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De Bourlan ☆ Autodestruction d'un amour qui n'a pas commencé mais qui nous consume

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Autodestruction d'un amour qui n'a pas commencé mais qui nous consume
— with @Deirdre M. Wheelan  

Silence radio le plus violent de toute l'histoire des silences radios. Tu n'as jamais pensé qu'une seule fois tu sois obligé de faire ça. En silence et comme toujours tu avais fini par annoncer à tout le monde que ton noel s'était bien passé, mais tu avais aussi finit par tomber dans la décadence. Le silence et les murmures de ta bulle venaient de s'exploser à ta gueule, tu avais tout perdu en l'espace de quelques heures et voir même quelques jours. Ce que tu souhaitais le plus, c'était finalement oublier. Et en cette soirée, cette soirée d'après veille du premier de l'an, tu avais décidé, ce vendredi de t'éclater totalement. Fini les remarques, les bières ou autre, non, tu allais profiter à fond de tout ça. L'alcool faisait de toi un autre homme, plus sociable, beaucoup moins renfermé ou autiste finalement. Et la drogue dans ton organisme avait été relevé des envies soudaines de danse ou d'autres choses plus stupides. Tu avais tout oublié, totalement tout oublier sous les poches et les litres d'alcool et de drogues. Autant dire que tu étais bien maintenant. Tu dansais, tu chantais, tu étais dans un ombre à oublier cette femme de glace, qui fondait au fur et à mesure des secondes. Ce rapprochement si violent et impossible avait fait de toi quelqu'un d'autre. Et les cigarettes, joints, verres de vodka ou rhum n'arrivaient pas à réparer le coeur qui se déchiraient petit à petit pour la douleur irlandaise qu'elle était.. Tu étais brisé finalement et tu ne sais plus quoi faire maintenant pour attirer son attention sans que ton père ne le sache..
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Le voile se tire sur cette année écoulée. Tu la laisses filer entre tes doigts exsangues. Tu ne sais plus très bien où tu en es. Tes proches ont apaisé quelques temps le tumulte en France. Mais tu te sens vide Deirdre, si vide. Tu te détestes même d'éprouver cette absence, de remettre ta fierté entre les mains d'un autre. Jamais tu ne baisses ta garde. C'est toi qui attaque, tu piques avant de risquer une entaille sur ta peau. Tu ne t'es pas méfiée de Valentin non. Tu as pensé son innocence sincère. Tu t'es laissée bernée par un timbre doux et le velours d'un regard. T'as renoncé à tes principes pour te faire piétiner. Faut que tu avances Deirdre sous peine de perdre pied. Tu as regagné Boston rapidement finalement. Opérer ce simulacre d'orgueil devient épuisant. Alors tu t'élances dans ce que tu connais le mieux. Les ténèbres, la nuit. Tu laisses la noirceur te happer toute entière. Tes lèvres sont trop rouges, tes joues trop pâles, et ce noir sur tes prunelles pales rendent l'incandescence à ton visage. Tu te noies. Vodkas et cigarettes. Quelques voix d'hommes oui, un en particulier. Dans tes goûts habituels, costume chanel et look apprêté, la voix grave, les mains épaisses, le regard charmeur et assuré. Tout l'inverse de lui. Tu te laisses bercée par cette voix anonyme, t'opères ce charme que tu sais si bien servir sur un plateau. Tu te mures quelques part là au fond. Tu souris découvrant l'ivoire de tes dents, tu hurles à l'intérieur. Tu te perds. Définitivement. Ton regard se relève vers la proie consentante puis vers la foule des danseurs un peu plus bas. Et tu le vois Lui. Ta main relâche la paroi de ton verre sous l'effet de surprise. Il est là, trop absorbé pour te voir. Lui qui a ignoré chacun de tes appels, chacun de tes messages. Toi qui ne t'abaisse habituellement pas à ça. Le feu te prend, resserre tes entrailles, entrave ta gorge. Tu aspires la boisson entièrement dans ta bouche meurtrie.« Excuse-moi. » Que tu lâches au Séducteur. Tu n'en as que faire. Tu te lèves, de toute la prestance dont tu es capable. Tu y parviens presque Deirdre. Et le jeune pianiste ne se doute pas du courroux qui le menace, mais toi tu grondes. Ta colère en fardeau sur un cœur bien trop frêle.
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Autodestruction d'un amour qui n'a pas commencé mais qui nous consume
— with @Deirdre M. Wheelan  

Et pourtant tout est si compliqué en tout, tout semble totalement dénoué de sens, tu es si alcoolisé et totalement pris dans la fête que tu ne fais plus attention à rien. Tu ne faisais déjà pas attention à grand-chose quand tu étais sobre et dans ta bulle alors attention aux autres et à leur manie ou leur envie soudaine, c’est encore pire. Ton corps s’approche d’une femme, d’elle a la ressemblance si frappante, mais ce n’était pas elle, juste une lueur, un oasis, un mirage, perdu dans la foule qui découle devant toi. Mais cela ne t’intéresse pas, tu ne veux qu’elle et pourtant elle n’est pas là. Enfin presque. Tes mains viennent a bousculé le mirage, près à repartir alors que tu avances vers le bar sans grande conviction. Ton regard s’accroche à une femme, cela se voit, cela se ressent que tu n’es pas dans ton état normal et pourtant, tu es sujet à hallucination. Tu as l’impression de la voir et tu finis par la bousculer elle, pour continuer de marcher. Tu ne sais pas ce que tu as, tu ne sais ce qui t’échappe réellement, tu ne sais pas ce qui te prend, tu voudrais tellement l’avoir près de toi mais c’est impossible. Ton corps se dirige vers ce bar, prenant vers toi et tes amis d’Espagne un bon verre bien salant de one shoot. Autant dire que cela ne va pas arrangé tes affaires en matière d’alcool et de drogue mais bon, tu ne peux pas t’empêcher de vivre réellement dans ton monde, personne ne sait exactement qui tu es, sauf elle. D’ailleurs en tournant la tête, en pleine foule, elle est encore là, face à toi, te fixant, tu ne peux pas t’empêcher d’avancer, tu veux voir si elle est réelle, si elle est réellement là, si elle est naturellement là. Tes pieds te guident, tu oublies tes potes qui t’appellent pour un autre verre, mais là, ta drogue est en face de toi. Tu fixes, tu regardes, tu es enfin face à cette femme et tes lèvres se posent sur les siennes pour un baiser sauvage et à la fois alcoolisé et drogué. Bon et honnêtement, les pupilles dilatées et ton regard dans le vide indiquent tout le contraire du mot sobre mais ce n’est qu’un détail insignifiant dans ton monde et dans le sien ..
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Tu n'en reviens pas. Des jours que tu tentes de tirer un trait sur ce prénom trop romantique. Sur ses mots au timbre trop ensoleillé et à cette innocence trop sincère. Du moins tu le pensais. Mais il se tient là devant toi, l'équilibre est précaire, la pupille brille d'un sombre feu et tu te mords la lèvre, coupable de contempler cette image angélique luttant entre ténèbres et paradis. Un démon simulacre de merveilles ou bien l'inverse tu ne sais plus vraiment. Le feu t'assaille, tu as envie de lui hurler dessus, de le marquer de tes phalanges incendiaires sur sa peau bien trop lisse. Mais tu t'arrêtes en pleine course, immobilisée par ce que tu t'apprêtes à faire. Tu sens cette pointe lancinante à mesure qu'il avance vers ta personne et tu te hais d'être si faible. Sois forte Deirdre. La glace du regard se relève déjà vers les traits bien trop suaves, et ses lèvres se posent sur les tiennes. Tu y réponds, avide, tenace, sans contrôle. Tu goûtes l'alcool mêlé aux drogues, à la chaleur et aux sueurs nocturnes et éphémères. Tu en veux plus. Tu souffres. Tes mains frêles empoignent le tissu du jeune homme, s'y accrochent, s'y retiennent avant de le pousser loin de toi. « Qu'est-ce que tu fais ? » lance ta voix un peu trop froide, tes lèvres incisives et ton regard acier. Qu'est-ce que tu fous Valentin ? T'es censé être le doux de l'histoire. Rappelle-toi c'est moi le bourreau et toi la victime. Mon regard accroché au tien, le souffle en suspens, la fuite n'est pas une option, elle serait pourtant la seule capable de me sauver.
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Autodestruction d'un amour qui n'a pas commencé mais qui nous consume
— with @Deirdre M. Wheelan  

En fait, tu es perdu, totalement perdu dans tout ce que tu fais ou ose penser faire. Ton coeur s'est arrêté lentement sous les jets de lumières mais aussi les cons de cette boite de nuit. Tu as fini ton verre d'un cul sec violent avant de te jeter à corps perdu vers elle. Elle, cette femme si importante à tes yeux et si magnifique. Elle est face à toi, face à cet espoir derrière elle, mais tu ne peux pas t'empêcher de venir jusqu'à elle, comme aimanté face à cette façon de vivre et de vouloir quelque chose. Ton corps se rapproche de toi, ton corps entier bien que ta raison te hurle de quitter cette pièce et de partir loin. Interdiction de la revoir, Juan te surveillera les paroles de ton géniteur dans les oreilles, des heures à vouloir lui envoyer un message mais aucun réseau dans ce palais. Tu étais sur qu'il y avait complot. Bien sur, ton père changea ton téléphone trop rapidement à ton gout et son numéro n'était plus là, plus rien d'elle, aucun message, aucun numéro, aucune photo d'elle. Plus aucun souvenir. Mais tes lèvres se perdent sur les siennes, ce baiser si demandé tant de fois, avec tellement d'envie ou de plus, tu ne pouvais pas lui en vouloir de te rejeter. Mais tu ne voulais pas ça. Tu t'approches une nouvelle fois d'elle, tes mains se posant sur ses joues pour l'embrasser une nouvelle fois. Oui, tu étais tactile, trop tactile pour être vrai, ton corps s'enflammant dans tes veines ou même dans ton coeur. Tu avais besoin d'elle d'une certaine façon. Mais sa voix te ramène à la raison, tu fermes les yeux un instant pour baiser la tête. Et c'était fini, ton envie venait de s'envoler d'un coup, ou juste ta ligne directe en fait. Tu aurais aimé être comme tous ses gars qui pouvaient s'approcher des femmes, les embrasser et avoir plus, mais tu n'y  arrivais pas, c'était impossible. Rien. que tu lâches. Ta voix trahissait quand même un peu ta peur, ou même ton non compréhension de tout ça et finalement tu lâches Laisses tomber Mais tu portais ce collier, ce talisman à elle en plus de ton médaillon stupide sur l'alcool et la drogue. Autant dire qu'il ne savait pas aujourd'hui. Tu finis par passer à côté d'elle, t'avais envie de t'enfoncer dans un trou honnêtement, encore plus honteux même si tous tes potes de l'autre côté était bien heureux. Sifflements, encouragements et bien plus.
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Tu le piques parce que tu te défends Deirdre. Tu le piques parce que c'est la seule chose que tu sais faire. On t'a jamais appris à t'ouvrir, on t'a jamais appris à faire la paix avec ce membre noble censé loger au creux de ta poitrine. Et il te fait mal la présentement. Horriblement. Quand ses mains passent de nouveau sur tes joues, tu en sens la marque sur ta peau. Tu veux porter cette marque éternellement, tu veux rester là comme ça, sans poser de questions. Mais tu ne comprends pas. Le rejet c'est ta pire hantise et il te l'a servi sur un plateau. Alors tu mords avec tes mots parce que c'est la seule chose que tu sais faire. Tu as trouvé une nouvelle torture digne de ton cerveau alambiqué Deirdre. « Rien. » Il te répond. Rien ? C'est rien tes lèvres sur les miennes ? Tes yeux délavées scrutent ce visage familier sans comprendre, descendent au cou et aux épaules, y remarquent la brillance de ton talisman et de cette médaille au sujet de laquelle tu n'as jamais eu le loisir de poser de questions. Y'a tant de choses de moi que tu ignores et inversement. Nos failles sont trop béantes pour qu'on puisse avoir l'espoir de les combler mutuellement. On est juste fous. Et tu l'observes te quitter. Tu n'entends même pas les sifflements railleurs et les rires moqueurs de son cercle. Tu en as oublié ton premier objectif quand la furie a mené tes pas jusqu'à lui. On peut te rejeter oui, tu en as l'habitude malheureusement. Mais on ne le fait pas sans heurts, sans violence. On ne quitte pas ta vie en silence. Non. Que tes pas te conduisent de ta démarche altière jusqu'à son dos absent. La main gracile attrape non sans vigueur le bras masculin. Tu n'aimes pas qu'on te touche Valentin. Je n'aime pas ton silence. 0-0. « T'aurais au moins pu avoir la correction de me dire que tu voulais plus me revoir , c'est pas ça la correction que sont censés avoir les Princes ou les Altesses ou les spécimen dans ton genre ? » Tu siffles entre tes dents et ouais tu dois lui faire peur, mais tu fais très peur quand tu as mal. Douleur. Tu portes pas ce nom par hasard finalement. « Je croyais que c'était important pour toi les règles, tu parles. » Que ma main lâche son emprise, que mes épaules s'affaissent. Elle est drôle la Reine avec cette couronne qui roule à tes pieds. Elle est aveugle de penser qu'elle trompe encore par son orgueil alors que c'est la détresse d'une femme banale qui parle à travers sa gorge froide.
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En fait tu ne sais même pas pourquoi t'es aussi proche d'elle, aussi autant bourré aussi et sans doute drogué par la même occasion. Une semaine et demi sans nouvelles et tu débarques pour l'embrasser. Y'a que toi qui fait ça en fait, y'a que toi qui ose débarquer à une soirée te mettre minable et finalement la croiser et l'embrasser. Et bien sur tout est aussi complexe que tu l'aurais cru. Ton coeur t'insulte et ta raison te hurle, autant dire que le ménage à trois est compliqué, encore plus maintenant et quand elle te prend le bras, tu te tournes les yeux vers elle aussitôt, t'attendant à tout sauf à ça. Tu en prends pour ton grade. J'ai .. Mais elle t'enchaine réellement et tu la laisses parler. Tu finis par t'approcher pour la regarder dans les yeux. Tu dois avoir les larmes aux yeux à cause de toutes ses méchancetés horribles qu'elle t'a balancé J'ai plus le droit de te voir tu embrasses finalement sa joue lentement pour ne pas lui donner honte ou autre connerie stupide que tu penses. Tu as sentit ton coeur se briser quand les paroles sont sortis de ta bouche et tu baisses finalement les yeux vers le sol et tu finis par réellement partir. Mais les toilettes sont le premier endroit auquel tu penses et tu vires tout le monde, parce que t'es prince et que l'énervement te prend d'un coup. Et tu peux faire peur si tu le souhaites. Tu finis par taper ton pied contre cette porte avant de soupirer. Il fallait que tu te reprennes que tu avances alors tu te calmes doucement mais tu dois montrer l'exemple non ? Faire comme si rien ne s'était passé c'est pas pour toi, mais tu dois le faire. Tu sors alors des toilettes en soufflant fortement mais ton regard est encore captivé par cette femme, elle, elle et seulement elle, toujours elle. Tu ne pouvais pas détacher ton regard d'elle et sa robe parfaite, ces cheveux noirs si sombres qu'ils pouvaient t'ensorceler. Deirdre avait réussit à éclater ta bulle et maintenant, il est clair que tu étais à sa mercie ..
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Tu devrais même pas t'abaisser à savoir pourquoi. Il ne t'a pas rappelé, ni répondu à tes messages. Ce n'est pas le genre de choses qui te froisse habituellement. Pour la simple et bonne raison que tu ne rappelles jamais. Alors tu as eu la naïveté de penser que cette fois c'était différent. Tu as été suffisamment conne pour penser que tu aurais le droit un peu à ta part. Et tu t'en veux aussitôt. Tu n'as d'autre choix que de le blesser lui aussi, parce que tu ne peux pas souffrir seule. Il se rapproche et tu perçois la tristesse dans ses yeux. Ça te décontenance, parce que c'est lui qui est responsable du silence entre vous, non ? Ces mots te percute. Tu aurais préféré une gifle. Largement. Parce que aussitôt, tu comprends. Il s'échappe et part vers les toilettes, et toi tu restes comme une perdue au milieu de tous ces gens. La danse envahit tes abords tandis que toi tu demeures immobile pour une fois. T'as plus du tout goût à ça. A toutes ces conneries. Y'a bien quelques mecs qui viennent te chuchoter des paroles salaces à l'oreille, mais tu restes statique. Comme une putain de statue. Il sort de nouveau et son regard se perd dans le tien. T'as jamais eu aussi honte d'être sale. Tu dissimulais ton existence ténébreuse au monde mais tu n'en avais pas honte non. Tu étais plutôt fière de cette Alliée obscure qu'était Iris. Sauf que Valentin est si pur et innocent. T'as été bien dupe de penser qu'il pourrait épancher son souffle pour le tien. Pourtant c'est bien tes pas qui le rejoignent, ta main qui accroche la sienne et qui l'extirpe au dehors vers la sortie de service. T'es entrain de faire quoi là ? T'en sais rien. Ça fait longtemps que tu ne sais plus avec lui. La musique résonne déjà plus lointainement à vos oreilles. Ici tout est étrangement calme et sombre, une pâle lueur éclaire ses traits. « Il t'a dit pourquoi ? » Le Il, tu as toujours su qui c'était. Pas étonnant, il protège son fils. Mais peut-être que Valentin ne sait pas. Peut-être que lorsqu'il saura, alors, le consentement sera obtenu de sa part pour te rejeter à tout jamais. Peut-être alors que Valentin ne voudra plus te revoir mais qu'il ne souffrira plus.
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Elle t'observe, elle te regarde et au moment de partir vers le bar, ton bras se fait prendre en grippe par une main et tu te retrouves dehors, face à elle, face à la porte légèrement ouverte. Elle a peut-être oublié que tu étais alcoolisé et drogué par la même occasion et donc que tu galères encore à réfléchir, alors tu fronces les sourcils Il ? tu t'approches néanmoins d'elle pour l'embrasser une nouvelle fois, juste une fois, retrouvé le gout de ses lèvres une dernière fois, juste une fois, d'ailleurs, tu lui dis Juste une dernière fois, laisse moi t'embrasser Parce que c'est plus facile, tout est plus facile quand les démons s'éloignent et les barrières se brisent. Elle a créée cette nouvelle bulle, celle où elle est à l'intérieur, proche de toi, contre toi ou même dans ton monde. Elle a réussit à tout détruire de toi pour t'inicier des choses que tu ne ferais pas d'habitude. Un baiser sauvage comme celui là, ta main se vient se poser juste au niveau de son ventre, comme elle te l'a appris finalement, parce qu'elle t'a appris tellement de chose Deirdre. Elle t'a enseigné l'art sombre de la vie et tu as du mal encore à savoir ce qu'il faut faire en privé ou en public, tu penses que tout se fait partout. Bon, là, dans une petite ruelle étroite, sans personne, juste elle et toi c'est tellement bizarre mais tu peux pas t'empêcher de l'embrasser et l'avoir contre toi parce qu'elle est comme ça Deirdre, elle t'a pris quelque chose en toi et tu peux plus la lâcher maintenant ..
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Tu sais pertinemment que c'est mal. Qu'il n'y a aucune raison pour que tu t'accroches à lui et qu'il s'accroche à toi. Y'a aucune logique là dedans. D'habitude c'est simple, tu décides, tu planifies et là, t'as aucun contrôle sur rien. Tu sens ton corps qui répond au sien avant même qu'il te touche et tu te maudis toi-même. Tes battements résonnent dans tes tempes et il te questionne sur le Il. Tu vas répondre mais il te demande de t'embrasser une dernière fois. Il est pas dans son état normal c'est clair et ça te met en colère ça aussi. Mais il est jamais aussi proche de toi que dans ces cas là. C'est... Tu sens ses doigts qui viennent se poser sur ton ventre. Tu sens une chaleur remonter jusqu'à lui, et tes lèvres qui l'appelle. « Ton père. C'est ton père qui t'a interdit de me revoir. » Tu poses ta main sur la sienne, tu viens la presser un peu contre ta peau, tu immisces tes doigts entre les siens, mais tu tiens bon. « Il t'a dit pourquoi ? » Tes yeux se posent sur les siens, t'es à la fois troublée et inquiète. Parce que lorsqu'il saura, ça changera peut-être pour de bon. « Tu voudras peut-être plus m'embrasser après ça. » Quand tu sauras que j'ai offert mon corps en spectacle à d'autres, quand cet attrait je l'ai effectué sur maintes autres esprits. Alors peut-être que tu changeras d'avis.
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