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the fire you started in me (lusmo)

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( lips meet teeth and tongue, my heart skips eight beats at once. if we were meant to be, we would have been by now. see what you wanna see, but all I see is him right now. i'll sit and watch your car burn with the fire that you started in me but you never came back to ask it out go ahead and watch my heart burn with the fire that you started in me but i'll never let you back to put it out. @Cosmo Cavalero )


Tu vrilles, tu chavires. Tu cèdes à la violence, à ces années de rage, à cette colère profondément enfouie sous cette apparence de fille de bonne famille, sous tes bonnes manières et ta distance supérieure. Face à Cosmo tu ne sais pas mentir, t'as jamais su. Il a toujours eu cette insupportable manie de déceler chacune de tes faiblesses, décrypter chacune de tes pensées. Parfois c'est à croire qu'il te connaît mieux que toi-même, qu'il connaît mieux tous tes petits secrets et tes faux espoirs. T'auras beau essayer de te mentir à toi-même, Cosmo sera toujours là pour t'ouvrir les yeux, de force s'il le faut. Il frappe pile là où ça fait mal lorsqu'il te dit que tu ne le détestes pas assez, il remue le couteau dans la plaie lorsqu'il dit qu'il s'en fout, et toi tu réagis au quart de tour. C'est trop pour toi, tu veux plus l'entendre, tu veux plus le voir et faute de pouvoir le faire disparaître instantanément, tu finis par t'en prendre à lui. Tu le pousses, tu lui cries dessus, tu évacues ta haine dans tes paroles et tes coups. T'en viens même à le gifler en plein visage et t'aurais bien réitéré ce geste si sa main n'avait pas intercepté ton poignet sur le retour. Tu lâches une plainte quand la douleur irradie sous ton épiderme violenté, t'essayes de te débarrasser de son emprise avec ta main libre, tu te débats, t'es une vraie furie, mais Cosmo il tient bon. Il te force à soutenir son regard, à faire face à tes propres démons qui dansent jusque dans l'azur de ses yeux et ça te rappelle certains de vos ébats d'une toute autre nature et d'une autre époque. Tu pourrais presque t'abandonner à une telle étreinte si tu n'étais pas empoisonnée de haine à son égard. Y a-t-il vraiment une différence entre cela et l'amour ? T'aimerais te convaincre que oui, mais tu sais que l'un n'a pas lieu d'être sans l'autre. Et ça te fait encore plus mal. « Lâches-moi putain ! » tu hurles, t'en a rien à faire si les passants vous regardent de travers, s'ils appellent la police. Tu serais capable de le tuer, de te tuer. Tu pourrais faire exploser la Portofino avec vous deux dedans si c'était le prix à payer pour ne plus jamais le voir. Ton dos rencontre l'italienne spectatrice de votre altercation, et ça te rend d'autant plus folle. Tu l'observes à travers la cascade de cheveux qui recouvre ton visage, tu le foudroie de tes ambres, tu grondes. « Fermes-la ! » tu lui arracherais la langue pour le réduire au silence. T'essayes de le repousser de ton corps, tes jambes s'attaquent aux siennes, mais ton échec permanent te frustre davantage. T'as l'impression que ton coeur va lâcher, t'es à deux doigts de pleurer et t'as juste pas envie de lui faire ce privilège. Soudain, il commet l'ultime erreur. Le coup fatal, tant pour toi que pour lui. Il parle d'elle, il ose la mentionner sans pour autant évoquer son prénom et tu perçois enfin sa plus grande faiblesse. « Stella. » tu veux qu'il tressaille en entendant ces deux syllabes. « Stella, ta soeur. » tu commences à te calmer, tu t'efforces de reprendre son souffle. Tu l'auras pas à l'usure physique alors tu le laisses avoir le dessus pour le moment. « Comment oses-tu parler d'elle ? » l'étoile c'est votre kryptonite, si quelqu'un peut bien engendrer votre perte, c'est elle. « Dis son nom ! » tu te redresses sur tes coudes, t'approches son visage du sien et tu plantes tes prunelles dans les siennes. « Oses dire son nom. » tes paroles se perdent dans un murmure. Si veut à ce point parler, il n'a qu'à prononcer l'imprononçable, ou toi tu le feras jusqu'à ce qu'il disparaisse à nouveau dans la nuit.  
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the fire you started in me


C'est comme un goût de déjà-vu, l'arrière-goût perfide des restes de nos histoires, coincé là, comme la bile dans l'œsophage. Ça gratte. Ça brûle et ça reste. Ça se mélange à l'avant-goût, celui qui essaie de m'avertir que c'est seulement le début. Un pied dans la merde. Le premier pas d'une longue liste et il murmure qu'on finira tous par s'enliser dedans, baignant dans les simulations des uns, les secrets des autres. Je l'entends pas, pas encore. J'entends que son cœur à elle qui pulse dans ma main, qui m'invite presque à l'arracher. Juste là, ici, ce soir. Dans une station essence déserte. Ce serait facile putain, tellement bon aussi. Elle crie l'italienne, elle se débat encore animée par l'espoir de parvenir à s'échapper. S'évader de moi. Aucune chance Lucrezia, ça s'arrête quand c'est moi qui le dis. J'abandonne quand je me lasse, quand je m'endors devant trop de facilité, quand ça me fait chier ou quand je gagne. Je m'ennuie pas avec toi, j'ai les yeux bien ouverts quand je me régale de la détresse des tiens. Alors, devine la seule option qu'il nous reste.. Ta défaite. Ses cheveux tombent en cascade sur ses traits agités, ils voilent la meilleure partie du spectacle. Alors, je les repousse de ma main libre quand elle lutte contre moi, quand ses jambes brassent le vide. Voilà, comme ça. C'est beau quand ça se déchire. Elle a les yeux qui s'embrument de rage, de trop contenir le liquide salé de ses souvenirs, des nôtres. Elle peste, elle hurle et tout ce qu'elle obtient c'est mon sourire d'enculé qui s'étire encore et encore, à chacun de ses regards noirs, à chaque fois que ses mots acerbes viennent écorcher sa langue. Jusqu'à ce qu'il disparaisse définitivement, sèchement après deux syllabes condamnées depuis trop longtemps. - Ta gueule. Ma voix glaciale, animale et mes doigts qui serrent plus fort. T'as pas le droit. Mais elle continue, elle s'obstine, retrouve un semblant de calme et de pouvoir contre la carrosserie mouchetée par la pluie. Je les sens, mes yeux qui s’obscurcissent, mes muscles qui se tendent. - Tu sais pas ce que t'es en train de faire. Ou elle le sait trop bien. J’entrouvre les lèvres, puis les referme. Je cherche de l'air,  un morceau d'oxygène pour palier à mon souffle qui crève, qui s'éteint quand elle appuie là où ça fait mal. Quand elle appuie là où ça saigne. Elle crache la vérité, la sienne, celle qu'elle pense être la bonne. Elle a tout faux. Elle était belle y'a deux secondes, presque bandante se débattant contre le coffre de son bolide. Maintenant elle me dégoûte. - Une putain de salope, c'est tout ce que t'es Strozzi ! Ça tremble, ça éclate avec le ciel et l'étoile qui manque à l'appel. J'ai envie de la buter, de la regarder crever lentement, douloureusement devant mes yeux vides. Mais je lâche tout.. Son poignet, son pouls, son parfum. Tout. Je fais un pas en arrière quand elle me défie de prononcer son prénom. Fermes-là. Je veux que le tonnerre vienne percer mes tympans pour que je puisse plus l'entendre, que la pluie vienne aveugler mes prunelles pour que je puisse plus la voir. Stella. Stella. Stella. Ça sort pas, ça reste là, coincé dans ma poitrine, dans ma tête. Je veux pas que ça sorte et même si je le voulais, j'en serai incapable. Un prénom censuré à la douane de mes lèvres. Pour toujours. Un autre pas en arrière, mollement et pourtant mon regard reste accroché au sien. - Tu sais quoi.. y'a pire que d'te tuer Lucrezia. Que de te briser les os pour les rogner ensuite. - Y'a t’abandonner deux fois.


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T'es plus la même gamine qu'il y a cinq and Lucrezia, tu as travaillé dur pour y parvenir, pour devenir quelqu'un d'autre et maintenant tu as enfin l'occasion de faire tes preuves. Car ce soir, tu affrontes le grand méchant de ton histoire, celui qui a hanté tes nuits, donné vie à tes mensonges et tes plus grandes peur. La trahison, l'abandon. Plus jamais tu as donné l'occasion à quelqu'un de te faire à nouveau souffrir de la sorte. Valkyrie, tu t'es entraînée, tu es devenue forte, tu as appris à bâtir des murailles derrière lesquelles tu t'es dissimulée, protégée de tes propres états d'âmes. Tu as eu le temps d'y penser, de te préparer à la venue d'un nouvel envahisseur, mais jamais tu n'avais envisagé le retour de Cosmo dans ta vie, ni même que tes pires secrets finiraient pas éclater au grand jour. T'es pas encore arrivée à ton jugement dernier, mais tel l'ange de la mort, l'italien ne fait que t'en rapprocher. Vous avez changé tous les deux, mais pas assez pour que vous ne puissiez pas vous reconnaître malgré cette haine mutuelle qui vous anime, malgré les cris et les regards noirs. Était-ce toi qui te faisais des illusions à l'époque ? Lorsqu'il parvenait à te faire rire. Lorsque tu te délectais de chaque rayon de soleil venant réchauffer son visage à travers le pare-brise de la berline. Lorsqu'il te donnait l'impression d'être spéciale. Coursier astral, il te vendait des rêves et rythmait tes nuits étoilées sous le toit panoramique. A l'époque tu pensais le voir tel qu'il était, avec ses défauts. Que s'est-il passé ? T'étais sûrement aveugle, éblouie par sa lumière, charmée par les promesses silencieuses qu'il t'avait faites. Pars avec moi. Ces mots résonneront à jamais dans ton esprit, et ils persistent lorsque le visage de Stella se dessine derrière tes paupières. Tout finit par se mélanger dans ta tête et tu imagines comment ça doit être dans cette de Cosmo. Tu frappes juste, et t'arriverais presque à esquisser un sourire malgré la douleur qu'il inflige à ton poignet. « Si je suis une salope, t'es quoi toi ? » tu le provoques toujours plus. Maintenant que la balle est dans ton camps, tu ne comptes pas la lui céder avant d'avoir marqué un point. Il finit par te lâcher aussi soudainement qu'il t'avait capturée et tu te rattrapes aux irrégularités de la carrosserie pour ne pas glisser. Ta main massant la contusion qu'il t'as laissée, tu l'observe s'éloigner à son tour. « C'est bien ce que je pensais. T'es pas digne d'elle. » tu siffles entre tes dents. Toi t'es restée. T'es partie, mais t'es revenue. Tu serais revenue de toute façon en apprenant pour son accident. Tu te redresses et t'assois à ton tour sur le coffre de la Portofino, les paumes plantées sur le carmin froid et humide, tes chaussures hors de prix se balançant à quelques centimètres du sol. « Alors pars. » que tu réponds à sa menace. C'est ça Cosmo, vas-t-en. Personne ne te retient. Tu le défies à nouveau, tu le toises sous cette pluie qui s'accélère. « Sauf que t'oublies que tu peux pas m'abandonner une seconde fois. » parce qu'il n'a jamais quitté tes pensées. Mais tu ne veux pas lui faire cette faveur. « Parce que je ne suis plus à toi. T'as rien à abandonner ici. »
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Si parfois j'ai pu peut-être oublier pourquoi je voulais tant effacer le passé, lui échapper en m'installant à Boston, cette pétasse me rafraîchit vite la mémoire. Lucrezia Romina Strozzi, tu incarnes tout ce sur quoi je veux continuer à fermer les yeux. Les souvenirs. Elle m'aide pas là, elle appuie où ça fait mal pour désengourdir les vieilles blessures. Elle me rappelle notre escapade, ma mère, ma sœur, ma fuite, tous les mensonges que j'ai murmurés à son oreille et auxquels elle s'est cramponnée trop fort, tellement fort qu'elle s'est cassé la gueule quand j'ai lâché sa main et qu'elle peine encore à s'en relever. Vas-y rampe maintenant. - Un menteur Lucrezia. Voilà ce que je suis. J'hausse les épaules, fataliste parce que s'en est une, une putain de fatalité. L'évidence est lâchée, mes yeux dans les siens pour qu'elle la comprenne une bonne fois pour toutes. Je suis pas comme elle, je me cache pas derrière une belle façade pour masquer le moisi qui me grignote de l'intérieur. Je peux trahir, broder de fausses vérités, les faire avaler et puis recracher. Mais jamais, putain jamais j'aurais l'hypocrisie de prétendre être quelqu'un de bien, de retourner essuyer les larmes que j'ai faites couler. Tu peux en dire autant toi ? Bien sûr que non. Je lui tourne le dos quand elle inspecte les marques blanches de mes empruntes sur son poignet, prêt à partir pour de bon parce que c'est encore ce que je sais faire de mieux. Mais, elle parle encore elle. Elle crache dans mon dos, évoque encore l'étoile. La mienne, celle que j'ai vu naître, apprendre à marcher, apprendre à briller. T'as pas le droit putain. Je te déteste. Pire, tu me dégoûtes. - T'as dit quoi là.. ? Mes pas se figent avant de lui faire face à nouveau. Elle a réussit à tout rallumer, le pire du pire, les limbes qui s'enflamment, le cœur qui déraille, les souvenirs qui saignent. Je la regarde trôner à ma place, victorieuse de sa petite bataille mais t'es pas prête pour la guerre Lucrezia. Tu sais rien, que-dalle, t'as aucune idée de qui j'suis devenu ici, sans elle, des séquelles que ça a laissées. T'en as aucune foutue idée, mais tu vas en être la première spectatrice. J'avance quand elle me défie de partir, quand elle marmonne qu'elle n'est plus à moi. Conneries.  - T'es sûre de toi ? Certaine, hein ? Aucun putain de doute sur les mensonges que tu débites ? J'arrive à sa hauteur, attrape sèchement sa crinière brune pour venir coller mon front au sien. - Tu y repenses pas, même pas un peu ? Mon souffle s'écrase sur ses lèvres, mon palpitant pilonne ma poitrine, de rage. - A moi.. A nous.. A la vie qu'on s'inventait ? A mes mensonges. Pourquoi tu demandes des réponses aux questions que j'me suis jamais posées ? - A mes mains sur toi ? Mes prunelles jonglent entre les siennes avant de relâcher l'emprise, de la laisser choir sur sa carrosserie éclatante, l'esprit rempli de nous, du dégoût qu'elle a pour moi et peut-être plus encore pour elle-même. Démerde toi avec ça. Mon pied vient enfoncer la portière arrière de la Portofino et mon cri de rage éclater le ciel vide d'étoile, de la mienne surtout. - J’ÉTAIS DIGNE D'ELLE PUTAIN DE MERDE !! J'étais. Ma salive crachée sur le bitume trempé par la pluie. Cette fois je me tire, j'emporte avec moi les restes de bons souvenirs, je lui offre de quoi s'en créer de nouveaux, des pires. Je disparais sans me retourner, mes yeux qui s'embrument de haine, de douleur peut-être. Crevez-y tous dans mon enfer. J'vous emmerde.

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Tu le nargues, tu remues le couteau dans ses plaies parce que c'est bien le seul pouvoir que t'as jamais eu sur lui. T'avais bien remarqué la façon dont la regardait son étoile. Un tel amour ça s'efface pas, pas comme ça, ça resurgit d'entre les souvenirs, ça émerge d'entre les vagues qui les ont séparés pendant ces dernières années. Et toi t'as juste à prononcer son prénom pour avoir enfin son attention. « Tu m'as très bien entendue. » tu ne lui feras pas le plaisir de te répéter. De toute façon Cosmo n'a jamais eu besoin que tu lui dise qu'il n'est pas digne de Stella. Dans le fond, il l'a toujours su, sinon il aurait continué sa route sans se retourner. Tu sais que ce que tu lui dis le touche plus que de raison, alors tu continues. Tu le défies, tu le provoques, tu te fais l'architecte de sa rage et de sa souffrance. Tu sais que tu joues avec le feu mais t'as trop de colère en toi pour prendre peur maintenant. Tu l'emmerdes Cosmo. Il n'a que ce qu'il mérite. « T'es rien pour moi. » tu mens. Il n'est pas rien, il n'a jamais été rien. Il est même trop. T'as un mouvement de recul quand il s'approche de toi mais c'est trop tard pour éviter sa main qui se loge dans tes cheveux, son front qui se colle au tien. « Arrêtes. » tu grondes. Tes ongles s'accroches à sa veste alors que t'essayes de le repousser, ou du moins de garder une distance entre vous. Ses paroles assaillent ton esprit de souvenir, mais tu tiens bon. Tu soutiens son regard, la mâchoire serrée. Si seulement tes ambres pouvaient tuer. Tu refuses de lui répondre, t'attends patiemment qu'il se lasse, qu'il ne supporte plus de te toucher, sentir ton odeur. Vous vous détestez bien trop pour rester à proximité l'un de l'autre, alors Cosmo finis par te lâcher et tu t'autorises enfin à respirer. Tu sais que c'est finis. Tu restes assises sur le coffre de la Portofino et sursautes lorsque tu entends le choc sur la carrosserie. L'enfoiré. Pas la peine de relever ses dernières paroles, t'as déjà fait assez de dégâts pour ce soir. Tes mains tremblantes sur ton visage humide, tu resteras quelque minutes sous la pluie à réprimer tes larmes et ta colère, avant finalement reprendre le volant de l'italienne écorchée.

FIN face
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