JOSHUA MARSH HARRINGTON ► Jensen Ackles

C'est le 7 Octobre 1987 à Boston, que les membres de la famille Marsh et Harrington m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Joshua. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de physique que je complète par une mineure en mathématiques appliquées depuis bientôt 7 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop ou les Dunster.

Je suis un fan absolu de la série Friends ! Je suis même incollable sur les dix saisons par cœur. Mon préféré, c'est Chandler, et celle que je préfère c'est Monica. Leur couple est selon moi un couple mythique au même titre que Roméo et Juliette. ▲ Je suis passionné d’automobile. Quand j'étais petit, j'avais tapissé ma chambre avec des posters de voitures. Depuis, je me suis amélioré niveau déco mais je reste toujours aussi passionné. J'aime particulièrement la Formule 1 et mon pilote préféré et l’Australien Mark Webber. D'ailleurs j'aime les sports extrêmes en général. ▲ J’ai pourtant peur du noir et je ne dors donc jamais dans le noir complet. ▲ J’ai fait ma première fois à seize ans avec une femme qui était alors ma prof de maths et qui avait 33 ans. ▲ Mon père a été expatrié entre mes trois et mes dix ans. Pendant ce temps là, j’ai littéralement eu une vie de petit Prince à l’étranger, c’était le rêve. On a vécu pendant sept ans en France et depuis je parle le français plutôt correctement, même si je ne suis pas bilingue. J’ai continué à prendre quelques cours à mon retour en Amérique. ▲ Je tuerais pour un bon poulet au miel ; d’ailleurs j’aime tellement ça que j’ai supplié ma mère qu’elle m’apprenne à en cuisiner. Du coup je ne sais faire pratiquement que ça. Ok, j’ai les rudimentaires en cuisine (pates, œufs sur le plats…) mais sinon je loin d’être un chef cinq étoiles. Mais le poulet au miel, il fallait absolument que je sache le cuisiner. Je me nourrirais que de ça si je pouvais je crois. ▲ Ce que je déteste le plus chez les autres, c’est la moquerie. Je déteste qu’on se foute de la gueule des autres en général, et de mes amis en particulier. Je dois me prendre pour une espèce de super-héros, je sais pas, mais je ne peux pas m’empêcher de voler au secours de ceux qui sont victimes de moquerie et de prendre leur défense. ▲ J’adore les enfants. J’ai fait pas mal de baby-sittings quand j’étais ado, et à chaque fois le courant est bien passé. J’adore leur petite bouille ronde et leurs fautes quand ils parlent. Je fonds carrément devant eux, pire qu'une nana je vous jure ! ▲ Tous les étés depuis mes dix-huit ans, je pars avec à l’aventure avec mes meilleurs potes. La seule et unique règle, c’est de ne pas avoir pus de dix kilos sur le dos, dans notre sac. On se fait un parcours avant de partir (Par exemple on a fait deux fois la Californie, une fois un bout du Mexique), sans trop savoir où on va dormir, comment on va manger, si on aura assez d’affaires propres… et c’est parti ! Ca fait de super souvenirs et de belles expériences. L’été, pendant deux mois, je me prends pour MacGyver. ▲ Je suis un fou de natation et de rugby. J’essaie d’en faire autant que possible. Ce sont mes deux sports préférés, mais j’aime le sport en général. Il n’y a pas un jour sans que je n’en fasse pas je crois, surtout pendant la période scolaire. C’est vraiment pour moi un moyen de me détendre, d’évacuer, de penser à autre chose et de relâcher la pression, alors j’essaie d’aller courir ou nager un peu tous les jours.

▲ Aujourd’hui, j’ai dix-huit ans et j’ai cours de piscine. Pour faire le beau devant les filles, je décide de m’épiler le torse. C’était sans compter sur la belle réaction allergique que j’ai fait à la cire. Au lieu d’être le beau mâle qui saute du plongeoir, j’étais le mec avec le torse parsemé de petits points rouges, à côté du bassin. VDM !

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J’aime faire la fête et les Mathers savent très bien les organiser. En tant que fêtard qui se respecte, j’irai sans aucun doute.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Je ne me sens pas assez engagé dans le social et dans l’humanitaire pour m’investir dans un tel voyage, alors je n’irais probablement pas. Cependant je salue l’initiative et j’admire beaucoup ceux qui donnent de leur personne et de leur temps pour les autres. Je suppose que je n'ai ni le courage ni la force de m'engager autant pour les autres.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

L’art, très peu pour moi. Que ce soit en musique, en danse, en peinture ou en je ne sais pas quoi, j’ai deux mains gauches et j’ai tout sauf un sens artistique. Je ne suis pas très sensible à l’art et à vrai dire je m’en fous un peu.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Comment tu la trouves ?

Ah les Cabot … Dans un premier temps, je m’en méfie un peu. Elle fait quand même partie de notre sororité ennemie ! Mais bon, après, faut voir … Si elle est mignonne, sympa, ouverte, tout ça ... Je ne suis pas contre faire un peu connaissance ! Comme on dit, « connaître son ennemi pour mieux le combattre ».

Les Winthrops font une enchère tous les ans. Aimerais-tu un jour y participer ?

Mais volontiers ! Déjà, les Winthrops, c’est la confrérie de mes rêves, alors participer à leurs événements c’est la base. Et puis me faire acheter par une jolie minette, je ne dis pas non …

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je n’ai rien contre l’argent, bien au contraire, et je suis un des premiers à en profiter. Seulement en user pour se montrer et faire son beau, ça me fait bien rigoler. Bien sûr, je ne serais pas à Harvard sans les sous de Papa et Maman, mais je sais trouver d’autres moyens pour exister. L’argent est un moyen indispensable et merveilleux, mais il ne reste qu’un moyen, pas une fin en soi. Je connais les dangers qu'il porte s'il est utilisé à mauvais escient.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Si la conférence pouvait m’être utile dans mes études, pourquoi pas. Je suis plutôt investi dans mes études et je suis généralement volontaire pour participer à ce genre de choses. Mais là, la « littérature anglaise à l’époque Victorienne » … y a pas plus barbant ! Sincèrement je m’en fiche. Non, je n’irais pas.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle LPS et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à PRD. Le desgin est super agréable, le contexte simple et efficace et l'activité a l'air très développée alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, j'aurais besoin d'aide parce que tout ce monde qui se connaît déjà ça me fait un peu peur . J'utilise Jensen Ackles comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 600 - 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.

C’est à Boston, le 7 Octobre 1987 que je suis né. Aujourd’hui, je suis à Cambridge, et si vous faites bien le calcul, j’ai 25 ans. Il s’en est passé des choses entre temps, laissez-moi vous raconter tout ça.

D’abord, j’ai eu une enfance très heureuse. Mes parents avaient vingt-sept et vingt-huit ans quand ils m’ont eu. Ils étaient plutôt impatients de devenir parents et j’ai donc eu tout l’amour et toute l’attention dont j’avais besoin. Je suis l’aîné d’une famille de deux enfants ; en effet, j’ai une sœur cadette qui a cinq ans de moins de moi, Michelle. Si mes parents ont un emploi du temps chargé et chacun une carrière à gérer, ils ont toujours trouvé du temps pour nous deux. D’ailleurs je m’entends très bien avec mes parents et n’ai jamais été en « crise » avec eux. Je suis très très proche de ma mère, à qui j’aime me confier et avec qui je partage beaucoup de choses. Je peux vraiment être considéré comme un « fils à maman » tellement elle me materne et me chouchoute. Je m’entends aussi très bien avec mon père, même si je ne suis pas aussi proche de lui que je ne le suis de ma mère. Enfin j’adore ma sœur, et depuis toujours je me prends un peu pour le « super grand frère » et je ne manque pas une occasion de la protéger, de la défendre ou de la cajoler. On s’entend très bien et on est plutôt complices même si elle me reproche souvent d’être un peu trop protecteur, voire envahissant. Limite si elle me reproche pas de prendre soin d’elle tant qu’on y est !
Bref, mon enfance a été très heureuse. J’ai été plutôt gâté, n’ai jamais manqué de rien et tout ça grâce aux sous de papa et maman. J’ai eu la chance de grandir dans les meilleures conditions possibles.

Surtout, j’ai eu l’occasion de vivre à l’étranger pendant sept ans. De mes trois à mes dix ans, mon père a eu une proposition d’expatriation en France, qu’il a immédiatement acceptée. Malgré le fait qu’il y ait des écoles anglaises là-bas, mes parents en ont profité pour me scolariser dans une école française pour que j’y apprenne la langue. Aujourd’hui je sais plutôt bien parler français, d’autant plus que j’ai continué à prendre des cours à mon retour aux Etats-Unis, afin de ne pas le perdre.
Cette expérience a été déterminante pour moi dans le sens où je pense que c’est elle qui m’a donné le goût des voyages et de la découverte. J’y ai vraiment vécu des choses extraordinaires, et même si je ne me souviens pas de tout, j’ai de merveilleux souvenirs à propos des visites que nous avons faites dans les pays voisins. J’ai été habitué à voyager très jeune ; le résultat est qu’aujourd’hui je suis plutôt curieux et avide de nouvelles découvertes et de nouvelles rencontres.

Sont arrivées ensuite les années lycée. J’ai laissé tomber la game-boy, les petites voitures et j’ai troqué mes maillots de rugby contre des vêtements plus classes et moins bébé. J’ai commencé à m’intéresser aux nanas, à sortir dans des bars, en boite ; bref, j’ai coupé le cordon avec mes parents et j’ai essayé de découvrir la vie à ma façon. J’étais un adolescent plutôt mignon, pas désagréable avec mes parents, pas dans un trip « destroy », drogues et tout ça. Par contre je les ai rendus inquiets plus d’une fois. J’ai la fâcheuse tendance de ne jamais prévenir où je me trouve, quand je pense rentrer, avec qui je suis… et ça inquiète mes parents. Au final je suis devenu quelqu’un de plutôt autonome qui n’aime pas rendre des comptes aux autres et tenir les autres informés de ce que je fais à chaque minute.

Quant à mes expériences avec les femmes, parlons-en. La femme qui m’a la première tapé dans l’œil et qui m’a fait aimer les femmes avait deux fois mon âge. J’avais alors seize ans, et elle trente-trois : c’était ma prof de maths. J’étais un gamin et j’ai vraiment fait une fixette sur elle à l’époque. A partir du moment où je me suis fixé comme objectif que ce serait avec elle que je ferais ma première fois, j’ai tout mis en œuvre pour la séduire ; je restais bosser quand la classe était terminée, je demandais des cours particuliers … Au final j’ai eu ce que je voulais et c’est un des meilleurs souvenirs de ma vie (j’imagine que ce n’est pas réciproque par contre, malheureusement pour elle je n’étais pas très expérimenté). Elle a demandé sa mutation quelques semaines plus tard. Je ne l’aurais jamais dénoncée mais je crois qu’elle était un peu gênée de ce qui s’était passé. Quand j’y pense, c’est peut-être elle qui m’a fait aimer les maths !
Oui, parce que c’est à peu près à ce moment là que mes études futures ont commencé à se préciser et que j’ai commencé à voir quelque chose à mon orientation. Jusque là, je me laissais complètement porter par la vague. Les matières enseignées au lycée ne m’intéressaient pas, je réussissais mais sans grand succès, j’étais loin d’être le meilleur de ma classe sans être un cancre pour autant. Je suppose que je n’étais pas très inspiré par ce qu’on nous apprenait alors. Pourtant deux matières se distinguaient des autres, les mathématiques et la physique ; avec un léger avantage pour la physique. A partir de ce moment là, mon projet professionnel s’est précisé petit à petit. Passionné de sport automobile depuis que je suis tout petit, c’est dans les voitures que je vois ma vie plus tard. Aujourd’hui, je fais des études de physique avec une mineure en mathématiques appliquées afin de devenir ingénieur dans le domaine de la mécanique. Je rêve de travailler dans le secteur automobile, de développer des moteurs, d’inventer de nouvelles choses en rapport avec la mécanique automobile.

Pourtant, si cette femme m’a fait découvrir ma vie sexuelle, je n’ai pas eu que des expériences heureuses avec celles qui ont suivi. Evidemment, j’ai eu des chagrins d’amour, comme tout le monde, j’ai brisé des cœurs, on m’a brisé le mien… La vie ! Mais celle qui m’a vraiment brisé le cœur n’était pas une amourette de passage, contrairement aux autres. L’année dernière, j’avais vingt-trois ans et j’étais fou amoureux d’une femme qui avait un an de moins de moi et avec qui j’étais depuis trois ans. J’envisageais de la demander en mariage dans un avenir plus ou moins proche : on avait emménagé ensemble, je la voyais comme la mère de mes enfants, celle avec qui je passerais le restant de mes jours et auprès de qui je mourrais. J’étais littéralement dingue d’elle, et elle l’était aussi de moi. Avec elle je n’avais plus envie d’aller voir à droite, à gauche ; les autres nanas ne m’intéressaient plus. L’amour est pourtant fragile, et un seul événement a suffit à tout faire basculer.
Un matin, dans la salle de bain, quelque chose a attiré mon attention dans la poubelle. Dedans, l’emballage carton d’un test de grossesse ; le test avait été fait et ma copine l’avait remis dans le carton avant de le jeter. Il était positif et n’était pas spécialement caché dans la poubelle, j’ai cru que c’était sa façon à elle de m’annoncer qu’elle était enceinte. Au départ, j’étais super heureux, puis je me suis mis à flipper, à me dire que j’étais trop jeune, qu’on n’avait même pas terminé nos études encore, qu’on ne pouvait pas avoir une telle responsabilité sur les épaules ! Et puis, vous me connaissez, j’adore les enfants, et j’étais amoureux d’elle ; je me suis dit qu’on s’en sortirait et que c’était un des plus beaux jours de ma vie. C’est donc plein d’entrain, limite les larmes aux yeux, que j’ai été la voir dans la cuisine, où elle prenait son petit-déjeuner. Quand elle m’a vu arriver le sourire aux lèvres et le test de grossesse à la main, elle a eu la réaction inverse de ce que j’attendais : elle a pris sa tête dans ses mains, a fermé les yeux et m’a dit, l’air navré, que je n’aurais jamais du voir ça, que ce n’était pas du tout ce que je croyais et qu’elle était désolée. Abasourdi, j’essayais de la faire parler malgré ses efforts pour éviter le sujet. Elle m’a finalement avoué qu’elle avait fait ce test deux semaines plus tôt, mais qu’il ne signifiait plus rien aujourd’hui, parce qu’elle avait avorté. J’étais fou de rage qu’elle ne m’en ait pas parlé et qu’elle ait pris une telle décision seule ; j’étais dans l’incompréhension la plus totale. Moi qui pensais qu’on allait faire notre vie ensemble, qu’on pouvait tout endurer ensemble. Et encore, je n’étais pas au bout de mes surprises. Quand je criais pour lui demander pourquoi elle avait fait ça, pourquoi elle ne m’en n’avait pas parlé avant, elle m’expliquait qu’elle voyait quelqu’un d’autre depuis trois mois, et qu’elle ne savait même pas de qui était l’enfant. Elle me suppliait pourtant de rester avec elle, qu’il fallait que je lui pardonne, qu’elle allait tout arrêter avec son nouveau copain, qu’elle ne pouvait pas vivre sans moi. Mais j’étais incapable de lui pardonner, et je n’en n’avais pas envie, de surcroît (on ne trouvera pas plus rancunier que moi). En cinq minutes, je venais de passer du bonheur absolu à la haine la plus profonde. J’ai repris mes esprits, j’ai arrêté de crier, j’ai fait mon sac dans le silence le plus complet, et je suis reparti chez mes parents planifier mon déménagement le plus rapidement possible.

Si je suis à Harvard aujourd’hui, c’est pour essayer de me reconstruire doucement, loin de mon ex. Elle a tout essayé pour qu’on se remette ensemble, mais elle m’a blessé comme ne m’avait jamais blessé. Cet événement a eu lieu il a un an, et je trouve qu’aujourd’hui je m’en suis plutôt bien remis ; pourtant un nouveau départ dans une nouvelle université ne me ferait sûrement pas de mal. Maintenant, j’ai vingt-cinq ans ; je sais que bientôt je devrai me caser, arrêter d’agir comme un adolescent, trouver un travail, fonder une famille. Je ne me sens pas encore tout à fait prêt pour ça pourtant. Cette histoire m’a vacciné pour un certain temps, je crois. Evidemment tout ça peut basculer du jour au lendemain, je n’ai aucune idée de ce que me réserve l’avenir, mais pour l’instant j’ai tout sauf envie d’être un adulte responsable…