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WTF are you doing here ?!?! ღ Ethan

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Tu es raide dingue de lui. Cet homme, tu l’as dans la peau depuis la première fois que tes billes lunaires se sont posées sur lui. En dépit de tout ce que vous avez vécu tous les deux, ces incompréhensions et ces parts d’ombre, on peut dire que ton amour et ton admiration pour lui restent inchangés. Il s’excuse pour l’accident de parcours et toi tu ne fait qu'acquiescer d’un simple geste de la tête. Il ne peut certes pas le voir, mais il peut très certainement sentir les pressions de ton menton contre le sommet de sa tête. ‘’ N’y pense plus. ‘’ Souffles-tu encore perdu dans tes pensées. Tu préfères croire qu’il a mit un terme à tout ça à cause de sa bonne conscience plutôt que de t’imaginer ne pas être assez bien pour lui. Tu connais pourtant ses doutes, ses incertitudes et ses peurs, mais c’est plus fort que toi, tu ne peux t’empêcher de croire que le problème vient de toi. Ton léger manque de confiance en toi qui refait surface uniquement lorsqu’ Ethan est dans les parages. Tes doigts étaient en train de remonter le long de son flanc lorsqu’il prononça ces paroles fatidiques. L'aveu que tu attendais depuis tellement longtemps, le voilà qui te l’offre comme ça, sur un plateau d’argent sans que tu aies eu à te battre pour lui arracher les vers du nez. Le temps s’arrête et toi tu restes immobile, interdite. Tu n’y crois tout simplement pas. ‘’ Ethan, pourquoi tu me dis ça maintenant ? ‘’ Demandes-tu d’une voix tremblante, submergée par la vague d’émotion qu’il fait naître en toi. Ton regard trouve le sien et tu observes son visage en quête d’une quelconque émotion qui pourrait le trahir, mais rien ne vient. Il est tout ce qu’il y a de plus sérieux. ‘’ Je t’ai déjà pardonné Ethan… mais je t’en veux tout de même parce que je donnerais n’importe quoi pour être avec toi à nouveau. Reprendre notre histoire là ou elle s’est interrompue. ‘’ Plus il parle et plus tu t’accroches désespérément à cette petite lueur d’espoir d’adolescente qui embrase ton coeur tout entier. Tu veux y croire, même si tu sais d’avance que la chute sera fatale. Tu es consciente que bien des choses ont changés, qu’il a refait sa vie, qu’il a sa petite amie… mais tu es heureuse de constater que ses souvenirs avec toi restent inchangés et qu’il se rappelle toujours vos folles aventures. Un large sourire voit le jour sur ton visage alors que le film de ta vie se déroule dans ta tête. Vos éclats de rire résonnent dans ton esprit, ainsi que tes sermons à propos du fait d’être parti d’un restaurant sans payer. La belle époque. Il se blottit contre toi et toi tu ne peux t’empêcher de le serrer davantage contre ton coeur. Tu as cette envie folle de ne faire qu’un avec lui et ne plus jamais le laisser partir et ce baiser sur le haut de ta poitrine ne fait que décupler ce désir qui te tiraille le bas ventre. Un baiser auquel tu réponds avec fougue avant de répondre ‘’ Alors reste avec moi pour toujours, je ne t’abandonnerai jamais, tu le sais… ‘’ Un petit rire caresse ta gorge après avoir entendu la fin de sa phrase et tu ne peux t’empêcher de lui envoyer une énième claque sur le ventre. ‘’ T’es trop bête ‘’ Dis-tu, joueuse tout en te levant doucement pour te mettre à genoux à côté de lui. Tu t’étires longuement, exposant ainsi tes courbes parfaite jusqu’à ce qu’il en soit repus après quoi, tu le fait rouler sur le dos. Sans plus attendre, tu le chevauche, ton galbe rebondi confortablement posé contre son pubis. Tu l’observe, sourire aux lèvres, puis te penche rapidement pour lui voler un chaste baiser. ‘’ J’ai vraiment envie de te rendre heureux… ‘’ Tu mordilles discrètement ta lippe inférieure tandis que tu défait l’attaque de ton soutien-gorge que tu envoies un peu plus loin dans la pièce. Tu lui avais dit que vous n’étiez pas obligé d’aller plus loin, mais ça, tu le fais pour toi, par envie. Il n’est pas forcé d’embrayer sur la deuxième vitesses, après, ce n’est pas la première fois qu’il voit une paire de sein, c’est un peu comme regarder un poster en 3D, ça n’engage à rien. ‘’ Je pourrais te masser les épaules quand tu travailles tard le soir. ‘’ Ton regard ancré dans le sien, tu commences à faire pianoter tes doigts sur l’intégralité de son torse. ‘’ Ou te piquer une crise quand tu as envie de te foutre de ma gueule. ‘’ Tu ris à nouveau tandis que tes mains remontent dans son cou pour le masser un peu, le haut de ton corps presque allongé contre le sien. ‘’ T’emmener à Londres par caprice, ou bien te féliciter comme il se doit lorsque tu gagnes une cause. ‘’ Tu fais allusion au sexe, car ça a toujours fait parti de vous… et puis avec Ethan… il n’y a pas de mot pour décrire… Tu plaisantes énormément, mais tu sais à quel point son travail est important pour lui et qu’il n’a pas forcément beaucoup de temps à consacrer à sa petite amie. Mais ça, tu t’en fiche. ‘’ Je suis désolée… ‘’ Ton sourire s’estompe jusqu’à disparaître complètement Tu as tellement envie de lui… c’est plus fort que toi. ‘’ Je te veux. ‘’ Souffles-tu en laissant le haut de ton corps se mouler au sien tandis que ton visage trouve sa place au creux de son cou que tu couvres d’une fine pluie de baisers. ‘’ Je pourrais te préparer de jolis petits plats équilibrés ‘’ À ces mots, une de tes main glisse entre vous pour venir appuyer sur son ventre. Tu veux faire diversion, te changer les idées… et il faut avouer que ça te fait bien rire. ‘’ T’es vachement sexy… ‘’ Tu ris doucement pour lui faire comprendre que malgré l’absence de ses tablettes de chocolat, à tes yeux il est toujours aussi beau.
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Elle avait raison. Il n'y avait aucun intérêt ni pour elle, ni pour moi à lui révéler les sentiments que j'avais pu avoir pour elle à l'époque où nous n'étions même pas sûrs de savoir ce qu'était réellement l'amour. Je t'ai déjà dit que j'étais con, tu devrais pas être surprise que mes déclarations d'amour arrivent avec 10 ans de retard. Aujourd'hui nous n'étions plus des enfants, je n'avais plus d'excuse. Elle m'offrait une vie à laquelle je n'avais jamais oser aspirer, même dans mes rêves les plus fous. L'énumération de toutes les choses qu'elle était prête à faire pour moi était très alléchante, mais pas autant que la vision de sa poitrine nue devant mes yeux. Je déglutis voyant les choses dériver vers l'instant fatidique que j'avais tenté de remettre à plus tard depuis notre entrée dans ce lieu de débauche. Je posais presque par réflexe mes mains sur ses fesses, les faisant remonter le long de ses hanches, profitant de ses courbes parfaites. T'es vraiment prête à tout pour obtenir ce que tu veux toi. Tu me dis ce que je veux entendre pour que je me laisse faire, t'es diabolique. Puis je fis mine de réfléchir une seconde. Eh mais attends... en fait tu m'a volé juste volé ma technique. Je ne pu m'empêcher de rire en imaginant les rôles s'inverser. J'étais devenu la fille hésitante qui remettait tout en question alors qu'elle était le mec assoiffé de sexe, prêt à bondir sur sa proie. Étrange situation que j'espérais ne pas se voir reproduire trop souvent. D'ailleurs je n'hésitais pas plus longtemps à la faire basculer sur le côté pour me retrouver au dessus d'elle, sentant ses seins s'écraser contre mon torse au fur et à mesure que je venais au contact de sa peau que je goûtais à nouveau par gourmandise. Pour toute réponse, elle passa sa main de mon cou au bas de mon ventre, constatant que je n'avais plus exactement le même corps qu'auparavant. Non pas que je complexais, mais quand on se retrouve face à l'équivalent d'une mannequin Victoria Secret, il faut assurer un minimum derrière. Hum... te sens pas obligée de mentir, je sais que y a sûrement des mecs bien plus gaulés que moi qui font la queue pour ne serais-ce qu'apercevoir un morceau de chair. Venant d'une autre j'aurais sûrement eu ma confiance au maximum, mais s'agissant d'Ariel, j'avais l'envie d'être parfait, l'homme parfait, l'amant parfait. C'est tout ce qu'elle méritait. J'attrapais sa main pour venir entrelacer nos doigts et la reposait presque brutalement à côté de sa tête, exerçant une pression presque animale sur elle. Tais-toi... Je m'abandonnais complètement à ses caresses et à ses talents que je savais exceptionnels. Me défaussant enfin de mon jean qui commençait à se sentir de trop dans la partie, je laissais l'honneur à Ariel de découvrir, ou plutôt redécouvrir le reste. Tous les souvenirs de ces nuits torrides passées avec elle refaisaient peu à peu surface dans mon esprit. Je ne réfléchissais plus, je ne faisais que profiter de l'instant présent, embrassant et caressant chaque parcelle de peau que je pouvais atteindre. Nos ébats avaient toujours été des plus fougueux, et bien que je ne me considérais pas comme un marathonien du sexe, je savais qu'avec elle ça matchait. A nouveau j'avais l'occasion d'en avoir la preuve, et je m'en frottait déjà les mains. La fusion de nos deux corps suintant de sueur me faisait l'effet d'une véritable bombe. Ivres de plaisir, nous ne faisions enfin plus qu'un. Cette attente insupportable, la montée du désir n'avait fait que décupler le cœur que nous mettions à l'ouvrage. Ma seule mission était d'être au service de la demoiselle afin de la satisfaire au maximum. Le lobe de son oreille, le creux de son cou, tant de zones érogènes que mes mains et ma bouche allaient chercher, tels des pirates en quête d'un trésor merveilleux. Agissant presque comme si nous ne nous étions jamais quittés, elle n'était pas en reste dans l'histoire. Telle une lionne à la crinière blonde, Ariel cherchait à dompter mon plaisir fixement ancré au sien, et réussissait avec brio, m'arrachant quelques râles ou gémissements aux moyens d'une morsure, ou de ses ongles s’enfonçant dans mon dos. J'étais comme en transe. Son cœur s'accélérait au rythme du mien. Son corps était mon supplice de Tantale, provoquant chez moi une soif que je ne semblais pouvoir étancher. Me sentant prêt à rendre les armes, c'est dans un dernier effort que je serrais mon bassin contre le sien sans même penser aux conséquences de mon acte. Un silence s'installa soudain tandis que nous étions tous les deux nus dans les bras l'un de l'autre, respirant bruyamment, en attendant patiemment que nos pouls retrouvent leur calme. Je crois qu'on a appris deux trois trucs tous les deux avec les années. J'ai pas de mots... Je déposais un baiser sur le haut de son épaule avant de reprendre ma place. J'étais comme transporté dans un monde parallèle, me sentant léger, presque en lévitation. Mais cela ne dura qu'un bref instant avant que je ne réalise ce qui venait de se passer. Me libérant de son étreinte, je m'éloignais pour venir m'asseoir sur le bord du lit, n'osant pas croiser son regard de peur qu'elle ne comprenne que j'étais sérieusement en train de toute remettre en question dans ma tête. Et si je me trompais depuis le début ? Et si Ariel avait toujours été la seule et l'unique femme faite pour moi. Les émotions que je venais de ressentir alors que nous étions en phase me troublaient au plus haut point. Est ce que j'avais même déjà ressenti une telle passion, ou oserais-je dire, un tel amour pour Zélia ? Ou est ce que ce qui me plaisait dans le fond c'était qu'Ariel était prête à tout pour moi, si bien que je finissais par confondre aimer qu'elle m'aime, et l'aimer tout court. Bref, en tant que bon cartésien, je me retrouvais là assis à faire mon propre examen de conscience. @Ariel E. Habsbourg
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Ton intention n’était clairement pas d’aller plus loin, contrairement à ce que ton langage corporel et ta position pouvaient laisser croire à ton partenaire. Tu avais pris conscience du dilemme d’Ethan, peser le pour et le contre pour en venir à la conclusion suivante; tu ne veux pas le blesser. Pourtant,  l’ambiance est à la séduction et ça, c’est un domaine dans lequel tu excelles. Tu sors le grand jeu en lui détaillant absolument tout ce que tu pourrais faire en tant que petite amie pour le rendre heureux et ce que tu dis, tu le pense réellement. Tu es loin d’être parfaite, tu te vexes pour un rien, mais tu as aussi de bonnes qualités que tu saurais mettre à profit pour que vous ayez une vie de couple digne de ce nom. Comme toujours, il ajoute sa petite touche d’humour, qui te fait bien rire avant que l'atmosphère de la pièce change radicalement. De dominante, tu passes au statut de passive en moins de deux. Pour être honnête, tu n’y croyais plus. Tu avais en quelque sorte fait ton deuil de cette idée malsaine de t’unir à lui. Tu l’accueilles au-dessus de toi avec ce petit sourire timide sur les lippes. Est-ce qu’il va encore se dérober au dernier moment… ou est-ce la bonne cette fois ? Sans trop attendre, tu te laisses littéralement transporter par cette vague d’euphorie, t’abandonnant à ses caresses expertes, ses lèvres habiles. Tes bras l’entourent, tes doigts le découvrent. Tu caresses chaque parcelle de peau mit à disposition, ne laissant rien en reste tandis que tu le fais prisonnier de tes cuisses, de tes chairs brûlantes. Cet aura maléfique et putride dans lequel vous baignez te fait littéralement perdre la tête. Tu t’abandonnes un peu plus à chacun de ses coups de rein, tandis que tu marques ses flancs de tes ongles, sa clavicule de tes dents. Tes gémissements s'unissent aux siens avant de se transformer en de petites plaintes perverses qui réchauffent davantage la pièce. C’est un moment de pur folie qui surpasse tout ce que vous avez pu partager à ce jour. Ethan se consacre entièrement à ton plaisir et tu lui rend l’appareil en inversant les rôles de temps à autre, lui faisant goûter l’expertise de ta bouche sur son anatomie, tes prouesses en tant que cavalière. Tu n’es pas ce genre de soumise chiatique, celle qui se contente de faire l’étoile dans un lit alors que l’homme s’occupe du reste, non. Tu es comme un fauve en liberté, tu as envie d’un truc en particulier, tu ne demande pas la permission, tu prends, mais comme vous êtes sur la même longueur d’onde tous les deux en ce qui concerne le sexe, tu n’as jamais rien eu à redire à ce propos. Le moment fatidique pointe le bout de son nez. Ton être entier vibre au rythme du sien, ton coeur défaille et tu te fiche éperdument de cette contrainte qui te pourrit la vie, tu veux vivre cet instant jusqu’à la toute dernière seconde. Ton plaisir atteint son paroxysme un peu avant de ton partenaire… mais il faut avouer que ce n’est pas le seul instant d’extase qu’il t’a procuré durant cette partie. Une fois libéré, tu le sers contre toi, haletante et le laisse prendre place à tes côtés. Ton regard ne le quitte plus tandis que tu rayonnes de bonheur, sourire radieux aux lèvres. Tu n’as pas de mot pour décrire ce qui vient de se passer… il t’a fait l’amour… cette fois, il ne t’a pas juste baisé et à travers cet échange tu as pu ressentir pour la première fois, tous les sentiments qu’il avait évoqué un peu plus tôt à ton égard. Tes paupières se ferment l’espace d’un instant et c’est tout ce qui faut à Ethan pour abandonner le confort de tes bras pour aller se poser sur le bord du lit. Ton niveau de bonheur part en chute libre. Tu ne comprends pas du tout ce qui se passe. Est-ce que t’as été merdique à ce point ? Tu as fait un truc qui lui a déplu ? Tu te redresses à ton tour en restant toutefois à ta place. Dans un soupir, tu remontes le draps contre ton corps nu et couvert de sueur pour le cacher un peu. Tout se bouscule dans ta tête, tu ne sais plus quoi penser. Tu es à la fois triste et vexée, complètement larguée, puisque tu sais qu’il ne dira rien. Mais tu es une femme intelligente Ariel. Son problème reste inchangé, quoi qu’amplifier après cet erreur de parcours. S’il est dans cet état, c’est de ta faute. Tu toussottes un peu, cherchant ton air tandis que ton palpitant s’affole toujours. Tu tapotes légèrement sur ta poitrine, comme si ça pouvait changer quelque chose, mais décide de ne pas t’en soucier pour le moment. ‘’ Je ne t’ai pas demandé de faire un choix. ‘’ Souffles-tu finalement en laissant une de tes mains remettre ta tignasse dorée en place. Il paraît évident que c’est ce qui le tracasse le plus en ce moment, tu l’entends presque penser de l’endroit ou tu te trouve. ‘’ Ne pense pas à ça Ethan, on a qu’à être ami, je crois que je saurai m’en contenter. Je préfère ça à ne plus t’avoir dans ma vie. ‘’ Mensonge. Après ce soir, tu ne saurais te contenter de moins, mais il faut sacrifier quelqu’un et clairement c’est toi que tu envoies au bûcher pour ne pas qu’il ait à souffrir de cela. Tu tousottes de nouveau, cherchant ton air cette fois. Tu tends le bras pour te servir un verre d’eau dans l’espoir que le malaise se dissipe un peu, ce n’est pas le moment pour ça. Tu aimerais bien pouvoir le réconforter, trouver les mots qu’il faut, mais ton état se dégrade un peu plus à chaque seconde qui passe et l’anxiété que cette situation produit sur ton système n’aide en rien. Tu te glisse hors du lit et file dans ta penderie en quête de ta nitroglycérine que tu as balancé quelque part par mégarde sans vraiment réfléchir au fait d’être soumise à une crise aiguë. ‘’ Tu peux rentrer chez toi si tu le souhaites, j’ai bien conscience de t’avoir fait du mal, je suis désolée. ‘’ Tu t’agenouilles, tête fléchis vers l’avant. Tu prends de grandes inspirations entre chaque avancée, mais ou t’a foutu tes putains de cachets?!?  
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Perdu dans mes pensées, entendant mon cœur battre jusque dans mes oreilles, je remarquais à peine Ariel qui s'agitait derrière moi. Elle semblait avoir un peu de mal à se remettre de ses émotions et toussotait légèrement tout en essayant de me rassurer sur ma condition. Etre amis ? Est ce que c'était même possible d'encore y songer ? Si seulement on avait pas couché ensemble, et si seulement elle n'avait pas posé ses lèvres sur les miennes lorsque j'étais tranquillement assis au bar, j'aurais pu l'envisager. Mais maintenant, j'étais tiraillé entre ne plus jamais la quitter, et partir au plus vite pour faire comme si cette nuit n'était jamais arrivée. C'était bâtard de même le considérer, mais ma vie était déjà assez compliquée, et je n'avais vraiment pas besoin de rajouter des virages sur mon chemin de vie bien parsemé de bosses et nids de poule en tous genres. Je finis enfin par me lever à la recherche de mes habits qu'évidemment je ne pouvais trouver qu'en cherchant à tâtons à cause de l'obscurité dans laquelle nous nous trouvions. Je parvins à distinguer la silhouette d'Ariel qui avait l'air complètement paniquée et qui respirait de manière très saccadée. C'est là que je fus frappé par un souvenir de l'époque où nous nous étions connus. J'avais découvert, sans jamais en avoir la confirmation, qu'elle souffrait d'une anomalie cardiaque, et c'était sans doute un relent de ce mal qui venait la frapper alors que nous venions de nous unir. Je me levais alors, encore nu comme un ver pour m'approcher d'elle et lui pris le bras pour qu'elle se retourne avant de la serrer délicatement contre mon torse encore moite. Non pas que j'étais médecin ou quoi, mais j'avais entendu dire que le contact peau contre peau d'un cœur qui s'emballe face à un cœur plus calme était un bon remède contre l'arythmie. Je ne vais nulle part, je suis là, t'en fais pas. Ma main caressait doucement ses cheveux, ma tête vint se poser sur le haut de son crâne où je déposais un baiser pour la rassurer encore. Tu ne m'as pas du tout fait mal, au contraire tu m'as fait que du bien. Je lâchais un petit rire bien que la situation ne se prêtait pas vraiment à l'humour. Non, sérieusement, je sais que tu ne m'as rien demandé, mais je suis pas certains après ce qui vient de se passer d'avoir envie de retourner à ma vie et prétendre que nous sommes juste des amis. Je pris une profonde inspiration la sentant se calmer peu à peu et baissait la tête vers elle qui me regardait pour venir l'embrasser. Ce serait nous mentir à nous-même... on a jamais été QUE des amis. Je me souviens à l'époque... tu m'avais directement tapé dans l'oeil à la minute où je t'ai vu, et d'autant plus lorsqu'on a commencé à s'embarquer dans des discussions interminables sur tout ce qui nous passait par la tête. Je descendit à nouveau mes mains le long de ses bras pour venir jouer avec ses doigts, n'osant pas vraiment la regarder lorsque je disais ces mots. En effet, mes sentiments pour Ariel étaient clairs, elle m'avait manqué et je ressentais toujours ce qui à l'époque avait hanté mes journées et mes nuits. Malheureusement, mes sentiments pour Zélia n'avaient pas faiblis eux non plus, et il allait falloir que je prenne une décision qui allait changer le cours de ma vie pour de bons. Tu as envies de quoi dis-moi, n'importe quoi, ce qui te passe par la tête. Mes lèvres s'étirèrent légèrement pour laisse apparaître un pieux sourire tremblotant. Je ne voulais pas l'inquiéter ou lui prendre la tête avec mes états d'âme. Au contraire, je voulais profiter un maximum de ce moment, de cet instant qui n'était qu'à nous.  @Ariel E. Habsbourg
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Tout aurait été tellement plus simple s’il s’était contenté de prendre ses vêtements et quitter ton petit cocon, mais plutôt que de te faire endosser le rôle de la connasse de service qui baise pour ensuite jeter, il n’en a fait qu’à sa tête en venant s’agenouiller près de toi. Tu lui offrait l’opportunité de se barrer, comme ça, sur un plateau d’argent avec des excuses en prime, de reprendre le cours de sa vie comme si ce soir n’avait jamais existé. Mais plutôt que de dire amen à cette proposition dissimulée, il revient au front dans l’unique but de t’achever. Comme si le fait d’avoir couché avec lui n’avait pas suffit à fissurer ton coeur amoché par les souvenirs du passé. Tu le connais bien cet homme, tu sais comment il fonctionne, comment il réfléchi. Tu imagines facilement le genre de combat mental qu’il doit être en train de s’infliger, le genre de pensées qu’il pourrait avoir à ton égard et juste d’y penser, un frisson de dégoût  te parcourt l’échine. Tu continu de chercher tes médocs en faisant mine d’ignorer sa présence jusqu’à ce qu’il attrape ton bras pour t’attirer contre son coeur qui semble s’être calmé depuis l’épisode charnel qui vous à consumés tous les deux. C’est trop pour toi. Tu restes contre lui, telle une poupée de chiffon sans vie. Tu es une femme forte, c’est indéniable, mais Ethan reste ton talon d'achille, ta plus grande faiblesse. Un tsunami d’émotion te submerge avant de s’échapper par tes yeux sous forme de fines gouttelettes que tu tentes tant bien que mal de retenir. Il dépose un baiser sur le sommet de ton crâne et tu ignores si ce geste rempli de douceur à un effet bénéfique sur toi. Tu sens ta poitrine se compresser, ton coeur cesser de battre par moment. ‘’ Laisse-moi seule, va-t-en ‘’ C’est ce que te crie ta petite voix intérieur qui te supplie de mettre un terme à cette relation néfaste. Ethan à sa vie avec sa copine, à aucun moment il n’a mentionné ne plus l’aimer, ne plus la porter en estime et toi tu es entrain de foutre la merde dans son existence avec ton arrivée improvisée. Si plus tôt tu cherchais à le rassurer, voilà que les rôles sont inversés, mais tu ne veux pas qu’il apaise cette tempête qui te terrasse, tu veux juste qu’il reprenne son chemin là ou il s’est arrêté. Il n’est pas le seul à sombrer dans l’autodestruction, c’est un domaine dans lequel tu excelles, un combat que tu livres continuellement et que tout le monde ignore. Il dit que tu lui a fait du bien, foutaise. Si ça avait été le cas, il ne se serait pas levé aussi vite après l’amour pour aller se poser sur le bord du lit. Il reprend parole et toi tu l’écoutes en chassant discrètement les larmes qui roulent sur tes joues rosies. Tu restes muette, tu sais qu’il essaie de se convaincre lui-même de cette vérité. Son désir est ailleurs, il aspire à une vie paisible et sans remous, une existence que doit déjà lui procurer sa copine actuelle, le genre de chose que tu ne pourrais jamais lui promettre au vu de ton caractère haut en couleur. Tu vis à cent à l’heure, une bombe à retardement. Un rire sarcastique caresse ta gorge après qu’il ait posé ses lèvres sur les tiennes. Tu sais qu’il a raison sur le fait que vous ne pourriez jamais être que des amis, mais il faut bien se rendre à l’évidence. Tu essaies de lui faciliter la tâche, de lui tendre la main, mais à chaque fois il refuse l’aide proposée en s’accrochant, mais pourquoi ? Tu sais déjà comment tout cela va se terminer. Tu vas t’attacher pendant que son coeur lui, balance entre vous deux… et qui paiera le prix cher… c’est toi. Tu es convaincu de cela. Ce malaise t’a fait ouvrir les yeux sur beaucoup de choses… tu ignores si c’est ton état de détresse qui fait que tes pensées s’assombrissent, ou si le problème vient d’ailleurs. Lorsqu’il te demande finalement ce que tu veux, tu pinces tes lèvres entre-elles si fort que le souffle te manque. Tu ne veux pas qu’il te regarde, tu ne peux pas poser les yeux sur lui non plus. Après un long moment de silence tu prononces quelques mots d’une voix tremblante. ‘’ Rentre chez toi. Je veux tu sois heureux et que tu cesses de te tourmenter à propos de ce soir, ou encore que tu t’imposes un choix quelconque, parce que je sais tu y a pensé. ‘’ Tu sens ton coeur se fracasser en milles morceaux, morceaux si fins qu’on croirait presque des cendres. Vaut mieux maintenant que trop tard. ‘’ Je vais bien, si y’a quoi que ce soit, Louve est en haut. ‘’ Tu te racle la gorge avant de te dégager de lui sans prévenir, tu te positionne de sorte à ce qu’il ne puisse pas voir ton visage et la tristesse qui le déforme. ‘’ Ne complique pas tout, c’est le temps de partir Ethan avant que quelqu’un soit réellement blessé. ‘’ C’est un cri à l’aide. Tu ne veux pas qu’il parte, tu aimerais qu’il reste pour toujours à tes côtés, mais tu sais que c’est impossible. ‘’ S’il-te-plaît. ‘’ Souffles-tu doucement en mettant finalement la main sur la petite bouteille tant convoité. Tu te lèves d’un bond pour aller prendre quelques cachets, après quoi, tu rassembles toi-même ses vêtements que tu viens lui tendre en évitant impérativement son regard. ‘’ Tu mérites une vie sans contrainte alors saisi l’opportunité.’’ Dis-tu finalement sans grande conviction.  
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Devenue plus froide qu'un blizzard de Sibérie, la blonde essoufflée s'éloigna de moi, m'exhortant à sortir de sa chambre, et peut-être même de sa vie. Elle avait eu ce qu'elle voulait, elle m'avait fait flancher et maintenant elle attendait que je ramasse mes affaires et que je me casse ? Je ne comprenais plus rien de ce qui était en train de se passer. Elle me disait qu'elle me voulait, qu'elle voulait être avec moi, et l'instant d'après, sous prétexte que les choses étaient compliquées elle faisait le choix à ma place et ne me laissait même pas le temps de me rhabiller avant de m'indiquer la porte. Tu sais quoi ? T'es qu'une hypocrite. Tu me parles de choix comme si ce choix n'avait pas déjà été fait alors qu'on était à poil l'un contre l'autre y a pas 10 minutes. Je lui arrachais presque des mains ce qu'elle avait ramassé soigneusement et enfilait rapidement mon boxer et mon t-shirt, m'asseyant sur le lit afin de mettre mon jeans. J'étais tellement en colère que mes gestes étaient brouillons et me faisaient m'y reprendre à deux ou trois fois pour les accomplir correctement, ce qui contrastait avec l'envie irrépressible que j'avais de me casser de cette endroit. Je mérites une vie sans contrainte ? En fait tu t'en fous complètement de ma gueule et t'essayes de me dire subtilement qu'il est temps que je retourne voir ma copine pour que tu puisses t'envoyer je ne sais qui. Tout ce qu'elle disait ou faisait prenait un tout autre sens dans ma tête, et quelle que soit la phrase prononcée, j'arrivais à la transformer en insulte à mon égard tant je me sentais comme une merde. Elle m'avait utilisé et baladé depuis cet instant où elle m'avait abordé au bar pour que je finisse finalement par coucher avec elle, et moi j'avais été assez con pour tomber dans le panneau. Je savais bien que tomber amoureux n'amenait que des galères, et même un amour enfoui depuis 10 ans arrivait à me rendre complètement débile, c'est dire. Tu cherchais quoi en fait ? Tu voulais me faire du mal c'est ça ? Tu voulais ta pathétique vengeance parce que je t'ai pas dit que je t'aimais quand on s'est connu à Londres ? Bravo, c'est réussi. Elle me laissait avec un poids sur les épaules que je n'étais pas sûr d'assumer. J'imaginais déjà les larmes de Zélia lorsque je lui annoncerait la nouvelle. Mais surtout la déception qu'elle ressentirait après que je lui ais promis de ne jamais lui faire de mal. Le pire dans tout ça c'est que malgré tout ce qui venait de se passer je ne pouvais pas m'enlever Ariel de la tête, elle m'obsédait. Si je m'écoutais je me serais à nouveau précipité sur elle pour venir l'embrasser. Pas sûr que ce deuxième assaut soit vraiment moins motivé par l'amour que la baise, mais qu'importe. T'as raison, oublions ce qui vient de se passer puisque ça n'avait aucune importance. Je vais "saisir l'opportunité" comme tu dis, de t'oublier, et définitivement cette fois. Je finissais d'enfiler mes chaussures et récupérait le manteau qui avait habillé ses épaules quelques heures plus tôt. Putain, en plus il portait son odeur maintenant, c'était bien ma veine. Tant pis.  Adieu, Ariel. J'ajoutais ces mots sans autre forme de procès. Ma résolution était prise, et bien avant le premier de l'an. Ma colère à son paroxysme, c'est dehors que j'exprimais une nouvelle fois ma rage en frappant dans le mur devant la porte d'entrée à plusieurs reprises, ce qui me fit saigner légèrement, mais avait eu au moins le mérite de me calmer temporairement. Main planquées dans mes poches, je m'éloignais en direction de mon appartement sachant très bien que trouver le sommeil serait impossible. @Ariel E. Habsbourg

FIN DU RP WTF are you doing here ?!?! ღ Ethan - Page 3 1001568715
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