you're such an idiot. (balou)

Depuis ton plus jeune âge, la danse est la chose qui t’anime le plus au monde. Sans elle, tu ne serais d’ailleurs même pas toi-même. Tes parents t’ont lancée dans la danse classique lorsque tu n’étais encore que haute comme trois pommes, et si au début t’as eu quelques difficultés à t’y faire, à présent, tu ne vis plus sans. Ce soir, t’as eu l’occasion de t’entraîner comme à ton habitude avec le club de danse. Du hip-hop, principalement. T’es touche-à-tout dans le domaine de la danse mais, pour autant, rien ne saurait faire baisser ton amour pour tes pointes. De ce fait, dès lors que votre séance habituelle fut terminée et que tes partenaires aient disparu de la salle, te laissant seule comme bien d’autres fois, tu te hâtes en direction de ton sac pour enfiler ces fameuses pointes. Une bonne demi-heure de répétition au son de musique classique sans prêter grande attention à ce qui pourrait bien t’entourer, perdue dans ton petit monde, tu décides finalement d’arrêter là pour ce soir. Tes chaussons retirés, ton sac sous le bras, tu te diriges pieds nus vers les vestiaires afin de prendre une douche et de te changer pour pouvoir rentrer chez toi – ou faire un détour dans un bar selon ton humeur sur le chemin du retour. Tout en enfonçant ton sac dans ton casier que tu ne prends pas la peine de fermer à clé, tu passes ta main dans ta crinière pour faire glisser tes cheveux en arrière. Tu prends alors pour seul vêtement ta serviette et files en direction des douches. A cette heure-ci, les vestiaires sont vides depuis une bonne dizaine de minutes si ce n’est plus, et t’en profites pour traîner un peu sous l’eau chaude qui ruisselle sur ton corps. Après vingt minutes passées sous celle-ci, tu finis par essorer tes cheveux à l’aide de ta serviette, que tu enroules ensuite autour de toi pour couvrir ton corps nu.

@basile mulliez

La langue de Molière est une des langues les plus difficiles à apprendre, pourtant elle constitue l'identité de Basile, une langue étrangère pour la plupart des américains qui y entende du charabia ou presque un enchantement. C'est en parlant avec son père dans leur langue maternel un peu plus tôt qu'il avait attiré l'attention d'une jeune brunette aux yeux bleus comme la mer. Elle s'appelle Leah, une étudiante en art qui suit un cursus en danse classique. Le courant avait bien passé entre eux et elle lui avait donner rendez-vous après sa séance ? Il c'était renseigné sur les studios et avait convenu de la rejoindre. Pourtant dix minutes plus tard, il attend devant les vestiaires des femmes et pas de nouvelles de la jolie brune. Basile regarde dans le corridor, une fois à gauche et une fois à droite, personne. Il allait cogner contre la porte des vestiaires quand son téléphone portable se mit à vibrer. Le jeune français baissait les yeux sur son écran qui indiquait le nom de Christian. Son oncle, son meilleur ami et confident. Il devait surement reporter un de leur rendez-vous. Basile ferme son écran et met son téléphone dans sa poche de jeans droite et cogne un coup avant d'entrer dans le vestiaire des femmes. Ouais, il en n'en marre d'attendre. Leah parle aussi bien le français que lui en avançant.''Leah ? il y a quelqu'un?'' Aucune réponse mais il entend l'action d'un pommeau de douche, il y a bien quelqu'un. Il faudrait bien qu'il sorte avant que quelqu'un appelle les flics en prétextant qu'il ait un pervers dans les douches. Avant de faire un mouvement, il entend la douche se fermer. C'est plus fort que lui, il avance entre les rangées de casier pour voir qu'il a bien quelqu'un. Cette silhouette, il l'a connaît trop et la déjà vu dans cette situation avant. Un sourire en coin s'étire sur ses lèvres qu'il avance vers sa prédatrice préféré. Il semble que ses plans avec la belle Leah viennent de tomber à l'eau alors pourquoi pas aller jouer avec les loups? Il s'arrête au bout de la rangée de casier Louve vient à peine de sortir de sous la douche, c'est presque dommage. Il s'appuie contre un des casiers en croisant les bras sur son torse.'' Tu n'est pas la brunette que je cherchais.. elle est là aussi?''

Ta crinière mouillée qui retombe sauvagement de chaque côté de ton visage, ta serviette enroulée autour de ton corps nu, et cette voix qui retentit dans à quelques pas de toi dans les vestiaires. Une voix que tu reconnaîtrais parmi mille et qui te donne la chair de poule malgré toi. Tu te stoppes subitement, tes sourcils se froncent, et tu te retournes finalement vers le malotru. Pas la brunette qu’il cherchait ? Vraiment ? « T’as pas compris la dernière fois que je t’ai dit de dégager ? » Un pincement de lèvres accompagnement ton roulement d’yeux, quelque peu agacée par sa présence. T’es là, devant lui, nue sous ta serviette. Qu’est-ce que t’es censée faire au juste ? En secouant ta tête de droite à gauche, t’avances finalement d’un pas décidé en sa direction et le bouscules dans ta course vers ton casier. Tant qu’à faire, autant bien lui faire comprendre qu’il n’est pas le bienvenu ici. « Je suis seule, je crois que ça se voit. Enfin, je l’étais avant que tu débarques. » reprends-tu tandis que tes doigts fins se posent sur la poignée de ton casier, à trois pas tout juste de lui. « Je sais pas qui tu cherches, mais on dirait qu’elle t’a posé un lapin. Ca t’arrive souvent à ce que je vois, tu dois avoir perdu la main depuis le temps. » Un sourire satisfait s’étire sur tes lèvres à la fin de ta phrase. En soi, t’es certaine qu’il est pas là pour rien. S’il attendait vraiment quelqu’un d’autre, il se serait barré en te reconnaissant et serait pas resté là, posé contre un casier, à attendre que tu le reconnaisses. Ton regard se plante sur lui tandis que tu l’observes de haut en bas, un sourire au coin des lèvres, ta main ressortant ton sac du casier afin que tu puisses aller te rhabiller.

Quand il veut voir Louve, ce qui veut dire rarement par les temps qui court, il n'arrive pas à la voir, nah l'univers à d'autres plans pour lui. Une petite soirée avec des camées, un petit plan d'une nuit avec une de tes collègues de classe Politiques comme si on devait le sevrer d'aller chercher les emmerdes avec la brunette. Pourtant quand il ne veut pas la voir, c'est là qu'elle tombe sur son chemin, la diablesse sur son épaule lui envoie une claque en pleine gueule. Voilà qu'ils se retrouvaient dans les vestiaires, lui appuyé contre les casiers qui aperçoit Louve et pas Leah. C'est dommage, Leah serait beaucoup moins chiante. Un sourire narquois, amusé se dessine sur ses lèvres quand elle le bouscule pour se rendre à son casier. Il se redresse presque fier.'' J'ai jamais aimé les règles .. mais pas besoin de faire ta prude, je sais de quoi t'a l'air nue.'' Quand Louve lui dit qu'elle est seule, il ne peut s'empêcher de regarder à gauche et à droite comme si il fallait qu'il le voit pour la croire.'' Bah t'a peut-être enfermer quelqu'un dans un casier, c'est dommage.'' Il finit par se rapprocher pour s'appuyer contre le casier voisin de Louve lorsqu'elle sort son sac avec son petit sourire narquois. Elle pense vraiment qu'il a perdu la main?'' T'aimerais trop ça , Nah je cherchais Leah, une magnifique brunette, danse classique mais c'était surtout pour notre devoir commun de Politiques... je croyais qu'elle trainerait tard ici.'' Il se surprend à croiser son regard quand elle le regarde de la tête au pied, il sourit amusé.''On apprécie la vue?'' Quand elle sort son sac, une envie malicieuse s'empare de Basile, il est presque tenter de faire tomber un des deux trucs qu'elle porte.

Le retrouver là, dans les vestiaires, si tard, c’est probablement la dernière chose que t’espérais. T’aurais largement préféré que tout autre type se pointe, d’ailleurs, mais Basile est le dernier que tu voulais voir. Et pourtant, la vie ne cesse de le mettre sur ton chemin. Comme te l’a si bien dit Phyllis, vous êtes des aimants et rien ne saurait vous séparer. Pour votre plus grand malheur probablement. Tu bouscules le français en te rendant à ton casier, aussi nonchalante qu’à ton habitude. Et sa réponse t’arrache un sourire, celui qui se dessine au coin de tes lèvres automatiquement. « Prude ? Tu crois vraiment à ce que tu dis ? » ricanes-tu en tournant subitement la tête en sa direction. « Je sais très bien que t’arrives pas à te sortir l’image de mon corps de la tête. Mais delà à dégager ta frustration en disant que je suis prude… t’as rien trouvé de mieux ? » En fait, ça t’importe peu de te retrouver à poil devant lui. Ce serait pas la première fois et t’es loin de complexer sur ton corps, au contraire ; t’es plutôt le genre de nana prête à rentrer à poil chez elle. « C’est toi qui finiras enfermé dans mon casier si tu continues. » que tu souffles en levant les yeux au ciel. Du bout de tes doigts, tu ouvres ton sac pour en ressortir un à un tes vêtements. « Hm. » Qu’est-ce que ça peut bien te faire qu’il ait rendez-vous avec une soi-disant Leah qui n’est pas là ? Tu te fiches bien de savoir qui va partager son lit ce soir. Pour autant, tu ne te prives pas de le regarder de haut en bas, un sourire au coin des lèvres. « Je me dis que je rate pas grand-chose en fait, t’étais mieux avant. » reprends-tu en haussant les épaules, amusée par la situation. Et tu le vois bien qu’il louche sur ta serviette. « Je vois que toi par contre, t’apprécies la vue. » D’un air provocateur, tu défais l’attache improvisée de ta serviette sous tes bras et la laisses glisser contre toi pour dévoiler ton corps nu. « Profites-en parce que c’est la dernière fois que tu le verras. » Ton regard se repose immédiatement sur les affaires que tu viens tout juste de déballer afin de retrouver tes sous-vêtements.

Pourquoi il était là? Leah était la raison principale mais avoir Louve en prix de consolation est aussi bien. '' Ouais c'est ça Louve, il faut toujours que les gens se concentrent sur toi, la terre tourne autour de toi.'' Il la pique et il se fait piquer en retour. C'est de bonne guerre, c'est leur langage familier entre eux. Le feu rencontre le feu. Plus ils parlent, plus il se rapproche d'elle et de son casier. Il croisait même son regard pendant quelques instants avant de s'amusé. Attend elle allait vraiment faire ça? Oui c'est Louve. Son regard ne manque pas un détail de la serviette de Louve qui tombe au sol. Il ne se gêne pas pour regarder pendant quelques secondes, il n'a pas oublier une parcelle de son corps, de chaque courbes qu'il aime mais la magie prend fin. Basile reprend la serviette de Louve et la remet lui même en place pendant qu'elle fouille dans ses affaires.''Toujours un beau cul mais pas ce soir, malgré que c'est pas l'envie qui manque.'' Il prend le sac de Louve lui-même et tourne sur lui-même.''Pas mal, le soutif qui va avec le reste...Mademoiselle Goncalves.. t'a tué quelqu'un pour changer de nom?'' Ouais il a remarqué assez vite qu'elle n'avait plus le même nom que le charmant petit oiseau de sa famille.

Basile et toi, ça a toujours été tout feu tout flamme. En fait, tu te souviens difficilement d’instants de calme plat. Tu penses même ne jamais en avoir eu en sa présence, et c’est peut-être ce qui fait que vous en êtes là aujourd’hui. Toujours au même point, si ce n’est plus loin. Sa réponse te fait sourire, mais tu ne réponds pas. Tu te contentes de retrouver ton casier, d’en ressortir ton sac et de laisser glisser ta serviette le long de son corps. Et sa réaction face à ta nudité t’arrache un léger rire, tes lèvres s’étirant en un sourire en coin. Il te rhabille de ta serviette et te dit que ce n’est pas pour ce soir, même si l’envie est là. « Qui t’a dit que j’attendais quelque chose de toi ? Je cherche juste à me changer, mais un certain Mulliez a décidé de vivre dans les vestiaires des femmes. » Tu ricanes. Jusqu’à ce qu’il saisisse ton sac pour le retourner subitement, déversant le contenu devant lui et devant toi en même temps. « Tu sais que j’ai bon goût. » que tu reprends en retirant ta serviette que tu glisses sur ton avant-bras avant de le remonter contre ta poitrine, camouflant une partie de ton corps seulement. « Je me suis mariée, et je l’ai tué. Il avait une bonne fortune, c’était plutôt intéressant pour le coup. Le prochain, ce sera toi. » Tu ne le quittes pas un instant du regard, provocante. En fait, t’es pas certaine que lui révéler la vérité soit une bonne idée. Le divorce de tes parents, la raison, ce que ça t’a fait, tout ce que ça a changé. Parce que tu t’es rangée du côté de ta mère, tu l’as rejointe au Brésil, t’as abandonné le nom de ton père ou du moins, t’en es trop dégoûtée pour le porter fièrement. « En vérité, c’est à cause de mon père. » soupires-tu en levant les yeux au ciel en repensant à ce qu’il a pu faire. « Ils ont divorcé. Et j’ai pris le nom de ma mère. » Tu passes les détails. Les prises de tête, le fait que ton père t’ait coupé les vivres durant quelques mois, le fait que t’aies tout lâché pour rejoindre ta mère et la soutenir. Le fait que t’étais même pas certaine de revenir ici, finalement.

Le français ne veut pas se l'avouer mais il a besoin de Louve dans sa vie, autant qu'il cherche à l'effacer de sa vie, l'a remplacer par n'importe qui, elle reste le spectre qui refuse de partir pour aller emmerder les autres mecs qui existent sur terre. Quelques mois passés, il aurait prit Louve et aurait été libérer un peu de passion enflammé avec elle sous les jets de la douche mais pas maintenant. Il a été trop blessé et aveugler par son propre égo et sa jalousie.'' Ce serait pas mal vivre ici.. Oui je sais que t'a du goût t'a bien coucher avec moi.'' Il avait voler son sac pour fouiller dedans en premier mais décida de l'a laisser faire aller s'asseoir plus loin et fini par carrément se coucher sur le banc en lui demandant pourquoi elle a changer de nom. Sa réponse le fait rire et un sourire de défi se dessine sur ses lèvres.''tu tiendrait pas 5 minutes, Veuve noire.''Il fixe le plafond et écoute Louve parler de ce qui c'est passée. Il est presque sous le choc, la famille de Louve, il la connaît depuis toujours et ne peut croire de ce qu'il entend. '' Putain .. et merde je suis désolé...''Un divorce c'est hyper dure sur les enfants, enfin c'est ce qu'il pense parce qu'il est de ceux qui sont assez chanceux pour avoir des parents heureux dans leur mariage. Les Mulliez ont une réputation à maintenir en France , un scandale serait terrible pour eux. Ils passent ses bras derrière sa tête.'' Tu veut aller te saouler pour oublier?''

« Ca te permettrait peut-être d’enfin réussir à attraper une petite minette ? T’as l’air d’avoir perdu la main, vu le lapin que t’a posé la demoiselle. » Ca te fait sourire, parce qu’au fond, t’es plutôt contente qu’elle lui ait posé un lapin si tant est qu’il avait réellement rendez-vous avec quelqu’un. Comme quoi, le Basile n’a pas toujours ce qu’il veut, la preuve est là. Il attrape ton sac et en extirpe tes sous-vêtements, visiblement admiratif de tes goûts. « T’excites pas trop, t’es loin d’avoir été mon meilleur choix. J’en ai fait de bien meilleurs depuis. » ricanes-tu. T’en es pas réellement certaine au fond de toi, parce que votre histoire est ancienne et qu’elle ne vaut aucune autre. Mais, t’as rencontré de bonnes personnes, dans tous les sens que peut avoir ce terme. Aussi bonnes à l’intérieur que dans ton lit. A sa question quant à ton changement de nom, tu réponds sans trop d’hésitation que tu t’es mariée et que t’as fini par tuer ton mari pour récupérer sa fortune. T’insistes bien sur le fait qu’il sera le prochain en soutenant ton regard sur lui. Et, comme tu le pensais, il en rit. Un sourire au coin des lèvres, tu réponds : « Tu me sous-estimes à ce que je vois. Ou alors, tu me confonds avec toi, faiblard. » L’instant d’après, ton ton se fait plus grave, plus lourd. Tu lui avoues finalement que ce changement de nom dépend des conneries de ton père, du divorce qu’il a imposé à toute votre famille pour avoir trompé ta mère durant trop longtemps. « Je suis juste désolée pour ma mère qui a tout fait pour ce chien. » Tu sens que la pression monte en toi. Tu te hâtes d’ailleurs d’enfiler tes sous-vêtements puis tes vêtements après t’être essorée les cheveux. Il te propose alors d’aller boire, ce qui t’arrache un petit sourire. Il te connaît bien. Affreusement bien. « Ca ira, merci. Ca fait déjà sept mois, j’ai fini par avaler la pilule depuis le temps. » T’hausses les épaules. « Je suis partie pour cette raison. J’ai rejoint ma mère au Brésil, je voulais pas qu’elle reste seule face à tout ça. J’étais pas sûre de vouloir revenir d’ailleurs, mais on dirait bien que j’ai fini par le faire. » T’attrapes ton sac pour l’embarquer en direction des lavabos et des sèche-cheveux pour ne pas repartir d’ici dans cet état, à quelques pas de ton vestiaire et de Basile. « Et toi, pourquoi t’étais parti ? » lui demandes-tu en brossant ta crinière. Bien sûr que tu sais qu’il est parti, le contraire serait étonnant malgré la note sur laquelle tout s’est terminé. Mais la raison de son départ, tu n’en as aucune idée.

Basile bien couché sur son banc de fortune écoutait Louve, putain à entendre tout ce qui c'était passé, le père de Louve avait eu presque eu du culot de lui forcer la main à lui et au frère des sœurs Perol. ll c'était presque passé la corde au coup pour ramener le petit cul de Louve aux Etats-Unis. Leurs piques mutuelles, il avait besoin de ça presque pour avoir des confirmations qu'il avait bien fait de revenir finir ses études à Harvard. Les notes de Basile lui permette d'aller n'importe où mis il a décider de venir finir ses études là où tout à commencer. De son perchoir, il aperçoit Louve du coin de l'œil passer pour aller surement se sécher les cheveux. Heureusement que les mecs ne s'emmerde pas avec ce genre de détails.'' J'étais pas certain de revenir aussi.'' Quand Louve lui pose la question fatale ou plutôt la question à 1 million de dollars, un sourire en coin se dessine sur ses lèvres. Il fallait vraiment avoir une conversation à cœur ouvert dans les vestiaires des filles?'' C'est dommage pour tes parents, au moins t'a toujours ta sœur, Ça de l'importance pourquoi je suis parti?'' Un long soupir s'échappe de lui.''Je vais avoir besoin d'un verre si tu veut vraiment savoir.''