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De Bourlan ☆ S'accrocher a ta vie pour vivre

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S'accrocher a ta vie pour vivre
— with @Deirdre M. Wheelan  

La dure réalité de la vie, autant dire que tu aurais pu accepter tout ça. Tu t’es fait engueulé ce jour-là, tu t’es fais sacrément défoncé pour avoir répondu à aucun appel, aucun message rien de Juan ou de ton père et le pire dans tout ça, t’as été privé de sortie. Déjà que tu sortais pas beaucoup, là c’était pire. Un regard vers le fenêtre encore une fois, Juan énonce les nouvelles du pays du soleil. Autant dire beaucoup trop. Les journalistes et leur article sur ta personne, ceux qui t’ont vu aller diner avec une vieille amie, ou pire encore, ceux qui t’insultent ou qui l'idéalise. Autant dire qu’il y en a des articles, mais t’es trop pensif pour faire quoi que ce soit. Depuis ce soir-là, tu ne penses qu’à elle, tu ne peux pas t’empêcher de penser à elle et même si ce n’est qu’un mirage, tu n’arrives plus à en sortir de cette bulle. Tu es dans ton monde, bien plus renfermé qu’avant, trop insouciant de ta vie d’ailleurs, tu es trop pris dans cette tristesse. Tu finis par soupirer quand tu sens la voiture s’arrêter et Juan te parler encore, mais tu n’as rien dis. Tu ouvres simplement la porte, la refermant pour partir en direction de l’université. Tu l’as vu deux fois, une fois avec le petit ami de ta soeur, marchant, riant comme si de rien était, une autre fois à déjeuné mais tu étais incapable d’y aller, aller la voir, lui parler ou même l’embrasser. Non. Tu finis par baisser les yeux, avançant vers la machine à chocolat chaud pour attendre ton tour. Ton cour était certes dans l’autre bâtiment, de l’autre côté de la route, tu aimais ce chocolat chaud là. Alors tu ne te fis pas prier une fois le gobelet en main, tu avances simplement, traversant la route sans regarder, sans forcément voir la voiture qui arrive à fond sur toi, surtout quand tu fais tomber tes papiers par terre.

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C'est drôle ces jambes qui te portent malgré toi. Ta colonne qui se redresse, ta tête qui se tient droite. T'as plus que l'impression d'être une marionnette. Un pantin dont tu contrôles plus les fils. T'es sur pilotage automatique. Tu maintiens la façade. C'est la seule chose que tu sais faire. Que t'as apprise. Alors tu continues les cours, tu passes du temps avec tes amis. Pour oublier. Mais t'oublies rien. C'est partout, un drapeau jaune et orangé, le parfum d'un chocolat chaud, le houx que tu vois parfois, sans parler du piano. Ni même de cette médaille que tu gardes toujours dans ta poche. Tu te surprends à trouver tes doigts qui caressent le métal plusieurs fois par jour. T'es ridicule, tu t'accroches à un fantôme. A ce goût d'on y reviendra plus. Le fantôme, tu l'as bien aperçu une fois mais il s'en est allé, ne laissant que ta fierté en miettes. Tu dois te rendre à ton prochain cours et tu décides d'un café pour t'aider à tenir la journée. Trop de pensées et des nuits absentes. C'est compliqué même pour la Froide et Impassible Deirdre. Tes talons résonnent sur le bitume froid du campus et tu t'arrêtes net lorsque tu le vois lui. Il est là, devant toi. Comme si de rien n'était. Il ne te voit pas, il est trop absorbé par sa bulle. Tu la connais bien, tu y entrais avant. T'étais la seule et ça gonflait ton cœur trop lourd d'orgueil. Mais tu la vois toi, la voiture qu'il voit pas. Tu vois le drame se jouer sous tes yeux. Alors tu cours. C'est pas commode, perchée comme tu es, alors tu t'en débarasse des aiguilles sous tes pieds. Tu l'attrapes tu sais comme dans ces films d'action. Et Alexis qui se fout de ta gueule, elle la ramènera pas là en te voyant. T'es digne d'une Amazone oui. Tu roules avec lui alors que la voiture freine à fond dans un crissement puissant. T'es haletante sous lui encore accrochée. Aie. Que t'as envie de dire, mais c'est « Regarde avant de traverser par pitié ! » qui passe avant. Pragmatique avant tout.
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S'accrocher a ta vie pour vivre
— with @Deirdre M. Wheelan  

Stupide moment, tu as laissé échappé ton carnet de note avec toutes les notes à l’intérieur et feuilles volantes par terre. Parce que oui, tu as du bousculé encore quelqu’un, encore une personne qui ne fait pas partir de sa bulle. De cette façon c’est un silence, un long silence qui se dessine dans ta bulle à toi qui risque d’exploser. Quand tu te redresse, tu te fais violence pour relever la tête et te voilà au dessus d’elle. Elle est en dessous de toi et tu ne peux pas t’empêcher de la fixer dans les yeux, elle est là, face à toi, réellement. Tu manques de tomber dans les pommes, parce que tu n’arrives pas à t’en remettre. Sa voix, son timbre de voix, ses lèvres qui bougent, tu restes face à elle comme un idiot sans bouger finalement. Tu te relèves légèrement, restant assis, ton carnet à côté de sa tête et le gobelet du chocolat chaud totalement renversé sur la chaussée, tu la fixes pour sourire faiblement, juste elle, parce que ta bulle l’a laissé une nouvelle fois rentrée, juste elle, juste nous et juste quelque chose d’autre. Mais les gens arrivent, elles viennent voir Deirdre ou toi, suivant les gens, mais tu es déjà debout, marchant vers ton cours. T’aimes pas le monde, t’aime pas les gens, t’aimes pas quand ils sont faux et tu en as oublié ton carnet de l’autre côté de la rue. Idiot ou étourdi, elle était la seule à ne pas te faire sentir si faible.. Mais elle n’est plus à toi maintenant ..


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Tu réfléchis à tout mais là c'est ton corps qui a parlé en premier. T'as bien pensé à passer sous les roues à sa place, mais t'es pas vraiment pour une tragédie à la Romeo et Juliette. Alors en bonne héroïne, tu vous a sauvé tous les deux. T'es à bout de souffle et solidement amarrée à lui quand tu te rends compte de ce qu'il vient de se passer. Tes premiers mots ne sont pas doux. Ils sont suppliants. Le savoir absent de ta vie est suffisamment difficile comme ça pour que tu envisages le pire. Tu sens son regard se poser sur toi et tu vous revois cette nuit là. Tu relâches machinalement ton emprise parce que tu ne peux décemment pas te jeter sur lui en pleine rue. T'es pas fréquentable on le rappelle. Et tu vois son sourire qui s'étire doucement. Toi t'es trop secouée. Et le monde arrive. Vous demande si ça va. Il ne manquait plus que de se donner de la sorte en spectacle. Tu détestes ça. Tu les déteste tous. Mais ça va que tu dis de ta voix froide et assurée. « Vous inquiétez pas. » Tu te tournes pour le voir, est-ce que lui il va bien au moins ? Mais il tourne déjà les talons à l'angle. Ton regard se fige. Désespérante, on vous dit. Tu racles ta gorge et traverse dans l'autre sens, pieds nus sur l'asphalte, une drôle de sorcière irlandaise ébréchée, magnifique et frêle en même temps. Tu remontes sur ton piédestal et tu vois le carnet agonisant sur le béton. "mallacht Dé!" lâche-tu entre tes dents. Tu t'en empares et songe à le garder là pour toujours mais c'est un peu trop mièvre. Alors tu rassembles ce qu'il te reste de prestance et le rattrape rapidement un peu plus loin.  « Valentin ! » tu appelles et t'es même pas certaine qu'il t'entende. « Valentin ! » que tu dis encore une fois en lui attrapant la main. « Ton carnet. » Tu souris, gentille petite élève en lui tendant le carnet que tu viens de tâcher de ton sang qui goutte là entre tes doigts. Mince. Pour la gentille petite élève, on repassera.
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S'accrocher a ta vie pour vivre
— with @Deirdre M. Wheelan  

Qui aurait cru que tout le monde se rassemble autour de toi pour finalement repartir vers elle. Qui aurait cru que tout le monde s’inquiète pour elle mais pas pour toi. Et tu t’en vas, parce que tu n’as pas l’habitude de ça mais tu as l’habitude d’être tout seul. Tu prends ton gobelet vide pour le mettre dans la première poubelle et tu t’enfuis en direction, tu ne sais où. Mais tu t’enfuis. Tu viens même à oublier, oublier rapidement où tu étais, qu’est que tu faisais là et surtout tu n’oublies pas avec qui tu étais. Ton regard autour de toi alors que tu sens quelque chose te prenne la main, tu te tournes et tu fixes. Tu la regardes et tu sais pas pourquoi, tu t’approches d’elle mais tu t’arrêtes quand elle te dit qu’elle a ton carnet. Tu baisses le regard vers les feuilles et le carnet tu es deçu Merci … tu fixes juste un instant ce carnet avant relever la tête vers elle et tu sais pas pourquoi tu t’éloignes au lieu de t’approcher. Mais tu restes là, silencieux comme si elle allait s’échapper. Mais ta main prend la sienne, caressant ses doigts alors que tes pas décident de marcher vers elle, de venir même presque elle J’ai mal au coeur sans toi Parce que le manque c’est que pour la drogue et l’alcool, c’est pas pour les personnes, ça n’existe pas et ça n’existera jamais..

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Tu te retrouves face à lui légèrement mal à l'aise de ce sang carmin qui coule entre tes doigts mais lui ne le voit pas. Ses yeux se baissent au sol quand tu lui tends le carnet de toute manière. Tu l'observes, ne sachant trop que dire, c'est une torture silencieuse qui s'offre à vous. Et t'aimerais bien que ce truc cesse, mais ça ne fait qu'empirer en vrai. Tu pensais qu'égoïstement en le possédant, tu assouvirais ce désir étrange pour sa personne. La vérité, c'est que tu n'as récolté qu'une béance qui se creuse là encore et encore. Tu sens ses doigts s'emparer des tiens, il ne doit pas sentir le liquide qui se répand doucement et toi t'es trop secouée pour le mettre en garde. Tes billes se relèvent sur les siennes quand il avoue.« J'ai mal partout moi. » que tu dis d'une petite voix. « tout le temps. » et quoi faire contre ça ? Vous avez l'air malin tous les deux, pris au piège. Vous êtes faits comme des rats. C'est ça l'amère réalité, d'ailleurs tu la sens bien là sur tes lèvres absentes des siennes. Tu passes ton autre main autour de sa taille, tu viens te coller à lui. Tu t'abrites dans ce refuge qu'il représente pour toi et tu te détaches. « Je dois y aller. » que tu dis doucement. Parce que tu vas crever à le regarder une seconde de plus. Les roues c'était pas si mal en fin de compte.
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— with @Deirdre M. Wheelan  

Elle a mal partout, cela te fait mal au coeur et tu as mal au coeur encore plus. C’est insupportable de voir qu’elle souffre autant mais tu ne peux pas t’empêcher de la regarder dans les yeux avant de pincer tes lèvres. Difficilement, tu sens ton coeur battre, comme si ce qu’elle te disait te mettait à l’aise mais pas du tout. C’est horrible, c’est insurmontable, cest impossible. Tu viens baisser les yeux vers ta main et la sienne mais elle te fait un câlin, un stupide câlin que tu ne veux pas, parce que tu ne veux pas qu’elle parte elle. Mais c’est trop tard, elle s’éloigne, ses paroles sont que murmures, elle est partit et tu en pleures comme un idiot. C’est insupportable en fait, totalement impossible. Alors tu avances, tu lui tires le bras, ton front se colle au sien délicatement, pas violemment, non délicatement et tu la regardes,tu hoches la tête négativement Non tu t’en vas pas, tu restes avec moi Dis-tu alors que tu caresses ensuite sa joue doucement, juste avec tes doigts tachés et de sang. Rapidement tu fronces les sourcils pour observer ta main et froncer encore plus les sourcils Je saigne .. lâches-tu alors que tu viens regarder ta main puis la sienne Tu saignes ? C’est toi qui saigne, c’est pas moi Prononces-tu alors que tu la regardes dans les yeux, sans trop se soucier de ton désir ou de ton envie de l’embrasser, là, tout de suite, maintenant mais elle saigne et tu peux pas..

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Tu peux pas rester une seconde de plus. T'as l'impression que tout ton corps te brûle et c'est pas simplement à cause de ta peau écorchée sur le bitume. Non c'est davantage. Alors tu fuis avant d'y laisser tes sombres ailes. Mais il te rattrape au vol et ta respiration se suspend quand il vient coller son front contre le tien. « Val... » que tu dis alors que tu sens ton cœur se briser face à ses larmes. C'est insupportable. Foutue royauté. Il vient caresser ta joue et il ne voit pas immédiatement ses doigts tâchés de sang. Il ne comprend pas tout de suite. Et tu poses tes yeux sur ses doigts puis sur les tiens ensuite. Le sang continue de perler doucement, c'est un macabre spectacle. Mais tu paniques pas non. Saigner c'est rien à côté de ce qui se passe à l'intérieur de toi. « Oui c'est rien. » Tu sens la brûlure et la piqûre caractéristique sur ta peau. « Enfin je crois. » T'as même pas regardé idiote que tu es mais tu peux décemment pas regarder ça au milieu du campus. « Faut que je trouve un endroit pour nettoyer ça. » Et tu sais pas, tu veux pas rester seule. Tu veux pas qu'il parte alors que vous avez pas de solution. « Aide-moi à trouver un endroit s'il te plaît. » Stupide Deirdre, t'es là à mendier des miettes de sa personne. T'es tellement affamée de lui que tu te saignerais à blanc juste pour une minute de plus.
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— with @Deirdre M. Wheelan  

Ton coeur est énorme et tu ne sais plus réellement quoi faire pour la retenir, juste toi et juste elle. Tu finis par lui caresser la joue, voyant que le sang vient d'elle, tu fronces les sourcils pour commencer à t'inquièter, c'est pas possible qu'elle saigne, elle va mourir là non ? Enfin elle croit. Non elle saigne, elle est con ou quoi ? Tu finis par regarder autour de toi un endroit pour au moins nettoyer ça et tu vois ton bâtiment pour indiquer Y'a des toilettes là ! Ajoutes-tu avant de lui prendre la main pour avancer vers les toilettes les plus proches, bien sur, tu te diriges vers les toilettes des femmes pour lui ouvrir la porte et rester derrière la porte, parce que tu ne rentres pas dans les toilettes, tu te sens en plus idiot parce que quand tu as ouvert la porte, une femme sortait au même moment, merde de merde Je ... Je te laisse nettoyer dis-tu en baissant la porte pour la laisser rentrer quand même, parce qu'après tout, toilettes de femmes sont réservés aux femmes et c'est une règle importante

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T'es un peu sonnée avec tout ça et c'est pas ton genre de perdre tes facultés de la sorte. Mais tu t'attendais pas à le revoir comme ça encore moins à faire une cascade et à t'écorcher la peau par la même occasion. Il t'aide en te dirigeant vers les toilettes pour femmes. Il te tient la porte et tu vois son air gêné. « T'es pas obligé de m'attendre. » Que tu lui dis finalement. A quoi bon. C'est peut-être le bon moment pour lui de s'enfuir pour de bon. Tu arrives donc dans la pièce et tu peux observer ton reflet face au miroir. T'es encore plus pâle qu'à l'accoutumée Deirdre et tes yeux sont bien plus sombres. Tu enlèves ton manteau, tu le poses sur le radiateur non loin de là, puis ta veste. Tu remontes la manche de ta chemise mais c'est à l'épaule que se situe la plaie. Tu râles pour toi-même et tu entreprends de déboutonner le tissu. Tu peux voir une écorchure sur toute la longueur de l'épaule, tu t'es pas loupée mais c'est superficiel. Tu lances un regard froid à cette dernière fille qui part des toilettes et tu sens le mordant du courant d'air, peu importe. Tu prends un essuie-main et tu entreprends de tamponner la plaie, te demandant si il est toujours là finalement.
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