Caleb M. Fawkes ► Nicolas Bemberg

C'est le 26/05/1990 à Londres, que les membres de la famille Fawkes m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Caleb Mortimer. Je suis céblitaire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de journalisme depuis quatre ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy ou les Winthrop.

Je suis trop protecteur, surtout envers mes amis. C'est peut être bien, mais parfois, on me dit que j'étouffe les gens. ▲ J'suis peut être haut en couleur mais je suis un sacré maladroit. Je me demande parfois moi-même si j'ai appris à marcher correctement un jour. ▲ On me dit charmant, sans doute mes petites manies de riche. ▲ Pendant une soirée et même en dehors, on me dit conviviale ▲ Je suis quelqu'un de naturellement souriant, même quand j'ai un problème je sourie comme un débile. ▲ Je suis expressif et translucide, je ne sais pas dissimuler mes sentiments. ▲ Je suis un révolutionnaire, j'aime défendre n'importe quel cause même si elle ne me concerne pas. ▲ Je suis amical et j'ai aucun mal à me faire apprécier par tout le monde ▲ Parfois je suis ambiguë parce que je ne sais pas ce que je veux. ▲ Je suis charismatique et je n'ai pas besoin de l'avis des autres pour le savoir. ▲ Je suis trop attentionné même si j'ai souvent pas franchement envi que vous me racontez votre vie ▲ Je suis distingué▲ Je suis un sacré fuyard quand je ne sais pas gérer une situation. ▲ On me dit jaloux quand on me vole mes plus fidèles amis. ▲ Comme maladroite je suis aussi un gaffeur, professionnel des dévoilements de secrets. Je ne le fais pas exprès, mais il m'arrive de ne pas pouvoir tenir ma langue. ▲ J'ai de la prestance donc je suis un leader ▲ Je suis persévérant, même si un projet est impossible j'irais jusqu'au bout. ▲ Je suis patient et je pourrais attendre des amis pendant des heures que ça ne me dérangerais pas. ▲ Je suis réaliste au point que j'aime faire la morale aux autres. ▲ Je suis gentil mais trop sanguin, je ne garde pas facilement mon calme. ▲ Je suis direct et je vous dirais sans problème ce que je pense sur vous. ▲ Je suis courtois, encore un trait de caractère qui me vient de mon rang social. ▲ Je suis contemplatif et j'aime passer des heures à regarder un paysage. ▲ Je suis cultivé parce que je m'intéresse à tout et à n'importe quoi . ▲ Je suis ambitieux et je ne lâche rien.

▲ Quand j'ai aidé une mamie à monter ses courses, le sac s'est déchiré et j'ai du courir après les carottes jusqu'au rez-de-chaussée.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Tout dépendra de mon état mental à ce moment précis, sinon, en général, j'y vais pour surveiller les gens. En dehors de ça, j'y vais pas spécialement pour me trouver une copine ou pour affiner mes relations. Il faut savoir que les trois quart des gens qui vous parlerons vous aurons déjà zappé dès le lendemain.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Certes. Je n'ai pas forcément la tête de l'emploi, mais j'irais. Je suis pour le soutien des défavorisés. Le thème n'est pas celui des fêtards, et là, au moins, les gens mémorisent mieux votre tête. J'ai une tête de bon riche anglais qui n'en à rien à faire des autres, mais vous voyez, c'est pas le cas. Après, les stéréotypes, se sont les gens qui les construisent.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Si non, quoi ? J'ai d'autres choses à faire. Bien que cela peut être distrayant de jouer le marionnettiste, je doute que j'ai assez de talent dans le domaine artistique pour prétendre à la place de vainqueur. Je ne sais pas chanter, je ne sais pas danser. Point. En réalité, même pour rire, j'n'irais pas.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Et bien, je la trouve belle et gentille. Mais il faut avouer que je m'en méfie. J'préfère en savoir plus avant de me lancer dans un discours palpitant la concernant. Les gens profitent parfois tellement de vous, que la méfiance devient la première arme de choix. Certes, intérieurement, je penserais qu'elle est sublime, mais... le reste ?

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Vous me connaissez déjà trop ? C'est ça. Vous avez compris. Ça ne m'intéresse pas. Il y a d'autres manières de jeter de l'argent par les fenêtres.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

C'est cool pour lui. Je m'en plaindrais pas trop.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Si mon temps libre me le permet. Et si quelqu'un veut bien m'y accompagner. Ça peut être intéressant, même si ce n'est pas totalement dans mon domaine.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle crocmaniac ou surijun et j'ai 22 ans (ouech comme mon perso, s'trop original !). Je suis française et j'ai connu le forum grâce au top-site (parce que j'ai plus d'forums et que malgré le monde, j'arriverai à m'faire une place pour une fois). L'ambiance a l'air sympathique, j'aime le monde, et bien sur, j'aime ce qui encadre le forum... C'est à dire le design, très sympathique. Couleurs que j'aime. Et le nom des groupes aussi. Par contre, le contexte il est basique. Donc y a moyen de faire un peu ce qu'on veut alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, on verra sinon j'me casse (ahah). J'utilise Nicolas Bemberg comme avatar (parce que de toute façon, les trois quart des avatars que j'aime sont pris) *manger un mur*, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ (je compte pas, vous verrez) mots par RP et mon personnage est un inventé (parce que j'ai jamais d'inspiration avec des scéna).

Mot de la fin ? ▲ J'aime trop raconter ma life. Je suis vulgaire et tout. J'vais être méchant avec tout le monde :3 Vous verrez, j'suis un monstre ! Sinon j'aime faire des personnages bizarres, et j'espère m'intégrer. Je pense faire pas mal de publicité par message privée, étant donné que j'ai aucun forum à promouvoir. Je pense poster deux rps tous les ans, j'espère que mes ou mon partenaire sera (seront) patient(s). Je compte me faire dix comptes aussi, j'espère que cela ne dérangera pas notre staff :3. Sinn si sa pe vs fair plaizir, j'pe écrir com ça ausi. J'pans ke c + lizibl nan ? Voilà. J'espère qu'on s'aimera tous.

Ma vie n'a rien eu d'horrible et de compliqué. Elle a même été relativement simple. Je suis fils unique, j'ai toujours eu tout ce que je désirais, mes parents sont classés dans les riches, et je suis presque parfait. Physiquement oui. Mentalement, c'est une autre histoire. Au début, j'étais du genre gosse de riche, qui se foutait pas mal des autres et qui s'occupait uniquement de son cul. Vous voyez le genre ? Le parfait petit cliché en haut de la montagne. On ne regardait que moi, on évitait de me soûler à l'école parce que j'étais l'un des piliers. J'avais juste besoin des bons arguments pour mes parents pour vous faire virer. C'était tellement facile.
Ma vie n'a rien eu de compliqué, à la différence qu'aucune de mes relations tenaient debout. Déjà parce que j'avais le chic pour sortir avec les filles qui se foutaient pas mal de ma manière de voir le monde, et aussi parce qu'elles étaient souvent de sombres connes. Navré, ces deux mots les qualifiés si bien. J'étais un salaud ? Peut être. Mais je ne faisais pas de mal à une mouche. Je ne m'amusais pas à descendre votre mental jusqu'au fond des égouts, je vous faisais virer parce que vous m'emmerdez.
J'ai vite arrêté de penser de cette façon lorsque je me suis retrouvée en voyage avec mes parents en Indonésie. J'avais 15 ans, et j'ai vu la misère. Certains n'auraient peut être pas changer en voyant un tel spectacle, moi si. Je me suis juste remis en question, j'ai essayé d'aider les autres, j'ai essayé de changer malheureux destins, au grand désarroi de mes parents. Ces derniers étaient trop vieux pour comprendre ce que j'essayais de faire. Peut être que si j'avais eu cinq années de plus, j'aurais réagis comme eux et pris des vacances. J'ai fait le tour du monde avec mes parents, j'ai vu autant de bel chose que de mauvaises choses. Mais, je ne suis pas resté inerte à regarder ce qui se passait. J'avais simplement envi de voir certaines choses changer et j'avais envi de voir le sourire de certains s'encrer sur leurs visages, au moins pour quelques secondes. Il faut savoir savourer les petites choses, comme on dit. Et j'ai appris à vivre ma vie autrement. Adieu le gaspillage.
J'aurais pu être l'homme parfait.
Certaines auraient peut être voulu de moi à leur bras.
Mais dans toute cette beauté, il y a un hic. Je suis aussi charmant que désagréable. J'aime l'amitié, mais l'amour, ça me révulse. Depuis mes petites amourettes, je ne pouvais pas m'empêcher de repousser la moindre donzelle qui voulait de moi. Je deviens presque exécrable lorsqu'elles cherchent plus loin. Résultat, je finirais peut être en bon vieux célibataire qui ferait le tour du monde. Je me voyais déjà dans la forêt amazonienne, combattant les bestioles qui voudraient ma peau. Quelle image ignoble. Seul, perdu au fond de la forêt. Pourtant, c'était plus ça que je voulais. Après tout, dans un monde comme le nôtre, alors que les divorces sont bien plus important que les mariages, j'ai tout à fait raison. L'amour ne mène à rien, à long terme.
Il n'y a qu'à voir mes parents aujourd'hui. Sagement séparé après de charmantes disputes.
Cet événement a sans doute plus marqué ma vie que mes cabrioles avec les jeunes filles. J'ai beau avoir toujours ce que je veux et assez d'argent pour partir ou je veux, ma vie à complètement changer. Je vis plus souvent chez ma mère que chez mon père qui a déjà refait sa vie. Je ne le vois d'ailleurs pratiquement plus. De plus, lorsque je le vois, il me répète tous les jours la même chose. Le journalisme, c'est nul. Ça va pourrir ta vie. Tu ne t'en sortiras pas. Les affaires c'est mieux, t'es sur d'avoir l'argent que tu cherches et de vivre confortablement. Toujours le même train-train. Ma mère, elle, perd peu à peu de la couleur, elle ne fait plus autant attention à ses rides, elle se fiche de tout. Je sais que si je lui disais que je partais pour l'Afrique, elle ne s'y opposerait même pas. Je ne parle jamais de ces moments dans ma vie, ni de la dépression de ma mère qui me ronge de l'intérieur. C'est d'ailleurs un sacré problème chez moi... Si vous me racontez vos problèmes, je fuirais. Je ne sais pas réconforter les gens, je n'ai pas envi de les réconforter. Je ne peux que les aider de loin, parce que je ne veux pas essayer de les comprendre.
La vie est compliquée, mais elle se vit quand même très bien. Vous voyez bien, je suis toujours entier.