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MAVEDDY

Le monde bouge autour, ça parle fort, ça parle beaucoup. Je sais que pour pas mal de personne, ça peut être distrayant, horrible, mais à voir ces gens, ça m'impresionne. Ils ont tous une vie différente, se battent pour des besoins différents, des caractères qui sont souvent loin d'être similaire et leur manière de parler est similaire à l'endroit où ils ont grandis, l'endroit où ils vivent. C'est assez dingue de voir tant de personne cohabiter ensemble. Allez savoir pourquoi, moi, ça m'aide. Pas tout le temps, mais dans ce cas présent, oui. Je m'étais installé ici en sachant bien que ça allait être une heure pleine. J'avais commandé un café, pris un sandwich à manger et j'avais ouvert mon ordinateur, bossant sur mes prochains cours. Je les pensais déjà tous prêt, naïve que je suis. Comme si je pouvais compléter une année avec des étudiants aussi curieux et intelligent que ceux d'Harvard. Concentrée dans mes notes, c'est à peine si je remarque ce qu'il se passe autour, jusqu'au moment où quelqu'un s'assoit face à moi. Rien que ça ? Je relève les yeux, fronce les sourcils avec un sourire. Je cherche, je cherche, purée. "Maverick, c'est ça ?" le sourire est large, ce gars a du talent, j'ai lu un de ses écrits et je me suis trouvée chanceuse d'être la personne à qui il s'est adressé. J'avance mes affaires plus proche de moi pour lui faire de la place à ma table, "C'est pas la meilleure plage horraire pour venir ici." Je regarde autour, il a l'air d'être seul. "Comment ça va ?" pour tout le monde, c'est une formule de politesse, pas pour moi. ça m'interesse réellement, je suis probablement trop proches des étudiants, à trop vouloir en faire, mais ça occupe le temps, ça comble les vides.

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T'es complètement barge comme mec mais t'es studieux faut pas croire. N'entre pas à Harvard qui veut. Alors certes parmi le lot de têtes d'ampoule que le campus peut compter, tu te distingues d'une certaine manière, mais aujourd'hui est une journée de cours et t'es bien décidé à tout donner en attendant les fêtes de fin d'année. Là ce sera tes sœurs et la glande en boucle. T'as rien prévu d'autres que de prendre du temps pour toi et tu sais même pas si tu écriras d'ailleurs. En attendant, c'est la pause déjeuner, et c'est pas le genre de truc que tu vas loupe. Pour être honnête, tu dois y penser depuis deux bonnes heures et pour le coup, t'as envie d'être tranquille alors tu pars en solo. Sauf que le café dans lequel tu te rends est bondé que pour la solitude tu repasseras. T'as moyen envie de te les geler à l'extérieur par un jour froid de décembre. Alors tu remarques cette prof installée sur une table seule. Tu l'aimes bien même si tu fais pas de journalisme, t'as suivi quelques uns de ses cours par curiosité et t'aimes bien son temps percutant. Elle aime vraiment ce qu'elle fait et c'est d'ailleurs pour ça que tu lui a soumis un de tes écrits alors que franchement c'est pas un truc que tu fais facilement. Faut quand même ajouter qu'elle est carrément canon et que te taper une prof, ça a toujours été un de tes fantasmes. Toi tu comptes lui apporter une touche de légèreté, un peu de folie dans sa vie c'est une belle promesse non ? Tu t'installes face à elle, elle te remet. « Gagné ! » T'aurais été vexé de l'inverse franchement. « Je vais super bien vu que je m'apprête à manger ! » Que tu rétorques en coulant un regard amoureux à tes deux sandwichs et ta salade. « Je m'installe là, ça vous dérange pas ? » Tu souris avec ton air de crétin, celui auquel on peut rien refuser. « Vous savez que c'est pas bon de travailler sur la pause déjeuner ? » Même si ça a un côté working girl que t'aimes bien, faut avouer.

@Teddy Ryan
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« Gagné ! » Je souris en hochant la tête rapidement, l'horreur si je m'étais trompée. Mais j'avais un plutôt bon souvenir de lui, alors ça me permettait plus facilement de retenir. Etant journaliste, vallait mieux avoir une bonne mémoire de toute façon, surtout quand on se retrouvait dans des endroits où on pouvait pas spécialement prendre de notes ou enregistrer. « Je vais super bien vu que je m'apprête à manger ! » Je rigole, "Meilleur moment de la journée !" le sourire est facile et la conversation se fait toute seule avec lui en face. « Je m'installe là, ça vous dérange pas ? » Sourire toujours présent, je ferme l'ordinateur et le range dans mon sac pour lui faire un peu plus de place, "Non bien sûr, installe-toi !" j'allais pas l'envoyer dehors, surtout que j'attendais personne. « Vous savez que c'est pas bon de travailler sur la pause déjeuner ? » hausse les sourcils, souris en coin, "Est-ce que c'est du travail quand on aime ce qu'on fait ?" répondre par une question, bien évidemment. Je sais que j'ai de la chance d'être ici, à apprendre à des étudiants qui seront probablement meilleur que moi, qui le sont déjà certainement. Il y a quelque chose de beau, d'offrir un apprentissage et une manière de réfléchir à d'autres, pour qu'ils se découvrent, qu'ils sachent où ils vont. "Comment ça se passe toi, les cours ?" le côté maman Teddy, le retour. Je peux pas m'en empêcher, demander comment les étudiants vont, comment ils s'en sortent, comment ils avancent, proposant même mon aide dans le cas où il y a besoin. J'ai fini une après-midi à réviser de la finance avec une étudiante. Une épreuve pour moi qui suis plutôt lettres que chiffres. Je sais pas, je tends peut-être trop la main, j'aime me dire qu'ils échoueront pas, qu'ils y arriverons, et que parfois rien qu'un peu d'aide peut représenter beaucoup. Harvard, ce n'est pas que des soirées, des voyages et de l'amusement, c'est aussi beaucoup de travail, et si je peux faire ma part dans leur monde, j'en suis heureuse.
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Cette femme, elle te plaît. Parce qu'elle a ce truc qu'ont les vraies femmes et surtout les profs mais elle est accessible en même temps. Alors tu hoches la tête avec un regard gourmand quand elle approuve ton bonheur de bientôt manger. T'es bien d'accord avec elle, c'est un des meilleurs moments de la journée. T'en profites d'ailleurs maintenant qu'elle t'a autorisé à rester à croquer à pleine dents dans ton sandwich. T'es pas du genre à faire les choses à moitié ou à t'encombrer des conventions. Tu fais juste ce que t'as envie et là , ces deux tranches de pain t'ont fait de l'oeil pendant bien trop longtemps pour que tu restes de marbre. Tout en mangeant, tu réfléchis à sa question. « Vous aimez vraiment toujours ce que vous faites ? Je veux dire en journalisme vous avez pas toujours le choix des sujets, y'a sans doute des trucs plus passionnants que d'autres non ? » Toi c'est l'écriture qui te plaisait, et c'est l'indépendance qui en découlait qui t'attirait. De ta plume se déversait un monde entier, un monde à toi, que tu choisis et qui s'exprime par ta cervelle. Tu y poses des règles aussi fantasques qu'authentiques selon tes goûts, et c'est cet espace de liberté que tu chéris, t'es pas convaincu que ce soit autant le cas dans ce domaine pourtant proche qu'est le journalisme. Elle te demande ensuite comment se passent les cours, tu souris parce que c'est rare qu'on s'intéresse à ton parcours. « ça se passe très bien. Cette année, j'ai tous mes frères et sœurs avec moi, ce qui est quand même super cool. Et y'a bien des cours plus assommants que d'autres mais globalement, on écrit davantage et on lit toujours autant alors je m'en plains pas. » T'aimes pas toutes tes lectures ça c'est clair, mais ça fait partie de ton apprentissage, parce que contrairement aux airs de crétins que tu te donnes, tu l'es pas tant que ça. « Le seul truc c'est que mes profs sont pas aussi sexys que vous, ça c'est bien dommage. Monsieur Bergson il a moins de sex appeal non vous trouvez pas ? » Ouais t'es cash, frontal, désinhibé. T'es comme ça, avec tout le monde, même tes supérieurs. Peut-être pour ça d'ailleurs que t'as jamais gardé un job bien longtemps Mav'.
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Partager une table ne me coutera pas plus cher. ça aurait été stupide de dire non, alors il se trouve devant moi, mangeant son sandwich. « Vous aimez vraiment toujours ce que vous faites ? Je veux dire en journalisme vous avez pas toujours le choix des sujets, y'a sans doute des trucs plus passionnants que d'autres non ? » J'hoche la tête. Forcément, il y a toujours des choses plus cool à écrire que d'autres, mais j'ai toujours eu de la chance. Au début, pas forcément alors on angle le sujet comme on le peut, pour que ça soit, si pas amusant, au moins enrichissant. "On passe pas toujours par les meilleurs moments mais.. il y a une certaine fierté à voir le produit fini, lu par des tas de gens." le sourire est sincère, le ressenti aussi. Je sais que j'ai eu de la chance, en faisant ce que j'aimais. J'ai trouvé rapidement, j'ai gravis les échelons très vite, j'ai eu des responsabilités tout aussi rapidement. Certains passent leur vie à gâcher leur talent quand le vrai chemin pour eux n'est pas forcément celui qu'ils ont choisi. « ça se passe très bien. Cette année, j'ai tous mes frères et sœurs avec moi, ce qui est quand même super cool. Et y'a bien des cours plus assommants que d'autres mais globalement, on écrit davantage et on lit toujours autant alors je m'en plains pas. » le sourire est figée, la tête se hôche. Elle acquiesce. C'est toujours mieux quand en face, les étudiants aiment. « Le seul truc c'est que mes profs sont pas aussi sexys que vous, ça c'est bien dommage. Monsieur Bergson il a moins de sex appeal non vous trouvez pas ? » Les sourcils se relèvent, la bouche forme un o. La gène se camoufle dans un rire alors que les joues prennent une couleur plus estivale. "Je.. je dirais que ça dépend des goûts de chacun." ne sait plus où se mettre. Teddy, elle s'est jamais considérée comme jolie. Juste une fille lambda, qui plaît de temps en temps, pas franchement sexy, pas canon, mais qui peut potentiellement avoir du charme, parfois. C'est surtout le naturel, alors le malaise se fait sentir quand elle est complimentée, encore plus venant d'un étudiant. "Comment tu défini le sex appeal ?" parce que quand j'entend ce terme, je pense à Scarlett Johanson. Je suis bien loin derrière, d'un autre monde, d'une autre planète. Se prépare tout de même à rire à la réponse, à le prendre du côté léger, du côté à l'ignorer. On évite la chose, on met pas le nez dedans. On le prend calmement. Une blague d'étudiant, rien de plus.
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Tu écoutes attentivement. Parce que tu es un crétin certes mais tu es capable d'une grande attention quand un sujet t'intéresse. Cela a souvent désarçonner tes professeurs les premiers temps. La désinvolture de ton comportement contraste avec la pertinence de tes questions. Elle t'explique donc qu'il y a une certaine satisfaction à observer le papier terminé, à savoir qu'il sera lu. « Oui mais est-ce que vous prenez un réel plaisir à écrire ? Parce que moi je ne pense que je ne pourrai pas écrire sans ce frisson, sans cette sensation qui vous donne l'impression de vous livrer sur le papier. » Le journalisme se veut neutre et objectif. Il réussit son travail quand il assemble les éléments de façon concise et explicite avec toutefois une fine analyse. C'est un travail différent du tien évidemment. Toi c'est l'inverse, tu utilises le palabre pour façonner des histoires, pour emmener ceux qui te lisent loin de cette réalité et les happer dans la tienne. Un endroit où toutes les libertés sont permises où la seule exigence s'avère être celle du style et du talent de narrateur. Bref, tu ne peux pas être intelligent plus de deux minutes alors tu l'as observé, tu peux la voir de près là, dans une posture différente et tu peux pas t'empêcher de souligner son sex-appeal. Parce quand une femme t'attire, tu te fais pas prier pour lui signifier. Qu'elle soit professeur ou simple camarade. Ça tu t'en contrefiches. Tu trouves ça trop mignon cette façon qu'elle a de rougir, c'est pourtant elle la plus adulte de vous deux non ? Tu réfléchis à sa question. Tu lui souris en coin en l'observant attentivement. « C'est une sensation qu'on ressent quand on voit une belle femme. C'est pas les critères classiques non. C'est quelque chose qui se dégage. Une petite lueur dans les yeux, un attrait sur un bout de peau dévoilé, l'évanescence cristalline d'un rire, le velours d'un timbre, l'attrait de belles lèvres, un rose qui vient décorer des joues pales. » Tu poses ton regard sombre sur son visage un peu confus. T'es sérieux. Tout à fait sérieux quand tu exposes ça. Tu mords dans ton sandwich comme si de rien n'était. « C'est ça pour moi le sex-appeal. » Tu souris davantage. « Et pour vous ? » T'es toujours intéressé par une définition venant d'un professeur. T'exposes tes mots aux siens et t'es curieux de voir comment elle définira elle-même la chose.
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Ce Maverick m'intrigue, quelque part. Qu'est-ce qu'il faut avoir vécu pour écrire comme il le fait ? Est-ce qu'un talent comme le sien peut être naturel ? Est-ce que c'est travaillé ? Il pourrait me vendre des merveilles sur un bout de papier. « Oui mais est-ce que vous prenez un réel plaisir à écrire ? Parce que moi je ne pense que je ne pourrai pas écrire sans ce frisson, sans cette sensation qui vous donne l'impression de vous livrer sur le papier. » Je souriais et secouais un peu la tête, "C'est très différent." nos métiers, futurs, nos manières d'écrire, d'approcher les choses, même de les voir. Il vit pour l'invention, je suis restitution. "Je prends un réel plaisir à former une histoire, à mettre un sens là où il n'y en a pas, à retranscrire quelque chose." quelque part, le journalisme, c'est le traducteur entre une histoire et le monde. C'est expliquer des faits, non pas les conter. Il interprête, je traduis. Il se joue des mondes quand je suis réalité. Il est imagination quand je suis à analyser. Je vois le réel quand il le modifie, le rend meilleur, plus beau, plus sombre, plus aventureux. Il vit le rêve et j'écris la vie. Notre approche sera différente, quelque soit le sujet, mais avoir son oeil sur des termes qui semblent simples me semble amusant, sur le coup. Enrichissant, même. « C'est une sensation qu'on ressent quand on voit une belle femme. C'est pas les critères classiques non. C'est quelque chose qui se dégage. Une petite lueur dans les yeux, un attrait sur un bout de peau dévoilé, l'évanescence cristalline d'un rire, le velours d'un timbre, l'attrait de belles lèvres, un rose qui vient décorer des joues pales. » Le sourire est présent, jusqu'à la référence des joues. J'ai tendance à vite chauffer, à ce niveau. C'est pas contrôlé, j'ai jamais réellement appris. Le sourire disparait, quand je comprends qu'il s'agit de moi, qu'il mentait pas. Les yeux se relèvent, il est sérieux. « C'est ça pour moi le sex-appeal. » Je sais pas comment le traduire, je sais pas comment le voir. Probablement flatée, si je savais quoi répondre, s'il ne m'intriguait pas autant. « Et pour vous ? » réfléchit, vite, cherche quelque chose de simple, pour ne pas se perdre dans le monde qu'il dessine de ses yeux sombres. "C'est juste.. l'attirance sexuelle." hausse les épaules, toujours souriante, bien qu'un peu gênée. Si je reviens quelques peu en arrière, je pourrais traduire qu'il est attiré par moi, de manière sexuelle, mais j'en ai pas envie, j'oublie. "Et tu peux dire 'tu', j'suis pas ce genre de prof." le sourire est plus large, la tension descend, elle se détend. Repose les pieds sur terre comme après s'être envolée dans ses explications. Il a son monde à lui, et je sais que je ne peux en faire partie.
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Tu comprends mieux lorsqu'elle t'explique l'intérêt qu'elle trouve à son métier. C'est le même processus qui vous lie mais pas le même objectif. Un peu comme le cœur et la raison. Et voilà que tu te plait à lui détailler ce qu'est pour toi le sex appeal Maverick. Tu fais allusion à elle bien entendu et tu prends un certain plaisir à ressentir son trouble faut l'avouer. Elle résume parfaitement vos différences de métiers par sa conclusion. « Oui mais pas que, c'est plus subtil. » que tu t'amuses à rectifier tout en continuant à manger. Faut pas perdre de vue l'essentiel. Elle te signifie que tu peux la tutoyer, ce qui t'arrange, t'es jamais contre un soupçon de plus de proximité. Et puisqu'on s'enfonce dans ce genre de considérations. « Et je peux t'appeler par ton prénom ? » Parce que le tu et la Madame, c'est pas fait pour s'accorder. Tu souris un peu plus provocant. « De toute façon, je ne suis pas ton élève. » Et heureusement, parce que tu serais pas très attentif en cours. Pour le coup, c'est bien plus pertinent d'avoir Monsieur Bergson et son absence d'attrait. « ça fait longtemps que tu donnes cours ici ? » Parce que toi t'es là depuis plusieurs années et tu l'as vu que cette année, alors tu as envie d'en savoir plus. Qu'est-ce qui la mène ici ? Pourquoi on s'accroche aux bancs étudiants quand la vie est encore pleine de promesses. T'es intrigué et c'est le cœur de ton métier de savoir le pourquoi du comment.
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Il a ce quelque chose, bizarrement. Il est sans filtre, il se moque de tout, et je regrette de ne plus être dans mes belles années, celles des études, parce que à coup sur, je m'y serais un peu plus attardée. « Oui mais pas que, c'est plus subtil. » J'ignore ce mot, même si au final, j'en prend quand même un peu note. « Et je peux t'appeler par ton prénom ? » Je rigole en l'entendant, rien que ça ? « De toute façon, je ne suis pas ton élève. » Souris en le regardant, probablement même un petit sourire en coin, sans pour autant avoir envie d'offrir ce genre de sous-entendu, "Okay, allons pour Teddy alors." Teddy ou Ryan, c'est similaire, de toute façon. Je préfère jouer la proximité avec les étudiants, c'est plus simple pour gérer les problèmes et surtout les différentes situations. « ça fait longtemps que tu donnes cours ici ? » secoue la tête, "Non je suis arrivée cette année." je sais que sa soif de curiosité ne sera pas assouvie aussi facilement, "J'ai emménagé en août, j'avais besoin d'un changement dans ma vie et c'est tombé au bon moment." des cartons jonche encore le sol, la plupart portent encore son odeur. J'aimerai m'en débarasser mais on ne se débarasse pas de sa vie comme on jette un bout de papier. Bien que j'aurai apprécié. Les barrières se relèvent, la curiosité s'attaque en face, c'est plus facile à gérer, "Et toi alors, pourquoi Harvard ?" la renommée, certainement. C'est un prétexte pour changer le sujet, plus à l'aise quand je ne suis pas celle qui répond aux questions.

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Tu aimes casser les barrières, lever les faux-semblants comme cette prétendue distance entre l'étudiant et le professeur. Faut l'avouer, t'as toujours eu cette fascination pour les femmes plus âgées, pour celles qui savent qui elles sont et ce qu'elles veulent. Alors tu enfonces l'entaille qu'elle t'offre pour en agrandir la béance. Du tutoiement, tu passes au prénom. Tu souris quand elle te l'annonce. « Comme le nounours ? » Parce que c'est mignon ça lui va bien. C'est doux mais en même temps fort. Il ne faut pas se fier aux apparences. T'as fini le premier sandwich présentement, tu sirotes avant d'attaquer le deuxième. Ta faim commence tout juste à s'apaiser. « Ah je comprends et alors tu te plaît ici ? » Nouveau sourire avant de croquer le pain à pleines dents. Elle te questionne sur toi et c'est normal après tout. Y'a pas de raison que tu sois le seul curieux de l'histoire. « Pour une fille... » que tu dis avec un petit sourire en coin. C'est pas tellement vrai, mais c'est bien un pari stupide qui t'a conduit là. Ton talent et ton tas d'argent que t'as amassé suite à ton gain. Autrement, t'aurais jamais pu te payer ces études. « Et parce que je suis ambitieux, je voulais la meilleure université pour me former, quitte à y aller, autant aller dans le meilleur endroit non ? » C'était pas ouvert à tout le monde Harvard, alors tu retirais une certaine fierté de pouvoir étudier là où tout le monde rêvait d'aller.
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