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parfois on aimerait pouvoir éviter certaines personnes (nolan)

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C'est mon réveil qui sonne brutalement qui me mit de mauvaise humeur. Je n'avais pas régler le son et m'étant couché tard je n'aimais pas les réveils brutales. Grognant je filé sous ma douche et pris le temps de me réveiller, prenant un café puis une tartine de beurre je venais attrapé mon sac et filer vers la sortie afin de rejoindre mon premier cours. Avançant tout en fouillant dans mon sac afin de chercher mon emploi du temps je venais alors passer devant chez les Dunster sans m'en rendre compte et percutant quelqu'un je venais grogner à nouveau. Cependant relevant le visage prête à m'excuser je venais voir le visage de Nolan et surprise resta quelques secondes sans un mots avant de venir ajouter d'une vois plutôt franche et froide. « Super ! Tu viens de gâcher ma journée ! » D'un sourire ironique je venais retiré mon emploi du temps de mon sac.
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“.Parfois, on aimerait pouvoir éviter certaines personnes.“
Plus que cinq pas et elle continue d’hésiter, d’écrire avant de s’arrêter, de taper multiples mots avant de disparaître quelques secondes. Profondément ennuyé, Nolan observait d’un air vide l’écran de son portable affichant une conversation de Whatsapp où il pouvait parfaitement voir sous le prénom de son interlocutrice se succéder le mot “écrit…“ avec “connecté“ et parfois, pour sortir de la cadence lassante, il pouvait voir apparaître le “vu aujourd’hui“ suivi de l’heure. Plus que trois pas. Le jeune homme hésita un bref instant à envoyer un “oui ?“ comique pour accorder les doigts manucurés avec le cerveau de sa propriétaire, ou un “ça va ?“ pouvant traduire son impatience. On aurait pu croire qu’après plus de 20 ans de vie pourrie gâtée à obtenir tout ce que ça veut, qu’elle saurait formuler des phrases, mais faut croire que non, maugréa mentalement l’étudiant. Vraisemblablement, son nouvel espoir pour aller skier cet hiver n’était pas décidé à lui rendre la tâche facile et sachant que cela faisait un bon moment que Nolan se nourrissait de pâtes, il avait de quoi se plaindre. Plus que deux pas. Soupirant, le Kingsley quitta l’application de conversation et rangea son portable avant de faire le fameux pas le sortant du réseau de la maison des Dunster. Il retrouverait son internet sur Iphone qu’une fois assis dans l’amphithéâtre de son cours de droit pénal, là où il était fourni gratuitement. Autrement, il ne pouvait pas se permettre de faire l’inconscient avec son appareil de peur d’avoir une sale facture et lorsqu’on avait passé 18ans de sa vie à dormir avec trois frères, on faisait attention à ces choses-là – ou du moins quand on était célibataire et qu’on avait personne à qui emprunter de l’argent qui ne serait pas rendu de si tôt… Vie de chien quand tu nous tiens ! Mais si son Eliot visée finissait par dominer ses doigts et à sortir du productif de son cerveau, il pourrait bientôt retourner dans un quotidien teinté de doré et cette pensée le motiva à rejoindre rapidement son bâtiment universitaire pour son premier cours. Sauf que sa détermination s’allia à l’impatience et baissa sa concentration, l’amenant à percuter de plein fouet une personne, une fille à entendre le grognement féminin. Peut-être une Eliot avec un peu de chance, soit un plan b pour si la première était un cas désespéré. Armé d’un sourire suffisamment travaillé pour paraître naturel, Nolan releva les yeux et faillit s’étrangler avec ce premier. Oui, c’était une Eliot, mais c’était surtout Alexis, son ex-petite-amie qu’il avait planté après s’être tiré une balle dans le pied en prenant une photo familiale en vacances. Instinctivement, le Kingsley jeta un regard de lui pour dénicher une porte de sortie.
« Super ! Tu viens de gâcher ma journée !
Bien le bonjour à toi aussi ! lança joyeusement Nolan en optant un rôle de diplomate. Il n’avait aucune idée de ce qu’Alexis pensait actuellement de lui, mais il savait à peu près combien elle avait dépensé pour lui. En bref, il fallait se faire petit et mignon. Tu m’excuses pour l’impact, je ne regardais pas où j’allais. Comment ça va ? Do prdele ! comme dirait sa mère. Il venait vraiment de lui poser cette question ? Le malaise ne le réussissait vraiment pas. Enfin, j’espère que ta journée redeviendra ensolleilée… se corrigea-t-il en souhaitant qu’elle passe son chemin, adoptant un air résigné d’ex blessé d’une relation.»
Il se décida à faire un signe timide de la main pour inviter Alexis à reprendre son chemin. Pars, file, envole-toi vers d'autres horizons, snobe-moi, lui demanda-t-il même dans le plus parfait des silences avant de tirer discrètement sa manche sur sa montre rolex, un cadeau de la Prescott datant du temps où ils formaient un “nous“, un accessoire discret mais bonne apparence trompeuse de son compte bancaire pour l'oeil d'autrui. Et en outre, la montre possédait aussi sa touche affective.
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– Bien le bonjour à toi aussi ! Je grognais intérieurement, je me sentais déjà pas du tout de bonne humeur en étant réveillé en retard mais de le voir en plus ce matin alors qu'il était bien la dernière personne que je voulais voir est le bouquet final. J'étais en colère contre lui et le fait qu'il soit parti sans explication, qu'il ne soit même pas revenu pour me dire qu'il était désolé ou même qu'il n'a pas fait semblant aurait pu me faire changer d'avis sur lui, mais là, non. Tu m’excuses pour l’impact, je ne regardais pas où j’allais. Comment ça va ? Il est sérieux là ou il ce fou simplement de ma gueule ? Venir me demander si ça va alors qu'il est en face de moi et qu'il vient de me rentrer dedans non mais WTF ?! Enfin, j’espère que ta journée redeviendra ensoleillée… Cette fois ci je souriais avec une véritable ironie et cela sans me cacher. « Tu rigole n'est ce pas ? Tu crois vraiment que maintenant que je t'ai vu ma journée va devenir ensoleillé ? Et bien tu as de l'espoir dis moi ! » Regardant alors mon emploi du temps je vis que j'étais en retard et que le cours actuel était le sport. Soupirant je n'avais pas plus envie de ça que de faire du sport mais si c'était un moyen pour m'échapper de cette discussion pourquoi pas. « Oh et avant que tu viennes ajouter une autre phrase plus débile que toi, je te déteste et crois moi tu vas être fiché auprès de tout les riches du campus ! Oui car je suis blonde mais pas conne, j'ai bien compris pourquoi t'as jouer le jeu du parfait petit ami ! » Je le regardais avec colère et rangea mon emploi du temps.
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L’amour est véritablement la pire relation que peuvent entretenir deux êtres humains, songea amèrement Nolan en détaillant d’un regard critique la belle Alexis Prescott, son ex-petite-amie et accessoirement ancien compte en banque indirectement (ou était-ce l’inverse?) Prenant un inspiration discrète, le Kingsley s’appliqua à rester droit, un brin détendu, mais chercha surtout à ne pas s’imposer, un peu comme un chien qui souhaitait se faire discret face à un gros dangereux. Vraiment, l’amour, ça craignait car cela se taisait sur son “après“, sur toute cette durée qui suivait la mise à mort de la relation, un temps habité bien trop souvent par de mauvais sentiments. Quoique dans son ensemble et au travers d’un regard froid, une relation amoureuse avait ses points négatifs sur toute son existence : durant son avant où le doute existait de savoir si ses sentiments étaient partagés ou s’il faudrait vivre en artiste torturé par un amour à sens unique, pendant quand il était question de savoir s’il était possible de vivre sans l’autre, et l’après où une guerre muette – ou pas – se créait, où tout ex avait le même combat : se caser avant l’ancien compagnon. En bref, c’était à se demander pourquoi les gens continuaient de s’acharner et face à la colère évidente de la Prescott, Nolan dut se remémorer les hivers froids de Boston pour retrouver de l’intérêt à son échange de sms avortés précédemment. Il s’arrangea également pour prendre conscience du poids de sa montre pour s’excuser de la galère dans laquelle il se trouvait, celle d’être en face-à-face avec une femme énervée. Cependant, ce n’était pas la montre qui avait tout fait dans cette relation.
« Tu rigoles, n’est-ce pas ? Tu crois vraiment que maintenant que je t’ai vu, ma journée va devenir ensoleillée ? Et bien, tu as de l’espoir dis-moi ! »
Tant qu’il y a de l’espoir, il y a de la vie, pensa stupidement Nolan qui était bienheureux qu’un regard ne pouvait pas tuer. Néanmoins, il tut cette pensée au risque de donner une mauvaise idée à Alexis. Cependant, il semblait qu’en deux années de couple, elle avait développé la capacité de lire dans ses pensées, ou peut-être le connaissait-elle trop bien.
« Oh et avant que tu viennes ajouter une autre phrase plus débile que toi, je te déteste et crois-moi, tu vas être fiché auprès de tous les riches du campus ! Oui car je suis blonde mais pas conne, j’ai bien compris pourquoi t’as joué le jeu du parfait petit-ami ! »
Vraisemblablement, la lecture de son emploi du temps n’avait pas su présenter à la jeune femme une meilleure alternative que celle de mettre au pilori le Kingsley qui s’injuriait, son coeur ayant tenté soudainement et vainement une sortie face à la menace.
« Conne sûrement pas, mais hâtive probablement, lâcha Nolan en fourrant ses mains dans ses poches afin de mieux serrer les poings. Tu crois vraiment que je serais resté deux ans avec une fille pour son compte en banque ? à me casser la tête tout ce temps pour la valoir un peu ? demanda-t-il froidement. Le meilleur des mensonges est celui teinté de sincérité. Il n’était pas aveugle : il avait apprécié Alexis, voir plus, mais il n’était plus question de penser à ça. Il valait mieux se pencher sur comment monter l’histoire qu’il s’était cru non-méritant de l’affection de la jeune femme. Cela aurait été plus malin de t’utiliser pour rencontrer une quinquagénaire bien refaite en manque d’affection et toute folle à l’idée de pouvoir encore plaire à un jeune… Mais bon, probablement que t’avoir uniquement pour ton argent et te laisser partir alors que ton compte doit encore être bien fourni est la seule réalité possible, non ? ironisa-t-il.»
Alexis avait un fort caractère et si se faire soumis ne marchait pas, il avait aussi de quoi lui répliquer même s’il était en tort, ce dernier étant de n’avoir pas su se tenir à son objectif parfaitement, chose compliquant la donne et cet “après“ merdique d’une relation.
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Conne sûrement pas, mais hâtive probablement. Je le regardais toujours aussi durement, je n'aimais pas du tout ce type, surtout maintenant que je sais pourquoi il est sorti avec moi et croyez moi j'aurais pu le tuer d'un seul regard je l'aurais fait. Tu crois vraiment que je serais resté deux ans avec une fille pour son compte en banque ? à me casser la tête tout ce temps pour la valoir un peu ? Il cherchait à faire quoi là ? M'attendrir ? Essayer de me faire réfléchir sur une quelconque idée de sentiments de sa part ? Non mais il rêve vraiment ! Parce que tu vas peut être me dire que t'avais des sentiments pour moi ? Si c'est le cas pourquoi tu t'es tiré comme un voleur et n'es pas eu les couilles de me dire en face qu'au début tu voulais mon argent et qu'au final tu t'es rendu compte que tu tenais à moi !? Hein ? Je le regardais, je voulais savoir ce qu'il viendrait répondre à cela. Je voulais comprendre pourquoi il venait dire cela alors qu'un mec ayant des couilles aurait eu le culot de lui dire ces sentiments. Cela aurait été plus malin de t’utiliser pour rencontrer une quinquagénaire bien refaite en manque d’affection et toute folle à l’idée de pouvoir encore plaire à un jeune… Mais bon, probablement que t’avoir uniquement pour ton argent et te laisser partir alors que ton compte doit encore être bien fourni est la seule réalité possible, non ? Je souriais avec un sourire forcé bien évidemment. Pour moi c'était évident qu'il n'avait rien d'autre que mon compte en banque dans son esprit. C'est toujours plus plaisant de prendre une jeune femme qu'une vieille ! Au lit c'est toujours plus agréable alors n'essaye pas n’ironisait la situation, rien ne me fera rire. Il avait du répondant mais je le savais déjà.
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« Parce que tu vas peut-être me dire que t’avais des sentiments pour moi ? Si c’est le cas, pourquoi tu t’es tiré comme un voleur et n’as pas eu les couilles de me dire en face qu’au début, tu voulais mon argent et qu’au final tu t’es rendu compte que tu tenais à moi !? Hein ? »
Touché, coulé. D’un regard plus qu’attentif, il ne nota aucune faiblesse dans le visage de Quinn Alexis, ne vit que son regard de métal froid vrillé sur lui. Pourquoi n’avait-il pas joué les héros des comédies romantiques auprès de la Prescott ? Parce qu’il n’avait ni l’accent anglais de Mark Darcy, ni le visage enfantin d’un acteur de Disney et encore moins le brin de voix qui s’accordait aux sérénades. Non, il ne faisait pas le méchant pour le regretter après, et évitait de se battre pour de beaux yeux féminins en se roulant dans la boue. Il n’avait rien d’un prince charmant des temps modernes. Pourtant, il pouvait répondre à cette question posée : parce que vouloir ton argent n’empêche pas de tenir à toi. Qu’importe ses sentiments actuellement inutiles, il n’avait jamais craché une seule goutte sur le compte en banque de la Prescott, tout comme il ne s’était jamais autorisé une pensée véritablement négative sur la jeune femme. Néanmoins, il ne pouvait pas prononcer ces 12 mots. Mais il pouvait donner un essai de réponse et continuer de tenter de sauver sa pauvre peau.
« Oui Alexis, j’ai des sentiments pour toi, confirma-t-il tout simplement en conjuguant le verbe au présent.»
Le Kingsley était doué pour utiliser la vérité à son avantage car ayant traîné longtemps dans la crasse du pauvre, il n’avait pas peur d’être rejeté et qu’on crache sur ses mots. Il était un pourri et le vivait relativement bien, ne le regrettait pas. Il savait véritablement apprécier des personnes, mais ne rechignait pas à utiliser les moyens les plus sournois pour se protéger. Et présentement, il lui faudrait plus qu’un os et une muselière pour se tirer de ce mauvais pas puisqu’Alexis faisait son pitbull ou chien de guerre à comprendre que maintenant qu’elle avait mordu, elle ne comptait pas lâcher facilement et qu’il faudrait y aller avec force pour espérer en ressortir en entier.
« Et… et je suis parti parce que j’ai menti, en effet, ajouta-t-il rapidement pour éviter d’être coupé. J’ai menti sur ma famille et ma situation, et j’ai dû penser que ça gâcherait tout ou je n’ai pas assumé. Sincèrement, je ne sais pas vraiment ce qui m’est passé par la tête… je savais juste qu’il fallait que je fuie. Désolé.»
Bon enfant de fragilité qu’il était. Regard fuyant, mine du mauvais garçon poussé à l’aveu, dos légèrement rond, il semblait que la vérité lui avait été difficilement arrachée alors qu’il n’avait pas prononcé les fameux mots, n’avait pas avoué qu’il en avait voulu à l’argent de la Prescott. Non, il n’était qu’un idiot qui avait dissimulé son identité pour plaire à la fille de ses rêves, rien que ça. Il n’était plus à une omission près. Néanmoins, Alexis devait prendre un plaisir inconscient à mordre dès qu’elle voyait une ouverture.
« C’est toujours plus plaisant de prendre une jeune femme qu’une vieille ! Au lit c’est toujours plus agréable, alors n’essaie pas d’ironiser la situation, rien ne me fera plus rire.
Je n’ironise rien, j’énonce un fait, lâcha-t-il sérieux. Elle voulait la jouer ainsi ? Pourquoi pas. La mode est aux cougars, tu devrais le savoir et ce n’est pas une tendance que féminine… Sincèrement et sans offense, je ne trouve rien de plus plaisant et d’agréable qu’Angelina Jolie ou Michelle Pfeiffer. Alors crois-moi, si je n’en avais voulu qu’à l’argent, je n’aurais pas eu de grandes hésitations face à une femme plus âgée et au fond, qu’importe son physique si seul son compte en banque m’intéresse. Une moche sans aucune confiance en soi est plus facile à manipuler, non ? Il pouvait continuer des heures comme ça; il était né pour broder et donner tout son être pour sauver sa peau. Néanmoins, il ne pouvait pas que se contenter de répondre, il devait aussi penser à prendre le taureau par les cornes et qu’importe le mal qu’il se ferait. C’est donc la boule au ventre pour cause de possessivité matérielle qu’il enleva sa précieuse montre de son poignet. Même si elle m’est précieuse, je pense que te la rendre est la meilleure chose à faire. Après tout, c’est quand je l’ai vue dans une vitrine que j’ai décidé de sortir avec toi, si j’ai bien compris, ironisa-t-il quand même en prenant la main d’Alexis pour y fourrer sa montre. Et merde. C’est qu’il l’aimait sa rolex, vraiment. Mes excuses, j’ai fait de l’ironie, en espérant que ça te fasse rire. Maintenant, il était vraiment de mauvaise foi.»
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« Oui Alexis, j’ai des sentiments pour toi.» En a rien de temps tout ce que j'avais envie de lui cracher au visage partie aussi rapidement que c'était venu. Etait-il sérieux ou c'était encore quelque chose dont il ironisé la situation ? Je ne pouvais vraiment l'affirmer et pourtant je venais le regardais différemment, essayant de le cerner un peu plus et essayant de voir en lui, comme s'il pouvait me laisser entrer en lui... Je sentais alors sentir des larmes me montaient aux yeux. Sans déconner, il avait le don de me faire passer d'un sentiment à un autre c'est incroyable. « Et… et je suis parti parce que j’ai menti, en effet, ajouta-t-il rapidement pour éviter d’être coupé. J’ai menti sur ma famille et ma situation, et j’ai dû penser que ça gâcherait tout ou je n’ai pas assumé. Sincèrement, je ne sais pas vraiment ce qui m’est passé par la tête… je savais juste qu’il fallait que je fuie. Désolé.» Je venais fronçais le regard. Souriant avec une ironie je venais laisser mes mains caresser mon visage, je me montrer alors vulnérable. Pourquoi ? Tu crois que j'aurais pu ne pas t'aimer comme tu es ? Qui es tu Nolan ? Dis le moi ! Je le regardais avec insistance. Je voulais savoir son secret, savoir pourquoi il avait fuit. Je n'aimais pas les hommes incapable d'assumer la vérité et encore moins qui ils sont. Pourquoi m'avoue t'il que maintenant ses sentiments ? Pourquoi le fait-il maintenant ? Je soupire à nouveau, décidément... Je me sens tellement bête face à lui. Cependant il venait me répondre face à ma réponse sur les fameux mecs qui profitent des personnes riches. Bien évidemment je ne l'écoutais plus, mon esprit était parti ailleurs, loin dans le passé, dans mes souvenirs avec lui et cela me déchira encore le coeur. Je revenais alors sur terre lorsque je le vis s'agiter devant moi et de me tendre une montre.Même si elle m’est précieuse, je pense que te la rendre est la meilleure chose à faire. Après tout, c’est quand je l’ai vue dans une vitrine que j’ai décidé de sortir avec toi, si j’ai bien compris. Je reconnus alors cette fameuse montre qu'il adorait tant et qu'il ne cachait pas lorsque nous étions ensemble. Chaque matin il l'enfiler et il en prenait soin que cela devenait presque louche. Mes excuses, j’ai fait de l’ironie, en espérant que ça te fasse rire. Je le regardais alors durement et ma main lui arriva rapidement sur la joue avec une force incroyable. ça, c'est pour me prendre pour une conne. Le regardant à nouveau je venais le pousser aussi fort que je venais le gifle en lui lançant sa montre. Et ça c'est pour me faire croire que j'aurais encore une chance avec toi ! Ta montre tu peux la garder, je sais que t'y tenais. Surement plus que moi d'ailleurs ! Je le regardais avec les yeux brillants, j'avais tellement envie de pleurer que cela en devenait difficile.
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Pourquoi ? Tu crois que j’aurais pu ne pas t’aimer comme tu es ? Qui es-tu Nolan ? Dis-le-moi ! »
Il avait touché une corde sensible, une qui résonnait également en lui-même et faisait retenir un certain souvenir abstrait : son pacte avec le Diable. Il n’avait pas rencontré l’esprit du mal et n’était même pas certains de ses croyances dans le domaine de la religion, mais il s’était décidé bien tôt à tout donner, à prendre un aller simple pour l’Enfer en échange d’une vie aisée. Il était prêt à bafouer l’idée même de la conscience pour parvenir à ses fins, paré à manipuler des sentiments et les siens pour s’en sortir. Il était un grand désespéré pour répondre à la dernière question de Quinn Alexis, un affamé de luxe dénué de patience, un enfoiré plaqué or, un être pathétique voulant intégrer un monde auquel il n’appartenait pas, peut-être un futur requin dans le monde adulte et homme de main de la déesse Éris au-delà de la lumière. Il n’avait pas une image très positive de lui-même, mais c’était une chose qu’il sacrifiait volontiers pour son ambition. Cependant, il omettait qu’il était ‘just a boy’ comme dirait sa mère, un simple garçon gêné par le dévoilement de ses sentiments restant et s’en voulant presque d’atteindre ainsi Quinn Alexis. Au fond, il lui restait une part de bonté et son avenir de requin se calait bien sur un peut-être.
« Je doute que la réponse te plaise, mais oui, répondit-il. Sa réponse paraissait sûre, mais elle ne l’était pas. Il n’avait aucune idée du comment la Prescott l’aurait aperçu si elle avait su combien traînait sur son compte bancaire. D’après moi, tu ne m’aurais même pas remarqué si tu avais su qu’avant, je partageais ma chambre avec mes frères, et si je te l’avais avoué après, tu n’aurais vu que le menteur que je suis et tu aurais eu raison, dit-il en regardant dans le vide, feignant un air perdu de chiot comprenant qu’il venait d’être abandonné dans une boîte par son propriétaire. Ou cela me paraissait impossible… ajouta-t-il car il ne pouvait pas juger la Prescott. Cependant, cela lui faisait mal de l’avouer, de dire que lui, le vrai Nolan Jiminy Kingsley ne pouvait plaire, qu’il n’était qu’un gamin pauvre rêvant trop gros peut-être. Et qui je suis… un pauvre garçon issu d’une famille nombreuse qui a un peu trop fantasmé ? demanda-t-il en ne retenant pas son ironie. Il détestait parler de lui ou de sa vraie situation. Et par preuve de mauvaise foi, il fixa un point quelconque à sa gauche.»
Oui, il était ce simple garçon poussiéreux qui fantasmait sur un monde doré et il n’était pas décidé à cesser de rêver avant d’avoir atteint son objectif; à décrocher de ses petites lignes avant d’avoir son propre commerce de stupéfiants. De ce fait, il avait sa raison de tout faire pour sauver ses arrières face à la Prescott et souffrant de son geste, il sortit le grand jeu en redonnant sa montre offerte précédemment, un objet qu’il affectionnait tout particulièrement. Cela lui faisait mal de la rendre, mais moins que la gifle qu’il reçut d’Alexis – ou peut-être était-ce de force équivalente ? Sonné par le coup, la joue plus que brûlante, il n’était plus sûr de rien. Ça fait un mal de chien ! Elle tire d’où cette force ? finit-il par se reprendre en portant sa main à sa joue. Sérieux, elle avait ça en stock ?
« Ça, c’est pour me prendre pour une conne. Et ça, c’est pour me faire croire que j’aurais encore une chance avec toi ! Ta montre, tu peux la garder, je sais que t’y tenais. Sûrement plus qu’à moi d’ailleurs ! »
Elle avait encore eu une belle poussée en stock et Nolan comprit qu’il avait traversé de bons pas la limite. Il ne put se demander si tout être sans conscience se sentait comme lui face au regard brillant de la jeune femme, soit lourd et poignardé à vif.
« Je suis allé trop loin ? La question soufflée lui avait échappé. Il n’avait jamais pensé faire faiblir ainsi la Cabot. Il avait pensé qu’elle s’étoufferait dans sa colère, déciderait de raser son existence de sa vie, mais pas qu’elle serait ainsi blessée. Une fille mondaine ne se laissait pas blesser en principe, ou du moins elle ne le montrait pas en public, non ? Vraisemblablement pas. Je… Cette montre m’est chère aussi car c’est toi qui me l’as offerte et sache que dans notre relation, tu valais plus qu’elle, dit-il en supportant mal sa condition de pitoyable des mots. Je ne serai pas resté avec toi aussi longtemps si je n’avais pas eu des sentiments et… et je suis désolé de t’avoir mis dans un tel état. »
Il était un pathétique de la parole, un incapable de trouver les bons moments, un torturé entre son ambition et sa conscience s’alliant aux sentiments. Il ne voulait pas voir une Alexis blessée, mais il ne démordait pas de son secret, de son aspect stratège monétaire et ne pouvait s’excuser de s’être servie d’elle, de l’admettre – car l’avouer serait se crucifier seul d’après son instinct de survie.
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« Je doute que la réponse te plaise, mais oui ... D’après moi, tu ne m’aurais même pas remarqué si tu avais su qu’avant, je partageais ma chambre avec mes frères, et si je te l’avais avoué après, tu n’aurais vu que le menteur que je suis et tu aurais eu raison. » Comment pouvais t'il juger sans même connaitre ce que j'aurais vraiment fait si j'avais su avant toute chose qu'il était vraiment hein ? Il ne sait rien et encore moins qui je suis vraiment après ses quelques mois de relation. Ma grand mère a su m'apprendre à reconnaître les gens de revenu plus modeste que moi, je ne peux juger les personnes par leur compte en banque. Je ne juge personne par le compte en banque ou de la famille dont il est issue Nolan. Je préfére de loin un homme de revenu modeste voir pauvre et qui est un coeur qu'un homme manipulateur, menteur et qui me brise le coeur. Je le regardais avec dureté et froideur. Je ne comprends même pas pourquoi il pense que j'aurais pas une seconde porter mon intention sur lui en connaissant sa position financière. Je ne suis pas l'une de ses bourges prétentieuse qui pensent que le reste du monde n'est qu'un petit peuple moisi. Je suis pas ainsi. « Et qui je suis… un pauvre garçon issu d’une famille nombreuse qui a un peu trop fantasmé ? » Un sourire tout aussi ironique que sa phrase venait ce déssiner sur mon visage. Comment j'ai pu croire une seconde qu'il vienne du même milieu que moi alors que finalement en le regardant bien c'est certains qu'il est loin d'être aussi sure de lui et bien entendu même malgré cela mes sentiments pour lui reste présent. Pourtant la discussion continuer et rapidement je sentais ma colère grimpait et je venais lui offrir deux giffles monumentale. Il me blessé et il le savait très bien, ses paroles ne sont pas sure et je me sentais tellement bête de me mettre dans un état pareil pour un type qui n'avait même pas su prendre en compte mes sentiments pour lui en compte et qui a fuit tel un abruti. « Je suis allé trop loin ? ... Je… Cette montre m’est chère aussi car c’est toi qui me l’as offerte et sache que dans notre relation, tu valais plus qu’elle.» Je levais les yeux au ciel, je levais les mains en l'air également et passer mes mains sur mon visage ensuite. Il me fait tourner en bourrique, j'ai l'impression qu'il ce fou vraiment de moi et je n'aime pas ça. « Je ne serai pas resté avec toi aussi longtemps si je n’avais pas eu des sentiments et… et je suis désolé de t’avoir mis dans un tel état. » Je le vis plus vulnérable d'un coup et cela me fit étrangement bizarre. C'est la première fois depuis que j'ai découvert son mensonge qu'il ce montre aussi sensible et je ne pouvais d'un coup lui en vouloir encore plus. Ma colère s'estompa et je le regardais alors en m'approchant doucement de lui. Soupirant je le regardais. Je savais pas quoi lui dire. J'étais juste perdue. Je suis désolée de mettre emporter mais ... Mais j'aurais aimer que tu sois auss honnête avant et non maintenant. Je le regardais sérieusement.
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Il n’aurait su être dans une pire situation mise à part s’il avait été nommé Pinocchio à sa naissance par un père Gepetto aimant, car un nez s’allongeant au moindre mensonge aurait su l’amener avec aisance à la pénitence. Il avait parfaitement conscience qu’il mentait comme un arracheur de dents, offrant des mots à l’allure douce pour mieux atteindre la Prescott, retourner sa souffrance contre elle. Mais devant une cour de justice, il aurait su plaider avec ferveur son innocence, utiliser une excuse de circonstances atténuantes. Après tout, il ne mentait pas proprement; il omettait superbement. À sa première rencontre avec Quinn Alexis, il n’avait pas douté une unique seconde qu’elle ne l’aurait pas regardé si elle avait su d’où il provenait. Il fallait dire qu’elle n’avait pas le profil de la jeune fille aisée en recherche de bad boy pour faire sa rebelle auprès de ses parents. L’esprit du Kingsley n’avait pas été effleuré par l’idée qu’elle pouvait être différente de la tendance féminine dorée expérimentée jusqu’ici. Alors forcément, il avait menti, avait fait son one-man-show pour la jeune Prescott qui était tombé dans le panneau. Mais aujourd’hui, il savait qu’elle était différente, que ses yeux n’étaient pas ceux d’une pie.
« Je ne juge personne par son compte en banque ou de la famille dont il est issu, Nolan. Je préfère de loin un homme de revenu modeste voir pauvre et qui ait un coeur qu’un homme manipulateur, menteur et qui me brise le coeur. »
C’est que ça rime en plus, songea le dunster pour se distraire du regard acier de l’étudiante. Il était convaincu par ses bons mots, mais il savait qu’il pouvait jouer la carte du doute, de celle du “C’est facile de dire ça maintenant.“, mais cette dernière pouvait se finir par un “Tu ne m’as pas laissé la chance de te le prouver.“ qui couperait court ses arguments. Il ne pouvait faire qu’appel à son passé, à ce garçon sans scrupules qu’il était toujours, mais qui était plus ignorant de la situation que le lui présent.
« Je ne sais pas quoi te dire, Alexis, dit-il en soupirant, optant pour la soumission en baissant son regard avant de se passer la main dans les cheveux, feignant la nervosité qui n’était pas si fausse en elle-même. Je te crois bien volontiers aujourd’hui, mais dans le passé, ce n’était pas le cas et je n’ai pas eu les tripes de savoir si ça pouvait l’être. J’ai merdé, ça, je le sais bien. »
Peut-être aurait-il été un mauvais Pinocchio car il ne mentait pas. Il était plus marionnettiste que marionnette, manipulant avec soin son propre ressenti pour offrir un plus beau spectacle. Il était vrai qu’il n’avait pas pensé qu’Alexis était différente de la bourgeoisie dépeinte dans la littérature adolescente, mais il n’avait jamais cherché à le savoir dans le passé. Il se contentait de profiter d’un présent sans souci tout en restant préparé à un éventuel départ précipité dès que son mensonge s’écorcherait. Donner une chance à la Prescott n’avait jamais atteint ses pensées. Pourtant, à son contact, il avait appris que c’était une fille entière et non capricieuse, une fille qui savait vivre par elle-même et s’affirmer. Néanmoins, au cas où il l’aurait oublié, il dut s’en souvenir brutalement à l’aide de deux gifles gracieusement offertes par la jeune femme. Il les méritait, il le savait et il en aurait volontiers pris encore plusieurs si cela avait permis à Alexis de se sentir mieux après son jeu de manipulateur. Il aurait aimé la soigner de cette souffrance, vérité dite. Mais il devait penser à lui aussi. Il ne pouvait pas la laisser l’atteindre, détruire sa porte au monde doré. Néanmoins, cela ne l’empêchait pas de se sentir désolé.
« Je suis désolée de m’être emportée mais… Mais j’aurais aimé que tu aies été aussi honnête avant et non maintenant. »
Un faible sourire s’esquissa sur ses lèvres et il n’était pas entièrement feint. Il était temps de donner le possible coup final et il s’en sentait coupable. Piétiner et cracher sur ses propres sentiments étaient une chose, offrir le même traitement à ceux de la Prescott, une autre. Elle était différente et il le sentait au plus profond de lui, mais il ne pouvait pas risquer sa peau. Il ne pouvait lui donner un traitement différent juste parce que c’était elle. Il était une ordure et il l’avait accepté depuis bien longtemps. Elle n’aurait jamais dû s’excuser, s’approcher de lui, mais l’agneau fait toujours la même erreur avec le renard.
« J’aurais aimé également et je regrette, dit-il doucement, ses yeux plantés dans ceux d’Alexis, son masque sérieux parfaitement porté. Peut-être que la pointe de culpabilité en vue de son futur acte l’aidait à paraître plus sincère que jamais. Mais il est rarement trop tard pour adopter une nouvelle ligne de conduite, même si je pense que tu regretteras que je n’aie pas été malhonnête, ajouta-t-il avant de s’approcher doucement du visage d’Alexis et de l’embrasser avec une belle douceur, une de celles qui ne dure que furtivement. Il ne voulait pas risquer une troisième gifle qui briserait son coup de théâtre. Désolé de n’avoir été honnête sur mes sentiments que maintenant, mais sache que je ne t’oublierai pas.»
Libre à elle d’interpréter comme elle le souhaitait ces quelques mots sans rimes. Pour lui, il était temps de s’éclipser afin de réussir parfaitement son coup. C’est donc sans se faire prier, laissant que brièvement son regard s’attarder sur le visage de poupée d’Alexis, que Nolan s’éloigna à grands pas vers sa salle de cours, remerciant le karma qui le fit rencontrer deux amis auprès de qui se cacher en attendant d’avoir à nouveau internet sur son portable pour continuer sa précédente conversation. Il avait grand besoin de se changer l’esprit et il n’existait rien de mieux que faire son escroc pour ça. Être au sommet de son naturel, c’était le meilleur moyen de se convaincre qu’il n’avait pas à se sentir coupable.
(Invité)

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