@Twiggy Jenson — Alors que Twiggy caresse avec malice des endroits de mon corps, je me laisse emporter par la sensation de ses doigts sur ma peau. Son jeu audacieux fait monter en moi un désir ardent, mêlé à une excitation palpable. — Tu veux savoir comment on sait que c'est vrai ? murmurai-je, sentant ses doigts glisser le long de mon torse. — C'est quand chaque fibre de ton être crie son nom, quand chaque souffle que tu prends est imprégné de son parfum, quand chaque battement de ton cœur résonne au rythme du sien. Je laisse échapper un léger soupir lorsque ses doigts trouvent leur chemin vers des zones plus intimes, faisant monter en moi une vague de plaisir. Malgré la tension qui nous habite, je reste concentré sur ses mots, sur sa question. — On sait que c'est vrai quand même le silence entre nous devient une conversation en soi, quand chaque regard échangé est une promesse d'éternité, quand chaque baiser est une affirmation de notre connexion unique. Je la regarde avec intensité, laissant mon désir pour elle brûler dans mes yeux. Dans cet instant, je sens que nous sommes sur le point de franchir une nouvelle frontière, de découvrir ensemble la vérité cachée derrière nos jeux de séduction et nos désirs inassouvis. Ma main glisse sous sa nuisette frôle sa cuisse lentement et remonte le regard ancré dans le sien et capturant ces lèvres dans un baiser. Est-ce que tu le voos comme c'est vrai nous deux ? Est-ce que tu le sens ?  

@Basile Lawson  —
mots qui résonnaient dans son esprit fébrile. vibrant à l’intérieur de sa poitrine en échos à ses propres sentiments. réponses complexes et simples à la fois. à se rendre compte qu’elle aimait l’écouter parler. voix qui berçait son angoisse. — du coup là c’est vrai ce qui se passe entre nous ? qu’elle questionne, incapable d’énoncer la vérité en premier. frémissant au contact de sa main sur sa peau qui remontait le long de sa cuisse. —peut-être que tu t’es pris un plus gros coup que je pensais ce soir, tu dis pleins de trucs qui n’ont pas de sens. laissant ses lèvres toucher les siennes. un murmure délicieux, suave et caressant, porteur de désir. si cela n'avait tenu qu'à elle, twiggy se serait abstenue de dire quoi que ce soit, elle se serait contentée de l'embrasser. sa bouche. sa respiration régulière, son souffle chaud, les palpitations de son cœur, ses yeux... il aurait bien pu faire ce qu'il voulait d’elle, elle était littéralement hypnotisée par l'intensité de ses opales. elle qui avait l’habitude de jouer avec les sentiments, de balader n’importe quel garçon , c'était bien cela le problème, il n'était pas n'importe quel garçon. les autres semblaient bien fade et banal à côté de lui. en une nuit il les avait tous évincé, les faisant passer en second plan. lèvres qui devenaient plus sèches. sourire qui finissait par se dessiner sur sa bouche. dis si je te donne mon coeur tu promets d’pas le briser? parce que merde quand tu me regardes ainsi je pourrai te le donner tout entier. — peut-être qu’on devrait dormir, ouai j’crois qu’on raconte tous les deux n’importe quoi. qu’elle ajoute dans un souffle cette fois ci ses opales déviant son regard. pour ce soir twiggy se défilait, c’était déjà trop pour son petit cœur. trop de choses avaient été dites, ça la chamboulait de l’intérieur. —j’ai envie de dormir dans tes bras qu’elle avoue à demi mot.

@Twiggy Jenson — Ses mots résonnent dans l'atmosphère chargée de la pièce, faisant écho à mes propres pensées tourbillonnantes. Son souffle chaud sur mes lèvres me fait frissonner, et je sens mon cœur battre la chamade dans ma poitrine. — Peut-être que tu as raison, peut-être que je me suis pris un plus gros coup que prévu ce soir, répondis-je avec un sourire taquin, mes doigts glissant doucement le long de sa joue. — Peut-être que tous ces mots n'ont aucun sens, mais ce que je sais, c'est que ce que je ressens pour toi est réel, aussi confus soit-il. Je la regarde avec tendresse, captivé par la lueur dans ses yeux, par la douceur de son sourire. Elle est là, si proche de moi, si vulnérable et pourtant si forte. Son aveu me touche en plein cœur, faisant naître en moi un sentiment de tendresse infinie. Sans un mot de plus, je l'attire doucement contre moi, la serrant dans mes bras avec délicatesse. Dans cet instant, tout semble s'apaiser, nos tourments, nos doutes, tout se dissipe dans l'étreinte réconfortante de nos corps entrelacés. — Alors viens, laisse-toi aller, je serais la à veiller sur toi toute la nuit. murmurai-je doucement à son oreille, déposant un baiser léger sur son front.