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WTF are you doing here ?!?! ღ Ethan

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L’alcool coule à flot. Tu es de sortie avec Anouk pour célébrer le lancement de votre nouvelle entreprise. Plusieurs de vos amies en commun sont de la partie et comme toujours, tu sais comment ça va se terminer… Défi à gogo pour tous le monde. Avant le moment fatidique, tu te prélasse sur le dance floor, tu t’éclates, rit aux éclats sans trop te soucier du dénouement de cette soirée. Une fois tout le monde réchauffé, vous vous réunissez autour d’une table, breuvage en main. Quelques défis un peu loufoques tombent, des trucs faciles à réaliser, mais lorsque vient ton tours, on te propose de te rendre au bar, draguer une de ses âmes esseulées et le ramener chez toi, à condition qu’il soit de ton goût cela va sans dire. Remontée à bloc, tu engloutis ton verre d’un trait avant de rejoindre le banc des solitaires en jouant le rôle de la demoiselle sans argent qui vient se commander un verre. Tu t’installes sur le tabouret près d’un homme au profil agréable à regarder et croise les jambes histoire de camoufler ta petite culotte en dentelle. Une de tes mains vient se perdre dans tes cheveux tandis que tu t’approches de l’homme en question, ta proie, ta cible. ‘’ Bonsoir. ‘’ Dis-tu d’une voix suave tout près de son oreille. Avec la musique qui vous crève les tympans, autant aller droit au but… et on connaît bien l’effet d’un souffle chaud contre la peau fine du cou, frisson assuré. ‘’ Que fait un homme tel que toi, seul au bar ? ‘’ Demandes-tu en mordillant discrètement ta lippe inférieure. Tu inclines légèrement la tête vers lui, tu veux voir l’intégralité de son visage… et lorsqu’il te regarde enfin, le souffle te manque. Tu te redresse vivement, si bien que tu passes près de tomber de ton siège. Ton coeur bat la chamade, tu n’en croit pas tes yeux, pas après tout ce temps. Cette cicatrice sur ton coeur refait surface… et la douleur encore bien présente, redouble d’intensité puisque jamais tu n’aurais cru le revoir, encore moins à Boston. ‘’ Ethan… ‘’ Tu ravales difficilement ta salive, tu es sans mot. Tout se bouscule dans ta tête et la seule envie qui se fait sentir est celle de lui envoyer son verre au visage… mais tu es plus forte que ça. Tu es bien éduquée et en contrôle de tes moyens… sauf là… Prise d’une pulsion, tu captures son visage entre tes mains avant de venir déposer tes lèvres brûlantes sur les siennes. Un baiser chaste, une fraction de seconde. Tu t’éloignes ensuite, commandant à boire histoire d’étouffer ce brasier amour / haine qui te consume.
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WTF are you doing here ?!?! ღ Ethan Giphy
Le Lord Hobo et moi c'était une belle et vieille histoire d'amour. Je trainais dans ce bar chaque fois que j'avais un peu le cafard, ou que je cherchais un plan cul pour m'occuper l'esprit. Depuis que j'étais en couple je n'y avais pas remis les pieds, parce que je ne voyais pas de raison de ne pas profiter du peu de temps libre que j'avais pour voir Zélia. Cependant, les choses avaient bien changé. Elles s'étaient dégradées au fur et à mesure du temps, à tel point que nous échangions à peine quelques SMS désormais. Elle me manquait, elle me manquait à en crever, mais je ne voulais pas faire le premier pas. J'étais comme qui dirait bloqué par ma peur de me faire rejeter, ou qu'elle me quitte parce que je ne lui donnais pas assez d'attention. Bref, rien que quelques verres de whisky ainsi que quelques shots ne puissent guérir. Je m'assieds au bar comme à mon habitude, et demande au serveur de me servir, sans même préciser ma commande il pose un verre devant mon nez rempli de mon poison préféré. Un Scotch écossais qui me rappelait le Royaume-Uni, et tout ce que j'avais laissé derrière moi pour venir m'installer ici. Des amis, quelques conquêtes... mais en dehors de tout cela je me sentais plus seul que jamais. J'étais souvent entouré, et était un mec des plus sociables, mais au fond, je me posais toujours la question de savoir si ces gens me comprenaient vraiment. Est ce qu'ils pouvaient sentir à quel point mon passé avait été traumatisant pour moi, me laissant presque froid à toutes leurs tentatives d'approche concernant mes sentiments amicaux ou amoureux pour eux ? J'avais du mal à mettre des mots sur ce que je ressentais pour Zélia par exemple, et c'était encore une chose qu'elle me reprochait. Je tournais autour du pot, sans jamais être réellement sincère avec elle, car me montrer aussi vulnérable n'était pas dans mes habitudes. Je soupirais tandis que j'avalais mon troisième verre d'affilé. Lorsque j'entendis une fille essayer de m'aborder au milieu de tout ce bruit, un sourire en coin se dessina sur mon visage. J'étais rassuré de voir que je n'avais rien perdu de mon charme, même en étant maqué. C'est lorsque je vis de qui il s'agissait que mon visage prit une toute autre apparence. Ariel ? Mais... je n'eus pas le temps de répondre qu'elle m'embrassait déja avant de s'enfuir en courant. Comme sortie du passé, elle faisait renaître en moi des sentiments que j'avais oublié depuis bien longtemps. La première fille de qui j'avais été amoureux, et surtout la première à qui je n'avais jamais osé dire que je l'aimais. Si on pouvait appeler ça de l'amour... à l'époque tout ce que j'avais réussi à faire c'est de coucher avec elle, la dépucelant comme si elle ne valait rien, et ne comptait pas du tout pour moi. La voir s'attacher m'avait fait fuir au galop, et aujourd'hui elle me retrouvait alors que j'essayais de fuir mes sentiments à nouveau, quelle belle coïncidence. Je finis par me lever de mon tabouret pour aller la rejoindre sur la piste et me pencha vers son oreille. Tu peux me dire ce que tu fais ici ? Et surtout pourquoi tu m'as embrassé ? Non pas que je m'en plaigne mais t'es sensée me détester non ? dis-je tout d'abord sur le ton de l'interrogation avant d'ajouter. Et en plus, je suis en couple, c'est pas correct. Oui il ne fallait pas oublier ce petit détail bien qu'il soit actuellement controversé. @Ariel E. Habsbourg
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Au diable le verre que tu viens à peine de commander, qu’il reste sur le comptoir, monsieur Maxwell paiera la facture au bout du compte, tu n’en a rien à faire. Tu veux t’éloigner de lui le temps de respirer, de te changer les idées et quoi de mieux qu’une piste de danse pleine à craquée, des jolis garçons à la pelle, pour y parvenir. Tu n’as pas voulu t’arrêter à la table de tes copines pour leur expliquer ce fiasco monumental, trop chamboulée pour qu’on te voit dans un état pareil. Un spectre du passé qui refait surface dans ta vie alors que tout se passe pour le mieux pour toi. Libre comme l’air, sans attache. Une nouvelle entreprise sur les rails, quoi demander de mieux ? Tu as mal au coeur, tu cherches malgré toi, un peu d’air à respirer. Connaissant tes problèmes cardiaque autant dire que ça n’augure rien de bon tout cela. Tu te met à danser, prise d’une bouffée de chaleur lorsque tu sens la voix d’Ethan caresser ton tympan. Tu te figes sur place, stoïque, fixant un point invisible devant toi tandis que le rythme entraînant fait place à un air propice aux rapprochements. Tu ne perdras pas la face devant lui, hors de question. De ce fait, tu tournes sur toi-même de sorte à lui faire face, rictus séducteur étirant les traits ton faciès d’ange. Tu t’approches de lui, faisant passer tes bras autour de sa nuque alors que ton corps se moule au sien tel deux aimants en manque l’un de l’autre. ‘’ Je vis à Boston depuis quelques années déjà. ‘’ Souffles-tu au creux de son oreille tandis que tes phalanges caressent discrètement sa nuque. ‘’ C’était soit ce baiser, soit un verre que tu te prenais à la gueule, mais comme je ne tiens pas à passer pour une folle hystérique, j’ai opté pour le truc le plus naturel tu vois. ‘’ Tu lèves les yeux au ciel. Ethan en couple, tient donc. Il s’est contenté de te repousser alors que tu étais éperdument amoureuse de lui, te traitant pire qu’une poupée gonflable au lit qu’on jette une fois souillée. Tu lui en veux c’est clair, à mort même, mais lui cracher ta haine au visage ne servirait à rien, du moins pas dans le contexte actuel. ‘’ Qu’est-ce que j’en ai à foutre que tu sois en couple Maxwell ? Toi qui repousse tout le monde, qu’est-ce qu’elle a de plus que moi cette meuf dit moi ? ‘’ Ouais, parce que tu l’as de travers qu’il réussisse à s’attacher à n’importe quelle nenette tandis qu’avec toi, il n’a jamais réussi à le faire. ‘’ Tu n’as pas de bague au doigt, je me trompe ? Techniquement parlant, tu es toujours célibataire à mes yeux. ‘’ Tu es une garce de première, crachant délibérément sur son statut et sa relation. Qu’il paie pour ce qu’il a fait, il aura ce qu’il a mérité au bout du compte et s’il te rejette, ça te donnera une raison de plus de le détester. ‘’ Et toi, qu’est-ce que tu fiches ici ? ‘’ Tu as à peine le temps de terminer ta phrase qu’on vous percutes violemment. En moins de temps qu’il n’en faut pour dire banane, tes lèvres se trouvent à nouveau cimentées aux siennes, tes formes écrasées contre son torse, ce qui n’est pas pour te déplaire.
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Elle était là pour me tenter, telle une sirène faisant plier un marin sous son chant envoûtant. J'étais comme amorphe, l'alcool commençait à me monter à la tête et j'oubliais presque la raison qui m'avait poussé à venir ici, à boire, à retomber dans mes vieux travers. Elle passa ses bras autour de mon cou, je fermais les yeux, ne pouvant m'empêcher de respirer son odeur. Ce doux parfum suave que j'avais tant aimé dans ce que je qualifierais d'une vie antérieure. Naturel ? Il n'y avait rien de naturel dans ce baiser, j'ai cru que tu avais vu un fantôme. Je sais que j'étais un salaud à l'époque mais quand même. avouais-je. A ma décharge, je n'étais qu'un ado en mal d'amour qui ne savait résoudre ses problème qu'aux moyens de drogue, alcool ou sexe. Mon cœur était comme anesthésié depuis que j'avais appris que je n'étais pas digne d'être aimé. Depuis que mes parents adoptifs avaient enfin avoués que je venais d'une famille aisée australienne qui s'était débarrassée de moi, simplement parce que m'avoir aurait fait mauvais genre. J'aurais préféré qu'ils me disent que mes parents étaient des drogués et qu'ils m'avaient sauvé d'une mort certaine plutôt que ça. D'ailleurs mes problèmes avec les filles ne cessaient de me revenir en pleine figure, la preuve en est qu'elle me reprochait de ne pas l'avoir aimé. Et pourtant putain qu'est ce que je l'avais aimé... Je... je suis désolé. parvins-je à dire dans un souffle. Je n'avais pas de réponse, pourquoi pas elle ? Pourquoi Zélia ? Je ne savais pas. J'avais eu envie de m'ouvrir, la maturité aidant. Résultat, j'étais seul dans un bar à me morfondre comme un pauvre type. Non j'ai pas de bague, mais je suis plus le mec que t'as connu. Je suis pas du genre à m'envoyer la première venue dans le dos de ma copine. dis-je presque trop sèchement face à ses interrogations et provocations. Elle ne cessait de me faire des reproches déguisés, mais continuait malgré tout de m'aguicher avec son corps aux courbes parfaitement dessinées qui venait se lover contre le mien tandis qu'elle dansait. Bien que la situation m'excitait un peu, j'étais exaspéré de voir que j'étais si faible. Peut-être que je méritais ce qui m'arrivait après tout, si je n'étais même pas capable de résister à ce genre d'attaque perfide. Je suis venu retrouver ma famille biologique, et accessoirement je finit un cursus en droit. Je me construis une nouvelle vie de ce côté de l'Atlantique et... je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'elle se retrouva une fois de plus collée à mes lèvres. Je pris une profonde inspiration, surpris à nouveau, mes mains vinrent se poser presque naturellement sur ses hanches, le haut de ses fesses frôlant mes doigts. Je finis enfin par la repousser. Je peux pas faire ça... je peux pas faire ça... dis-je en murmurant, presque comme un dingue avant de m'éloigner vers l'entrée du bar. Une fois dehors, j'allumais presque machinalement une cigarette en tremblant de tous mes membres. J'ai changé, je ne suis plus ce mec là, je ne veux pas être ce mec là... celui qui trompe, qui trahi, qui s'en fou. @Ariel E. Habsbourg
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Il s’excuse et pourtant, tu ne crois pas un traître mot de ce qu’il dit. Ces paroles résonnent comme un paquet de connerie à tes oreilles, visant à te faire croire à une meilleure version de lui-même. Changement qu’il clame haut et fort par la suite et qui te fait tiquer. À croire que les rôles se sont inversés pour vous deux. Il est devenu le bon et toi la méchante sorcière, plutôt drôle quand même. Il a détruit tes rêves et tes idéaux concernant l’amour, il t’a laissé un arrière goût amer concernant les hommes, le pourquoi tu es devenu celle que tu es aujourd’hui. Celle qui se joue des autres, de leurs sentiments, qui mise sur l’éphémère et rien d’autre. Tu l’embrasses sans le vouloir cette fois. Un geste improvisé, une fatalité. Tu te perds quelques instant à cette ivresse envoûtante, à ses mains sur ton corps qui te fait frémir d’envie, mais une fois de plus, il te rejette. Tu le regarde s’éloigner tandis que tes bras retombent lourdement le long de ton corps. Tu le hais, tu le déteste et le méprise plus que jamais auparavant. Il t’a jeter une fois de trop, ne faisant qu’accroître cette cicatrice douloureuse qui te transperce le coeur. Tu es immunisée contre cette douleur, pour l’avoir ressenti trop de fois par le passé, recroqueviller sur toi-même en te rappelant la façon qu’il t’a traité. Tu passes au vestiaire prendre ton manteau, cette soirée a assez durée. Trop de déceptions. C’est seule que tu termineras ta nuit, peut-être dans le lit de l’une ou l’autre de tes colocataires. Après avoir boutonner le dernier bouton, tu sors du Lord, résolue à gagner ton appartement. Tu compose le numéro de ton chauffeur privé, avant de t’adosser au mur de brique derrière toi. Tes billes lunaire survolent les alentours et comme toujours, ton attention se pose sur lui. Ta mâchoire se serre, t’as qu’une seule envie et c’est celle de lui faire avaler sa cloque pour qu’il s’étouffe avec. ‘’ Pourquoi tu ne rentre pas la rejoindre plutôt que de traîner dans un endroit pareil. Tu es pathétique . ‘’ Le timbre de ta voix est à la fois cassant et presque aussi glacial que cette brise de décembre qui fait voler tes cheveux dans tous les sens. Les hommes sérieux, au moins, il te rappelle pourquoi tu préfères rester célibataire et sans attache. ‘’ On peut dire que tu m’as apporté quelque chose de positif dans la vie, du moins ce soir. ‘’ Un rire sarcastique caresse ta gorge. ‘’ Je te préférais avant, mais swat. Bonne chance pour la suite et j’espère que ce qui t’attend dans l’avenir sera aussi merdique que tout ce que tu as pu semer dans le coeur des autres par le passé. ‘’ Tu lèves les yeux au ciel avant de fermer les paupières, attendant sagement qu’on passe te récupérer. S’il croit que le fait d’avoir changé excuse tout, pour ta part, jamais tu n’oublieras ce qui s’est passé entre vous.
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Alors que je tirais sur ma cigarette, je la vis sortir en trombe du bar, pianotant sur son téléphone, certainement à la recherche d'un échappatoire. Elle avait bien raison de se casser, surtout si c'était pour qu'elle se fasse ramener par un type louche qui allait profiter d'elle... même si j'étais intraitable avec elle, ça n'empêchait pas que j'avais eu et j'aurai toujours des sentiments pour elle. Mon premier amour, la seule pour laquelle j'avais accepté d'être vulnérable, et elle n'en avait même jamais rien su, quel gâchis. Aujourd'hui j'avais évolué, j'avais ouvert mon coeur, ou au moins entrouvert mon coeur à Zélia. Résultat des courses, je souffrais encore une fois, je souffrais de son absence, de m'endormir sans elle le soir. A quoi ça servait franchement de s'infliger ça ? C'était bien plus simple d'envoyer un texto à une fille, la faire débarquer chez soi, et lui dire au revoir au matin. Aucune attache, aucune souffrance, un fair deal si vous voulez mon avis. Finalement, alors que j'évitais de la regarder et que le vent faisait se consumer mes cendres de plus en plus vite, elle finit par s'adresser à moi. Une fois de plus pour me descendre bien sûr. Moi je suis pathétique ? Tu devrais penser à te regarder dans une glace. Tu sais le coup de venir draguer les mecs seuls au bar c'est bien pour les cougars en manque, je pensais que tu valais mieux que ça. dis-je sur un ton plat et calme. Je n'avais pas de ressentiment à son égard, mais je n'acceptais pas qu'elle me mette face à mes angoisses les plus profondes. J'esquissais un sourire en l'entendant me souhaiter les pires horreurs. Elle n'avait plus aucune crédibilité pour moi depuis qu'elle avait posé ses lèvres sur les miennes plus tôt dans la soirée. Elle tenait encore à moi c'était évident. Encore une qui voulait se la jouer fille forte alors qu'elle était prête à céder à la moindre faiblesse que je lui montrerais. Je finis par jeter mon mégot et me rapprocher pour me planter devant elle. C'est pas la première fois que je t'apporte quelque chose de positif... dans mes souvenirs t'étais plus que contente de passer du temps avec moi. dis-je en flirtant presque avec elle. Tu dis que tu me préférais avant... est ce que c'était mes caresses que tu préférais ? dis-je en venant effleurer son bras nu avec le bout de mes doigts. Ou alors peut être mes baisers... dis-je en rapprochant mon souffle de son cou, murmurant ces mots pour  donner toute la valeur intime que ce geste avait entre nous à l'époque. Ou c'est seulement... dis-je en posant ma main dans le creux de son dos pour venir la coller tout contre mon corps. Oui elle m'avait fait le même coup sur la piste, alors c'était à mon tour de jouer. Je voulais qu'elle s'abandonne complètement sous mes assauts. Je n'avais pas l'intention d'aller plus loin. Tout ça c'était un jeu, un jeu très dangereux, mais tout de même un jeu. Elle me donnait envie de lui faire l'amour sur le champs, et en même temps de l'insulter, de la repousser tant je me dégoûtait d'avoir ce genre de contact avec une autre fille que ma copine, même si cela ne signifiait rien. A croire que je préférais passer pour un minable plutôt et que Zélia me quitte, plutôt qu'elle ne me quitte à cause de ma propre personne. @Ariel E. Habsbourg
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Un sourire complètement faux déforme les traits de ton visage d’ange. Tu l’écoutes parler ou plutôt te critiquer sur ta façon de faire sans même savoir que toi et tes potes, vous adorez narguer et donner de faux espoirs à ces pauvres mecs débiles et dépressifs qui se tiennent la plupart du temps au bar. Pour toi, ce n’est qu’un jeu, du défi, rien de plus. ‘’ Là-dessus on s’entend pour dire que je vaux mieux qu’un type comme toi. ‘’ Ceci étant dit, tu fais de ton mieux pour oublier sa présence. Tu penses à un tas de conneries futiles dans l’espoir qu’il termine sa clope au plus vite et qu’il entre à l’intérieur du bar pour continuer ce qu’il était en train de faire; noyer sa misérable existence dans un trop plein d’alcool. Les secondes défilent, un silence agréable s’installe. Tu croyais qu’il était parti, mais non… sa voix remonte jusqu’à tes tympans, beaucoup plus forte cette fois vu la courte distance qui vous sépare. Tu gardes les yeux fermés, c’est sans doute mieux comme ça. Ce n’est pas la peur de soutenir son regard, non, loin de là. ‘’ Tu l’as dit, dans ton souvenir. Il y a pas mal d’années de cela, une époque révolue. ‘’ Souffles-tu en te remémorant ces souvenirs comme s’ils dataient de la veille. On oublie pas facilement son premier amour, peut importe le dénouement de l’histoire, encore moins lorsqu’il t’effleure la peau de la sorte après toutes ces années pour te remémorer tout ce que tu as perdu, ou plutôt, que tu n’as jamais eu. Tu ravales difficilement ta salive, sans pour autant laisser transparaître une quelconque expression sur ton visage. ‘’ Rien à voir. ‘’ Tu dégages sa main comme s’il s’agissait d’un vulgaire insecte dérangeant. Puis il s’approche de ton cou cette fois. Son souffle chaud qui contraste violemment avec la fraîcheur de ta peau te fait frissonner d’envie. Tu te revois il y a longtemps de cela, jeune et insouciante. Éperdument amoureuse de cet homme. Ton coeur bat la chamade tu ressens de nouveau cet amour te transpercer, mais le tout s’évapore lorsque tu te remémore cette fameuse nuit passée avec lui ou il t’a traiter comme une catin bon marché, bonne à remplir et à jeter ensuite. Une expression de dégoût voit le jour sur ton visage lorsqu’il fait passer un bras autour de ta taille et qu’il te rapproche de lui. Tu n’aimes pas ce sentiment, celui d’avoir été une fille comme les autres. Une fille sans grande importance à ses yeux. Mains en appuie contre son torse, tu te contente de le repousser, expression neutre sur le visage. Tu n’as pas envie de rire, ni de jouer à ce petit jeu. Maintenant, c’est toi qui joue avec les autres et non l’inverse. ‘’ Tu devrais rentrer chez toi Ethan. ‘’ Te contentes-tu de dire, regard ancré dans le sien. ‘’ On fait tous des erreurs dans la vie et t’embrasser plus tôt en faisait parti. Alors dégage, je ne te laisserai plus avoir un quelconque emprise sur moi. ‘’ Tu fais quelques pas sur le côté en replaçant ta chevelure dorée. Tu trembles et ce n’est certainement pas à cause du froid. Tu es troublée, désemparée et à des lieu de croire qu’une histoire aussi lointaine que celle-ci puisse faire ressurgir des sentiments aussi violents en toi. Tu ne perdras pas la face, hors de question. Dans un soupir, tu jettes un coup d’oeil à ton téléphone. Bon dieu qu’il est lent ce chauffeur. Heureusement pour toi, il arrive peu de temps après cela. Tu jettes un dernier regard en direction d’Ethan pour constater qu’il est toujours là. ‘’ Mais qu’est-ce que tu regardes ? Tu comptes rester planter là toute la nuit. ‘’ Ton homme de main passe du côté passager puis t’ouvre la porte, attendant que tu daignes poser tes jolies fesses dans l’habitacle.
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Alors que je la provoque ouvertement, elle continue de me répondre aussi farouchement qu'auparavant. Cela dit, je sens que mon petit manège à un effet sur elle que je n'imaginais pas être possible. Je savais que je lui faisais de l'effet, mais c'était presque normal, après tout si je ne lui avais pas plu physiquement elle n'aurait pas perdu sa virginité avec moi. Mais non, c'était autre chose. Je pouvais sentir son petit cœur battre, presque comme s'il bondissait hors de sa poitrine. Étais-ce le whisky que j'avais bu qui entrait en jeu, ou est ce qu'elle venait de se faire prendre à son propre jeu ? Pourquoi tu fais ça, hein ? Pourquoi tu joues avec moi comme ça ? Déja à l'époque tu as tout fait pour que je tombe raide dingue de toi et puis tu t'es barrée. Elle allait sans doute halluciner car nous n'avions pas vécu cette "séparation" de la même façon. Elle devait sans doute se dire que tout ce que j'avais fait c'était profiter d'elle, lui faire l'amour, la priver de son innocence, pour ensuite passer à la suivante. En réalité, j'avais tellement eu peur de ce qu'elle me faisait ressentir, que mon petit coeur d'adolescent ne l'avait pas supporté. Plutôt crever que de me montrer vulnérable et jouer les petit copain parfait pour ensuite qu'elle se casse lorsque je serai devenu bien accroc, m'étais-je dis à l'époque. J'ai jamais eu aucune emprise sur toi, tu as toujours été un électron libre, je ne t'ai jamais forcé à rien du tout. D'ailleurs si c'était à refaire j'aurais préféré que tu ne me remarques même pas. Je t'aurais trouvé belle à tomber, mais au moins moi je serais pas tombé dans le panneau. Les filles à qui j'ose tenir, finissent toujours par me laisser en plan, ma mère la première. dis-je sans même la regarder. C'était l'alcool qui parlait et je n'aurais sans doute pas laissé échapper ce genre d'informations en situation normale. Non, jamais personne n'avait su que j'avais un cœur moi aussi et pas seulement un pénis à la place du cerveau lorsqu'il s'agissait de la gente féminine. Lorsqu'elle prit son téléphone en main, je sentis qu'il ne me restait plus beaucoup de temps pour profiter de sa compagnie, et en effet le chauffeur venait de faire son apparition pour la ramener chez elle. Je la laissais partir sans rien dire, l'air interdit avant qu'elle ne se retourne pour m'apostropher de nouveau. Je levais la tête vers elle et entrouvrait la bouche, mais aucun son ne sortit. Au lieu de ça, je vins la rejoindre près de la voiture et posait ma main sur la porte pour la lui tenir. Je vais pas te laisser rentrer toute seule, c'est pas très safe ici. Et puis de toute façon il faut bien que je me fasse pardonner d'une manière ou d'une autre d'avoir été un sale con, non ? dis-je pour lui donner raison, même si pour moi je n'avais rien fait de mal... elle avait couché avec moi à l'époque en pensant que j'allais lui apporter paix et stabilité ? Pas le moins du monde. Elle savait très bien qu'elle allait quitter Londres très vite, et que notre histoire ne survivrait jamais la distance. Moi je n'avais pas de jet, ou d'hélicoptère personnel comme les gens de son milieu. @Ariel E. Habsbourg
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Tu n’en crois pas tes oreilles. Il est en train de se foutre de toi c’est ça ? Ou se trouve la caméra cachée? Il inverse clairement les rôles, te faisant ainsi porter le blâme pour cette séparation douloureuse, du moins elle l’était pour toi. Tu étais follement amoureuse de cet homme, prête à tout pour son bonheur. Tu étais jeune et innocente, idéalisant ce sentiment dévastateur en le mettant sur un piédestal. Tu en a payé les frais une fois qu’il t’a mit dans son lit. Tu aurais clairement pu faire ta vie avec lui s’il s’était donné la peine de faire un effort, mais non. Tu n’étais qu’un trophé de plus sur son tableau de chasse et maintenant il essaie de s’en sortir en s’emparant du beau rôle. Salopard. ‘’ Parce que tu excelles dans le domaine de la manipulation et du contrôle mental maintenant ? Ça ne fonctionne pas sur moi Ethan. ‘’ Dis-tu en étouffant un rire sarcastique. ‘’ Tu es le seul responsable de mon départ de Londres, il serait peut-être temps que tu le réalise. ‘’ Tu es à la fois triste et fâchée. Tu lui en veut affreusement pour ce qu’il est en train de faire et pourtant, tu n’as pas à culpabiliser puisque c’est lui qui t’a brisé le coeur. Il reprend et une fois de plus tu es sans mot. Il pousse son jeu beaucoup trop loin et tu n’as pas envie de jouer à cela. Tu préfères largement qu’il se noie dans son tissus de mensonge, plutôt que de te voir plonger dans cette montagne de sentiments refoulés. Tu préfères taire le mal qu’il t’a fait. Cette cicatrice encore bien présente et jamais guérie sur ton coeur. Lui dire que tu l’as réellement aimé serait lui donner une chance de prendre le dessus sur toi, mais tu es beaucoup trop fière pour ça. Parfois, il est préférable de taire la vérité et de souffrir en silence plutôt que d’exposer une douleur vive et dérangeante. Ce qui te fait le plus mal en bout de ligne est de réaliser que tu l’aimes sans doute encore après tout ce temps. Mais il faut avouer que la partie de son histoire liée à sa mère te touche profondément si bien que tu éprouves une certaine empathie pour lui. Ton chauffeur arrive enfin et met ainsi un terme à ton tourment. Il attend sagement, visage sans expression et regard rivé dans le vide. Tu t’approches de la voiture en pressant ton sac à main entre tes doigts et finalement tu tentes un regard en direction de cet homme qui a su faire battre ton coeur. Une petite remarque fend l’air. Tu n’avais pas l’intention de l’inviter chez toi, ni de relancer les hostilités, mais il faut croire qu’au yeux de l’anglais… cette petite pique avait pour titre ‘’ invitation à terminer la soirée avec moi. ‘’ Tu relèves légèrement le nez, hautaine lorsque tu le vois tenir la porte de ta voiture, mais il faut avouer que ça t’emballe. Tu n’étais pas réellement prête à le quitter. ‘’ Rentrer toute seule ? ‘’ Demandes-tu en lui pointant du doigt, le vieillard qui n’a pas bronché depuis. Tu lèves les yeux au ciel avant de venir écraser ton majeur entre ses pectoraux. ‘’ Tu veux t’envoyer mes colocs c’est ça ? ‘’ Suspicieuse, tu le jauge du regard avant de te souvenir qu’il a une copine.. Après, il s’agissait peut-être d’une excuse pour te faire comprendre que tu n’es pas si jolie que ça. Dans un soupir, tu finis par t’installer sur la banquette arrière avec autant de classe qu’il est possible d’en avoir. ‘’ Tu viens ou pas ? ‘’ Tu regardes le jeune homme du coin de l’oeil, fin rictus au coin des lèvres. Le chauffeur installé à son tour, tu lui murmure au creux de l’oreille ‘’ Résidence de semaine. ‘’ Car oui, tu as deux appartements. Un en semaine que tu partages avec Phyllis et Louve et un de week-end que tu partages avec Soraya et Apple. Autant l’emmener à l’endroit ou il risque de trouver chaussure à son pied. Tu boucles ta ceinture, attendant qu’il prenne place à tes côtés, mais au dernier moment tu changes d’avis et sort de la bagnole en vitesse. ‘’ Nous allons rentrer à pied. ‘’ Ta voix est tranchante, sans familiarité et ce malgré ses nombreuses années de servitude auprès de la famille Habsbourg. Le vieille homme acquiesce d’un simple geste de la tête avant de faire vrombir le moteur de la voiture puis disparaître dans la nuit. Est-ce que tu fais une erreure, seul le temps te le dira. ‘’ Ne me laisse pas mourir de froid Ethan. ‘’ Dis-tu tout en commençant à marcher en direction du centre-ville. ‘’ Et j’ai envie de savoir ce que tu fais dans la vie maintenant, ton cheminement après le ‘’ nous ‘’ ‘’ Tu mimes les guillemets, car tu connais vos divergences à ce sujet.
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WTF are you doing here ?!?! ღ Ethan Giphy
La manipulation ? Moi la cause de son départ de Londres ? Mais qu'est ce qu'elle allait inventer comme conneries. Elle était partie parce qu'elle en demandait trop tout simplement, et que je n'avais pas réussi à la contenter. Elle n'avait même pas essayé de me comprendre. Pour elle, si je ne lui disais pas que je l'aimais et que je voulais qu'elle porte mes enfants, je n'étais pas digne d'intérêt ? Je ne t'ai jamais forcé à partir, tu es partie c'est tout ce qui compte. J'étais bien trop jeune à l'époque pour pouvoir assumer tout ce que tu attendais de moi. dis-je l'air maussade. Je ne cherchais pas à lui faire du mal, mais si elle continuait de me chauffer, je n'allais pas tarder à m’énerver sérieusement. Elle avait envie de cracher sa bile contre moi pour une raison qui m'était inconnue, et son ton de reproche était sans doute la dernière chose que j'avais envie d'entendre. Lorsqu'elle m'invita finalement à grimper dans sa voiture après que je me sois avancé vers elle, je compris qu'elle ne me détestait peut-être pas tant que ça finalement. Elle m'avait embrassé deux fois déjà, et si elle avait prit ça pour un jeu, c'était un jeu plus que plaisant. Malgré tout, j'avais encore du mal à lui faire confiance car elle ne faisait que souffler le froid et le chaud sans déclarer ses intentions. J'ai pas envie de m'envoyer qui que ce soit, j'ai toujours apprécié ta compagnie, et pas seulement parce que tu as accepté de coucher avec moi à l'époque contrairement à ce que tu peux croire. dis-je en m'installant sur la banquette arrière tandis qu'elle invitait le chauffeur à l'emmener chez elle. Je n'étais pas très à l'aise avec ce genre de concept comme le "chauffeur privé", mais bon, j'avais appris avec le temps à ne pas juger les autres, même ceux qui puaient le fric. Finalement, en bonne fille, elle changea d'avis dans la seconde, et m'expulsa presque de la voiture avant même que je n'ai pu mettre ma ceinture. Je regardais le moteur de la voiture pétarader avant de me tourner enfin vers Ariel qui réclamait mon attention. Je soupirais et enlevait ma veste pour la poser sur ses épaules, effleurant à nouveau ses bras, ce qui une fois de plus avait l'effet d'un choc électrique. Toujours aussi exigeante à ce que je vois. Je mis mes mains dans mes poches et commença à lui emboîter le pas. En fait mes parents adoptifs sont morts, du coup j'ai enfin eu les moyens de commencer des études. Aujourd'hui, je cherche à faire une équivalence ici aux US et je travaille a mi-temps pour le bureau du procureur. J'ai choisi Boston parce que ma famille biologique est ici. Enfin, mon frère et ma demi-sœur. Je fis une pause avant d'ajouter en riant à moitié. Tu vois, ma vie est toujours aussi mouvementée. Oui je n'avais pas vraiment changé, en dehors des vêtements un peu plus classe et de mon statut social qui évoluait peu à peu. Cela ne m'empêchait pas pour autant de garder les valeurs qu'on m'avait inculqué. D'ailleurs, si j'avais choisi le droit c'est parce que mon père adoptif, mon modèle était avocat. Je regrettais vraiment sa disparition, bien plus que je ne le laissais paraître. Et toi alors dis-moi ? Ou est ce que tu en est ? Avec ton statut et tes privilèges, tu as l'embarras du choix. @Ariel E. Habsbourg
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