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Tu ne sais pas du tout ce qui t’as pris de parler de cette façon. En fait, tu ne te reconnaissais même pas toi-même et vu la façon dont ça s’est terminé, tu aurais dû te la fermer… Tu le vois que tu as tout gâcher et sincèrement ça te ruine le moral et lorsqu’il se lève pour aller se chercher à boire, tout ce dont tu as envie, c’est de t’habiller et de t’en aller. Tu comptais sincèrement le faire, mais tu n’as pas été en mesure de trouver tes vêtements, étrangement disparu. Il faut dire que tes faits et gestes ne sont pas très calculés, ce qui n’aide pas… Il finit par revenir avec un verre d’eau glacé que tu avales cul-sec. Il veut dormir et toi t’es bien réveillé. Tu n’as même pas pu terminer ce que tu as commencé à cause de tes conneries à deux balles. La joie, non ? « Non vas-y, j’vais… Essayer de trouver mes fringues et m’en aller. Vaux mieux. » Je me lève, tremblant un peu des jambes et sors de la pièce. Peut-être que tes vêtements se trouvent ailleurs ? Tu refais les pièces que tu as visitées aujourd’hui sans succès, alors tu décides de te poser sur le canapé et t’endors miraculeusement. Vers trois heures du matin, tu te réveilles en sursaut, frissonnant. Tout d’abord, tu te demandes où tu te trouves avant de reconnaître le loft de Khaled… Tu te lèves grelottant et te diriges vers la chambre de ton ami et te glisses sous les couvertures, venant te coller à lui sans même te poser la moindre question. Ton ventre contre son dos, tu t’endors en moins de temps pour dire ciseaux.

Le soleil brille déjà haut dans le ciel lorsque tu te réveilles. Tu ouvres un œil, mais est tout de suite aveuglé par la lumière ambiante, alors tu le refermes automatiquement, mais découvres un corps chaud collé contre ton torse. C’est un réveil brutal lorsque tu découvres qu’il s’agit de Khaled. Vous êtes chez lui et… relevant la couette… Vous êtes nus. « Bordel de foutu merde! » T’attrapes un oreiller que tu places entre tes jambes pour te cacher comme tu le peux… « Euh, Khaled… J’pense qu’on a fait une connerie. Wake up ! Sont où mes fringues? » Tu regardes et tu ne les voies nul part. Et pour couronner le tout. Tu ne te rappelles absolument de rien. Trou noir ! Merveilleux ! 
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Rien de mieux qu’une bonne nuit de sommeil après un trop plein d’alcool. Tu n’as aucunement conscience de ce qui se passe autour de toi, ni du départ de ton ami pour le salon d’ailleurs. Ton sommeil est paisible, réparateur, aucun rêve pour venir troubler ta nuit. Vers trois heure du matin, tu sens une présence à tes côtés, ton subconscient sans doute. Machinalement, tu te colle contre le corps de Sandrick, soupirant d’aise malgré la fraîcheur de son corps qui contraste avec la tienne. Les ténèbres font place à la lumière et le soleil plombe sur ton lit au petit matin. Pour ta part, tu dors paisiblement loin de te douter de ce qui va suivre dans quelques instants.La voix du brun s’élève, mais tu ne comprend pas grand chose à ce qu’il dit, tout est flou dans ton esprit. Il reprend cette fois, en essayant de te réveiller et toi tu grognes mécontent tout en retournant face à lui. ‘’ Mais qu’est-ce qu’il y a merde ? ‘’ Demandes-tu sans être capable d’ouvrir les yeux. ‘’ Quelle connerie ?'' Reprends-tu en baillant. ‘’ Tes fringues ? ‘’ Tu as mal au crâne, tu n’arrives pas trop à faire le lien avec ce qui semble effrayer ton ami. Après, tu as souvent dormi avec un homme à poil et que dire des douches à l’université… y’a plus aucune surprise pour toi à ce niveau. ‘’ Relaxe un peu, on est à poil et alors ? On dort mieux comme ça… ‘’ Tu ris légèrement tout en laissant ton bras glisser autour de sa taille pour le ramener vers toi. ‘’ Tu vois, y’a rien de mal, juste une queue bandée au levé du jour, c’est un phénomène très répandu dans le monde.’’ Ça ne t’affole pas et contrairement à lui, tu es a des lieux de t’imaginer qui a pu se produire quoi que ce soit entre vous. Tu t’imagines que vous avez bu, bien rigolé et que vous avez décidé de vous pieuter à poil pour une question de liberté et de confort. ‘’ J’vais pas te violer, si c’est ce qui te fait peur ! ‘’ Tu fous ton nez au creux de son cou en soupirant. ‘’ Si t’as pas mal au cul, c’est qui s’est rien passé… et pour ma part, la seule chose qui fait mal c’est mon crâne. ‘’ Avoues-tu, serein et calme, encore endormi. .
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