@Twiggy Jenson — Je ressentais un mélange de sentiments tumultueux en écoutant les paroles de Twiggy. Une partie de moi se sent soulagée de ne pas avoir à mettre un mot sur notre relation, de ne pas avoir à définir quelque chose qui semble si naturel entre nous. Mais en même temps, une autre partie de moi ressent une pointe de frustration, une envie irrépressible de comprendre ce qui se passe réellement entre nous. Je comprends les craintes de Twiggy, cette peur de s'engager trop profondément, de risquer de se briser le cœur. Après tout, j'ai toujours été un solitaire, un homme de l'ombre qui préfère éviter les liens trop étroits.Mais en même temps, je ne peux nier l'attraction magnétique que je ressens envers elle, cette connexion profonde qui nous lie d'une manière indescriptible. Alors qu'elle glisse sa main sous mon t-shirt, je sens mon cœur s'emballer dans ma poitrine. Je peux sentir chaque contact de ses doigts sur ma peau, chaque caresse qui me fait frissonner d'anticipation. Une partie de moi veut plonger tête baissée dans cette relation, abandonner toutes mes réserves et me laisser emporter par le tourbillon des émotions. Mais une autre partie de moi se rappelle les dangers de s'attacher trop profondément, les risques de souffrir lorsque les choses tournent mal. Je sais que je dois être prudent, que je dois protéger mon cœur autant que possible.Et pourtant, malgré toutes mes résolutions, je me trouve incapable de résister à l'attraction irrésistible de Twiggy. Alors, plongeant mon regard dans le sien, je murmure d'une voix douce mais chargée d'émotion : — Peut-être que les mots ne sont pas nécessaires. Peut-être que ce que nous avons est simplement… nous. Et peut-être que c'est tout ce dont nous avons besoin. Je me rapproche doucement, capturant ses lèvres dans un baiser passionné, comme si je voulais sceller cet accord muet entre nous, comme si je voulais lui montrer à quel point elle compte pour moi, même si je suis incapable de l'exprimer avec des mots.

@Basile Lawson  — range tes mains. trop tard le mal était déjà fait. paume de sa main qui s'arrêtait sur son coeur, pouvant sentir sous sa peau chaude les battements régulier de son palpitant. corps à coeur. à se chercher mutuellement, à se contempler avidement. ça avait commencé ainsi, ça se terminerait comme ça. range tes caresses. ce n'était pas tant le contact de sa peau contre la sienne, ou le gout salé de ses lèvres? non, ça allait au delà de ça. c'était la force de ses mots, le timbre de sa voix, ses yeux et ses mains baladeuse.c'était un tout. un envoutement charnel. à faire tomber basile et elle avec douceur sur le matelas de son lit. à se retrouver sur son bassin. peur de lui faire mal lui qui revenait d'un combat. couvre tes seins, ici y a rien de bien. elle qui complexait tant sur son corps. sur ses courbes inexistantes, sur ses os un peu trop visible. poupée trop maigre. poupée qui ne ressemblait à rien. elle en souffrait parfois la gamine. mais ce soir elle ne voulait pas trop y penser parce qu'elle était avec lui. ravale tes mots mais ils s'échappaient, lui brulant les lèvres pour que l'ingénue ne puisse les garder pour elle — ouai ça me semble pas mal comme définition. sinon tu pourrais croire que je suis tombée amoureuse de toi. voix qui cachait tant d'émotions que elle même avait beaucoup de mal à comprendre. vérité au gout de mensonge, mensonge au gout de vérité. la ligne était fine. 

@Twiggy Jenson — Je laisse mes doigts parcourir avec tendresse les courbes délicates de Twiggy, savourant chaque sensation de sa peau sous mes mains. Elle est magnifique à mes yeux, non pas parce qu'elle répond aux normes de perfection imposées par la société, mais simplement parce qu'elle est elle-même.Les reflets de l'océan dans ses yeux m'attirent comme un aimant, me plongeant dans une profondeur insondable. Les mots de Twiggy sur la possibilité de tomber amoureuse de moi me font frémir, réveillant en moi une part que j'avais longtemps ignorée.Je suis surpris de constater que cette idée ne me déplaît pas, qu'une part de moi aspire secrètement à ce qu'elle devienne mienne, à ce qu'elle m'accorde toute son attention et son affection. Nous sommes semblables, Twiggy et moi, bercés par la même symphonie intérieure, une mélodie de mélancolie et de tristesse qui nous lie d'une manière indéfectible. — Impossible. Tu sais que je suis bien trop compliqué et insupportable pour ça.. Et pourtant, dans chacunes de nos phrases n'y avait il pas un fond de vérité depuis le début ? — Tu nous imagines tout les deux amoureux ?

@Basile Lawson  — hurle a tes yeux de ne pas regarder. si seulement c'était aussi simple que cela, si seulement elle pouvait s'extraire à sa contemplation, si seulement elle n'était pas envoutée par ce physique. ne pas le regarder. c'était un crime, une insulte . couvre ta peau . trop tard pour elle. trop tard pour lui. tant mieux pour eux. main qui n'avait pas quitté sa poitrine, qui continuait à frayer un chemin le long de son torse. toujours sous le tissu à suivre la constellation de grain de beauté qu'elle pouvait entrevoir. garde ta douceur. elle cédait.  se penchant au dessus de basile, la gamine laissait sa chevelure recouvrir son visage ne souhaitant pas lui montrer cette expression de vulnérabilité qui étirait ses traits. ferme tes jambes.  trop tard pour ça aussi ,elle qui prenait toute la place sur son corps.  elle qui le chevauchait déjà complètement, encore tous les deux habillés. parfois tout n'était pas simplement une question de plaisir charnel, parfois c'était aussi une question de palpitation. sèche la sueur.— tu veux dire amoureux ensemble? non j'pense pas silence. souffle coupé alors que le doute teintait sa voix. elle venait de mentir. à lui. à elle. à eux. un murmure. toujours et encore un murmure. comme si ce qu 'elle éprouvait, ce qu'elle disait, était un secret, que lui seul était en droit de savoir.  oublie ce que tu penses, même si c'est vraie. mais elle le pensait, trop fort sans doute,  twiggy avait l'impression que les moindres parcelles de son corps criait cette vérité qu'elle n'était pas capable de comprendre. lèvres qui venaient à nouveau se plaquer contre les siennes, pleines de désirs, pleines de questions, à la recherche de réponses.

@Twiggy Jenson — Je suis pris dans un tourbillon de contradictions, déchiré entre la raison et l'instinct. Chaque fibre de mon être me crie de me retirer, de ne pas succomber à cette tentation dévorante. Mais en même temps, je me sens irrésistiblement attiré par elle, par cette force magnétique qui semble nous lier de manière indissoluble. Alors que nos lèvres se rejoignent dans un baiser passionné, je sens toutes mes résolutions fondre comme neige au soleil. Ses mots résonnent dans mon esprit, semant le doute et la confusion, mais je sais au fond de moi que ce que nous avons va bien au-delà de simples mots ou définitions. Je laisse ma main douce contre sa joue, une vague de chaleur m'envahit, balayant toutes mes craintes et mes doutes. Je la fais basculer, me retrouvant au-dessus d'elle, nos regards ancrés l'un dans l'autre. Dans le silence de la chambre, je murmure d'une voix chargée d'émotion :. — Menteuse. Ces mots résonnent dans l'air, mais je sais que ce qu'elle ressent pour moi est bien réel, tout comme ce que je ressens pour elle. Peu importe les doutes, les peurs, nous sommes liés par quelque chose de plus fort, quelque chose qui dépasse la raison et la logique.

@Basile Lawson  — corps qu'elle laissait basculer en arrière. ( m e n t e u s e ) un simple mot, si vrai.  pupilles qui se dilatent sous la surprise. se demandant si on voyait si facilement dans son jeu, si facilement dans le doute de ses inquiétudes. —monsieur lawson je vous trouve bien présomptueux de croire que je mens. qu'elle rigole avec douceur. opales qui s'attardaient sur le corps de l'homme. à éviter ses pupilles.  —tu as l'air de croire que je peux tomber facilement sous ton charme qu'elle rajoute sa voix pétillante de malice, de désir, de ce je ne sais quoi. préférant dévier le sujet vers des réponses plus légère. parce que la vérité lui faisait peur; parce qu'elle préférait vivre dans le déni, parce qu'elle s'était promise de ne plus jamais s'attacher. jamais. on lui avait fait trop de mal à elle et à son petit coeur. tout pour le préserver. pour se préserver. cherchant du réconfort dans son odeur; dans son contact. fermant les yeux sous sa main chaude contre sa poitrine. simple contact qui changeait la donne.  elle aurait  certainement pu rester ainsi jusqu'à la fin de ses jours, si elle l'avait voulu, si il l'avait voulu.  dans ses draps, à coté de son corps. à revivre la même danse encore et encore.  —je pense que si l'un doit tomber pour l'autre, ça sera toi air de défi alors que la gamine en était tout simplement persuadée.

@Twiggy Jenson — Sa réplique me prend au dépourvu, faisant vaciller un instant ma certitude. Ses mots sont teintés d'une légèreté feinte, mais derrière ses pupilles dilatées, je perçois une étincelle de vérité qui me glace le sang. Elle ne cesse de me surprendre, cette femme, m'obligeant à remettre en question tout ce que je croyais savoir sur elle, sur nous. Je retiens mon souffle, incapable de détourner mon regard du sien, de cette lueur malicieuse qui danse dans ses yeux. — Mademoiselle Jenson, vous savez que vous avez menti, admettez le et tout sera pardonné. Son ton défiant résonne dans l'air, m'invitant à un jeu auquel je ne suis pas sûr d'être prêt à jouer. Pourtant, malgré ma réticence, une partie de moi brûle d'accepter ce défi, de plonger tête baissée dans cet océan d'incertitudes et de désirs. Son contact contre ma poitrine me rappelle à la réalité, me rappelle à quel point elle est proche, à quel point elle pourrait facilement faire basculer toutes mes certitudes. Mais je refuse de me laisser emporter par cette douce illusion, par cette tentation dangereuse qui se tisse entre nous. Je suis Basile Lawson, et je ne tombe pas si facilement sous le charme d'une femme. Pourtant, au fond de moi, je sais que ses paroles résonnent avec une vérité que je ne peux ignorer. Peut-être que c'est elle qui détient le pouvoir de me faire tomber, de faire voler en éclats toutes mes barrières et mes résolutions. Peut-être que, malgré mes meilleures intentions, je suis déjà épris d'elle, plus que je ne veux bien l'admettre. Dans un souffle, je relève son défi, plongeant mon regard dans le sien avec une intensité brûlante. — Peut-être bien, murmuré-je, mon ton empreint de défi et de désir. — Mais tu serais surprise de voir à quel point je peux être résistant.

@Basile Lawson  — le visage de l’innocence. l’ange incarné. à jouer la carte de la fragilité plutôt que s’attarder sur la vérité qui planait au dessus d’elle. épée à double tranchant. — peut-être que je mens, peut-être que je ne mens pas il parait qu’il y a que dieu là haut qui peut m’juger de ce crime. qu’elle articule suavement préférant jouer avec les mots. pourtant elle savait bien que basile pouvait lire entre les lignes, qu’il savait ce qu’elle ressentait vraiment. le déni, toujours le déni. rire mélodieux qui sort de sa bouche , le regard pétillant. à jouer à danser sans vraiment connaitre les pas, sans vraiment savoir où ça allait les emmener. — si tu l’dis , t’es généralement pas très résistant quand je retire ma culotte. qu’elle le taquine gentiment. heureuse d’éviter le sujet de ses sentiments. peut-être qu’elle l’était déjà : amoureuse. s’attardant sur les battements de son cœur pour vérifier qu’il était toujours là.espoir qui naissait dans son ventre. ne sachant quoi faire de cette tumulte de sentiments. gamine qui se sentait perdue sous son regard. à faiblir devant la chaleur de ses opales. avant elle n’avait jamais vu basile de ( c e t t e f a ç o n ). beaucoup trop concentrée à chérir son corps, à tuer le temps. mais le vent semblait tourner sans connaitre la direction et ça elle n’aimait pas la mioche. cette perte de contrôle. ingénue qui s’humectait les lèvres. à essayer de ne pas trop réfléchir. encéphale déjà en surégime. tu sais avec moi t’auras jamais le dernier mot. et avec moi faudra te montrer patient, parce qu’au fond j’suis qu’une gamine pas très mature qui aime ronchonner, alors que toi t’es cette présence rassurante qui me donne envie de me laisser aller . . —j’avoue qu’aujourd’hui on a été sage, peut-être que c’est bien aussi de rien faire et d’se parler. qu’elle commente parce que le silence ça la stressait toujours un peu.

@Twiggy Jenson — Je souris face à ses paroles taquines, laissant échapper un léger rire qui se mêle au son de la musique environnante. Son innocence feinte ne fait que renforcer mon désir de percer à jour les véritables sentiments qui se cachent derrière son masque. Je savoure chaque instant passé en sa compagnie, captivé par ses mots doux et son regard pétillant. Malgré son jeu de séduction, je sens qu'elle aussi ressent quelque chose de plus profond, quelque chose qui transcende les mots et les apparences. Mais je décide de jouer le jeu, de continuer à flirter avec elle dans cette danse délicieusement dangereuse. Ma réplique est empreinte de malice et de désir contenu, reflétant la complicité qui s'installe entre nous. — Ah, Twiggy, tu sais comment me charmer avec tes mots. Mais je suis prêt à relever le défi, à te montrer que je peux être patient et attentif à tes moindres désirs, même si tu te plais à jouer les gamines espiègles. Je lui lance un regard complice, laissant planer une tension électrique entre nous, avant de murmurer d'une voix empreinte de promesses : — Peut-être que la sagesse réside parfois dans la simplicité de moments comme celui-ci, où nous pouvons juste être nous-mêmes, sans artifices ni jeux de séduction. Et qui sait, peut-être que dans cette simplicité, nous trouverons quelque chose de plus authentique, de plus vrai. Je laisse mes paroles flotter dans l'air, conscient que nous sommes sur le fil du rasoir entre l'attraction irrésistible qui nous lie et la crainte de nous laisser aller à nos émotions les plus profondes.

@Basile Lawson  — cœur qui ratait un battement. elle qui avait toujours voulu qu’un homme lui parle ainsi, la traite ainsi, elle se retrouvait tout simplement paralysée. est-ce que c’était si mal ? de se sentir aimer ? et basile avait ce don là, de manier les mots comme personne, de foutre le doute dans son âme. et peut-être que twiggy était un peu trop virulente pour comprendre toutes les subtilités. c’était plus de la poésie, c’était une vérité. l’envie de lui dire qu’il sonnait comme son professeur de philo au lycée à cacher le ton sérieux de la conversation à travers une boutade pourtant les mots ne franchissaient pas ses lèvres. c’était dans ses moments là que twiggy sentait leur écart d’âge, cette maturité qui pesait dans ses phrases qu’elle n’avait pas. et dans la nuit, cette dissonance ne faisait que briller et lorsque son embarras envahi tout son corps, que ses joues semblaient la bruler, l’ingénue utilisait le déni comme seule et unique tactique. déjà à terre mais à continuer de s’enfoncer. n’aimant pas le sourire si révélateur de cet homme qu’elle avait dans la peau. celui qui lui donnait raison, et à la jeune jenson tort. moue qui s’accentue. bouille d’ange.— à mes moindres désirs vraiment ? qu’elle souligne alors que ses doigts suivaient le contour de sa mâchoire. personne n’avait jamais fait ça pour elle. putain j’m’étais promise de plus m’attacher, et bordel toi t’arrives et tu fais tout valdinguer. t’es vraiment chiant toi et tes promesses . .— dis comment on sait qu’on aura un truc vrai ? j’veux dire, moi j’aime bien nos jeux de séduction. déjà aime bien t’embrasser ici. qu’elle s’exclame en touchant ses lèvres ; — puis j’aime bien quand ton visage se déforme parce que je te fais plaisir ici qu’elle rajoute en frôlant le bout de son jean entre ses jambes avec ses doigts. ça c’était eux. c’est ce qu’elle avait appris à faire avec lui. le séduire, le toucher, le faire frémir. j’te suis basile montre-moi comment on fait pour avoir un truc vrai. dis tu m’le diras ? quand on l’aura ? mains qui se retiraient parce que la gamine savait qu’il ne fallait pas jouer avec le feu trop longtemps.