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L’australie. J’suis allée en Australie pour 0 dollar. J’ai pu m’y baigner, boire un coup et me sentir .. Libre. Là-bas, dans ce monde fictif, il n’y avait plus aucune douleur. Plus rien. Pas d’ex-femme suicidaire, plus de cadavre, plus de doutes. J’étais moi. J’étais en osmose avec toi. C’était étrange, trop étrange. Comme si nos mains liées pouvaient nous unir dans une pensée commune. L’angoisse. J’peux voyager dans le temps et l’espace avec Elliot Maxwell. Notre rêve éveillé prend malheureusement fin. Mes paupières se rouvrent et mes prunelles discernent plus précisément ton visage. « Et moi ça reste Paris .. » Mes racines sont restées là-bas. Ici, je me sens insécure, en danger, un intrus. Alors ouais, pourquoi j’suis partie de ma terre natale pour rejoindre un lieu qui ne m’a apporté que de la peine ? Nos tendances auto-destructrices ? « J’valide, ça doit être ça. » Ou presque. J’ai fui. J’ai abandonné ma famille en situation de crise. J’avais soif d’indépendance. Je n’en pouvais plus de mon environnement toxique. J’voulais me tester, savoir si j’étais capable de me débrouiller sans papa et maman. « Ah oui ? J’croyais que tu étais venu ici pour tes études .. Comme moi et la plupart des étudiants d’Harvard quoi » Sérieux, Harvard c’est le conseil de l’ONU. J’vous défie de trouver un américain pur-sang, il doit y en a un pour mille. Merde, j’suis désolé pour toi si tu savais. J’peux pas imaginer ce que tu as dû ressentir en décollant de ton pays pour en rejoindre un autre. Tu continues de te livrer et je t’écoute comme une gosse à qui on raconterait La belle au bois dormant pour la toute première fois. Je suis pendue à tes lèvres, les yeux grands ouverts et les oreilles totalement réceptives à ta voix. « Tu devais avoir tout un public de nanas excitées en sortant de l’eau. » Je m’esclaffe et déporte mon regard sur le flacon que je fais rouler dans ma paume. Qu'est-ce que ça peut bien faire ce produit une fois injecté hein ? Damn, ça me donne envie d'essayer, faut pas. « Sérieusement, j’savais pas tout ça non. Tu aurais aimé être surfeur plutôt que .. euh, journaliste ? » Tiens, un point commun avec mon petit-ami. Tout à coup, je te trouve beaucoup plus nostalgique. Tu veux pas que je te ramène de l’Australie ici ? J’pourrais vraiment tu sais. Nan, tu préfères que je te flatte. Quel enfoiré. « J’pense qu’on te le dis assez souvent comme ça » Est-ce que les amis se disent ça aussi ? C’est pas un peu ambigu de se complimenter sur l’enveloppe ‘charnelle’ ? Tu me fous mal à l’aise. Je pique un fard. Je sors du canapé et resserre la morphine dans ma main « J’fais quoi de ta drogue espèce de kleptomane ? Je la garde chez moi ? J’te fais pas confiance en vrai. Je veux pas que tu rechutes si jamais il pleut trop et que ça te déprime tu vois » J’sais pas quel est ton degré de sensibilité, mais tu me fais peur. Je te sens pas. T'es trop fragile malgré ton apparence de petit badboy. Tu pourrais craquer n’importe quand, ça se voit. « J’peux refiler la fiole à un cancéreux qui en aurait bien plus besoin que toi .. »
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“Ma mère est née à Paris. C’est pour ça que je parle français.” Un point commun de plus. Est-ce que nos ressemblances vont s’arrêter un jour? Pourquoi on s’est pas connus avant? On aurait peut-être pu être l’ancre de l’autre. S’empêcher de couler chacun notre tour. Éloigner nos addictions et nos tendances destructrices. Je secoue la tête. “Non. Enfin, j’pense que ça a fait rêver mes parents. Eux ont du se dire que j’atterrirai à Harvard. Mais c’était pas la raison de mon arrivée à Boston.” Je te parle de l’Australie, de mes passions oubliées. Je ris à tes mots. “Ouais.” J’vais pas nier, c’est vrai. Pas quand j’étais gosse, mais par la suite, quand j’y retournais les étés en étant ado, ou même encore maintenant. “Est-ce que ca t’étonne en même temps?” Come on Lou, tu peux pas nier que je suis bien foutu. Bon, j’le suis encore plus d’habitude. Imagine moi avec huit kilos de muscles en plus. Muscles que j’ai perdu à cause de mon addiction. Mais que je compte bien retrouver. Je hoche la tête. “Évidemment. Fin, ça parait cliché j’parie, mais oui. Le surf, c’est moi. T’sais, l’expression ‘comme un poisson dans l’eau’. Je me sens bien quand je vogue sur les vagues. J’pense à rien d’autre. J’oublie tout. Mais sinon, j’aurais voulu être pilote d’hélicoptère.” Mais tu dois savoir ce qui s’est passé. Ça a fait la une des journaux il y a un an. Mon crash. Tu te lèves subitement du canapé et te brandis le flacon, la raison de ta présence ici. Ou la fausse excuse. Je hausse les épaules. “Rapporte la a l’hôpital, tu dis que tu l’as trouvée et tu savais pas quoi en faire.” Ce qui en soi, n’est pas faux. “Ou vends la.” Ça te ferait de la thune. “Non, ne la vends pas en fait. Je veux pas participer à l’addiction de quelqu’un d’autre. C’est mauvais, cette merde.” Et balance le pas dans une poubelle parce que les SDF font les poubelles. Et ne va pas à la police parce que tu serais suspectée. L’hôpital, c’est la meilleure solution.
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Ta mère doit être si belle. Je sais pas, t’es d’une perfection toi. Tu aurais pu être l’égérie de n’importe quelle marque de vêtements, de parfum ou de .. planches de surf étant donné que tu adores ça. Je t’imagine tellement sur de grosses affiches en pleine ville. Sur Times Squares tiens. Tes abdos à la vue de tous et ton sourire ravageur. « C’était quoi alors la raison de ton arrivée sur Boston ? » Pourquoi tant de mystères, vas jusqu’au bout ! Déroule canaille. J’veux tout savoir de toi, ou presque. On évitera les détails intimes pour l'instant hein. On revient ensuite sur ton pays natal, l’Australie, terre des kangourous et des insectes super dangereux. Tu me racontes ta passion pour le surf et les sensations que ce sport te procure. Ça me fait penser à ce que je ressens en grimpant sur les planches ou en jouant la comédie derrière une caméra. Les soucis disparaissent quand on est dans notre élément. Totalement. Mais wow. Pilote d’hélico ? Sérieusement ? Même après ton .. Accident ? J’me vois pas évoquer cet événement, même si j’aimerais avoir quelques détails. Je vais calfeutrer ma curiosité, t’inquiètes pas. Ouais, je change complètement de sujet là. Je relève ta beauté et puis le malaise augmente au point de me faire sauter du canapé. La fiole de morphine enfermée dans ma main, je la brandis tout en cherchant quoi en faire. J’peux pas te la laisser ici. À chaque fois que tu te sentiras en proie à la solitude ou à l’angoisse, tu vas être tenté. J’suis blonde, mais pas forcément stupide. « L’hôpital tu dis ? Ils vont la détruire. C’est du gâchis .. » Bloqué entre mon pouce et mon index, je ramène le flacon à hauteur de mes yeux pour bien l’analyser « Tu veux pas me piquer juste une fois ? J’ai presque tout essayé, sauf ça .. C'est juste pour voir, je ne recommencerais pas après. Les cigarettes et les joints me suffisent moi » Ajoutez quand même une poignée de champignons et un peu de poudre de temps en temps. T’es Mather ou tu ne l’es pas hein. « T’as vraiment plus de matos pour t’faire les injections ? »
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« L’argent. » que je lâche dans un petit rire moqueur. « Mon père a monté sa boîte de sécurité informatique en Australie. On travaille avec les plus grandes entreprises maintenant. Mais en Australie, le champ d’action était limité. Alors pour mieux prospérer, on a proposé à mon père de venir à Boston, pour étendre et développer son business. » Et ça a bien marché. C’est grâce à ça qu’on est blindés. Je hausse vaguement les épaules face à tout ça. J’suis content d’avoir du fric hein, attention, j’dis pas le contraire. Mais ça me fait chier qu’on ait du changer de pays pour en avoir. Tu sautes du canapé en revenant sur la morphine. Ça c’est un sujet sur lequel j’aurais mieux aimé ne pas revenir. Parce que dès que j’y pense un peu trop, j’ai l’envie et le manque qui reviennent me bouffer les entrailles. Ça fait mal, c’est comme une torture insoutenable. « Non, l’hôpital vont pas la détruire, ils en ont besoin pour soigner les patients. » Et quand tu utilises le mot « gâchis », je fronce les sourcils alors que tu rouvres la bouche. « Quoi? » Je rêve ou quoi? Tu viens de me demander de te piquer? Et comme si j’avais besoin de précision, tu me demandais si j’avais encore mon matos. C’est quoi ton problème ? C’est quoi votre problème ? Déjà Hope m’avait fait le coup y’a quelques mois, elle m’avait forcé à lui faire subir ça. J’sais pas, mon état te suffit pas pour te dissuader de consommer cette merde? Tu dis que c’est que pour une fois, mais c’est ce qu’on dit tous. C’est ce que Hope avait dit aussi. Avant de revenir en réclamer en rampant un mois plus tard. Alors je me lève à mon tour, chacun de mes muscles contractés au possible. J’suis sur les nerfs. Et non, c’est pas le manque là, c’est bien toi. Je t’arrache la fiole des mains et recule d’un pas. « Va t’en. J’veux pas de toi ici. » Et sous ton air incrédule, je me sens obligé d’expliquer. « Sérieusement?! Je te demande ici presque en SOS parce que j’ai peur de craquer, parce que je suis en sevrage et que j’étais à deux doigts de replonger, et toi tu me fous la fiole sous le nez en me demandant de m’en servir pour te piquer? Et après ? Tu crois quoi? Que j’vais savoir te planter une aiguille dans le bras sans me faire la même chose après? T’es complètement conne ou quoi? J’t’ai réclamée pour rester clean, pas pour replonger. Alors va t’en. » Parce que clairement, t’es le diable incarné. Le serpent qui fait naître la tentation. Et j’ai pas besoin de ça. Et la fiole, tu repartiras pas avec. Parce que finalement, j’crois que je suis plus intelligent que toi pour éviter de m’en servir. Toi, t’as juste ta curiosité mal placée qui va te faire l’ouvrir ‘juste pour essayer’. Non, je participerai pas à ça.
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Ah oui, l’argent. J’oubliais cette motivation pourtant devenue si basique de nos jours. Sans pognon, tu vis pas. Logique. « Oh, genre, une boite de sécurité informatique comme dans la série Mr. Robot là ? » La série que j’ai suivie courageusement durant deux saisons avant de jeter l’éponge. Trop dépressif. Trop long. Trop chiant quoi. J’veux de l’action moi. Du feu et de la vitesse. J’suis speed comme nana. Je m’éloigne du sujet là. So, si le business de ton père s’est développé ici, j’imagine que ta famille roule sur l’or. Comment ai-je pu en douter? Il n'y a qu’à regarder l’appartement dans lequel tu vis, on est loin du mien, enfin, du notre, avec Pluton. Et boum. Je trouve qu’on devient trop proche. Je saute du canapé en m’intéressant au sort qui attend la petite fiole entre mes doigts. « Ouais .. » Un produit sortant, je suis pas sûr que l’hosto puisse récupérer ça. Ça finira dans les déchets. Alors .. Au lieu de gâcher cette merveille de la science et de la nature, pourquoi ne pas l’injecter dans mes veines ? Toute expérience est bonne à prendre. J’refuse de mourir conne. Ok, j’ai juste demandé à la mauvaise personne par contre. Après ma requête, tu sors du canapé, le regard glacial. Tu m’arraches violemment le flacon de morphine, me brisant presque une phalange au passage. Tu entres dans une colère noire, une colère qui aurait pu être excitante dans d’autres circonstances. Tu me dis de me barrer, mais je reste clouée à ma place. J’attends le reste. Ouais, voilà, ça sort. Tu me fais un speech que je peux complètement entendre. Et une fois que tu termines, je laisse les secondes s’égrener. Je te fixe. Un rictus traverse mon visage moqueur. J’applaudis, le silence se rompt dans la pièce et j’éclate de rire. « Ouais j’suis conne et je sais que tu m’aimes bien comme ça. Tu veux vraiment que je parte ? » Look cet air boudeur totalement irrésistible ! Tu peux pas me chasser, pauvre petit gibier que j’suis. Malicieusement, j’essaie de faire diversion avec mon regard de biche pour choper le poison emprisonné entre tes doigts « Hey .. Calme-toi. On va dire que c’était un test et que tu l’as brillamment réussi ok ? Je te demande pardon .. T’es mignon quand tu t’énerves, on dirait que tu vas exploser ! » J’sais, c’est pas marrant de plaisanter avec les addictions, mais .. Plus rien ne devient marrant de nos jours, on s’interdit de rire sur tout, c’est nul à chier. « Il est où ton bonsaï sinon ? » Me dis pas que t’es vraiment fâché ..
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« Ouais, comme dans Mr Robot. » En gros. En moins fun, j’dirai. Coïncidence que j’m’appelle Elliot, comme le personnage principal. Peut-être que j’suis aussi taré que lui. Lui aussi se drogue. Il finit par péter un cable. En même temps, il est schizo. Normal. Oups, spoiler. Moi j’suis pas encore schizo, j’espère pas finir comme lui quoi. On passe un bon moment là tu trouves pas? J’en ai presque réussi à oublier le manque. Ouais, jusqu’à ce que tu me le colles en pleine face. Et là, je m’énerve. C’est légitime non? A quel moment t’as pu imaginer que j’allais te piquer? Et encore moins me piquer derrière? J’pensais que t’étais une amie. Ouais, finalement, on se connaît pas. Mais j’m’attache trop vite aux gens. Les amis sont pas censés se tirer vers le bas. T’es censée être là pour me garder clean, pas pour me faire replonger. Alors ouais, je vrille. Normal non? À quel moment tu te dis que c’est une bonne idée de secouer mon envie interdite devant mes yeux? Littéralement, le poison qui pourrait me tuer si je cédais à une crise de manque? Parce que si je craque, c’est pas une petite dose que je prendrai. Non, si je craque, c’est que le manque aura été insoutenable et donc j’risque de m’injecter plus de produit qu’il n’en faut, et de finir en overdose. J’le sais. J’suis peut être un drogué mais j’suis pas con. C’est sûrement pour ça aussi que je tiens. J’ai pas envie de crever. Alors casse toi. J’ai pas besoin de toi ici. Toi tu laisses le silence s’installer pour finalement... rire ? Ah, t’applaudis même. Bah tiens. T’es franchement culottée. J’m’énerve quasiment jamais, jamais sérieusement. Tu le sais sûrement pas. Alors crois moi que quand je m’énerve, c’est pas pour rien. « Oui. Dégage. » En fait, ta réaction n’a fait qu’empirer les choses. Et puis tu reprends une voix douce, me demande pardon, me fais un pseudo compliment au passage. Non, ça fonctionne pas. « Va t’en Louison. » que je réplique froidement en ignorant ta dernière question. D’ailleurs, je fous la fiole dans ma poche. Ouais, j’ai vraiment peur que tu te barres avec et que tu fasses n’importe quoi.
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J’ai pas de diplôme, de formation, ni de finesse pour m’adresser aux addicts moi. J’vis dans l’insouciance. Je n’évalue jamais mes paroles avant de les balancer. J’devrais. Je devrais plus souvent tourner ma langue dans ma bouche au lieu de la faire tourner dans la bouche d’un autre. Quand tu bondis du canapé, que tu m’arraches la fiole des mains et que tu débites tout ce que tu as à débiter, j’fais moins la maline. Je te promets, intérieurement, je me sens minable. Je rêverais de rapetisser et de me cacher entre les lames du plancher. Je voulais pas te faire craquer. J’voulais pas te faire sortir de tes gongs. Te faire penser à cette merde. J’suis profondément désolée, mais la tactique que j’emploie pour te le transmettre ne fonctionne pas. Au contraire. Aucun sourire n’apparaît sur ton visage. Tu restes fermé. Hermétique. J’ai foiré. Je dois en subir les conséquences. La soirée s’achève. Je vais rentrer, je vais me coucher, je vais cogiter. J’vais me demander ce que tu vas foutre avec cette merde. « D’accord Elliot. » Je soupire. Je regarde autour de moi, je mordille l’intérieur de mes joues. J’veux pas partir, j’ai peur. J’ai peur qu’à cause de moi, on te retrouve dès demain aussi froid qu’un glaçon. Je m’en veux terriblement, mais ma présence ne semble plus souhaitée. « J’me rattraperais, je te jure. J’veux pas qu’on se perde. On s’est trop bien trouvé tous les deux. J’espère sincèrement que tu me pardonneras pour ma maladresse. Tu commences déjà à compter pour moi tu sais. Bref, bonne nuit. » Sur ce, je me rapproche de toi, je m’étire sur la pointe de mes pieds et je tamponne ta joue de mes lèvres. « À plus red king » Le coeur lourd, je contourne le canapé, je récupère mon sac et je sors. Je m’en vais avec l’inquiétude qui ronge mon estomac. Je referme la porte au ralenti et je reste là. J’reste plantée dans le couloir cinq bonnes minutes et je pars. Ouais, Louison Chamberlain a encore des progrès à réaliser, notamment auprès de Monsieur Maxwell, un homme plus sensible qu’elle ne l’aurait imaginé.


- FIN ?? -
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