. Comme celle par exemple de n'être que des amis. Du moins pour les regards extérieurs. Et tu sens la colère s'emparer de Valentin. Ses mains qui te rejettent et ça te brise. T'es pas certaine d'être assez solide pour porter cela avec lui. Ses mots résonnent à tes oreilles. Tu sens qu'il ne maîtrise plus tout ça et tu l'observes. Tu ne sais pas quoi faire. Le toucher ne pourrait que le faire partir en vrille davantage, tu sais pas pourquoi mais tu le sens. Ton souffle se bloque là, quelque part, dans ta poitrine. Et tu ressens de nouveau cette brûlure qui t'avait quitté quelques instants plus tôt. Tu te sens mal. Parce que c'est toi qui a déclenché cette rage en lui. Tu te recules légèrement prise au dépourvu. « Valentin, arrête s'il-te-plaît ! Je suis désolée, c'était nul comme idée.» Tu sais pas si ta voix peut avoir un quelconque effet sur lui. « On va trouver, on va trouver comment faire pour être comme avant. » Tu te rapproches finalement. « Viens, je t'en supplie. » tu lâches, pas bien du tout.  Peut-être que ses mains vont te rejeter à nouveau, te faire mal même et tu t'en fiches complètement.  « Solo Nosotros , solo algo mas. » que tu dis finalement dans son espagnol natal.
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S'accrocher a ta vie pour vivre
— with @Deirdre M. Wheelan  

Tu veux plus être comme ça, tu veux être que tout soit dicter par une règle, tu en as déjà marre, alors tu parles fort, tu pètes un câble clairement, ce cable qui aurait du être péter devant ton père à Noel, mais tu n'avais pas la force. Alors tu le brises ici, devant Deirdre, elle t'a déjà vu en colère, une fois ou deux grand max mais impossible de lui dire réellement les choses, tu veux les choses comme avant. Alors tu le répètes, peu importes ses paroles, tu veux être comme avant. Tu ne l'observes plus, tu as ta bulle a toi, juste toi et ton envie d'être comme avant, tu restes à faire ses pas violents sur le carrelage des toilettes des femmes, tu veux être comme ça, est ce qu'elle comprend ? Et elle s'approche et toi tu t'éloignes parce que tu ne veux pas lui faire mal et tu lui hurles dessus Je veux qu'on soit comme avant!! Bien sur, ça doit lui faire mal que tu la rejetes, qu'elle n'arrive pas à te contrôler comme ça mais cette phrase. Tu t'arrêtes net, comme le mur, juste pour être sur qu'elle l'a dit, tu viens de t'arrêter et tu n'oses plus bouger, comme si ton sang ne bougeait plus. Tu la regardes, tu la fixes un instant, tu as honte de cette nuit-là, d'être partit comme un voleur, d'avoir laisser juste un papier stupide, tu n'as même pas donné ton numéro, juste ses 5 mots stupides avec ce médaillon d'une règle que tu ne suis jamais. Tu finis par baisser la tête, tu en pleures tellement tu es faible de ça et tu restes là, figer, seul comme un idiot, elle vient de te rappeller à quel point tu ne peux pas l'avoir pour toi.. Il fallait que je parte... Tu le savais ... Je devais partir, c'était la règle dis-tu en chuchotant, gros contraste entre la crise et le retour à la réalité finalement. Tu t'en veux tellement de cette nuit-là si elle savait. Ton corps entier se projette finalement vers elle, tes mains sur ses joues pour l'embrasser, bien que de nombreuses perles continuèrent à se verser sur tes joues. Mais ce n'était pas le plus important maintenant, c'était elle qui t'importait à ta manière ..
 

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La colère s'empare de son corps, c'est comme une spirale qui monte et n'en finit plus de tourner. Tu observes ça impuissante. Tu sais pas comment gérer ça, comment apaiser sa rage alors que tu souffres toi aussi. C'est comme si il extériorisait pour vous deux. Toi t'es incapable d'une chose pareille. T'as toujours appris à figer tes émotions dans la glace de tes veines. C'était la clé pour survivre à ton drame. Sauf ce matin là où il est parti. C'était la première fois finalement que ton corps parlait. Lui que tu as toujours su faire taire. Alors tu tentes de le rappeler à toi, par tous les moyens et c'est votre phrase qui finalement l'arrête. Il se fige. « Je sais. » que tu dis d'une voix triste et douce. Et tu lui reprochera pas. Toute sa vie il a suivi des règles, ce sont ces mêmes règles qui l'ont rassuré et permis d'être tien aujourd'hui. Il revient à toi d'ailleurs et ses phalanges qui se posent sur tes joues ça vient apaiser la brûlure que tu ressens. Tu observes l'eau su sa peau puis ce regard que tu connais si bien maintenant. Tu veux l'envelopper, tu veux pas qu'il souffre. Tu t'en fous de souffrir toi, t'es née en souffrant de toute façon. Tes mains épousent sa taille puis son dos doucement et de nouveau tu viens contre lui. Vous êtes pitoyables à pas pouvoir vous décoller plus de trois minutes, un peu comme des fragments brisés qui tentent désespérément de recoller leurs morceaux. Tes lèvres viennent chercher les siennes encore une fois et tu veux plus parler, tu veux juste être lui et qu'il soit toi.
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— with @Deirdre M. Wheelan  

Tu finis par l'embrasser, parce que c'est insupportable, c'est totalement insupportable, tu finis même par passer ta main dans ses cheveux avant de sourire faiblement quand tu te détaches d'elle. Un baiser, un simple baiser et voilà que la porte s'ouvre violemment sur Juan. Bien sur les paroles habituelles Votre Altesse Royale ect ect ect mais t'es trop absorbé pour la protéger finalement. T'es passé en un quart de seconde devant elle, comme pour l'éviter qu'il te la prenne une nouvelle fois et tu regardes ton garde du corps fasse à Deirdre qui ne bouge pas. Ton homme de main a bien comprit la chose et tu le fixes avant d'ajouter. Elle s'est blessée.. C'est ma faute .. Je l'ai soigné .. Ajoutes-tu avant de le regarder mais tu ne comptes pas partir avant de la savoir saine et sauve, même si c'est déjà fait. Il te fixe, il la regarde ensuite pour ajouter le fait que tu es les yeux rouges, donc que tu as pleuré. Tu ne dis rien, tu ne dis strictement rien, tu n'oses pas mais Juan te demande de sortir d'ici. La règle c'est la règle. C'est comme ça, c'est ainsi. Sauf que ta main s'agrippe à celle de la jeune femme, tu comptes pas bouger, pas aujourd'hui, tu l'a fais la nuit dernière mais tu ne vas pas le faire aujourd'hui ..
 

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Vous l'avez recrée votre bulle à vous et t'es si bien dedans avec lui. Tu sens ta glace fondre un peu plus lorsqu'il te sourit faiblement et que tu lui souris toi aussi. Mais une bulle a cette caractéristique d'être éphémère et d'éclater. Ce qui arrive immanquablement quand Juan ouvre la porte sur vous deux silhouettes égarées. Tu ne le vois pas immédiatement puisque Valentin te cache de ses yeux désapprobateurs. Tu te figes, comme une coupable prise la main dans le sac. Tu vaux mieux que ça Deirdre. On est pas censés avoir honte de quelqu'un comme toi et c'est ton orgueil que la cour d'Espagne attaque par la même occasion. Tu es piquée au vif et davantage lorsque ses yeux se posent sur toi et que ta glace réapparaît comme par magie. Tu sais qu'il le protège mais tu le détestes à cet instant précis. C'est tellement facile d'opérer des raccourcis sur ta part. La main de Valentin attrape la tienne et tu veux pas la lâcher non plus. Deux gamins qui veulent pas subir la punition. Tu restes ainsi statique quelques instants, mais y'a pas de solutions, tu lui as dit quelques instants plus tôt. Tu retournes Valentin vers toi, rien à foutre de Juan. « ça va, je t'assure, merci de m'avoir soigné. » Tu souris faiblement alors que t'es brisée là. « Vas-y Valentin, c'est la règle. » Et quoi faire contre ça ? Tu serres sa main un peu plus. Il sait où te trouver, il sait comment faire et tu sens qu'il risque de péter un cable encore un peu plus. Mais tu peux rien faire toi. Tu peux pas t'opposer à un Roi. T'es que Deirdre la petite Irlandaise, t'es que l'ombre dans l'ascension d'une Altesse.
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— with @Deirdre M. Wheelan  

Juan est face à toi et tu caches Deirdre du regard sombre de Juan. Ton homme de main qui te connait par coeur à force et c'est presque insupportable de savoir qu'il a pu te retrouver aussi facilement en un rien de temps. Tout ça à cause de ses femmes, tu es sur de toi. Tu finis par pincer tes lèvres, ta main serrant la sienne et d'ailleurs tu jettes un léger regard à vos mains liées, il les regarde aussi. Tu finis par te tourner vers elle, elle l'a voulu, tu peux pas t'empêcher de la regarder. Tu la fixes dans les yeux, elle veut que tu partes mais toi tu ne veux pas. Tu baisses les yeux un instant avant de renifler légèrement. Tes lèvres cherchent les siennes mais tu te souviens de Juan alors tu lui embrasses la joue Je suis désolé un chuchotement contre sa joue, tu te recules alors que Juan t'ouvre la porte pour te faire sortir mais il reste une seconde de trop pour lancer une menace digne d'un Roi, il a appris auprès de ton père et ça se voit C'est la dernière fois A croire qu'une injonction pourrait être retenue contre vous si vous continuez. Comme si vous étiez les amants maudits, comme si vous ne pourriez jamais être ensemble. Parce que c'est le cas en fait.. Et ça te détruit..
 

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Il y a de la beauté dans ce monde Deirdre. Mais faut croire qu'elle est pas pour toi. Inspiration. Expiration. Tes paupières se ferment alors qu'il embrasse ta joue furtivement. Tu es soulagée tout de même que la colère ne le gagne pas à nouveau. Juan vous rappelle à l'ordre et tu songes sérieusement à verser du poison dans sa coupe. Ton menton se relève alors qu'il te lance un dernier regard, le dos de Valentin en dernière image. Tu te retrouves de nouveau seule. Face au miroir. Tu t'observes quelques instants avant de laver tes mains. Comme si de rien n'était, comme si tu pouvais laver la peine avec l'eau que tu verses. Tu ne te reconnais pas. Tu ne te reconnais plus. Tu te hais. Tes phalanges attrapent le tissu épais du manteau que tu remets sur ton dos. Tu redeviens ce pantin sans fils parce que t'en as jamais eu. Les racines sont absentes et le cœur crève de ce trop plein. Tu redeviens l'Impassible à la poitrine creuse et noircie. Parce que tu n'existes plus. T'es partie avec Lui.

THE END OF THE WORLD
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